État de droit ou pensée, raison
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2021 00:12

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Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bêtise, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Caverne, Chaos, Chimère, Christ, Commodités, Conflit, Confort, Conscience, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Feu, Foi, Gratuit, Grégaire, Guerre, Haine, Humain, Histoire, Information, Instant, Intelligence, Intérêt, Jardin, Juif, Karma, Laïcité, Langage, Langue, Liberté, Logique, Matrice, Méditation, Mental, Messianisme, Morale, Mort, Mot, Mystère, Narcisse, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Pied, Pierre, Poids, Porte, Pouvoir, Privilège, Putréfaction, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Serpent, Sexuel, Simple, Social, Soi, Souffrance, Souvenir, Spiritualité, TAO, Tautologie, Temps, Transhumanisme, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
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État de droit ou pensée, raison (1)
« Toute pensée est incompatible avec la Réalisation.
L’attitude correcte consiste à exclure toute pensée
de nous-mêmes et toute autre pensée.
La pensée est une chose et la Réalisation
en est une tout autre ». (Ramana Maharshi,
entretien 30 du 4-2-1935).
 
« Pourquoi penser « Je suis ceci » ? Pratiquez
l’investigation [”Qui suis-je ?”] et vos
pensées s’arrêteront. Ce qui est, c’est-à-dire
le Soi, se révélera alors inévitablement ».
(Entretien 41 du 22-3-1935)

On ne tue pas le mental ou raison (6)
comme on ne tue pas l’État qui est aussi NOUS :
tous des rois depuis 1789 : l’État, c’est NOUS,
et non plus ”L’État c’est moi” de Louis XIV.

Cette page est importante tant l’État est
devenu dictatorial surtout visible depuis
l’aliénation de la f(r)iction sanitaire
étatique covid totalement liée au capitalisme
mourant (le Phénix ne peut plus renaitre de
ses cendres, son surfeu ne fonctionne plus).
L’État veut contrôler les gens à travers
la crise covid PARCE QUE LE CAPITALISME ET
SES VALEURS NE FONCTIONNENT PLUS.
Nous sommes alors dans un État d’exception
« sanitaire » du capitalisme et de son régime
républicain, surtout depuis que l’idolâtrie de
la marchandise a absorbé l’État (voir par exemple
les GAFAM, Pfizer et autres LVMH : la valeur
d’échange ou commerce s’est emparé de l’État,
qui de ce fait n’est plus neutre comme il le
rêve en sa laïcité : maintenant le capitalisme
décide ÉTATIQUEMENT puisque le capitalisme
c’est LE MENTAL, L’IDÉATION QUI VAGABONDE DANS
LE MONDE-HÔTEL OÙ L’ARGENT N’A PAS D’ODEUR CAR
IL N’EST PAS RACISTE PUISQUE PAR LE MENTAL QUI
CALCUL IL EST ACCEPTÉ AVEC BONHEUR PARTOUT,
COMME SES MARCHANDISES).
CAPITALISME = LE MENTAL, LA RAISON,
LA VALEUR, LE FÉTICHE.


« J’ai été [Mr. Ramamurti] très impressionné par le dernier chapitre [du livre de Paul Brunton L’Inde secrète] où il dit qu’il est possible d’être conscient sans penser [2]. Je sais que l’on peut penser tout en oubliant l’existence de son corps physique. Mais peut-on penser sans le mental ? Est-il possible d’atteindre un état de conscience qui est au-delà des pensées ?
- Maharshi : Oui. Il n’y a qu’une seule conscience qui subsiste dans les trois états de veille, de rêve et de sommeil profond. Dans le sommeil profond, il n’y a pas de ‘je’. La pensée ‘je’ s’élève au moment de l’éveil, et alors le monde apparaît. Où était ce ‘je’ pendant le sommeil ? Existait-il ou n’existait-il pas ? Il devait bien exister, mais pas de la façon dont vous le ressentez maintenant. Le ‘je’ de l’état de veille n’est que la pensée ‘je’, alors que celui du sommeil profond est le vrai ‘Je’ qui ne cesse pas d’exister. C’est la Conscience. Si vous la connaissez, vous verrez qu’elle est au-delà de toute pensée.
- Question : Pouvons-nous penser sans le mental ?
- Maharshi : Les pensées sont semblables à toutes les autres activités et ne troublent en rien la Conscience suprême.
[…]
En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ». (Entretien 43 du 28 mars 1935).


