Les défenseurs de la « foi » leur démocratie
 

Ecrit par Sechy, le 07-05-2021 21:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Langage, Langue, Liberté, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Messianisme, Mieux, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Numérisation, Occident, Opinion, Orient, Panique, Panoptique, Paradis, Phénix, Pied, Pierre, Poids, Poisson, Porte, Privilège, Puce, Religions, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Virus, Yokaï

 
 
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Les défenseurs de la « foi » leur démocratie
On entend à maintes reprises dans un radio
d’État comme Franceinfo : « notre démocratie »,
comme si c’était la « vraie religion » dans cette
logique infernale du winnerisme à l’anglo-américain,
ou plutôt historiquement à la musulman tel que le
rapporte le Mathnawî dans le Livre cinquième 2912 :
« Ô Untel, écoute, deviens musulman, sois
l’un des véritables croyants ! ».
CROIRE : CONFIER, SE FIER, PRÊT, PENSER, AVALER.
 
Or, le problème c’est justement le
CRÉDIT-CRÉDO-CROYANCE-CRÉANCE-CONFIANCE
et jusqu’aux banques qui autrefois s’appelaient
« marchands de Confiance ».
ON PREND REFUGE DANS LA CROYANCE-CONFIANCE !
MAIS, IL EST CRÉTIN DE « PRENDRE REFUGE EN DIEU »
COMME IL EST CRÉTIN DE PRENDRE REFUGE DANS LA VÉRITÉ,
QUI N’EST PAS UN OBJET DE POSSESSION
ET DONC DE PROTECTION (on ne prend pas refuge ou
on ne fuit pas ce qui EST…).

Pourquoi faudrait-il qu’il y ait un BESOIN (inhérent
à la loi de succion) ?


Être matérialiste et socialiste et nécessairement dans ce Saint Graal de la démocratie au sens actuel, c’est encore CROIRE à une vérité absolue autour de laquelle toute pensée, tout sentiment, toute action, ne font que tourner en rond comme un chèvre autour de son piquet.
Mais quelle religion est la bonne ? En étatisme quel système politique est le bon ? Il y en a des dizaines et en politique encore plus qui toutes se prétendent « vraies » tout en s’excluant l’une l’autre, alors que de toute évidence et par définition, la Vérité est nécessairement unique et indivisible, ce que prétend aussi ceux qui avance leur foi par une « république une et indivisible », ou qui parlent de : « notre démocratie » comme si c’était « la véritable croyance » ; car effectivement il faut s’illusionner fortement pour y croire…

Quelle « vraie religion », quel vrai « isme » politique ?? À supposer que cela existe ? Une religion ou un politisme ne doit pas se présenter comme une religion ou un système particulier parmi d’autres comme une lessive dans les rayons d’un supermarché parmi d'autres lessives, comme un système sentimental, moral et du mental ayant ses particularités propres suivant ses propres tendances.
On ne doit pas pouvoir dire ; « C’est ma religion », ou « C’est la religion de mes pères, la religion de ma race » ; pas plus qu’on ne peut dire : « C’est ma vérité à moi », car une chose est vraie ou pas vraie et le Vrai ne peut en aucune façon être un objet de possession, par la simplicité même que le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu et donc qu’il est possédé par le sens d'un mental humain quelconque.

Les « ismses » ou système religieux et politiques sont décrit clairement par Jean Coulonval dans sa lettre n°49 à Louis Pauwels le 12 avril 1978 :
« L'équerre à centrer. C'est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d'une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d'une barre d'acier plus ou moins cylindrique. En portant l'appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l'ont imaginé, fabriqué. C'est ce que fait le mode de pensée qu'on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l'homme se fait de l'Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel.
Le discours logique qui cherche les essences au travers des accidents opère à la façon de l'équerre à centrer qui ne peut tenir compte de toutes les lignes AB possibles pour la simple raison qu'elles sont en nombre inépuisable, in-défini (ce qu'on appelle à tort l'infini). Pas plus que l'équerre à centrer, il ne peut tenir compte de tous les accidents existants ou possibles dans le spatio-temporel, et en conséquence aucun discours logique (tous les philosophismes sont des discours logiques) ne peut atteindre à la vision de l'Absolu. Il est toujours couillonné. L'Homme ne peut atteindre l'Absolu que si l'Esprit vient lui-même le chercher pour le placer au centre, c'est-à-dire en LUI.




