Démocratie = fétiche marchandise et conflits d’intérêts
 

Ecrit par Sechy, le 13-10-2021 01:36

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Banque, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Silence, Social, Spirale, Vie, Vierge

 
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Démocratie = fétiche marchandise et conflits d’intérêts
condamnant la démocratie à la frustration permanente.
DÉMOCRATIE = SAISIE, POSSESSION,
EGO aliéné par le profit, par l’évolutionnisme.


Page dédiée à Isaac Asimov.
 
Ici la lune (que le doigt montre, dans le Lankâvatâra, chapitre L’instantanéité) est le ‘Je’ ou Soi, la Singularité, le Seul Réel qui ne se montre pas (pas de monnaie au sens ou ce mot a pour étymologie montrer), qui ne se saisie pas.
Shakespeare écrivait que « Les choses sont faites du même tissu que les rêves », ou « Nous sommes faits de l’étoffe des songes », actuellement les songes, ce sont les ordinateurs et leur virtuel qui enferment l’individu hyper découpé en suites de zéros et de uns… Le citoyen est réduit à une « information », dont seul l’ordinateur et le numérique, le nombre, le « fait », fait vérité ! L’illusion même du monde est abandonné au profit du ‘moi’, un ‘moi' d’ordinateur, un ‘moi’ de tout connecté technologique. Les informations du tout connecté effaceront le Seul Réel du ‘Je’ : le souvenir du numérique remplace le souvenir du spatio-temporel : mieux vaut donc des data centers certains à la place d’une vie incertaine ou non sécurisée !… Ne réalisant par leur Soi les êtres humains ne s’appartiennent plus, ils sont la possession des firmes fabricantes de ces data centers. Ils deviennent des sujets, des objets de l’invention maléfique de l’ordinateur conséquence de 1789 comme déjà expliqué en d’autres pages. La trace informatique fait office de double, de FÉTICHE en forme de preuve de l’ÊTRE, c’est-à-dire de son manque ! Son incapacité à dire « Je suis ce JE SUIS », bref : son incapacité, son aliénation, sa Chute. Et c’est ce que les Juifs de Jacques Attali veulent « racheter » : mettre en valeur le temps, comme il le résume sans détour en page 18 dans : Les Juifs, le monde et l’argent.
Comme le temps est un concept du mental humain, mettre en valeur le temps c’est mettre en valeur le mental, la raison, selon le courant des « Lumières » en France au 18è siècle, le courant des riches perruques poudrées.

« La concentration, c’est ne pas penser à quoi que ce soit. D’autre part, c’est chasser toutes les pensées qui nous cachent la vision de notre véritable nature. Tous nos efforts ne visent qu’à soulever le voile de l’ignorance. Dans l’état actuel, il semble difficile de dompter les pensées. Mais dans l’état de renaissance spirituelle, on trouvera, au contraire, qu’il est plus difficile de les susciter.
Car y a-t-il des choses à penser ? Il n’y a que le Soi. Les pensées ne peuvent fonctionner que s’il y a des objets. Mais comme il n’y a pas d’objets, comment les pensées peuvent-elles s’élever ? » (Ramana Maharshi, entretien 398 du 14-4-1937).
Et OBJETS = CAPITALISME, SOCIAL DE CONSOMMATION (et de « Vivre ensemble »).

« Nous restons à tort dans l’irréalité, c’est-à-dire dans les pensées et les activités du monde. Lorsque celles-ci cessent, la Vérité se révèle. Tous nos efforts doivent tendre à les maintenir à l’écart. On y parvient en ne pensant qu’à la Réalité. Bien que celle-ci soit notre nature véritable, c’est comme si nous pensions à elle. Mais en fait, ce que nous faisons ne consiste qu’à repousser les obstacles afin que notre Être véritable puisse se révéler. La méditation ou le vichâra sont donc le retour à notre nature véritable.
- Question : Nos efforts sont-ils assurés de succès ?
- Maharshi : La Réalisation est notre vraie nature. Elle n’est rien de nouveau à acquérir. Ce qui est nouveau ne peut pas être éternel. Il n’y a donc pas lieu de se préoccuper de savoir si on peut gagner ou perdre le Soi ». (Entretien 401 du 16-4-1937).

