Je suis un(e) gender en perte
 

Ecrit par Sechy, le 21-08-2021 21:59

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Tags : Aiguille, Argent, Croyance, Feu, Gender, Guerre, Nostalgie, Peur, Pointe, Raison, Résistance, Silence, Transhumanisme, Vie

 
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Je suis un(e) gender en perte
qui fuit, ou que se croit fluide.
- Je ne suis homme ni femme,
- Je ne suis ni à la fois homme et femme,
- Je ne suis ni né(e) d’une femme ou
- Je ne suis ni né(e) d’un homme,
- Je suis un peu de tout cela en fonction des
circonstances, c’est-à-dire « gender ”fluide” »,
qui fuit ou en perte, comble du « isme ».
Et singerie du « neti neti » (ni ceci ni cela
pour se trouver en présence du Soi ou Christ,
mais Cela ne peut se réaliser qu’en s’attachant
absolument à tout ce qui ne peut être rejeté,
et cela est Iti [l’Ainsité]. Entretien 366).


Bonsoir Mademoiselle, bonsoir Madame, bonsoir Monsieur, bonsoir Gender.
Demain, avec les ARN machin, beaucoup d’hommes seront enceintes !
 
 
Ce PENTALEMME de ce qu’il faut désormais appeler le CONFORMISME DE L’ANTICONFORMISME, peut s’illustrer par une personne qui marche, peu importe sa croyance au genderisme, car le gender qui marche ne prend pas pour objet la marche, alors qu’il prend son gender pour du corps-gender assimilé à de la « liberté » GENDERISÉE ; un COMBLE, puisque pour le gender la « liberté » ce serait le CORPS OU L’EGO OU MENTAL, C’EST LE MÊME OBJET DÉPENDANT DU SUJET DEVENU PUR OBJET-OBJECTIF. L’« homme » genderisé devait se réjouir de prochainement pouvoir être enceinte….

SANS ARRIVÉE NI DÉPART, SANS ALLÉE ET VENUE : IL EST IMPOSSIBLE DE FABRIQUER UN FAIT OU UNE PREUVE D’UN MOUVEMENT OU D’UN GENDERISME À PARTIR DE LA TRIADE : MERCURE-SOUFRE-SEL ; ou PÈRE (Ishavara ou Dieu), FILS (Guru ou Réalisé), et Saint-Esprit (Soi et soi, Christ, le Sel ou Sceller : certifier ou réaliser dans l’Instant), ou suivant l’exemple de la marche la triade Marche-Marcheur-Trajet, toutes ces triades ne se conçoivent pas comme existantes séparément, il y a naturellement CIRCULUS entre elles.

Bref, le gender « fluid » se croit « neutre », le même comble que la possession, par la croyance au corps ‘neutre’, mais corps et de ‘moi’ tout de même, faut pas pousser ! Un ‘moi’ tout de même pour pouvoir opinioner être « gender », sinon, ce nouveau conformisme à la mode ne servirait à rien ou ne serait d’aucune utilité pour le cher utilitarisme anglo-saxon… Car le genderisme est évidement un utilitarisme de plus : se faire voir, non chez les Grecques, mais dans le social… et les réseaux sociaux…

Le genderisme fluide ou solide ne peut qu’être un truc pour se raccrocher à quelque chose, sinon c’est la PANique. Or la Vraie Nature des choses n’a pas de « genre » ou de caractéristique et le gender est bien une CARACTÉRISTIQUE À LA MODE, UN UNIFORME, UN NOUVEAU CONFORMISME : UNE NOUVELLE FAÇON DE SE RE-PRÉSENTER DANS LE SPECTACLE DU SOCIAL, PARMI LES AUTRES (à quoi servirait-il d’être un(e) « gender » dans une forêt profonde tout seul vivant en ermite, ou dans le brousse dans un clan de 6 ou 15 personnes ??)

Pourquoi le gender a-t-il besoin de se caractériser en tant que « gender », « fluid » ou coagulé ? Pour avoir un masque ou une persona supplémentaire ? Un déguisement, un support ou une béquille ?
Bref, le gender n’est pas libre comme son opinion le prétend ; il est lié à son objet « gender », à cette mode. Si le gender est vraiment libéré, son genderisme ou le nom-la-forme « gender » s’évanouit. Encore une fois, la délivrance n’est pas individuelle : le désordre, dont participe nécessairement le gender, fait que ce chaos qui est en tout mon être, du poil jusqu’au cerveau, se nourrit et du genderisme et du chaos, notamment du covidisme, qui est autour de moi. Et ce chaos qui est en moi, nourrit le chaos qui est autour de moi. Le Soi ou Christ, Ptah ou Shiva, transcende seul ce conflit du Moi-Individuel et du Moi-Collectif.