Tous les philosophismes, avec leur miroitement verbal, sont des miroirs à alouettes qui ne sont guère dangereux tant que leurs promoteurs se contentent de pondre des bouquins, mais sont des catastrophes quand ils s'incarnent dans des structures politiques concrètes, dans des « Partis » qui n'existent en tant que tels que parce qu'ils prétendent être détenteurs de la Vérité, du centre de toutes choses, ce qui fait que tous sont des dictatures, des totalitarismes, en acte ou en puissance.
La Vérité, pour l'Homme et pour chaque homme, c'est l'idée qu'il se fait de sa nature d'homme. Et il se trouve que, de même que l'équerre à centrer situe le centre d'une façon subjective, par approximation imaginative, aucune idée de l'Homme acquise par le discours logique, et qu'on appelle « opinion », n'a de valeur scientifique, quoi qu'elle en prétende.
En fait, la connaissance par l'Homme de sa nature humaine ne peut être une science puisque toute science naît d'un dialogue entre un sujet qui étudie et un objet étudié ; et que par ailleurs l'Homme étant ontologiquement, en ses essences, le résumé, la globalité de l'Être et de l'ex-istant, il est de ce fait dans l'impossibilité de se poser comme sujet étudiant d'un « Univers » qui lui serait extérieur. C'est, géométriquement, impossible. C'est pure illusion satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et accidents.

La politique est la science de la gestion des sociétés selon l'idée qu'on se fait de l'Homme (au sens générique). En conséquence, elle implique, de la part de ceux qui exercent le pouvoir politique, la connaissance des essences de l'Homme, de son ontologie. Connaissance qui ne peut s'acquérir à partir des accidents, pas plus que l'équerre à centrer ne peut définir un centre absolu, géométriquement vrai, lequel ne peut absolument pas être une opinion.

L'Absolu, c'est ce que toutes les religions appellent Dieu, l'Être source de tout ex-istant. Ce besoin de perception de l'Absolu régit tous les individus, ceux qui se disent civilisés et ceux qu'on dit sauvages ; mais il est vrai aussi que l'homme a toujours été tenté de rechercher cet absolu au travers des accidents du spatio-temporel et qu'il est difficile d'atteindre la perception pure de « Je suis celui qui est ». Les civilisations se sont toujours construites sur des compromis entre l'Absolu et les perceptions, contingentes et limitées, du spatio-temporel. Le règne de l'opinion en tant que critère de vérité politique n'a pris valeur dogmatique qu'avec la révolution de 89, et le communisme en est la maturation historique en se parant des prédicats de l'Absolu, ce qui en fait une religion à l'envers, comme l'envers d'un cuivre repoussé. Il ne faut pas s'étonner d'entendre dire par ceux qui ont quitté le communisme qu'ils ont perdu la foi.

Le communisme est la dictature aussi radicale que possible d'un philosophisme, d'une idéocratie. Il professe le dogme que les accidents engendrent les essences. C'est une naïveté infantile mais le monde en crève. Il est bien connu que les enfants sont cruels.
Le renversement des rôles entre essences et accidents est la marque infaillible du satanisme. Les constructeurs de systèmes intellectuels, de « ismes », ont bouffé la pomme. Les autorités de l'Église sont aussi en train de la bouffer en réduisant la religion au sentimentalisme social et politique (progressistes), ou au conservatisme des formes rituelles (Lefebvre).
Le discours logique ne vaut que pour juger des accidents entre eux (J'opine pour telle ou telle explication), comme le fait la science expérimentale. Mais il se trouve que la science parvenue à son terme, ayant atteint la suture du physique et du métaphysique, rencontre la logique de l'illogique. Elle en est abasourdie ».

TOUS LES ISMES SONT UNE CROYANCE, UNE LOI DE SUCCION, UN REFUGE POUR TROUVER « LA PAIX » DANS SA PETITE QUIÉTUDE PERSONNELLE COMME ON TROUVE REFUGE DANS SA QUIÉTUDE DU SÉCURITAIRE D’UN « VACCIN » CONTRE UNE MAUVAISE HERBE (le virus à la mode : le virus trafiqué SRAS-CoV-2…) : tout ce qui dérange l’ego de l’humain possédé en loi de succion par ses « affaires » est une « mauvaise herbe », ou un « virus » qu’il lui faut « brûler » comme autrefois les mêmes « ismes » faisaient brûler les « sorcières » ou les hérétiques.
Le socialisme ou sa démocratie est donc ce besoin sécuritaire par loi de succion d’acquisition d’une synthèse, d’une vision en Aleph (1). Or il est déjà en Aleph, équivalent du Soi.