La fausse spécialisation résulte de l’uniformité, comme elle est fausse, FÉTICHE, elle engendrera des copies à l’infini, car elle ne connaît pas de limites : on peut diviser sans fin un corps indistincte, qui n’est pas naturel, qui n’est pas dans son EST.

Depuis 1968 jusqu’à 2018 le capitalisme est mourant par sa dématérialisation monétaire notamment, alors il multiplie les FÉTICHES : comme l’original a disparu, il faut donc multiplier à l’infini LES CONTREFAÇONS, LES DOUBLES : on dirait qu’il a suffi que la chaine de causes et effets soit amputée de sa cause initiale pour se trouver dotée d’un pouvoir inépuisable de reproduction ; comme si on ne pouvait bien copier que ce qui n’existe plus, ce qui n’existe pas, comme la monnaie dématérialisée ; exactement la trame de la série de roman d’Isaac Asimov, FONDATION, où la disparition, ou la perte du sens de ce qu’était la planète nommée « Terre » permettait le pullulement de copies sous la forme d’une infinité de planètes (25 millions de mondes habités par des « intelligences »), des copies, des contrefaçons de la Terre oubliée.

Dans le roman la planète Terre existe probablement toujours, mais INVISIBLE. Les protagonistes du roman essayer à divers reprises de poser leur regard (montrer, monnaie…) sur un objet invisible. Le fétiche Terre est pourtant là, comme le collier de la femme :
« Une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner.
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel [c’est le scribe de cette page qui souligne] ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).

L’original, la Terre, existe, le collier de la femme aussi, mais à condition de ne pas être vu (difficile en plus avec un collier autour de son cou…) : LE CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. Le Centre ou la Terre, le collier n’existe qu’invisible, il cesse d’exister dès qu’il est regardé, MONTRÉ, comme le doigt qui montre la lune, INVISIBLE, puisque les sots suivent l’extrémité du doigt et non la lune que le doigt montre. Comme le modèle a disparu en apparence, la conscience calculante du mental, la raison, telle un scénariste d’Hollywood forge un monde visible et constitue la scène pour les re-présentations.
SEUL SERA VISIBLE LE FAUX ; LE VRAI CESSE D’EXISTER DÈS QU’IL EST VU OU POSSÉDÉ PAR L’EGO ET LES CINQ SENS.
Isaac Asimov a peut-être copié son roman sur la fable de La Fontaine : Le laboureur et ses enfants : le fétiche c’est le travail du laboureur qui CULTIVE pour faire POUSSER.
Et dans Fondation d’Asimov, la Terre « disparaît » suite à sa pollution extrême, SYNONYME DE PUTRÉFACTION, DE RENONCEMENT, DE NUIT OBSCURE : LA RECONNAISSANCE DE L’ORIGINAL, DU PRINCIPE ORIGINEL, PASSE NÉCESSAIREMENT PAS SA DISPARITION MÊME. LE VRAI, L’AUTHENTIQUE PASSE PAR LA NON-POSSESSION : si un concept en vient à être saisi, construit, administré, comme quelque chose de concret, de COAGULÉ, SOLIDIFIÉ, CONSOLIDÉ, l’enseignement qui s’en dégage EN EST INVALIDÉ. Par conséquence le concept qui vient d’être fabriqué doit être immédiatement détruit (CE QUI N’EST NI LE CAS DU CAPITALISME NI LE CAS DU RÉGIME RÉPUBLICAIN !!)
L’ORIGINAL, LE VRAI, NE SE DONNE À RECONNAÎTRE QU’UNE FOIS « DÉFUNT ».


Donc dans le roman Fondation il n’est pas stupide, ni même « science-fiction », qu’il puisse y avoir 25 millions de mondes habités par des consciences conceptualisantes. 25 MILLIONS DE FAUX, DES COPIES.
Le fétiche TERRE est le Réel dont les autres ne sont que des doubles : non pas une image de la Chose, la Terre, mais bien la « Terre » elle-même ; c’est pourquoi elle est identique à l’OR, le trésor, le diamant qui brille en son CENTRE, qui est nulle part.
Le Seul Réel, la TERRE, ne se laisse posséder ni même approcher par personne…..