« En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même », NOUS DISONS QUE C’EST LA DÉFINITION MÊME DE L’ÉTAT, DE SA DÉMOCRATIE ET DE SA RÉPUBLIQUE OU CHOSE PUBLIQUE CONSTITUÉE DE MULTIPLES PENSÉES SOUS FORME DE NOMS-LES-FORMES CORPS (individus ou citoyens, les électeurs ou participants de cet État).
C’est pour Nous la CAUSE PRINCIPALE de l’amplification et de la mode de la RAISON sous l’impulsion principalement en France de l’opinion des riches perruques poudrées au 18è siècle, qu’ils appelèrent pour cause du triomphe du mental : « siècle des lumières », « lumières » ou pensées, calculs, liberté de pensée destinée à mettre un point final, à tuer définitivement le merveilleux, le mystère (qui continuera néanmoins à s’exercer très occultement dans des loges judéo-maçonnique spéculatives), et tuer l’« irrationnel » et la Tradition par le rationnel ou le CALCUL, LE RAISONNEMENT QUI DÈS LORD NE POUVAIT QUE FAVORISER L’AMPLIFICATION DU TEMPS QUI COULE, DE L’OPINION ET DES F(R)ICTIONS OU HISTOIRES (HOTC : Histoire-Opinions-Temps-qui Coule). La raison des « lumières » faisant la place de winner au RAISONNEMENT LOGIQUE ET D’OPINIONS ET AU POUR-VOIR (sens de tout contrôler, tout sous Big Brother ou « RAISON D’ÉTAT » SURVEILLANT LA SURVENUE POSSIBLE D’UN ATTENTAT CONTRE SA PROPRE VIE OU PROPRE POUR-VOIR : Nous sommes actuellement en plein dedans depuis l’époque du 11-09-2001 jusqu’au Covid et son alphabet grec avec symptômes cinq : mal de tête, de gorge, nez qui coule, fièvre et toux).

Ainsi la seule mort de l’État possible, puisqu’il est composé de Nous, la république, les êtres qui pensent avec leur « raison », est identique à ce qu’explique le Maharshi à l’entretien 43 cité au-dessus de l’encadré : La mort de l’État signifie la même chose que le mental ne peut pas se tuer lui-même. Comme le dit le Maharshi à l’entretien 146 du 26-1-1936 :
« Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental [et donc de l’État]. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental ».
Cherchez ce qu’est le mental ou ce qu’est l’État qui réunit un ensemble de mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental, et par conséquence pas d’État. SANS RAISON, PAS D’ÉTAT DE DROIT (1), PAS DE CALCUL, PAS DE CAPITALISME.

L’État est comme une FAUSSE TAUTOLOGIE, UNE CHOSE QUI SE VOUDRAIT DÉJÀ LÀ NATURELLEMENT, MAIS QUI N’A PAS LA FORME QUE L’ÉTAT A PRISE DEPUIS LE DÉBUT DU NÉOLITHIQUE, DE LA VOIE DE L’AGRICULTURE ET DE L’URBAIN ET DE DOMESTICATION DES ANIMAUX DE FERME. Car l’État fut comme un BUT À ATTEINDRE, UNE ORGANISATION, alors il aura nécessairement une naissance et une mort : « S’il y a un but à atteindre, ce but ne peut pas être permanent [comme le corps, comme l’organisation qui ne peuvent être permanents. L’Être doit déjà être présent, comme si l’État, obligatoirement contraint à naître, devait exister de toute éternité]. Nous cherchons à atteindre le but avec l’ego [les ego constituant l’État ou la république], mais le but existe avant l’ego [c’est Nous qui soulignons]. Ce qui est dans le but est antérieur même à notre naissance, c’est-à-dire à la naissance de l’ego [ce qui naturellement ne peut pas être le cas de l’État de Droit constitué d’ego et de mental (1)]. C’est parce que nous existons que l’ego semble exister aussi [un définition possible du mot social].
Si nous considérons le Soi comme étant l’ego, nous devenons l’ego ; si nous le considérons comme étant le mental, nous devenons le mental et si nous le considérons comme étant le corps, nous devenons le corps. C’est la pensée qui construit des enveloppes de tant de façons différentes.
L’ombre sur l’eau tremble. Quelqu’un peut-il arrêter le tremblement de l’ombre ? Si elle s’arrêtait de trembler, on ne discernerait plus l’eau mais seulement la lumière [allusion au doigt qui montre la lune (3)]. De même, ne tenez pas compte de l’ego et de ses activités et voyez uniquement la lumière derrière lui. L’ego est la pensée ‘je’. Le vrai ‘Je’ est le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).