Car le genderisme est DÉPENDANT D’AUTRUI, DU DEHORS, de cette mode étouffante du social et de son « vivre ensemble ». Or le Vrai Libéré ne dépend point d’autrui ou d’un Dehors et par conséquent son opinion de gender ou non est donc intransmissible à un autre, à un Dehors, cette Vraie Libération ne pouvant être atteinte qu’à l’intérieur de soi et nullement en opinionant avec l’autre ou sur son « réseau social » smartphonesque de être gender ceci-cela ou gender « fluid ».

Le genderisme entre dans la logique de la POSSESSION : « votre député, votre santé, votre corps, votre assurante, votre voyante, votre boulanger, votre ceci, votre cela ». La possession ou LOI DE SUCCION POUR TOUS LES APPÉTITS POSSIBLES, DONT POURQUOI PAS LE GENDER ‘FLUID’ EN PROCLAMANT LA SATISFACTION ILLIMITÉE, PARCE QU’AVEC LE GENDER ‘FLUID’ IL S’AGIT BIEN DE CELA, C’EST DANS LA LOGIQUE DU 1789 FRANÇAIS ET DU BOURGEOIS OU CITOYEN QUI VEUT POSSÉDER, LE SEUL MOYEN DÉSORMAIS DE FRATERNITÉ (la consommation, l’échange ou troc, le marché au cnange). Je doute qu’il y ait beaucoup de Paysans « gender fluid » ou coagulé !!! LE GENDER ‘FLUID’ EST NÉCESSAIREMENT UN ANIMAL CITOYEN ET CONSOMMATEUR DES GRANDES SURFACES DES CITÉS BÉTON-VERRE-ACIER-TÔLE-BOULONS-GOUDRON, CES LIEUX DE « COMMUNION » ET DE « FRATERNITÉ » Y COMPRIS AVEC TOUTES SORTES DE VIRUS…..

Le genderisme est dans la logique du judaïsme commerçant, républicain : en 1840, les frères Oppenheim déclaraient ceci : « Vendre une perle que vous avez à quelqu’un qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ; mais vendre une perle que vous n’avez pas à quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui s’appelle faire des affaires ». (Réf. page 451 du livre de Jacques Attali : Les Juifs, le monde et l’argent).
En d’autres mots, ces frères et leurs frères doivent selon leur principe capitaliste ÉDUQUER LES MASSES AU CULTE DE LA CONSOMMATION ; LA PRODUCTION DE MARCHANDISES TOUJOURS CROISSANTE QUI BOUFFE UN MARCHÉ ET DES MASSES POUR LES ÉCOULER. L’American way of life doit créer sans arrêt des besoins matériels fondamentaux, donc créer sans arrêt de nouvelles demandes et le genderisme n’échappe pas à cette règle capitaliste : ces gens comme les autres « non gender » pu « non élu » doivent être convaincus, par des « frères Oppenheim » d’acheter des marchandises dont ils n’ont nullement besoin. Le genderisme est un genre de publicité par laquelle on crée le désir de posséder DE MEILLEURES CHOSES, puisque le genderisme est dans la logique de la dualité winners-losers. Si bien que cette ci-vile-isation et son social : les masses, ne pouvait que donner naissance à UNE SOCIÉTÉ DOMINÉE PAR LES APPARENCES, ET LE GENDER EST UNE APPARENCE WINNER, UNE SOCIÉTÉ DU SPECTACLE. Il est conformiste de dire que le capitalisme a transformé l’Être en « avoir » (le consommateur), la FAMEUSE VALEUR, ET DU RÉGIME, ET DE SA MARCHANDISE LIÉE À SA VALEUR D’ÉCHANGE. ET À CE HUI, CETTE VALEUR EST TOTALEMENT LIÉE À LA POSSESSION, ELLE MÊME SPECTACLE DANS LE GENDERISME QUI SE VEUT COMME UN PRESTIGE OU UN WINNERISME, UNE SUPÉRIORITÉ PAR RAPPORTS AUX AUTRES ; UNE ILLUSION DE LIBERTÉ QUE PEUT LUI CONFÉRER N’IMPORTE QUELLE MARCHANDISE, IDOLÂTRIE DE LA MARCHANDISE OBLIGE.

