Le désir-objet par loi de succion relève de l’hallucination
comme celui qui regarde le doigt qui montre la lune au lieu
de regarder directement la lune. De même ceux qui s’attachent
aux paroles ne peuvent voir la Réalité. C’est d’ailleurs
pourquoi le Silence est le pire ennemi du politiste et de
sa politique en régime républicain et capitaliste qui a
besoin de la raison où s’incarnent les spectateurs.
La dualité acteurs-spectateurs engendre
LE TEMPS, COMME LE CAPITALISME INVENTERA LE
SALARIAT : GESTION DU TEMPS DE TRAVAIL.
ET QUI MET EN VALEUR LE TEMPS ET EN CONSÉQUENCE
DEPUIS LE SALARIAT : LE TEMPS DE TRAVAIL (les Juifs et leur
capitalisme vendent et le temps et le travail).
Page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et
l’argent : CE SONT LES JUIFS : ILS « R(V)ENDENT DES SERVICES » :
« L’humanité a désormais [grâce à l’évolutionnisme] un objectif :
dépasser sa faute. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre :
mettre en valeur le temps » (et en conséquence la valeur d’échange ou TROC).
Le mot MARCHÉ a le même sens de mise en valeur du temps : SE MONTRER,
VENDRE ET SE VENDRE SUR LE MARCHÉ DU SALARIAT (et sa dualité
patrons-salariés ou patrons-collaborateurs). SALAIRE = INDEMNITÉ
(donc « rachat de quelque chose », ou ce qui est attribué ou payé
en réparation d’un dommage ou de la perte de quelque chose ;
la notion d’utilitarisme est au maximum).
Les Hébreux-Juifs se veulent copyright « SALAIRE-INDEMNITÉ »
À EUX SEULS, AFIN DE « RÉPARER » CE QUI A ÉTÉ CASSÉ
(la « chute » du paradis).
Page précédente :
Protéine Spike-Karkati
Page dédiée à la Sainte Aiguille à coudre Karkati (Mont Everest) ou MASSE DU CIEL et au Roi Vikram.
La démone Karkati demanda (au roi des chasseurs du nom de Vikram) :
« Ô roi,
”qu’est-ce qui est un tout en étant un multiple, et dans lequel se fondent des millions d’univers ainsi que les ondulations de l’eau dans un océan ?” (YV III 79). Qu’est-ce qui est pur espace tout en paraissant ne pas l’être ? Qu’est-ce ce qui est moi en toi et toi en moi ? Qu’est-ce qui bouge tout en ne bougeant pas, et reste stationnaire tout en ne le demeurant pas ? Qu’est-ce qui est roc et cependant conscient, et exécute de merveilleux tours de magie dans l’espace vide ? Qu’est-ce qui n’est ni le soleil, ni la lune, ni le feu et pourtant brille éternellement ? […] Qu’est-ce qui tour à tour se manifeste et disparaît, à la façon dont l’arbre tour à tour sort de la graine et sort de l’arbre ? […]
Ô roi, pour te sauver d’une mort certaine, réponds à ces questions. À la lumière de ta sagesse, dissipe en moi ces ténèbres du doute. IL n’est pas sage celui qui, lorsqu’on l’interroge, n’est pas en mesure de trancher à la racine même de l’ignorance et du doute…
Le Ministre (du roi) répondit :
« Toutes ces questions ont trait au Soi suprême. Ce Soi est plus subtil encore que l’espace, puisqu’il est dénué de nom, qu’il échappe à toute description, et que ni le mental ni les sens ne peuvent l’atteindre ou le comprendre. Il est pure Conscience. L’univers tout entier existe au sein de la Conscience qui est de la nature de l’atome, ainsi qu’un arbre existe au sein de la graine ; mais l’univers, lui, existe en tant que conscience et n’existe pas en tant qu’univers. Cette conscience existe parce que telle est l’expérience de tout un chacun, et qu’elle seule est le Soi de toute chose. Puisqu’elle est, tout le reste est ».
« Parce que cette Conscience est hors d’atteinte du mental et des sens, elle donne l’impression d’être un vide ; mais elle peut être comme par la connaissance du Soi, et n’est donc pas un vide. Du fait de l’invisibilité de la Conscience [le Centre qui est nulle part], je suis toi, et tu es moi, mais la Conscience indivisible Elle-même n’est pas plus devenue moi que toi !