À CAUSE DES PENSÉES OU DE LA RAISON, NOUS NE CONNAISSONS PAS NOTRE SOI, dit le Maharshi à l’entretien 146, et : « C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ? »

Même phénomène que pour se débarrasser de l’État : « Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
- Maharshi : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même [comme l’État ne peut pas se tuer lui-même, puisqu’il est composé de Nous, forme de République ; tout le monde est devenu le roi et sa charge n’est plus héréditaire]. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part. Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental ».

Alors, où est l’État ? À quoi sert-il ? Comme le précise le Maharshi pour le mental inexistant, ce qui signifie que les gens n’adhèrent plus à ce mode du mental inexistant, à cette raison inexistante, comportement qui n’a pas lieu d’exister lié à l’État, au politisme et à son social de son « vivre ensemble » de société devenant société fourmilière. Politisme = tyrannie de l’opinion par la démocratie construite sur l’ego, la raison et donc sur les conflits d’intérêts qui engendrent des frustrations à cause de ses limites par les intérêts. La démocratie en son état actuel est ainsi UN POUVOIR ET COMME TOUS POUVOIRS UN CANCER. Quant au « social » il se résume à ce que au minimum deux humains soient de même opinion pour former UN CONTRAT, UN ACCORD, UNE CONVENTION ; c’est dire la fragilité de ce contrat ! Quant au politisme étatique il ne peut qu’être dictatorial ; si ce n’était pas le cas, il n’existerait aucune loi !…. S’il n’y a pas de société humaine ou de noms-les-formes sans pouvoir, cela veut dire que la vacuité est opérante-aspirante au plus haut point, rejoignant la shakti…. Et par là même cela rejoint le « QUI SUIS-JE ? » lui aussi lié à un éventuel pouvoir si le questionnement du « Royaume des Cieux est en Vous » n’est pas absolu, et au minimum réalisé dans un PAS, PIED, foulé sur le Sentier du Retournement de la Lumière. Tout pouvoir ou pour-voir = saisie, a-voir (privation de voir et contraire de pouvoir…) ; saisie = contraire de la vacuité, comme d’ailleurs « possible », et « impossible » eux aussi saisie (une non-action est encore une action : celle de ne rien faire comme action).

C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur [par conséquent la raison fourguée à toutes sauces des heures du jour et de la nuit par l’État de droit (1) depuis 1789 en France]. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
- Question : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
- Maharshi : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part. Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.

Le pire, des « lumières » du 18è siècle et jusqu’à celles de l’informatique actuelle, c’est que Nous sommes plein pot à l’âge sombre : KALI-YUGA !!! Mais ce sombre âge sera détruit et remplacé une ère nouvelle régénérée : C’EST POURQUOI, D’UNE CERTAINE MANIÈRE, NOUS POUVONS BÉNIR TOUTES LES HORREURS ET SALOPERIES DE CET ÂGE SOMBRE ACTUEL, DE SON ÉTATISME RÉPUBLICAIN, PUISQUE C’EST PRÉCISÉMENT CES ÂGES SOMBRES QUI SONT SEULS CAPABLES DE DÉTRUIRE LE FEU QUI LES ALIMENTE, PAR UN SURFEU SANS FLAMME NI FUMÉE NI CENDRE, PORTANT À SON CŒUR MÊME LA VACUITÉ DE SON ÊTRETÉ, QUAND SA PUISSANCE SE RETOURNE CONTRE LUI-MÊME (cet âge sombre). Sa destruction suivie de sa régénération apportera la preuve absolue de son existence éternelle, existence TRANSMUTÉE (au sens alchimique du métal Plomb changé en métal Or, et qui reste Métal).
Ainsi dans l’âge du Kali-Yuga actuel les équilibres devenus tellement précaires et les conditions humaines devenues d’une infinie variété, les « libertés » encouragées par le délabrement de l’oubli du Soi et de toutes traditions font, que le temps de la Synthèse et du Temps Nouveau, comme le titre Jean Coulonval dans son unique livre recueil de 52 lettres, EST INDISCUTABLEMENT ARRIVÉ.