Le principe des frères Oppenheim est la nécessité quasi vitale maintenant d’un développement économique infini, selon le principe évolutionniste (1), la satisfaction des premiers besoins élémentaires fait place à la fabrication ininterrompue de PSEUDO-BESOINS, comme le principe du langage écrit a construit lui aussi un pseudo-besoin :
David R. Olson dans : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée :
« Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et une distance entre]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier » ; et page 220 : « Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au XVIIè siècle, les signes deviennent des ”modes de représentation” [début de la société du spectacle….]. Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées. Pour représenter de manière fidèle, la langue doit être amenée le plus près possible des mots ».

Mais le principe des frères Oppenheim ayant une naissance a naturellement une fin, et cette fin se fait WINNER dans le sens où elle devient LOSER : LE COVIDISME, LE TERRORISME ET LE RÉCHAUFFISME EN SONT UN DÉBUT DE PREUVE AYANT POUR NOM « GREAT RESET » (Agenda 2030 et autres « reset » ou tabula rasa à la mode 1789 en France et 1917 en Russie ou les MAO en Chine).

Le gender fluide ou coagulé depuis 1789 a le droit de posséder n’importe quoi, donc en premier son corps, pour le fabriquer selon sa CROYANCE comme il choisira la couleur de ses chaussettes en fonction de son humeur. Bref, le conformisme révolutionnaire de l’après 1789 et DANS le mythe démocratie et triomphe de l’ego.
Le possédant et possédé républicain et démocrate de l’après 1789 a donc le droit de posséder n’importe quoi : des êtres humains réduit à leurs organes sexuels ou CORPS gendérisés selon la couleur de leurs humeurs du moment. Le genderisme fait bien la partie de l’égalitarisme inhérent aux époques où le primat social est construit sur l’économique, sur l’argent ; le genderisme ‘fluid’ ou coagulé fait bien la partie de cette mode des SPÉCIALISTES ou EXPERTS, et le gender ‘fluid’ ou coagulé en est une, AUSSI IL NE CONNAÎTRA PAS DE LIMITES SELON LE PRINCIPE DE L’ÉVOLUTIONNISME JUIF (1): ON PEUT DIVISER SANS FIN UN CORPS INDIFFÉRENCIÉ DANS SON CONFORMISME RÉVOLUTIONNAIRE OÙ IL Y A DES SPÉCIALITÉS À L’INFINI : C’EST L’UNIFORMITÉ DES « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE », L’UNIFORMITÉ OU LE CONFORMISME RÉVOLUTIONNAIRE PRÉSENT, LE CONFORMISME DE L’ORDRE ÉTABLI, OU DE L’URBANISATION MONDIALISTE. Il n’y a pas de limite dans la consommation chez le consommateur gender ou non car le capitalisme le programme pour qu’il soit perpétuellement insatisfait, logique du messianisme ou de la carotte pour le faire avancer.

Le gender ’fluid’ ou coagulé n’échappe pas à la règle capitaliste : comme les mâles et les femelles typés, les genders sont également des OBJETS D’ÉCHANGES SUR LES LOIS DU MARCHÉ, et MÊME AUGMENTÉS PAR RAPPORT À LEURS DÉTESTÉS MÂLES ET FEMELLES. Car chez tous ces « spécialistes », la raison tenant lieu de pure croyance, puisque dans un État de droit, seul le calcul et donc le plaisir leur sert de moteur pour survivre ; et ce calcul en évolutionnisme juif ne saurait imposer aucune limite à la poursuite du plaisir, ni à la satisfaction immédiate à n’importe quel désir, et le genderisme est un pur désir !
Le genderisme plus que tout autre est cette obligation universelle de jouir et surtout de le montrer aux autres : on doit impérativement se donner en jouissance, c’est pour ça qu’il ne peut pas y avoir de gender dans une forêt profonde, comme il ne peut pas y avoir de genderisme dans le sommeil profond !!! Le genderisme est une maladie du citoyenisme de l’urbain acier-béton-verre, etc.

LE GENDER ‘FLUID’ OU COAGULÉ COMME LE CONSOMMATEUR CONDUIT AU WINNERISME DE L’INDIVIDU, SOIT À SA NULLITÉ ; COMME LE COMBLE DE LA POSSESSION ET DE L’ÉGOÏSME ET DE VOULOIR « SE RENDRE IMMORTEL ICI-BAS » ET SURTOUT, COMME DANS LE MESSIANISME JUIF D’UN KLAUS SCHWAB, CROIRE AU « DEMAIN VOUS NE POSSÉDEREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX », C’EST LE COMBLE DE LA POSSESSION (comme le précise la Stance 16,9 de Nagarjuna : « “Un jour je m’éteindrai libre de toute appropriation, le nirvana m’atteindra“. Prendre les choses ainsi, c’est le comble de l’appropriation »). Car comme dans le genderisme, l’erreur de ces aspirants à la Libération est construite sur la loi de succion à une personnalité corporelle, laquelle implique nécessairement la dualité sujet, et l’objet ou ce qui est à moi (votre ceci, votre cela, votre gender).

