Il n’y a pas équilibrage, à cause du corps
 

Ecrit par Sechy, le 23-01-2021 00:49

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Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Il n’y a pas équilibrage, à cause du corps
C’est le corps qui désire, qui évolutionne
comme une démangeaison sans cesse,
comme un feu incessant.
Une démangeaison ou un feu qui peut
s’appeler : VALEUR, LUXE, SUPERFLU, PROFIT,
MALADIE (quelque chose en trop, ou en moins).
 
En effet, CIVILISATION = LUXE, SUPERFLU,
par rapport au « primitif » qui se contente
de peu dans une communauté d’abondance (pour
référence à Marshall Sahlins : Âge de pierre,
âge d’abondance
).
Seule la civilisation avec son superflu
pouvait inventer son contraire la pauvreté.
« Primitif » s’applique aux cultures sans
États, sans politisme en bandes organisées
et sans pollution par l’HOTC
(Histoire-Opinions-Temps qui coule) qui n’a
pas modifié le procès économique et des
relations sociales.


Tout ce qui est « civilisation » est sous domination du DÉSIR et donc du SUPERFLU (super-flux : l’électromagnétisme en est un exemple…).
COMME SI CE SUPER-FLUX ÉTAIT UN DÉSIR D’ÉJACULATION, DE JOUIR, MAIS PAS COMME LE SPIRITUEL PRODUISANT L’EXTASE (comme la Félicité dans le Soi).
LA CONSOMMATION DES MASSES, DEVENUES LE TOUT CONNECTÉ, EST CETTE « SPIRITUALITÉ » DU MONDIALISME PAROISSE DU DÉSIR (le « toujours plus » en évolutionnisme) ! C’EST LA TENDANCE (vasana en sanskrit ; et les samskâra : tendances latentes, prédispositions).
Il en est d’ailleurs de même avec les DISTRACTIONS (héréditaires ou artificielles, ou grégaires).

« Biologiquement, un organisme ne fonctionne que parce que toutes ses fonctions s’accompagnent de bonheur. Le sentiment du plaisir favorise notre développement : nourriture, exercice, repos et tendances grégaires. La psychologie (et la métaphysique) du plaisir, c’est peut-être que notre nature est fondamentalement une, entière et emplie de félicité. Prenez cela pour une hypothèse probable. La Création est le fait d’une seule divinité qui se divise en Dieu et Nature (maya ou prakriti). Cette maya est constituée de deux éléments : le para, qui est l’Essence-support, et l’apara, qui comprend les cinq éléments, le mental, l’intellect et l’ego (l’octuple manifestation).
La perfection de l’ego est tout à coup brisée, suscitant un besoin qui donne naissance au désir d’obtenir quelque chose ou de faire quelque chose. Quand ce besoin est satisfait par l’accomplissement de ce désir, l’ego est heureux et la perfection originelle est rétablie. C’est pourquoi on peut dire que le bonheur est notre condition naturelle ou notre nature. Le plaisir et la douleur sont relatifs ; ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs. Si ce développement relatif est stoppé et que l’âme s’immerge dans le brahman – dont la nature est la paix parfaite – cette âme cesse d’éprouver un plaisir relatif temporaire et jouit d’une paix parfaite : la Félicité. Ainsi on peut dire que la réalisation du Soi est Félicité ; c’est le Soi réalisé en tant que l’oeil spirituel sans limites (jnanadrishti) et non pas la clairvoyance ; c’est l’abandon de soi à son plus haut niveau. Tandis que le samsara (le cycle du monde) est souffrance ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).