Pas d’État ni de sa raison parce que l’état naturel ou originel et éternel de l’être humain EST SANS PENSÉE (entretien 376 du 21-3-1937). Sans pensée ou SANS RAISON.
Du même entretien : « La vie de tous les jours n’est pas distincte de l’état éternel. Tant qu’on s’imagine que la vie quotidienne est différente de la vie spirituelle [coupure du temporel et du spirituel par laïcité : division « société civile et société religieuse », l’État, qui pourtant est LA PENSÉE OU LA RAISON MÊME, croit être neutre, comme Dieu….], ces difficultés apparaissent. Si la vie spirituelle est comprise correctement, on découvre que la vie active n’est pas différente d’elle.
Le mental peut-il être atteint par le mental le recherchant comme un objet [de cette société de consommation et de raison !] ? La source des fonctions mentales doit être cherchée et trouvée. C’est elle la Réalité.
On n’arrive pas à connaître le Soi à cause de l’interférence des pensées. Le Soi n’est réalisé que lorsque les pensées disparaissent.
[…]
- Question : Le monde visible (drishya) est-il réel (satya) ? ».
- Maharshi : Il est aussi vrai que celui qui le voit (drashtâ). Sujet, objet et perception forment la triade (tripûti). Il y a une réalité au-delà de ces trois éléments. Eux apparaissent et disparaissent, tandis que la Vérité est éternelle ».

Nous allons aller jusqu’à affirmer ici que le prolongement des « lumières » du 18è siècle passe non seulement par la « raison » et par l’invention de l’ordinateur, mais inévitablement et logiquement par le transhumanisme qui veut « augmenter », comme les
« lumières », l’homme et par là-même sa raison ou ses facultés de calculer ou de penser et d’aller et de venir, et que la thérapie génique à ARNm du covidisme et de ses frères ou sœurs en alphabet grec est une amplification de l’humain jusqu’à le transformer en MACHINE DANS LES ROUAGES DE LA MACHINE (4).
Depuis la f(r)iction du COVID-19 L’HOMO RELIGIOSUS NE SE CACHE PLUS DERRIÈRE SA LAÏCITÉ, IL EST DE PLUS EN PLUS UN CROYANT QUI IMPOSE AUX MÉCRÉANTS SA CROYANCE EN SA CHIMIE CAPITALISTE DES PFIZER-BIG-PHARMA, ET IMPOSE « D’AVOIR CONFIANCE » (encore une possession !).

« Il y a tellement de théories scripturaires et scientifiques. Ont-elles abouti à quoi que ce soit de définitif ? Elles ne le peuvent pas. On dit que le brahman est plus subtil que le plus subtil et plus vaste que le plus vaste. Un anu est un atome infinitésimal. Il prend fin dans la perception subtile.
Cette subtilité procède du mental, le sûkshma ou corps subtil. Au-delà du mental, il y a le Soi. Les plus grandes choses ne sont aussi que des conceptions, et les conceptions relèvent du mental ; au-delà du mental, il y a le Soi. Ainsi, le Soi est plus subtil que le plus subtil » (Ramana Maharshi, entretien 388 du 6-4-1937).

Comme la soi-disant Création, le Temps n’existe que s’il y a quelqu’un pour l’observer, comme les visions n’existent que s’il a quelqu’un pour les engendrer, de même la Création n’existe que si elle est perçue par quelqu’un, idem pour l’enfer et le paradis ; l’objet implique l’existence d’un sujet. « Il n’y a pas d’objet sans le sujet. Autrement dit, les objets ne viennent pas vers vous pour vous dire qu’ils existent ; c’est vous qui dites que les objets existent. Les objets sont donc ce que celui qui les voit en fait. Ils n’ont pas d’existence indépendante du sujet.
Découvrez ce que vous êtes et vous comprendrez ce qu’est le monde. Voilà l’objectif des théories ». (Entretien 387 du 6-4-1937).


La seule Conscience qui subsiste dans les trois états de veille, de rêve et de sommeil profond, Nous l’appelons Eaux primordiales ou Saint Chaos.