Quand on a renoncé aux fausses notions de ‘toi’ et de ‘moi’n surgit la Conscience qu’il n’y a ni ‘toi’, ni ‘moi’, ni rien du tout ; et qu’Elle seule est peut-être toute chose ! Étant infini, le Soi ne bouge pas bien qu’Il soit mouvant [le
« Fixe cavalant »] ; et pourtant, il est à jamais établi en chaque atome de l’existence. Le Soi ne s’en va pas et il ne vient jamais non plus : car le temps et l’espace tiennent leur signification de la Seule Conscience. Où le Soi peut-Il bien s’en aller, quand tout ce qui est, est en Son sein ? Si l’on déplace un pot d’un endroit à un autre, l’espace du dedans ne se meut pas d’un endroit à un autre ;
tout est à jamais dans l’espace [on ne peut pas
« sortir » de l’Univers pour l’étudier, ce qui est géométriquement impossible, mais certains préfèrent le confort d’inventer un
« Big bang »] ».
Le Ministre poursuivit :
« Le Soi, qui est de la nature de la pure Conscience, donne l’impression d’être inerte et insensible quand il est apparemment associé à l’inertie. Dans l’espace infini, cette Conscience infinie a fait apparaître des objets infinis [à l’infini]. Tout cela, qui donne l’impression d’avoir été fait, relève en fait de l’imaginaire, et rien n’a été fait. Le Soi est donc à la fois conscience et inertie [fixation cavalante], celui qui fait et celui qui ne fait pas. […]
Tant qu’on perçoit le bracelet [en or] en tant que bracelet, il n’est pas perçu en tant qu’or. Mais quand on s’aperçoit que bracelet n’est qu’un mot et nullement la Réalité, alors l’Or apparaît [remarque fondamentale…] Semblablement, quand on pense que le monde est réel, on ne voit pas le Soi ; mais quand on renonce à pareille supposition, la Conscience est réalisée. ‘Je’ est le Tout, il est donc réel ; tout est donc réel : tout ce dont on fait l’expérience est irréel.
Ce qui paraît être n’est que tour de passe-passe de maya, laquelle crée une division dans le conscience sujet et objet. C’est ce postulat de division qui crée la diversité depuis Brahmâ, le créateur, jusqu’au plus minuscule insecte. Ainsi qu’en une unique graine les diverses caractéristiques de l’arbre demeurent tout le temps, cette apparente diversité existe tout le temps dans le Soi, mais en tant que conscience [raison] ».
Karkati est ravie des réponses du Ministre mais aimerait entendre le roi.
Le ROI répondit : Tes questions, ô noble Dame, ont trait à l’éternel Brahman qui est pure existence. Ce Brahman est connu quand cesse la triple modification - connue sous les noms de veille, rêve et sommeil profond - et quand le fatras du mental est débarrassé de tout mouvement de pensée. Le déploiement et le retrait de sa manifestation sont généralement considérés comme la création et la dissolution de l’univers. Ce Brahman est exprimé dans le SILENCE quand le connu prend fin, car il est au-delà de toute expression. Il est le milieu extrêmement subtil entre les deux extrêmes ; et ce milieu lui-même a deux aspects. Tous ces univers ne sont que sa projection, un jeu à part, mais conscient. En tant que diversité de cet univers, il donne l’impression d’être divisé en lui-même ; mais, en vrai, il est indivisé ».
RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN :
”
On peut parvenir à ce Soi de mille manières ; pourtant, quand on l’a atteint, rien n’a été atteint ! Il est le Soi suprême ; et pourtant Il n’est Rien” (YV III 81).
L’homme erre dans cette forêt du samsara [l’HOTC] jusqu’à ce que poigne cette sagesse capable de dissiper l’ignorance-racine dans laquelle le monde paraît réel. L’ignorant est attiré par la perception de l’eau du mirage de la même façon qu’il est attiré par l’apparence du monde. Mais, en vérité, c’est l’infinie Conscience qui perçoit l’univers en son sein par le biais de sa propre énergie appelée maya.
Cela qui est vue dedans apparaît également dehors, comme l’hallucination d’un individu fou de désir sexuel.
Le Soi est extrêmement subtil. De la taille d’un atome, il est de la nature essentielle de la pure Conscience, et pourtant il pénètre l’univers tout entier. […] De même qu’une goutte de miel contient toutes les essences subtiles des fleurs, des feuilles et des fruits, l’espace atomique de la Conscience comprend toutes les expériences [ce que les transhumanistes des Juifs Google-Facebook voudraient stocker sur une puce élecro-informatique].