Le corps qui désire ne pouvait arriver qu’au mondialisme : tout au long de l’histoire humaine du Moi-Individuel oubliant son Moi-Collectif et atteint du pouvoir il n’a jamais cessé d’aspirer à l’institution d’un ROYAUME « UNIVERSEL », réunissant sous la direction d’un seul tous les peuples de la Terre : c’est le mondialisme actuel, qui ne pouvait que déboucher sur le BIG BROTHER NÉCESSAIREMENT LIÉ À L’ÉTAT : LES RUES LARGES, CAR LES RUES ÉTROITES SONT UN DANGER POUR L’ÉTAT (surtout avant l’arrivée de l’éclairage, au gaz, puis à l’électricité). Les rues larges deviendront des rues marchandes et à automobiles (le capitalisme a besoin d’y voir « clair » : il déteste l’incertitude et l’imprévu…).
RUES LARGES DE L’ÉTATISME = État militaro-fiscal qui tente de contrôler la consommation au travers des taxes, des monopoles et des prohibitions en tous genres. Le célèbre Mandrin sera une variation du Thème de Robin des Bois protégeant les « bouseux », les Païens, ceux d’une seconde économie au sens défini plus bas dans le Rappel ; cette définition de l’économie que l’État capitaliste déjà avancé avait en horreur puisqu’il fit rouer vif Mandrin en place publique à Valence avec, pour faire peur, son cadavre brisé exposé à l’entrée de la ville.

SEXE = DÉSIR D’OR MÉTAL, DE RICHESSES ET POSSESSIONS.

Cette faim sexuelle va sévir en Occident à l’époque de Louis 9 (Saint Louis) en France et va transformer toute la mentalité du monde occidental. Voir le mondialisme s’installant avec la SOIF DES ÉPICES QUI S’ACCOMPAGNE DE LA SOIF DE TECHNOLOGIE ET D’UTILITARISME : EFFICACITÉ ET ALLÈGEMENT DE LA PEINE. L’ACCUMULATION PERMANENTE DE DÉCOUVERTES UTILITAIRES EST DÉJÀ RÉVÉLATRICE D’UNE VOLONTÉ CONSCIENTE DE « DOMINER LA NATURE », ET UN INTÉRÊT AMPLIFIÉ POUR TOUT CE QUI EST SOURCE D’ÉNERGIE, TOUJOURS DANS CETTE AMPLIFICATION DE L’UTILITAIRE, CE QUI VA DONNER À LA JEUNE EUROPE, BIEN AVANT SON WINNERISME ACTUEL, SON VRAI VISAGE… Avec : en 1857 : pose du premier câble maritime intercontinental, puis chemin de fer, bateau à vapeur, télégraphe, téléphone puis électricité tout cela participant du mondialisme et de son capitalisme.

Le désir de luxe est surtout celui des possédants : les urbanisés ou « civilisés », les « mécanisés » et déjà « digitalisés » par rapport au « bouseux » ou « primitifs » qui seraient encore restés à l’analogique (valeurs, mesures en continu) : les Paysans et artisans.
Cette classe de possédants inventera le salariat actuel.
Ce désir de luxe s’exerce surtout en Angleterre à partir du 18è siècle, qui verra naître en 1717 dans une taverne à Londres l’actuelle judéo-maçonnerie spéculative, formidable système de réseaux recrutant dans toutes professions qui seront utiles aux réseaux, ancêtres des actuels « réseaux sociaux » du digital.

IMPORTANT : ce goût du superflu ou du luxe nommé « progrès », ce DÉSIR SEXUEL ne pouvait que ’accompagner d’une politique étatique de surveillance, comme indiqué plus haut avec l’élargissement des rues dans les villes afin d’éviter les révoltes des « bouseux » ou « prolétaires » : non seulement élargissement des rues mais aussi éclairage en conformité avec l’avancée technologique liée non seulement à l’utilitarisme : le profit, mais aussi à la pratique de la TERREUR : la peine capitale contre L’HÉRÉSIE DU VOL, CAR LA POSSESSION EST DEVENUE LE SAINT GRAAL DE LA « LIBERTÉ », ET TOUT ATTEINTE CONTRE LA POSSESSION SERA PUNIE DE MORT ET AU MOINS PIRE AU BAGNE ET TRAVAUX FORCÉS JUSQU’À LA MORT.
Politique de la terreur sous la Guillotine outil de la destruction de l’économie DOMESTIQUE, au sens de Marshall Sahlins : Âge de pierre, âge d’abondance : AUCUN WINNERISME AU SEIN DE L’UNE OU L’AUTRE COMMUNAUTÉ, « celle des vendeurs comme celle des acheteurs, puis franchissant une structure d’arrangement institutionnels qui conjoint avec plus ou moins de bonheur des partenaires commerciaux tenus réciproquement à la générosité et disjoint ceux qui sont mal disposés à cet égard, il aboutit à la formulation d’un « prix » sensiblement comparable », écrit page 337 Marshall Sahkins.
RAPPEL : On défini l’économie comme procès d’approvisionnement (matériel) de la communauté, et non un procès de satisfaction personnelle en besoins matériels de l’individu. Le jeu des échanges dans les communautés originelles n’est pas matérialiste mais une harmonie entre les membres de la communaité et DES COMMUNAUTÉS (en référence à M. Sahlins).