Dans l’état actuel, dire à quelqu’un qu’on peut se passer de l’État, il vous prend pour un fou ou pour un suspect anarchiste, car l’État-Dieu est la pensée, la raison même comme le révèrent les « lumières » du 18è siècle français.
Or « La concentration », c’est ne pas penser à quoi que ce soit. D’autre part, c’est chasser toutes les pensées qui nous cachent la vision de notre véritable nature. Tous nos efforts ne visent qu’à soulever le voile de l’ignorance [voile : sens des mots rideaux et paradis]. Dans l’état actuel, il semble difficile de dompter les pensées. Mais dans l’état de renaissance spirituelle [annoncé par Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux], on trouvera, au contraire, qu’il est plus difficile de les susciter. Car y a-t-il des choses à penser ? Il n’y a que le Soi. Les pensées ne peuvent fonctionner que s’il y a des objets [de la société de consommation et de ses consommateurs et de leur raison qui calcule]. Mais comme il n’y a pas d’objets, comment les pensées peuvent-elles s’élever ?
La force de l’habitude nous pousse à croire qu’il est difficile de cesser de penser. Quand cette erreur est découverte, personne ne serait assez stupide pour s’efforcer à penser inutilement. (Ramana Maharshi, entretien 398 du 14-4-1937).

« Mais le monde n’est pas un simple mot, il est un fait. La réponse est que le monde est une surimposition sur l’unique Réalité, telle une corde enroulée, qui, dans la pénombre, est prise pour un serpent. Mais là aussi, la fausse identification cesse dès qu’on nous révèle qu’il s’agit d’une corde. Tandis que le monde persiste, même quand on sait qu’il est irréel. À quoi cela tient-il ?
Prenez l’exemple d’un mirage. L’apparence de l’eau trompeuse persiste, même quand le mirage est reconnu comme tel. Il en est ainsi avec le monde. Bien que l’on sache qu’il est irréel, il continue à se manifester. Mais personne ne se met à la recherche de l’eau d’un mirage pour s’en désaltérer.
Aussitôt qu’on sait qu’il s’agit d’un mirage, on reconnaît l’inutilité de l’atteindre pour se procurer son eau [rejoint le doigt que montre la lune (3)] ». (Entretien 399 du 15-4-1937).


Pareil pour l’État : tel un mirage, quand on reconnait son inutilité et les ravages par ses guerres qu’il a commit depuis des millénaires, on reconnait son inutilité pour se passer de lui et puiser son eau et couper du bois soi-même : pas besoin de spécialistes ou de prêtres réparateurs style « peuple élu ».
Le contraire de l’État et de sa raison est la connaissance contemplative née du recueillement profond de réaliser la vacuité en dissolvant les objets de la pensée du principe du vagabondage ou pensée successive en séquences de petits bouts de machines ou idéations. Ainsi il n’y a plus de saisie ou d’attachement ni de croyance au ‘moi’ et aux possessions du ‘moi’ comme les opinions ou domaines de la conscience conceptualisante, la raison et des noms-les-formes.
Et comme par cette raison Nous sommes plein pot dans la logique, la dialectique historique et tyrannie de l’opinion, « En quoi la logique ou les polémiques peuvent-elles être utiles ? Les gatha-patha (exemples favoris des logiciens du pot et de l’étoffe (5) peuvent-ils vous sauver lorsqu’un malheur survient ? Pourquoi alors perdre votre temps à penser à ce genre de choses et à en discuter ? Arrêtez de faire fonctionner vos organes vocaux et de les fatiguer. Pensez aux Pieds du Seigneur et buvez le nectar ! (Stance 6, de Shivânanda-lahari, qui traitent de la dévotion, bhakti) ». (Entretien 428 du 15-12-1937).


La raison inhérente à l’État cultives les vues tordues des voies du dehors et des opinions à n’en plus finir. Or le contraire de l’État n’est plus la croyance aux mots (politisme et propagande médiatique) qui tissent des actes dont le citoyenisé subira les effets. Délivré de l’État et de la croyance au ‘moi’ et aux mots, le Libéré vivant délivré de l’État le voici dans la vacuité de l’inconditionné où naissance, durée et cessation n’ont point de réalité. L’irréel ne naît point et ce qui ne naît point ne dure pas. Ce qui dure ne cesse pas pendant qu’il dure : aucune cessation ; les phénomènes existants sont vides. La conscience de ces états subtils est vide à son tour, rien ne se coagule au niveau de leur essence ET TOUT RESTE SANS POINT D’APPUI, SANS RÉFÉRENCE OU IDENTIFICATION (toute référence étannt encore une possession, une opinion).