[…]
La faculté de faire et de connaître est immanente à l’atome de l’infinie Conscience. Toutefois, le monde n’a jamais vraiment été créé, et il ne disparaît pas vraiment non plus. Il n’est jugé irréel que du point de vue relatif. Du point de vue absolu, il ne se distingue en rien de l’infinie Conscience.
Le ROI poursuivit :
« Les sages parlent seulement de dedans et de dehors, lesquels ne sont que des mots dénués de substance correspondante : ils s’expriment de la sorte afin d’instruire les ignorants. Celui qui voit, demeurant lui-même invisible, se voit lui-même ; et celui qui voit ne devient jamais un objet de conscience. Celui qui voit n’est que voir et, quand on cessé les impressions psychiques latentes, celui qui voit recouvre son être pur [il est comme
« Cour »] : quand l’objet extérieur est imaginé, un spectateur (un être qui voit) a été créé. S’il n’y a pas de sujet, il n’y a pas d’objet non plus : c’est le fils qui fait de l’homme un « père ». Là encore, c’est le sujet qui devient l’objet. Il n’y a pas d’objet (le fait de voir) sans un sujet (celui qui voit), de même que sans père il n’y a pas de fils [ou sans graine il n’y a pas d’arbre]. Parce que le sujet (celui qui voit) est pure Conscience, il est capable de faire apparaître l’objet. L’inverse est impossible : l’objet ne donne pas naissance au sujet [sauf dans le capitalisme…]. Par conséquent seul celui qui voit est réel,
l’objet relève de l’hallucination : seul l’or est réel, le bracelet est un nom et une forme. Tant que persiste la notion d’objet, la scission entre celui qui voit et ce qui est vu persiste également. Mais,
”de même qu’à cause de la conscience dans le bracelet l’or saisit sa nature, le sujet (celui qui voit) qui se manifeste en tant qu’objet (le vu) réalise la subjectivité (la conscience ou état de veille)” (YV III 81).
L’un est le déni de l’autre : il n’y a pas de véritable dualité. Celui qui voit ne se voit pas lui-même comme il voit l’objet : celui qui voit se voit lui-même en tant qu’objet, et donc ne voit pas
(1). Bien qu’il soit la Réalité, il paraît pourtant irréel
(2). Toutefois, quand survient la connaissance de soi [la Réalisation] et que l’objet cesse d’être, celui qui voit (le sujet) est alors réalisé en tant que seule réalité.
Le sujet existe du fait de l’objet, et l’objet n’est qu’un reflet du sujet. La dualité ne saurait être s’il n’y a pas un, et à quoi bon la notion d’« unité » si seul le Un existe ? Une fois la véritable connaissance ainsi acquise au moyen de l’investigation qui convient [le « Qui suis-je ? »] et de la compréhension juste, seul demeure l’indicible. De cet indicible, on ne peut dire qu’il est singulier ni qu’il est pluriel. Il n’est ni celui qui voit ni ce qui est vu, ni le sujet ni l’objet, ni ceci ni cela. Pas plus l’unité que la diversité ne peuvent constituer le fondement de la vérité, car toute thèse engendre son antithèse [comme la valeur engendre le voleur, les verrous, la police, etc.] […] Toute cette spéculation relative à l’unité et à la diversité ne vise qu’à vaincre la peine et la tristesse [la faute modèle Hébreux-Juifs]. Ce qui est au-delà de tout ceci est la Vérité, le Soi suprême ».
Après avoir écouté le Roi Karkati envahie par la Paix, l’Éveil authentique et parfait, sa nature démoniaque la quitta. Elle voulu aider le Roi.
Le ROI dit : « Ô dame, dans ma cité, nombre d’habitants souffrent de problèmes cardiaques dus aux rhumatismes. Les gens de la campagne subissent aussi une épidémie de choléra. […] Voici de que je vous demande humblement : « Ne tuez aucun de mes sujets ». Karkati accéda sur le champ à la demande du Roi. Le Roi veut alors lui offrir une récompense.
Karkati répondit : « Il n’est arrivé jadis de vouloir faire pénitence dans l’Himalaya et de renoncer au corps. Mais à présent j’ai abandonné cette idée. J’ai été jadis une démone gigantesque. Je souhaitais dévorer les gens et c’est avec cette intention que j’ai fais pénitence ». Etc. jusqu’à son état de transformation en Aiguille à coudre et en virus du Choléra.