L’utilitarisme proviendra du premier travail servile : L’AGRICULTURE, ET SON PROMOTEUR, DANS L’ANCIEN TESTAMENT, EST CAÏN !
Depuis, l’être humain est devenu un ALIÉNÉ : il est amoureux de son esclavage au travail, afin de « s’acheter » des choses. C’est la maladie de L’ALIÉNATION CAPITALISTE, laquelle entraîne les malheureux, torturés depuis l’après 1789 français (bien avant dans le 18è siècle en Angleterre), dans des tourments sans fin. Cette maladie est l’AMOUR DU TRAVAIL, PLUTÔT DU SALARIAT, UN UNIQUE MOTEUR DE VIE POUSSÉ JUSQU’À L’ÉPUISEMENT DES FORCES VITALES DU SALARIÉ ET DE SA PROGÉNITURE. AU LIEU DE TENTER DE RÉAGIR, DE SE GUÉRIR DE SON ALIÉNATION, LES GRANDS PRÊTRES DU RÉPUBLICANISME, LEURS ÉCONOMISTES, LEURS MORALISTES, LEURS BANDES ORGANISÉES DE POLITIQUES, ONT TOUS SACRO-SANCTIFIÉ CETTE ALIÉNATION DE CAÏN. IL EN SERA DE MÊME POUR LE BRUIT (à travers la parlote qui est l’opinion), le silence est interdit.

Bizarrement, le mot TRAVAIL renvoie au PIEU : tripalium aux trois POTEAUX (instrument de torture servant à « travailler » le corps du supplicié), à quelque chose qu’on enfonce, qu’on plante ; mais aussi à la PALISSADE ET PALISSER (fermer avec des pieux), et empaler, paluche (main), pelle, pelletée, etc.
Travail devrait renvoyer au FROTTEMENT (ou à ce qui TOURNE), au SEXE : découverte du FEU VULGAIRE PAR FROTTEMENT (tournoienent) DE DEUX MORCEAUX DE BOIS SEC. PREMIER EXEMPLE D’UTILITARISME. La masturbation est un frottement, produisant une « chaleur » (idem dans le coït). Les moralistes, les hygiénistes tels certainement ceux de 2020-X du covidisme sont les paroissiens du FROIDS, du PUR, du WINNERISME LE PLUS ÉCLAIRANT. Psychanalytiquement, LA PROPRETÉ OU L’HYGIÉNISME OUTRÉ EST UNE MALPROPRETÉ, ET LES PEUPLES LE SENTENT EN SE RÉVOLTANT CONTRE CETTE DICTATURE COVIDESQUE DES 2020-X.
L’AMOUR DU SALARIÉ POUR LE TRAVAIL ET LA POSSESSION EST UNE LIBIDO INVERSÉE, FROIDE, HYGIÉNISTE ; ON COMPRENDRA ALORS FACILEMENT LE POUVOIR DE LIBIDO DES OLIVIER VÉRAN ET COMPAGNIE EN PASSANT PAR LA « VIEILLE FILLE » FROIDE EMMANUEL MACRON…

La thermodynamique tout confort : tout ce qui frotte, tout ce qui brûle, tout ce qui électrise, est susceptible de PRODUCTION UTILITARISTE (génération). Et quand comme actuellement, les harmoniques sexuelles inconscientes viennent à manquer, telle la dualité sujet-objet, quand elles sont chaotiques dans des ego raides et secs, aussitôt le frottement, devenu un aspect purement mécanique ou informatique, virtuel, comme maintenant, perd son pouvoir d’explication.

FEU, MALADIE : FIÈVRE, ÇA CHAUFFE, C’EST PAS BON POUR LES HYGIÉNISTES.
S’ENVOYER EN L’R : LA JOIE PAR LE TRAVAIL…. « Arbeit macht frei » que disaient les nationales et socialistes allemands : « le travail rend libre » en un adamisme des plus puants et des plus capitaliste étatique !

Notre monde électricité est purement sexuel : le frottement d’un feu sexualisé : il est toujours mystérieux malgré les progrès technologiques, il est clairement sexuel. Le frottement cause de l’électricité, et statique, et dynamique (comme le 220 volts). Frottement = thermodynamique, SUR LAQUELLE REPOSE TOUTE CETTE CIVILISATION PROMÉTHÉENNE : comment l’être humain en est-il arrivé, POUR SON MALHEUR, à entrevoir que deux morceaux de bois secs tombés pour une première fois en ses mains, pouvaient, peut-être, s’enflammer par un frottement rapide et continuel ?

Ce feu vulgaire et sexuel, nécessaire LIÉ AU CORPS CONFONDU AVEC LA CONSCIENCE INFINIE OU CONSCIENCE « SEULEMENT », a conduit à ce monde uniquement de l’économie où l’être humain ne se reconnaît plus, ni lui, ni son action, ni ses habitudes, ni ses valeurs sans âges : SON TRAVAIL SALARIAL EST DEVENU UNE MARCHANDISE, LUI-MÊME EST UN OBJET DEPENDANT D’UN SUJET ; IL EST UNE CHOSE. LE FEU VULGAIRE DE LA THERMODYNAMIQUE L’A FAIT DEVENIR UNE CHOSE.
L’être humain n'a pas compris lorsqu’il a vu que la forêt flambait parce que la foudre avait embrasé un grand arbre, il n’a pas compris que cette foudre tombait du ciel lui indiquait qu’il devait stopper ses ravages déjà bien avancés.
L’humain en captant le feu se dirigeait vers l’aliénation actuelle : il devait de plus en plus se vêtir (en se dirigeant vers le Nord), et donc de plus en plus se nourrir et même manger ses semblables quand il connaissait la famine, alors qu’il n’avait qu’à se diriger vers l’équateur pour retrouver le Vrai Feu, une vie paradisiaque : l’Eden. Mais plus l’être humain se dirigeait vers le Nord, dans les forêts où les arbres ne portaient aucun fruits comestibles ni aucune médecine, plus il allait faire froid et plus il en mourait de faim. Tout lui commandait de rebrousser chemin.
CATASTROPHE DU FEU VULGAIRE qui allait fourbir la fonte des métaux en : casques, boucliers, pointes de flèches, lances, cuirasses, tanks, avions, bombes : LA POSSESSION, CHACUN VOULANT TIRER SON « ÉPINGLE DU ‘JE’ [ego] » : l’être humain établit un Axe séparé te la Trinité du E : il devient un in-divi-du-EL par A-t)trait, Re-trait, Re-gard (Pour-Voir), et possession et plus il possède, plus il se différencie (d’I) du processus (du Feu véritable) ; plus il O-pose sa Ré-fér-en-ce du Seul Ré-EL à ce EL ou Soi : Maât, le directe (voir la lune au lieu de regarder le doigt qui montre cette lune). Ainsi c’est construit le Moi-Individuel opposé au Moi-Collectif ou Moi-Universel ;  ce sera donc la dualité ou le binaire par rapport à l’Unité, le Non par rapport à Oui, la Ré-action par rapport à l’Action, le « normal » par rapport au Naturel, la culture par rapport à la Vie, etc.

Cette DIVISION vient de l’électricité : METTRE I (Axe) À MORT (mémorisation ou met I à mort). le ‘Je’ du « Je suis ce JE SUIS » deviendra UN CONCEPT : L’EGO, UNE ÉLABORATION (E), soit l’installation dans la dualité d’une sujet voyant un objet, une fiction, un HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule), soit prendre le corps pour le ‘Je’, pour le Soi, notamment en parlant de « laïcité » (en France principalement). Que d’OB-stacles et de lourdeurs liés à ce feu vulgaire en dualité sujet-objet par l’oubli du Principal : le ‘Je’ !

ALIÉNATION = OB-CÉDÉ : interdiction du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi. Obstruction des Gate ou Portes par des EX-I-gences fourguant une fausse unité (I) depuis la dualité (V). Ainsi il faut voir l’ENSEMBLE (trinitairement : voir les techniques du Compagnonnage, les asanas [postures] du Yoga… variation du frottement [travail] sans frottement….)
VRAI FEU : A-VISÉ : PAS DE BUT À-TEINDRE (privation de teinture), pas d’opinion, rien ne peut être affecté par la f(r)iction les accidents du spatio-temporel : le Flux de vie du ‘Je’ coule au travers du corps de l’Ici et Maintenant (Ma-in-tenant).
Svetashvatara Upanishad 6, 20 : « Seulement lorsque les hommes seront capables d’enrouler le Ciel comme un parchemin, verra-t-on alors la fin de leurs misères sans qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité [disparition des religions] ».
Même Retournement de la Lumière dans Romains 8, 19-23 : « Car la création en attente aspire à la révélation de fils de Dieu : si elle fut assujettis à la vanité, - non qu’elle l’eût voulu, mais à cause de celui qui l’y a soumise, - c’est avec l’espérance d’être elle aussi libérée de la servitude et de la corruption pour entrer dans la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Nous le savons en effet, toute la création jusqu’à ce jour gémit en travail d’enfantement. Et non pas elle seule : nous-mêmes qui possédons les prémices de l’Esprit [la Conscience infinie], nous gémissons nous aussi intérieurement dans l’attente de la rédemption de notre corps ».

Avec le feu vulgaire : vous croyez que vous êtes le corps, vous voyez l’autre comme étant un corps sexué. Ainsi naît la différence de sexe, et le feu du désir. Mais vous n’êtes pas le corps. Soyez le vrai Soi. Alors il n’y a pas de sexe. (En référence à l’entretien 169 du 24-2-1936 par Ramana Maharshi).
Les pulsions sexuelles cessent quand le sens de la différenciation cesse : « L’autre sexe et la relation à lui ne sont que des concepts mentaux. Dans une Upanishad, il est dit que tous les êtres sont chers parce que le Soi est aimé de tous [dimanas tu kāmāya sarvam priyam bhavati (BAU II.4,5)]. Le bonheur est intérieur ; l’amour ne vient que du Soi. Il est à l’intérieur de chacun ; ne pensez pas qu’il est à l’extérieur : alors toute différenciation cessera ». (Ramana Maharshi, entretien 335 du 1-1-1937).
VOILÀ ENCORE UNE DÉFINITION DE L’ÉNERGIE LIBRE, OU ZÉRO INDIEN (sans frottement)……

Frotter : de freter (maintenir dans des cordes entrelacées, par un grillage ; consolider ; losange losangé ; orné, paré. Une freté, ou ferté, se disait aussi au Moyen-Âge d’une forteresse). Mots commençant par F : Feu, Fendre, Flèche, Fusée, Fonction, Forme, Fiction, Fanion, Froid, Fin et Faim, Froid, Fils, Fuseau et Fil, Fête, Forer, Fissure, Fleuve. Le F transporte sur la plan affectif et du mental, seul responsable des émotions (barre du F plus courte…). Le F renvoie à une VERTICALITÉ, une ASCENSION. F et L (aile) sont ainsi très proches, mais le L déploie une énergie sur le plan horizontal, dans la matière.

Nostre civilisation est celle du FROTTÉ, FRETÉ, DU SUPER-FLU ou SUPER-FLUX ET AUTRES SUPERMAN : LE WINNERISME, LA CRÉATION ARTIFICIELLE DES BESOINS, LE VAIN (qui demande le toujours plus et les Danaïdes : « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE » : la continuelle répétition des mêmes actes et opinions ; mais dans les Danaïdes c’est le DÉSIR inextinguible de l’être humain qui est révélé, son feu constant dévorant tout).
 
 

Dernière mise à jour : 23-01-2021 01:29

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