Il n’y a pas de sujet sans objet, et à ce hui, ET LE SUJET ET L’OBJET DEVENUS VIRTUELS S’ESTOMPENT DE PLUS EN PLUS : la folie de l’argent et de la valeur ayant fabriquée les voleurs, les banques renforcent leurs sécurités en vous obligeant d’acheter un smartphone pour « sécuriser » vos « achats en lignes », comme si dans l’ADN du consommateur il était naturel de posséder un smartphone comme on apprend à marcher sur ses deux jambes avec l’aide de ses parents, ou comme on se fait vacciner : tout dans le virtuel ; je ne sais plus qui je suis, si je suis un code SMS envoyé sur le smartphone ou devant le relever sur mon courriel, puis le copier-coller sur le site de la banque, avec le tout chiffré tout numérique tout calcul tout raison, le QUI-SUIS JE ? S’INVERSE DE PLUS EN PLUS PAR RAPPORT AU VRAI « QUI SUIS-JE ? ». Le chiffre-chiffrement et raison-pensée est en train de tuer l’humain, ce qui doit faire jubiler les transhumanistes ! Bientôt il faut passer par une grande école genre Polytechnique ou par Les Mines pour savoir acheter un objet sur Amazon ou sur d’autres sites marchands.

L’État étant devenu SPÉCIALISTE (république ou « tous le roi » en contradiction avec que chacun citoyenisé défend comme son âme sa vie privé) empêche chacun d’être dans l’Éternellement Instant au sens de la Réalisation, qui désigne bien le ROI, le Vrai, au sens du CORPS ABSOLU DE L’AINSITÉ, LE EST : SANS COMMENCEMENT ET SANS FIN, ET INSUBSTANTIELLE ET NON SUJET AU CHANGEMENT (singé par le politisme républicain et mercantile et transhumaniste des « Plus ça change et plus c’est la même chose » de ces éternalistes commerçants).


L’être humain qui a amplifié sa raison est devenu un ALIÉNÉ : sa conscience calculant qui a pondu l’ordinateur est uniquement SÉPARATIVE, EN DUALITÉ SUJET-OBJET alors il subit les conséquences de sa raison. Il a perdu les qualités de L’HOMME ORIGINEL pour chuter dans une palanquée de maladies qui lui sont propres : guerres, génocides, destructions en évolutionnisme, exploitation et possession de tout et de tous. Cet humain et sa raison est pire qu’une bête sauvage, qui elle, est dans le VRAI PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME ORIGINE.
 
 
[En haut de page : Homme Sauvage, façade de la Maison de l’Homme des Bois, à Thiers en Auvergne. Cheveux longs, mal peignés et barbe, cet humain représente le non-mental, le non-État ; il représente surtout le mépris de ce mental et de ses frivolités ou f(r)ictions de ce monde républicain qui se croit « libre » et donc « civilisé-smartphone » ; il domine de haut les autres humains et leur « raison des lumières » comme il domine l’amas de pierres des constructions de l’urbain citoyenisé qu’il foule aux pieds. C’EST LA REPRÉSENTATION MÊME DU RÉALISÉ VIVANT, L’HOMME DES BOIS OU SYLVESTRE (étymologie de sauvage). Dans la Taoïcité le Réalisé est représenté comme un idiot, UNE SINGULARITÉ, un arriéré, un sauvage, quelqu’un qui n’a plus « sa raison ». Présentement sont aliénés tous ceux qui ne sont pas conforme à la norme construite conventionnellement par le dehors, par le mental du social, tous ceux qui refusent la réalité de ce mental-social. IL Y A INVERSION D’ALIÉNATION….