Bref, Karkati devint l’amie et le guru du Roi, qui l’invita à séjourner en son palais (tous les soirs, en reprenant sa forme démoniaque, elle fut chargé de dévorer les voleurs et les criminels ; pendant la journée, elle continuait d’être une femme charmante, l’amie et l’invitée du Roi).
Vasistha : « Alors tu te rendras compte qu’il n’est que l’Un, sans commencement ni fin. Mais tant que les mots serviront à exposer une vérité, la dualité est inévitable ; mais cette dualité n’est pas la Vérité
(2). Toutes les divisions sont illusoires ».
La dualité n’est pas la Vérité.
La démocratie est construite sur les conflits d’intérêts par ses valeurs
d’échange (TROC et QUANTITÉ ou PRODUCTIVISME) et est la frustration
même par ses limitations, car l’humain se construit ses opinions ou
échanges comme un carrelage de carreaux noirs et blancs des loges
judéo-maçonniques. Il ne peut y avoir de Paix en démocratie, car il ne
peut y avoir deux êtres humains qui puissent vivre la même série
d’événements, ou vivre le même événement de façon identique. Chaque
humain est dans sa façon de penser, de sentir, un résultat de la vie
corporelle et mentale, de sa vie à lui. Il est fabriqué, moulé dans un
cadre sensible, social et temporel. IL EST CONDITIONNÉ. IL N’EST PAS
LIBRE. Ce qu’il appelle « liberté », ce n’est que le droit (droit de
l’Homme) de rechercher les conditionnements qui l’arrangent le mieux,
dont il jouit le plus (évolutionnisme, capitalisme, le « isme » étatique
l’autorise même à voter), ce qui n’est pas possible sans contredire ce
qui convient à l’autre. Résultat : de perpétuels conflits entre
individus, partis politiques, classes ou nations. Toute notion de VALEUR fabrique
la dualité valeur-médiocrité ou nullité, soit la dualité WINNERS-LOSERS
si présente dans ce monde actuel. Et dans le productivisme du
capitalisme, on peut diviser sans fin un corps indifférencié, anonyme ou
numérisé comme dans les sociétés anonymes (par actions) du capitalisme.
UN CAPITALISME-GUILLOTINE RÉPUBLICAINE : UNE SEULE PENSÉE UNIQUE,
NORMALISÉE, IL COUPE LES TÊTES DISSIDENTES QUI DÉPASSENT ! LE
CAPITALISME TEL UN FAUX SOI RÉCUPÈRE ABSOLUMENT TOUT : NOUS SOMMES SES
OBJETS DANS LA QUANTITÉ ALIÉNANTE, SOCIALISANTE, GRÉGARISANTE (on peut
diviser sans fin un corps indifférencié, dans l’uniformité il n’y a pas
de limite…) ; NOUS SOMMES SES PRISONNIERS ET PAR LA CONSOMMATION
ALIÉNANTE DANS L’INCAPACITÉ DE NOUS POSER LA QUESTION DE : « QU’EST-CE
QUE LA VIE ? ». Aliénation par la chosification capitaliste du TOUT, y
compris bien-sûr l’humain dedans.
La « liberté » est donc l’amplification de l’ego nécessairement
liée à la valeur d’échange sublimé, répandue mondialement ; ce qui ne
peut qu’engendrer un évolutionnisme des conflits, d’où une amplification
de l’étatisme et des lois et d’ingénierie sociale de plus en plus
liberticides, à cause de l’ego qui tente de fonctionner au maximum, mais
qui sera au maximum toujours frustré parce que cela ne pourra qu’être
en contradiction avec ce qui convient à l’autre qui veut lui aussi en
veux toujours plus.
LIBERTÉ = VIBRION DU CHOLÉRA = KARKATI (dans son état négatif).
OUI, OUI, SAINTE AIGUILLE KARKATI-ISIS, parce que grâce à elle, GRÂCE AU
CHOLÉRA (3), GRÂCE À LA CRISE SANITAIRE (ici en 2021 le covid et
peut-être demain une forme de « choléra » ou une pénurie d’eau
potable…), nombre de gens sont amenés MALGRÉ EUX à se poser, enfin, la
question : QU’EST-CE QUE LA VIE ? à défaut d’aborder vraiment le « QUI
SUIS-JE ? ». Question impossible sous le joug mercantile du consommateur
de la « liberté », de la « fraternité » et de « l’égalité » le
packaging du DÉSIR fourgué par le régime capitaliste et républicain.
