Le Transperceneige du Covid-Capitalisme
 

Ecrit par Sechy, le 13-04-2021 05:12

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
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Le Transperceneige du Covid-Capitalisme
 
 
La propagation mondiale et du capitalisme et du virus trafiqué SRAS-CoV-2 est désormais comme le symbolique « Transperceneige », ce train-arche de Noé circulant sans arrêt à travers le monde parce que plus personne ne peut sortir du train vu qu’au dehors, il fait moins 80-90 degrés suite à la propagation, non d’un virus, ni du système économique, mais suite à l’épandage mondial dans le ciel d’un produit chimique destiné à refroidir la planète suite à un « réchauffement climatique » anormal évidemment dû à l’industrie et au mode de vie des humains…

Transperceneige = condamné à se faire vacciner, ceux qui ne le font pas sont « gelés » comme s’ils sortaient du train par moins 80 degrés sans aucune protection dans ce monde désormais mortel. Bref, le confinement et les vaccins perpétuels, l’incapacité de l’humain de se passer de ses béquilles, de ses problèmes qu’il se fabrique lui-même, comme son « refroidissement climatique » d’une f(r)iction qui pourrait devenir une illusion (entendre : une « réalité » au sens actuel…).

Le Transperceneige est une nasse en variation du Thème NID : « LE MOT EST COMME LE NID, ET LE SENS EST L’OISEAU » (Mathnawî, Livre deuxième 3292). Rûmî dans son Mathnawî n’écrit pas « l’oiseau est fait pour le nid », mais le nid est fait pour l’oiseau ; dans le Transperceneige ou le covid-19, les moutons ou la marchandise humaine est faite pour le nid ou pour le Transperceneige, la nasse, pour la consommation, pour la matrice : l’opinion politique, religieuse, scientifique ou philosophique imagine un oiseau ou un humain à la convenance de la matrice-nid du capitalisme et de sa république, un moulage à la convenance de la pièce loupée : l’humain toujours au même point mental que quand il s’éclairait à la lampe à huile et se battait avec arc et flèches.
Renoncer à l’opinion du grégarisme, du conventionnel maintenant amplifié par la technologie du tout connecté, c’est renoncer à ce que l’on est ici selon le conventionnel spatio-temporel lui aussi issu du mental comme le répète Ramana Maharshi dans ses entretiens (par exemple : ”L’espace est en vous. Le corps physique se trouve dans l’espace, mais pas vous”, entretien 304 du 26-12-1936).

Dès que l’être humain conçoit un extérieur il engendre du même coup un temps par la dualité du sujet face à l’objet :
« Dirigez donc votre regard vers l’intérieur et il deviendra absolu. Une fois cette conscience absolue réalisée, dirigez votre regard vers l’extérieur et vous découvrirez que l’Univers n’est pas séparé de l’Absolu réalisé.
C’est parce que votre vision est dirigée vers l’extérieur que vous parlez d’un extérieur. Aussi vous conseille-t-on de tourner votre regard à l’intérieur. Cet intérieur est en relation avec l’extérieur que vous avez l’habitude de chercher. En réalité, le Soi n’est ni extérieur ni intérieur.
En parlant des Cieux, on s’imagine qu’ils sont au-dessus ou au-dessous, intérieurs ou extérieurs, car on est habitué à la connaissance relative. On ne cherche que le savoir objectif, d’où ces idées. En fait, il n’y a ni haut, ni bas, ni intérieur, ni extérieur. Si ces notions étaient réelles, elles devraient aussi être présentes pendant le sommeil profond. Car ce qui est réel doit être continu et permanent.
Quand vous dormez, vous sentez-vous à l’intérieur ou à l’extérieur ? Bien sûr que non ». (Ramana Maharshi, entretien 311 du 2-1-1937).

Or en l’absence de sujet percevant il n’y a pas d’objet perçu et donc aucun objet à saisir. « Découvrez celui qui perçoit et vous découvrirez que la création entière est incluse en lui. Pourquoi regarder au-dehors de soi et continuer à expliquer des phénomènes qui sont sans fin ? » (Ramana Maharshi, entretien 388 du 6-4-1937).

- Maharshi : Le temps et l’espace sont fonction de la pensée. Si les pensées ne s’élèvent pas, il n’y a ni Terre ni avenir.
- Question : Mais le temps et l’espace subsistent, même quand nous ne pensons pas à eux.
- Maharshi : Viennent-ils vous dire qu’ils existent ? Les ressentez-vous dans votre sommeil ?
- Question. : Mais je n’étais pas consciente dans mon sommeil.
- Maharshi : Et cependant vous n’en existiez pas moins.
- Question : Je n’étais pas dans mon corps. J’étais partie quelque part et j’ai sauté dedans, juste avant de me réveiller.
- Maharshi : Croire que l’on a quitté le corps pendant le sommeil et qu’on y est rentré au réveil n’est qu’une idée. Où étiez-vous durant le sommeil ? Vous n’étiez que ce que vous êtes, avec cette différence, toutefois, que vous étiez libre de toute pensée.
(Entretien 480 du 22-3-1938).

[En haut de page : aquarelle de Michel Roudakoff]
 
 

Dernière mise à jour : 13-04-2021 05:17

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