Notes.
1. ÉTAT DE DROIT (d’après le juriste et psychiatre Pierre Legendre) : fondé sur le principe de la « raison », donc sur la France des gens riches qui se voulaient « philosophes » (penseurs) : les « lumières », et la France de Pasteur, selon la leçon du Prof. Macron.
Pierre Legendre, dans Le crime du caporal Lortie : « Je dirais, c’est une construction culturelle [?] d’une image fondatrice [inconscient collectif ?], grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité [c’est-à-dire que si deux individus sont d’une même opinion, ils fondent déjà une société, UNE CONVENTION] », « c’est-à-dire l’attitude de l’IMAGE, DE L’ILLUSION devant le questionnement humain sur la causalité ».
Pour Legendre cette construction du mental produit un « certain type d’institutions, une politique de la causalité [donc de la pure dualité guerrière ou d’opinion], dont procède ce montage de l’interdit [donc nécessairement de la LIMITATION PAR FRUSTRATION ET DE LA SOUMISSION] que nous appelons en Occident l’État et le Droit ».

« Selon cette perspective, le système institutionnel, porté par l’image fondatrice [causale genre Big Bang ou la Cause, la convention, LE CONTRAT, L’AGRÉGAT ou le faire comme tout le monde], a pour fonction de transmettre la Raison [la pensée si mortifère et paradoxalement utilitaire… sens d’outil…], d’inscrire la reproduction humaine dans ses rapports de causalité, de perpétuer l’interdit [l’inceste et le cannibalisme principalement], à travers les générations [donc en réseau…]. Ainsi une société n’est-elle pas un bétail d’individus comptabilisables [là, ERREUR MONUMENTAL de Legendre puisque nous sommes tous devenus des marchandises numérisables], mais dans le principe une composition historique [causisme et Histoire-Opinions-Temps] de sujets différenciés [non résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif]. De la sorte, nous naissons tous présumés raisonnables. Cette condition impose à la folie statut de décomposition, soit, en termes de tradition européenne, statut de maladie de l’esprit [seulement point de vue de Legendre et non certitude]. À proprement parler, l’esprit se défait (de-mentia) ».
Nous retrouvons là le même principe de construction de grumeaux selon les deux Anglais qui s’harmonisent pour former en premier, un match de football, et en second, avec un troisième Anglais, former pourquoi pas un Empire. PREUVE DE LA FRAGILITÉ EXTRÊME DE L’ESPÈCE HUMAINE. Ainsi, dans un système étatique, pas de différence entre une « démocratie » à l’occidentale et « État de droit » et le régime stalinien, hitlérien ou maoïste, ou de Mussolini, ce n’est QU’UNE QUESTION DE DEGRÉ…

Page 51 du livre de Legendre cité, il considère en note de bas de page UNIQUEMENT LE CORPS, LE SPATIO-TEMPOREL, L’EGO ou POSSESSION : « Dans cette perspective [celle du politisme lié à l’étatisme], il s’agit de notifier qu’aucun humain, en tant que sujet de la parole [donc seulement du mental et des cinq sens], n’a le pouvoir de se soustraire à son statut dans l’espèce »…. Encore la croyance, croyance… Et « Circulez ya rien à voir », c’est le ravage du fixisme, le ravage du langage sonore tout simplement. Legendre ne jure que par la causalité : « la Loi des lois », donc ce qu’il appelle comme les perruques poudrées : « la raison », le mental killer. Il associe ce mental à un PATRIARCAT, une paternité qui « institue la Raison des fils [sens du droit romain] ». Par contre Pierre Legendre reconnaît parfaitement en page 53 que « les sociétés techno-scientifiques sont prisonnières d’un engrenage [l’évolutionnisme] : des accès aveugles de moralisation [et de sentimentalisme en isme] et de répression, entrecroisés dans le discours gestionnaire du sujet libre ».

2. Être actif sans dualité trinitaire ou tripûti (triade) connaisseur-connu-connaissance, mais triade non-différenciée : shuddha-tripûti ou triade pure provenant de la recherche du Soi (entretien 303 du 25-12-1936).
« Abandonnez l’état libre de pensées à son propre sort. Ne pensez pas qu’il vous appartient.
Tout comme lorsque vous marchez, et qu’involontairement vous faites des pas, procédez ainsi dans vos actions. L’état sans pensées n’est pas affecté par vos actions », confirme le Maharshi dans l’entretien 146 déjà cité.

3. LE CONTRAIRE du « Je suis CE JE SUIS » = le doigt qui montre la lune :
« Les habitudes acquises depuis l’absence de commencement
Forment comme des reflets dans le miroir du mental.
Pour qui peut s’y regarder selon le Réel,
Les objets perdent toutes leurs caractéristiques.