De là ça rejoint l’OUROBOROS : au départ la Terre, située à un « certain endroit » dans la Galaxie ; mais la Terre devient de plus en plus polluée par la « civilisation » aliénante des humains-lumières ; on arrive à retrouver le même fétiche TERRE au même endroit, évidemment un peu moins polluée puisque les humains sont allés se répandre sur des millions de copies. Alors, que s’est-il passé ? RIEN, PRESQUE RIEN. Sinon que le fétiche, comme d’ailleurs le collier de la femme qu’elle finit par re-trouver, a été comme délesté de son poids messianique, de son poids de VALEUR : une fois le collier retrouvée, ou la Terre retrouvée, ils perdent automatiquement leur qualité de MOTEUR, DE MODÈLE, LEUR STATUT D’OBJET PREMIER par rapport auquel certains objets peuvent être dits « seconds », comme lorsqu’on passe d’une pensée sur les choses à une pensée sur les re-présentations des choses, donc à une pensée sur la pensée. CELA S’APPELLE LA BANALISATION DU FÉTICHE, SOIT LA PERTE DU SEUL RÉEL.

D’ailleurs, on pourrait appliquer le principe du Fondation d’Asimov à L’ATLANTIDE : ELLE EST TOUJOURS LÀ, MAIS INVISIBLE…. COMME YS (1).

L’ÉCLAT DU VRAI, DES ORIGINAUX ? OU LA BANALISATION PARMI LES COPIES ?
On retrouve aussi l’histoire des originaux qu’un certain NOÉ enferment dans une Arche pour permettre dans le futur la réalisation d’une multitude de copies. Est-ce que « l’inconscient collectif » est LE réservoir des originaux, comme le suppose C.G. Jung ? Et de l’autre côté, dans le conscient conceptuel, À L’ÉTAT DE VEILLE, il n’existe que des copies, état de veille appelé en France LAÏCITÉ !!!???
Seul un Réalisé, un Être en SINGULARITÉ, IDIOTÈS, pourrait répondre : le monde où n’existe que des SINGULARITÉS mais sous forme de COMMUNION DES SAINTS, le Soi exprimé dans le sens CHRIST : « Je suis le cep ‘Je’ et vous êtes les sarments (‘Moi’-’Toi’ - ‘Nous’-‘Vous’), la Réalisation du Soi
Le mot FÉTICHE ne peut pas renvoyer l’idée de « fétiche original », puisque fétiche veut dire FAUX : il renvoie à l’image D’AUTRE CHOSE, SORT D’AILLEURS : fétiche, du portugais feitiço (artificiel), du latin facticius (artificiel) ; le fétiche est une FICTION, ficticium, l’artifice à la place du naturel, l’idole à la place du Dieu, le trompe-l’œil, le mirage…

Donc le capitalisme mourant ne pouvait que fabriquer des fétiches-monnaie à n’en plus finir, de l’argent magique, fictif, mirage, du messianisme de la plus value (augmentation de la valeur d'un bien qui n'a subi aucune transformation), par le crédit mondialisé.
Comme en mai 1968 en France, en France en 2018 les « ouvriers » ou prolétaires renaissent sous la forme des GILETS JAUNES, toujours à cause de la monnaie (perte du profit, perte des possédants).
La phase terminale du cancer du capitalisme est le moment où il y a un court-circuit entre la valeur et la non-valeur, le progrès ne peut plus avancer, l’évolutionnisme financier est devenu impossible : « l’Oiseau Phénix » ne peut plus avoir de nouvelle naissance, comme il le faisait précédemment depuis des millénaires en tant que capitalisme. La restructuration augmentée devient impossible pour le capitalisme : les fétiches sont tellement démultipliés, qu’il n’y a plus de place pour en placer aucun : tous est saturé, le capitalisme est dans la phase terminale de son cancer.