Le genderisme n’échappe pas à la nostalgie du paradis oublié : la nostalgie du « Je suis ce JE SUIS » désir d’éternité. Le genderisme est un désir égoïste d’éternité comme le transhumanisme, ce culte de l’ego masqué en peur de la vieillesse. Mais ce désir d’éternité est bancal : il fonctionne seulement à l’état de veille, dans la raison donc, pas dans le sommeil profond. Cette partie étant impersonnelle, sans loi de succion, l’immortalité individuelle n’a aucun sens, elle est une phobie, un fantôme. C’est pourquoi la Vraie Libération ne peut pas être individuelle, par conséquence elle ne peut se trouver chez un gender ‘fluid’ ou coagulé, parce qu’IL CROIT, IL EST MASQUÉ, SÉCURISÉ DERRIÈRE SON GENDERISME ! Le genderisme participe de ce même SADISME ou POUVOIR ABSOLU qui colore si vivement ce monde du spectacle et du Narcisse aussi LGBTiste. LGBT, transhumanisme, gender participent tous d’une caractéristique inhérente au capitalisme : la PANique devant l’avenir, superbe paradoxe du messianisme juif du messie qui a pour stricte et paradoxale condition de son efficacité l’opinion que ce salut ne doit en aucun cas advenir ; également le principe des frères Oppenheim : LA CAROTTE, et chez les Oppenheim ce sera LA PERLE : CRÉER UN BESOIN. Le prisonnier dans la Caverne de Platon qui y voit mal ne gagne rien à en sortir car une fois Dehors, « il en prendra plein la gueule » et ne pourrait voir aucun des objets PRÉSENT DANS L’INSTANT ; aussi désirerait-il aussitôt revenir au « réel », retourner aux choses de sa Caverne qu’il peut voir et acheter, donc CROIRE. Comme l’autorité de tout messie consiste en l’opinion assurée que sa présence reste et restera à venir. Le transhumanisme est aussi cette CROYANCE, cette PROJECTION (des images sur l’écran dans cette société du spectacle ou des pensées sur les représentations des choses : les ombres de la Caverne de Platon).

Le genderisme comme tout ce qui est du capitalisme étant POSSESSION, LOI DE SUCCION : TOUT CE QUE VOUS POSSÉDEZ VOUS POSSÈDE, OU : TOUT CE QUE VOUS ORGANISEZ VOUS ORGANISE AU SENS D’ÊTRE POSSÉDÉ : VOUS ÊTRE DÉPENDANT DE VOTRE ORGANISATION !
« L’appropriation étant là, le cours de l’existence se met en branle pour l’appropriateur [qui a désormais une naissance et une mort]. Car, s’il était libre d’appropriation [ou de loi de succion], il se rendrait libre en effet. L’existence n’aurait pas lieu » (Nagarjurna, Stance 26,7). Et dans la Stance 26,6 : « Conditionnée par la sensation affective [et le gender en est] se produit la soif [loi de succion]. Quand on a soif, ce qu’on cherche est une sensation en tant qu’elle nous affecte. L’homme [le gender] en proie à la soif prend sur lui la quadruple appropriation [le PENTALEMME cité en début de page] ».

À ce hui, le comble de la tyrannie de l’opinion c’est l’influenceur (numérique), nouveau « spa(é)cialiste », et comme le gender un acteur de cette sotte société du spectre-spectacle.


Note.
1. La NORME JUIVE de leur dualité winners-losers (élus/non-élus) résumé page 18 du livre de Jacques Attali, Les Juifs, le monde et l’argent : « Pour la première fois, une cosmogonie ne se vit pas comme cyclique [Tore, Circulus, Ouroboros] ; elle ne se donne pas pour but le retour du même [l’Éternel retour]. Elle fixe un sens au progrès ; elle fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps [dans un seul sens et concept du mental par l’idéation] ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre [et par là l’individualisme, l’opinion, la démocratie et le consommateur et forcément des limites]. Ainsi est posé la fonction de l’économie : cadre matériel de l’exil et moyen de réinvention du paradis perdu [donc la religion de l’argent et du salariat, de la marchandise idole et de la consommation]. L’humanité a désormais un objectif : dépasser sa faute [et inventer la liberté]. Elle dispose d’un moyen pour l’atteindre : mettre en valeur le temps [la carotte du messianisme et de leur ”Jour du jugement dernier”…] ».
« Mettre en valeur »…. Là est le problème !!!
 
 

Dernière mise à jour : 21-08-2021 23:21

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