Cela fait un moment qu’il n’y a aucune CRÉATION dans cet Univers.
En effet : si on peut dire : « Rien de nouveau sous le Soleil. Il n’y a de nouveau que ce qui a été oublié », ce qui est une définition de l’inconscient collectif à la Jung et aussi une définition de la Création façon Ancien Testament. Si les Essences sont toujours les mêmes depuis une absence de temps, on ne peut pas écrire comme l’avance Jean Coulonval dans sa même lettre à Pauwels que : « Le monde a été crée en mesure, nombre et poids et c’est vrai pour l’éternité ». car :
« Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936).
Ce que décrit Coulonval dans sa Création est l’inconscient collectif troublé par un mélange de NON-CRÉATION ou DE SINGULARITÉ QUI N’OSE S’EXPRIMER, MAIS QUE HOWARD PHILLIPS LOVECRAFT A EXPRIMÉ DANS TOUTE SON ŒUVRE…

La fin de cette lettre de Coulonval confusionne la Lumière de l’Essence et la lumière de la conscience, et effectivement comme depuis des millénaires l’être humain ne vit que par son mental ou sa raison : IL N’Y A PAS DE CRÉATION CAR L’INCONSCIENT COLLECTIF N’EST PAS UNE CRÉATION, MAIS UN REFUGE SÉCURITAIRE DE STOCKAGE D’INFORMATIONS RECUEILLIES UN PEU PARTOUT DANS L’ESPACE-TEMPS PAR LOI DE SUCCION.
Lumière de l’Essence et lumière de la conscience ou raison résumées dans Le Secret de la Fleur d’Or :
« La Lumière jaillit DANS LA CHAMBRE VIDE » : « Si vous la voyez sous forme de lumière [et donc aussi sous son nom de ”lumière”] et que vous fixiez [que vous saisissez] votre attention là-dessus, vous tombez dans la conscience conceptualisante qui n’est pas la Lumière de l’Essence.
Quand le mental forme une pensée, cette pensée est le mental actuel. Ce mental là est lumière, il est remède [paradoxe]. Lorsqu’on regarde des objets et qu’on les perçoit spontanément tous ensemble, sans discrimination, c’est la Lumière de l’Essence, pareille à un miroir qui reflète tout, SANS INTENTION DE LE FAIRE. Mais il suffit d’un instant de discrimination [de division, de fixation ou de possession] pour que cela devienne la lumière de la conscience [ou raison]. Lorsqu’une image occupe l’espace du miroir, il n’y a plus de réflexion [d’autres images]. Lorsque la conscience occupe l’espace de la lumière, quelle lumière reste-t-il ?
[…]
Tout phénomène est nécessairement attribuable à une cause. La transmission de la lumière est attribuable aux portes et au fenêtres, la lumière elle-même au soleil et à la lune. Lorsque j’emprunte les choses pour me les attribuer, je découvre en fin de compte que « ce n’est pas à moi » (2). Et quand il s’agit de déterminer le « ce n’est pas à moi », qui décide de son attribution, sinon vous ? »

Là est le gros problème et surtout PARADOXE de confusion Lumière de l’Essence et lumière de la conscience conceptualisante qui fait écrire à Coulonval que « Le monde a été créé en mesure, nombre et poids et c’est vrai pour l’éternité ». NON, cette création là n’existe pas encore comme l’exprime le Maharshi à l’entretien 264 à propos du « monde » ou de « tout le monde ».
« Où est ”tout le monde” ? Où est tout le monde ! Il n’y a pas non plus de libération. Elle pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité, il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non plus [alors que les juifs ne jurent que par l’asservissement…].
- Question : Mais pour évoluer à travers les naissances successives, il faut de la pratique, des années d’abhyâsa [pratique assidue, étude].
- Maharshi : L’abhyâsa a pour seul but d’empêcher que la paix intérieure soit troublée. Ce n’est pas une question d’années. Ecartez cette pensée tout de suite. Vous êtes toujours dans votre état naturel, que vous fassiez de l’abhyâsa ou pas.
Une autre personne : Dans ce cas, pourquoi tout le monde ne réalise-il pas le Soi ?
- Maharshi : C’est la même question formulée différemment. Pourquoi posez-vous cette question ? Tant que vous soulevez la question sur l’abhyâsa, cela prouve que vous avez besoin de l’abhyāsa. Alors faites-en.
Ne plus avoir de questions et ne plus éprouver de doutes est l’état naturel.
Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ».

LA NON-SAISIE : comme tout est Conscience, puisqu’il n’y a pas de conscience sans objet ni d’objet sans conscience, et en l’absence de sujet et d’objet il n’y a pas d’opinion possible, qu’elle est alors la réalité de la Conscience seulement ? La réponse ne peut se trouver que dans le « QUI SUIS-JE ? » (le Centrum Centri) laquelle ne peut qu’amener vers le « Je suis ce JE SUIS », autrement dit, vers l’Éveil, ou vers la Vraie Paix, laquelle ne se fabrique pas en gros, mondialement, suite à une chute fictive ou suite à la fiction asservissement [laquelle n’existe pas comme l’exprime le Maharshi cité plus haut : « Vous êtes toujours dans votre état naturel »…] !!!

« La mukti [Libération] est synonyme du Soi. Les termes jivan-mukti (Libération de son vivant) et videha-mukti (Libération à la mort) ne sont que pour les ignorants. Le jnani [le Réalisé] n’est conscient ni de mukti ni de bandha (asservissement). Les notions d’asservissement, de libération et de divers degrés de mukti ne concernent que l’ajnani [l’ignorant] afin de l’aider à se débarrasser de son ignorance. Il n’y a que la mukti et rien d’autre ». (Entretien 266 du 21-10-1936).


Toutes les religions sont des créations du mental : « Elles sont vraies tant que le mental fonctionne. Ce ne sont que des créations mentales. Il n’est possible de postuler l’existence de Dieu qu’une fois que le mental s’est manifesté. Dieu n’est pas différent du Soi. Dieu et le guru sont des réalités objectives du Soi ». (Entretien 433 du 26-12-1937).
Pas de noms-les-formes sans conscience et pas de conscience sans les noms-les-formes, la Vérité de la « Conscience infinie seulement » attend la Vraie Création (faire enfin couler la Fontaine de Jouvence…).



Notes.
1. Aleph : le Point Focal sans espace-temps et donc qui contient tous les points possibles et inimaginables, soit le « lieu » où se trouvent, sans se confondre, tous les lieux de tous les Univers, vus sous tous les angles ; bien-sûr tous les lieux de la Terre sont dans l’Aleph, ainsi que toutes les lumières. NON NON, l’Aleph, ce n’est pas la « conscience collective » mise dans une puce informatique comme le rêvent les transhumanistes des Juifs Google ou l’inconscient collectif de C.G. Jung ! Soit une banque de données d’alphabets de symboles récoltés un peu partout et dont l’exercice suppose un HOTC (Histoire-Opionions-Temps qui Coule) que tous les participants partagent dans ce monde.

2. NE PAS POSSÉDER = ÊTRE DANS L’INSTANT :
La mort de son fils n’affligea nullement le Liangois [habitant du Liang] Wu de la Porte de l’Est.
- L’intendant : Nul au monde n’aime son fils autant que vous aimiez le vôtre. Pourquoi n’êtes-vous pas affligé de sa mort ?
- Wu : Je n’ai plus de fils. Je n’étais pas affligé lorsque je n’avais pas de fils. Mon fils est mort. La situation est identique à celle où je n’avais pas de fils. Pourquoi serais-je affligé ? » (Lie Tseu, Traité du Vide parfait, chapitre Nature et Destin, partie 13).
Alors, pourquoi toute cette infecte propagande sentimentale médiatique récente à propos de la mort d’une personne, peu importe LA POSSESSION DE SON salariat [dans le cas récent : la mort de policiers] !???
Il n’y a pas plus répugnant et fort suspect que la propagande par le sentiment, par les couilles ! Là encore c’est de la saisie, de la possession par l’ego.
 
 

Dernière mise à jour : 07-05-2021 22:28

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