Le mensonge étatique mondialisé de la f(r)iction du SRAS-CoV-2 est corrélatif de la saturation des marchés (baisse des profits) à partir de 2018. Et entre 1968 et 2018 le crédit fétichiste pouvait encore fonctionner (même avec la crise de 2008), et du processus fétiche de recomposition, ou d’amélioration. Le « marché » est un fétiche par essence, du faux phénoménal : plus on avance vers la crise de la valeur, plus le capital devient fétiche, faux, mirage, trompe-l’œil, SPECTACLE D’IMBÉCILITÉS DE PLUS EN PLUS GÉNÉRALISÉS. Jusqu’en 2018 le capital fonctionne tout de même, et c’est parce qu’en 2018 il y eut la crise des Gilets Jaunes (lutte de classes ou amplification de la dualité winners-losers), que le capitalisme a découvert qu’il était menacé de façon gigantesque ; et la TYRANNIE SANITAIRE de la fiction SRAS-CoV-2, c’est la MISE EN PRISON DE LA COLÈRE DES LOSERS DANS L’ANGOISSE (fabrication outrancière de la peur) et le GOULAG HYPNOTIQUE du masque et de ses « gestes barrière » et de la « distanciation sociale » de la pensée (interdit de se re-tourner pour analyser la situation et pour se réaliser soi-même, pour se délivrer soi-même par soi-même).
2018 annonçant un effondrement économique, il fallait MASQUER ce qui surgissait, il fallait contrôler la colère potentielle.

Et dans le même temps de la tyrannie sanitaire, le capitalisme R’OUVRE UN SEMBLANT D’OISEAU PHÉNIX (ou de re-naissance), car il est obligé d’envisager des restructurations, puisque l’émaner, la source du capital ne le produit plus de manière spontanée. Alors le nouveau concept se dirige vers le CAPITALISME VERT (notamment le « Un geste pour la planète », qui pourrait aussi s’appliquer aux êtres de Fondation….). Le capitalisme vert comporte évidemment la mode des « nouvelles technologies » eldorado faisant croire au bonheur ou à la « libération » de l’humain, évidemment le pire de la libération : la soumission de l’humain aux machines ; même appartenance au capitalisme vert pour la « transition énergétique (ou écologique) ».

Le capitalisme d’État façon URSS revient sournoisement sous une forme « moderne » qui est LE CAPITAMISME VERT : celui qui touche DIRECTEMENT CHAQUE CITOYENISÉ, jusqu’au bouchon de bouteille d’eau en plastique qui deviennent attaché à leur collerette pour ne pas être être « jeté n’importe où » comme au temps du passage des bouteilles de verre recyclable aux canettes d’aluminium jetables… (bouchon « solidaire » ou « socialisée » comme les humains, et qui deviennent pas pratique du tout, car ça marche une fois sur deux, il faut calculer son coup pour refermer la bouteille d’eau…)

Comme pour le SRAS-CoV-2 et ses injections-injonctions d’ARNm expérimentales, le capitalisme vert TOUCHE L’INTIME DES CITOYENISÉS : leur RESPONSABILITÉ (depuis qu'ils sont tous devenu LE ROI) : le citoyenisé est DANS LA PRISON DU POLITISME (l’échiquier ou les jeux compétition du politisme), LA PRISON DE L’OPINION EN TANT QU’HOMO POLITICUS EN PHASE DE DEVENIR HOMO ETHICUS (le sujet responsable) chargé à son niveau de COMBATTRE par ses « nano-vertus » les macro-vices du régime !!! Les citoyenisés se retrouvent alors chacun à avoir à gérer la tension que produisent LES PALANQUÉES D’INJONCTIONS-INJECTIONS CONTRADICTOIRES ÉMANANTES DE L’ÉTAT : ÊTRE ÉCONOMIQUEMENT LE ROI, LE WINNER, DONC UN BON CONSOMMATEUR POUR FAIRE MARCHER LE CAPITAL, ET ÉVIDEMMENT ÊTRE ÉCOLOGIQUEMENT RESPONSABLE : « FAITES-VOUS VACCINÉS ! » (pour les autres et pour vous)… LE TOUT SE NOMME « LE SOCIAL ». L’URSS ET SON CAPITALISME D’ÉTAT N’EST EFFECTIVEMENT PAS LOIN EN EUROPE, EN FRANCE….
« Ce que la morale appelle mauvaise conduite n’est autre que l’expression la plus aboutie de ce que l’économie appelle bonne conduite. Une bonne conduite économique régentée en pratique par une armada de dispositifs d’alignements des intérêts, de discipline concurrentielle, et de verrouillage des relations d’agence. Le gouvernement éthique voudrait nous faire croire que les puissants mécanismes de la gouvernance du marché peuvent être transcendés par la responsabilisation individuelle d’agents dépolitisés », écrit Grégoire Chamayou, page 200, dans La société ingouvernable - Une généalogie du libéralisme autoritaire. « Agents dépolitisés », car le politisme est devenu l’enfer, et ses serviteurs de l’État des agents de Satan…