Le « pass sanitaire » n’existe pas, le vrai « pass » à détruire est
celui du salariat et de l’État et des marchandises-argent de la paroisse
des consommateurs.
Il est clair que Macron a déclaré la guerre au prolétariat (SENS DES
PAYSANS, LES PAÏENS OU NOUS TOUS LES GENS DE LA MAIN VIVE face aux gens
de la main morte dont l’oligarchie étatique des Macron Rothschild et
Cie. EN CRISE. EN CRISE COMME SONT TOUS LES « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS
C’EST LA MÊME CHOSE »).
CHOLÉRA OU COVID OU FORME DE MALADIE GRAVE = INVITATION EXPRESSE À
SORTIR DE LA CRISE DU RÉGIME CAPITALISTE ET DE SON ÉTAT RÉPUBLICAIN POUR
ENTRER DANS CE QU’EXPLIQUE LE ROI DES CHASSEURS, VIKRAM, CITÉ PLUS
HAUT.
KARKATI DÉVORAIT TOUT, COMME LE CAPITALISME,
jusqu’à un moment où elle se pose la question : « Qui va me délivrer de
cette lamentable existence de créature plus infime qu’un vermisseau ?
Faites que je redevienne ascète et refasse pénitence comme par le
passé ».
NOUS Y SOMMES, LE CAPITALISME EST DÉFINITIVEMENT EN TRAIN DE MOURIR.
« Karkati à l’heure actuelle protège toujours les descendants du roi.
Elle était la fille d’un démon qui ressemblait à un crabe (4) », dit
Vasistha, dans L’histoire de Karkati.
Notes.
1. « En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler [à le pointer, à le Pour-Voir ou à l’administrer], cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l‘instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ».
De la même manière, « Chacun connaît le Soi [ou l’Instant], et pourtant ne le connaît pas. Étrange paradoxe ». (Réf.
Ramana Maharshi, entretien 43 du 28-3-1935).
2. Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu, parce que le Seul Réel ne peut qu’être sans double, et ainsi demeure réfractaire à toute entreprise d’identification. Une identification consiste à ramener un terme ou sujet inconnu à un terme ou sujet connu : opération impossible dans le cas du Seul Réel qui est UNIQUE, qui est le SEUL À ÊTRE SEUL :
« un être unilatéral dont le complément en miroir n’existe pas », dit le physicien Ernst Mach, donnant ainsi une définition du Vampire ! Le Seul Réel ne peut qu’être INSOLITE PAR NATURE : IL EST PANique, parce que RIEN N’EST PAREIL D’INSTANT EN INSTANT ou LE COURS ORDINAIRE EST LUI-MÊME NATURELLEMENT EXTRAORDINAIRE EN TANT QUE SOLITAIRE ET SEUL DE SON ESPÈCE.
3. Le choléra touchant principalement les intestins, les viscères chez les anciens Égyptiens étaient chargés de pouvoir magique. Dans les embaumements, les viscères étaient soigneusement extraits du corps du défunt pour être enfermés dans une urne. MÊME POUVOIR QUE L’OR MÉTAL-EXCRÉMENT (puissance biologique qui n’échappe pas à la moindre mouche…. Chez les Bambaras, le même mot veut dire mouche et rouge, or le rouge est la couleur d’ADAM, le PASSÉ… et considéré comme force vitale. De nombreux rites amérindiens font de la charogne, du cadavre putréfié, le creuset ou la matrice placentaire où se régénère la vie. Pour les Indiens Caschinaua (
Kaxinawa), les premiers hommes du monde actuel sont apparus, après un déluge, sous la forme de vers éclos sur les cadavres des géants qui formaient l’humanité précédente).
4. En Inde, le crabe est signe zodiacal du Cancer (solstice d’été). Le crabe est un avatar des forces vitales transcendantes, le plus souvent d’origine chthonienne, mais quelques fois ouranienne ; le crabe rouge de Mélanésie qui révéla la magie aux hommes en est un exemple tandis que le crabe mythique du fond des océans, dont les mouvements déclenchent les tempêtes, est, lui, une figuration typiquement chthonienne qui apparente cet animal à tous les grands cosmophores tels que la tortue, le crocodile, l’éléphant. Le crabe est symbole lunaire. (Réf. Dic. des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant).