Narcisse Narsexe
 

Ecrit par Sechy, le 20-01-2021 23:32

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
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Narcisse Narsexe
ou la vision bien dans ces temps de la « raison »
et temps mécanistes de l’Encyclopédie des
« lumières » et de la judéo-maçonnerie spécul.
soit L’UTILITARISME DE L’OCCIDENTAL À LA MODE DU
PLAISIR, DE L’EGO, DU POUVOIR OU POUR-VOIR
(l’information et la culture) et DU DÉVELOPPEMENT ou
ACCOMPLISSEMENT PERSONNEL.
 
Ce passage par la satisfaction ou possession
sensuelle par les cinq sens qui, par la possession
veut « bouffer » l’autre, le faire disparaître :
« O mon unique amour né de ma seule haine », dit
Roméo à sa Juliette comme l’écrit Shakespeare,
comme quoi la dualité dedans-dehors est un leurre,
car la non-dualité est le sans limites de la
Conscience infinie. La chasteté, au sens du mot
MOINE : UN EST EST LE TOUT (il est séparé de
TOUT et uni à TOUT (tous) : le Rien dans le
TOUT et tout dans le Rien.
Le Moine ou le Chef d’Œuvre du compagnonnage,
travail d’Artiste. Savoir investir ce qui a
été économisé à l’extrême : le Zéro indien
énergétique transmuté en REBIS des Philosophes :
le + et le -, soit une même Matière possédant
nécessairement une Animation, le Dissolvant
Universel ou Fluide Salin ou Mercure des
Philosophes, lui se mêle intimement avec les
corps qu’il dissout (Origine), tandis que
l’Alkaest se sépare des corps qu’il dissout
sans les diminuer.

Ici ici il ne s’agit pas de tomber dans
l’actuelle consomption ou affaiblissement
à la mode Covid-19 à X si utilitaire car lié
totalement au capitalisme et à son régime.
Le seule utilitaire possible est celui de
la Nature (ni dedans, ni dehors) !!!

FONDAMENTAL : la technique ou « isme » ne doit
JAMAIS devenir un confort, un refuge, une consolation,
encore moins un faire valoir comme de nos jours
croulant sous un déluge technologique surtout
informatique en nouvelle religion du « tout connecté »
et du winnerisme en efficacité acharnée destructrice !
La technique n’est que périphérique ou de dernier ressort
car elle ne peut que s’intégrer au TOUT.


À ce hui, en tout connecté, tout s’exporte,
le meilleur et surtout le pire !

Paradoxe de la Réalisation du Soi : le plus infime,
l’interne est inatteignable.
Comme dans l’évolutionnisme, la capacité à embrasser
toujours plus n’a pas de fin.
La Lumière traverse toutes les voiles aussi dans
tous les cas ne jamais retenir ! comme le précise
le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ »
(Allé, allé, allé au-delà, allé complètement
au-delà, l’Éveil, ainsi).
L’énergie ou Zéro indien comme le Réalisé est sans
fixation, sans « isme », sans fossilisation en dogmes.
TOUT EST « COMME SI » (adaptation, réunir, non-dualité)

TOUT EST « COMME SI » : GATE GATE : DÉPLOYER,
NE JAMAIS S’INCRUSTER (donc s’oublier, oublier son
ego) ALORS TOUT DISPARAÎT, TU DEVIENS L’UNIVERS
QUE TU AVAIS OUBLIÉ.
Quant au fameux Pouvoir, plutôt Pour-Voir, maintenant
conforté par le tout connecté technologique :
NE REGARDE PAS, tu tomberais dans le Pour-Voir !
Alors « vois ! », puis « Ne vois pas ! ».
Ne sois pas un croyant mais un SACHANT : Ne vois pas,
SAIS ! Et le principale devient :
« NE SAIS RIEN ». Conformément au :
SAVOIR POUVOIR OSER SE TAIRE.


Fils des Étoiles Nous sommes, parce que Montagnes, Vallées, Rivières et Forêts, Précipices et Ouragans sont en Nous. Mais aussi des villes et des routes, de la poussière et du bruit. C’est l’Univers en Nous, insignifiant, tout petit car sans ego (il a été heureusement oublié) ; en étant tout petit, comme un loser, alors Nous pourrons jongler avec les atomes de toutes choses, Lune et Soleil dans les paumes des mains, cheminer sur la Grande Ourse, sans aucun besoin de pieds !
Évidemment un jours, certains êtres, peut-être ancêtres des transhumanistes, décidèrent d’imposer des « lois » ou des « ismes » à l’Univers. Comme cela ils TRANSMUTÈRENT les continents, les mers, les montagnes DANS UN EXTÉRIEUR, UN ESPACE GÉOGRAPHIQUE ET GÉOMÉTRIQUE.
AU LIEU DE RESTER DANS L’ÉNERGÉTIQUE DU RIEN DU TOUT, ILS FIRENT PASSER LE MONDE DANS LA THERMODYNAMIQUE ET LE SPATIO-TEMPOREL, et dans le « Plus ça change et plus ce sera la même chose »……

En ces temps plus qu’incertains, notamment de totalitarisme hygiéniste, il est vital de se rappeler que :
QUI PEUT SOIGNER PEUT AUSSI TUER.
C’est particulièrement probant dans l’industrie capitaliste de la chimie industrielle des médica-ments.
Idem avec :
QUI PEUT SE METTRE EN COLÈRE PEUT TUER, CAR LA COLÈRE COMME L’OPINION N’A PAS DE LIMITES.
En fait, le malheur ou la souffrance est lié au fait d’avoir un corps ou ego. Sans corps ou sans ego le sens du mot souffrance n’existe pas (surtout quand arrive la vieillesse). Et avec la découverte du corps, des MARCHANDS vont en profiter pour créer désirs et besoins… et médecine-business…..
La découverte du corps parce que si tout est conscience, et qu’aucun objet n’existe sans cette conscience, et qu’il n’y a pas de conscience sans objet, il ne peut rester que le ÇA JE ESTRE (sagesse), ou le « Je suis ce JE SUIS ». Rien à « chercher » en dehors du corps, dedans-dehors n’existe pas. Perception absolue résumée par le « SE TAIRE » du dernier terme de la quadrature de PAIX mentionnée plus haut.


Au sein du monde, actuel, le plus agressif et le plus aliénant, affairé dans son faire/fer, le FUSIBLE ULTIME qui ne soit pas une résistance ni une fuite, ne peut qu’être LA TRANSPARENCE qui naît du « Je suis ce JE SUIS », le « Je suis CELA », LE SANS POURQUOI, LE LÂCHER-PRISE TOTAL (à ne pas confondre avec une vulgaire dépression « nerveuse » matérialiste et utilitariste de ce monde du salariat !)

Le Vieux Monsieur de 10 millions d’années.

La Tradition (orientale) décrit trois sortes d’Immortels :
- Ceux qui ont pratiqué la délivrance du cadavre et qui à leur mort se dépouillent de leur corps (parfois, il n’en reste pas traces).
- Ceux qui sont des Immortels terrestres qui hantent les monts sacrés.
- Les Immortels célestes qui s’élèvent avec leur corps et « montent dans le vide ».
Dans le premier cas Ils n’ont pas réussi de leur vivant à sublimer suffisamment leur corps pour pouvoir s’envoler avec lui, cas où il en reste des traces. La purification de leur corps se poursuit après la mort et le corps s’envole alors ; le cercueil reste vide.
Dans le second cas, Ils ont un corps qui ne peut s’élever dans le ciel, mais qui s’ébat librement dans une sorte de paradis terrestre simplifié.
Dans le dernier cas, Ils s’envolent en plein jour, comme parés de lumières, comme flottant dans le Vide, ou sur un Vaisseau ayant des Dragons pour attelage. Leurs os luisent comme du Jade, leur visage est entouré d’une auréole et leur corps émet une lumière inconnu ici-bas.
Science-fiction ? Poésie ? Ce n’est pas à un vulgaire mortel de définir la Vérité !

Cependant, il reste des témoignages, notamment celui récent de la disparition de Ramana Maharshi :
« Quand la fin approcha toute l’assemblée se mit à chanter l’Akshara-mana-mâlai avec le refrain « Arunâchala Shiva, Arunâchala Shiva »… Les yeux de Bhagavân s’ouvrirent un peu ; sur ses lèvres apparut un léger sourire ; le long d’une joue coulèrent quelques larmes de félicité ; et à 8 h 47, une expiration… et aucune inspiration. Pas de lutte, pas de spasme, aucun signe qu’il mourait. À ce moment même, une comète d’une lumière éclatante traversa lentement le ciel, se dirigea vers Arunâchala et disparut derrière le sommet.
La forme visible de Bhagavân s’était absorbée dans la Réalité suprême d’Arunâchala.
La comète a été vue dans toute l’Inde du Sud. Des fidèles à Madras se doutèrent alors de ce qui s’était passé et se précipitèrent à Tiruvannâmalai ; Henri Cartier-Bresson, qui avait pris les fameuses photos des derniers jours du Maharshi, accourut pour vérifier si l’heure de la comète coïncidait bien avec le mahânirvâna de Shri Ramana ». (Préface des entretiens de Ramana Maharshi)
« Ils disent que je vais mourir. Mais je ne pars pas.
Où pourrais-je aller ? Je suis là »


Dans la Taoïcité, il y a trois cas d’Immortels :
- Le corps disparaît soudain en plein jour.
- Le corps disparaît progressivement en laissant des ongles, des cheveux, le cœur ou la langue…
- Le corps vulgaire a disparu, mais conserve une apparence de corps « visible aux Êtres et apte à communiquer et à transmettre ».
Notons que ceux qui réussirent à dissoudre leur corps sont des personnages inconnus, discrets, et même pas investis dans le plan spirituel, bien qu’ayant pour certains, ou certaines, charge de famille.
En ce qui concerne les corps « désubstantialisé », ou comme momifié mais conservant une part de liquide corporel le rendant souple, voir l’ermite chrétien maronite Charbel Makhlouf, dont le corps est resté non corrompue depuis le début du 20è siècle.
Voir aussi le moine Dachi-Dorjo Itigilov, dont le corps ne subit aucune dégradation physique inexplicable par la raison.
Voir le cas de Hui Neng, daté du 8è siècle ; ou celui plus récent de Ayu Khandro, femme-yogi qui passa plus de la moitié de sa vie dans le noir complet...

Comme dans le cas de Ramana Maharshi, de nombreux témoignages font état de phénomènes climatiques au moment du décès d’êtres extra-ordinaires : Arcs-en-Ciel simples ou doubles, nuages colorés, lumières, comètes, changements climatiques brusques comme une chute de neige, un orage violent, ou une chaleur d’été en plein hiver. On parle aussi de parfums étranges perçus, de fleurissements spontanés de végétaux, ou de changements de couleur de leur feuillage, de comportements inhabituels d’animaux sauvages ou domestiqués. Rien de très surprenant puisque TOUT EST DANS TOUT…. TOUT EST VIVANT….

RAPPEL : le concept de temps dépend de la dualité du sujet observant l’objet temps, donc le sujet dépend nécessairement d’un DEHORS, COMME S’IL ÉTAIT RÉVEILLÉ, COMME S’IL EN ÉTAIT CONSCIENT ET DONC DÉPENDANT NÉCESSAIREMENT DE CETTE CONSCIENCE. Dans le rêve le temps n’a rien a voir avec celui du réveil, réveil qui n’est connue que par l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule) et naturellement aussi par le CYCLE DES SAISONS.
Mais dans la mort physique jusqu’à la dissolution chimique complète (mort « chimique »), pour le dehors, soit l’observateur extérieur, il se passe 48 heures ; mais pas pour le défunt, qui se moque de l’HOTC et du spatio-temporel. Pour le défunt, 48 heures ou une seconde ne veulent rien dire ! C’est en ce sens la signification du mot « éternité » (cessation de la « course contre la montre »… et de « le temps c’est de l’argent »…).
 
 

Dernière mise à jour : 21-01-2021 00:05

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