De même que le sot regarde le doigt
Qui désigne la lune et non la lune [que le doigt montre] ;
De même ceux qui s’attachent à mes paroles
Ne voient pas ma Vraie Réalité.

La conscience [conceptualisante ou raison] est comparable à un grand danseur,
Le mental est son assistant et son maquilleur,
Les cinq consciences sensorielles les accompagnent,
Et dans la conscience mentale [la raison] s’incarnent les spectateurs.
(Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité).

CONTRAT SOCIAL : tout le monde regarde le doigt qui montre la lune :
phénomène de celui qui regarde le doigt au lieu de regarder la lune que le doigt montre : le doigt ou extérieur, c’est là croire au nouveau mot de Novlangue qui ne veut absolument rien dire, donc qui est aussi trompeur que de regarder un doigt qui ne renseigne en rien sur la lune ; le doigt et la lune constituant la dualité sujet-objet, l’objet étant la lune.

Les banques, ce sont le DOIGT ; L’ARGENT ou la VALEUR, c’est la Lune.

Les banques, le doigt, les mots/maux, l’objet, sont séparés du Seul Réel : la lune (dans la traditionnelle dualité doigt-lune).
Dans cette même dualité doigt-lune on entend partout le « Protégez-vous, vous et vos proches », identique à « En portant un masque vous vous protégez et vous protégez les autres », DONC DUALITÉ DEDANS-DEHORS, LAQUELLE N’EXISTE PAS PUISQUE TOUT EST DANS TOUT !!!
DUALITÉ DEDANS-DEHORS = SAISIE OU LOI DE SUCCION
Le doigt qui montre la lune = faire CROIRE-CONFIANCE, comme les Marchands de confiance (ancien nom des banquiers).

Le doigt et la lune (que montre le doigt), ce qui engendre une pensée ou possession par les sens (la lune montrée), ce qui engendre la dualité sujet et objet ou le dedans et dehors ; désigner la chose du doigt : alors les sots refusent d’admettre que la lune soit visible, ils préfèrent regarder le doigt qui montra la lune plutôt que le DIRECT : la lune elle-même, LA VÉRITÉ elle-même.
Regarder le doigt est l’équivalent de LA CONSTRUCTION DE LA VÉRITÉ OU « ÉTABLISSEMENT DES FAITS », ÉTABLISSEMENT DES PREUVES, FABRIQUER L’HISTOIRE OU L’HOTC.
Ici la lune est le ‘Je’ ou Soi, la Singularité, le Seul Réel qui ne se montre pas, qui ne se saisie pas comme le Centre est nulle part.
Shakespeare écrivait que « Les choses sont faites du même tissu que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes », actuellement les songes, ce sont les ordinateurs et le cinéma et leur virtuel qui enferment l’individu hyper découpé en suites de zéros et de uns… Le citoyen est réduit à une « information », dont seul l’ordinateur, l’information du dehors, l'intelligence artificielle fait vérité ! L’illusion même du monde est abandonné au profit du ‘moi’, un ‘moi' d’ordinateur et donc de Dehors, un ‘moi’ de tout connecté technologique singerie du social devenu virtuel. Les informations du tout connecté effaceront le Seul Réel du ‘Je’ : le souvenir du numérique remplace le souvenir du spatio-temporel : mieux vaut donc des data centers certains à la place d’une vie incertaine ou non sécurisée !…

4. « L'utilisation d'ARNm dans un vaccin peut induire des altérations génétiques qui peuvent être transmises à la descendance par les spermatozoïdes affectés, mais son utilisation, en particulier chez la femme enceinte, pourrait produire une mutagenèse des cellules en croissance du fœtus, altérant la différenciation inhérente à la formation de organes en développement. Jusqu'à présent, les vaccins à ARNm n'ont jamais été utilisés en clinique, de sorte que ces allégations n'ont pas été testées de manière fiable en clinique. De nombreux chercheurs indépendants soulèvent la question de la similitude élevée et du fait qu'un tel matériel génétique finira par faire partie de nos chromosomes ». La suite sur le site My essential news.

5. On voit le pot et on oublie l’argile dont il est fait, on voit l’étoffe et on oublie le fil, ou on voit le couteau et on oublie et le manche et la lame quand on l’utilise.

6. Ainsité
Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, le « JE SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais.

AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».
 
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Dernière mise à jour : 10-07-2021 01:28

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