Donc, OUI, LE CAPITALISME VERT NE PEUT QU’ÊTRE UN CAPITALISME D’ÉTAT, qui se cache de moins en moins ; conformément où, depuis le 1789 français, chacun est devenu LE ROI, LE SPÉCIALISTE, celui des INTER-ACTIONS D’EGO. Alors que, le TROUVÈRE (le Réalisé) ne peut que déclarer : « IL N’Y A PAS D’AUTRE DIEU QUE DIEU » (Islam) ; ou « Je suis ce JE SUIS » ; « MOI ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN » (Jean 10,30). « ”Je suis” est le nom de Dieu » (Ramana Maharshi, entretien 106 du 29-11-1935).
« Lorsqu’on emploie le nom de Dieu, c’est pour L’invoquer et s’abandonner à Lui sans réserve. Après un tel abandon, le nom de Dieu demeure constamment en l’homme ». (Ramana Maharshi, entretien 426 du 12-6-1937).

LE CAPITALISME VERT NE PEUT QU’ÊTRE UN CAPITALISME D’ÉTAT :
la couleur verte étant celle du règne végétal, et le vert de l’éveil au printemps : « se mettre au vert », la campagne, comme la MÈRE, LA MAMAN, le vert ne peut QUE concerner tous les Terriens, et donc conduire sournoisement vert(s) une gouvernance mondiale rêvée depuis le Néolithique et l’invention de l’État. De plus le vert est la complémentaire du ROUGE (couleur du communisme étatique, comme en Chine).
Mais le rouge contenu dans le vert évoque LE SANG, et le vert sera son pendant LA CHLOROPHYLLE. Rejoint d’ailleurs le VASE, dans lequel se développe l’embryon : l’ENFANÇON (du taoïsme : embryon d’immortalité, d’infini, embryon du Soi), soit LA CIRCULATION DU SANG ABSOLU : d’une couleur d’un vert profond, forme même d’un « récipient vert » (Stargate, Point Focal, Point sur le I… le Centre est nulle part… IL EST LE SAINT CHAOS. LE VERT GARDE UN CARACTÈRE ANTI-PENSÉE UNIQUE DES « PLUS ÇA CHANGE ET PLUS C’EST LA MÊME CHOSE », parce qu’il est aussi sous la forme de BOURGEON et également de MOISISSURE (haut émetteur-récepteur s’il en fut….), LA VIE, LA MORT ; LE VERT EST LA STARGATE, LE PASSAGE, LE TROU (DU TROUVÈRE), LA TRANSFORMATION. Évidemment s’il est lié à un matérialisme utilitaire comme de l’argent ou l’intérêt quelconque, c’est effectivement la direction du capitalisme vert…

La capitalisme vert est en phase de faire détruire des millions et des millions de voitures fonctionnant encore à la thermodynamique : moteur à explosion ! pour les remplacer par des voitures électriques avec le problème des batteries… Avec cette nouvelle mode, les marchés vont se désengorger, les marchandises vont recommencer à circuler, soit la problème objet-humain aliénatoire va continuer de plus bel ; si bien que le capital ne va rien résoudre, mais dans son ignorance il le croit. De nos jours de covid-19 en phase d’injections ARNm, ce qui redémarre dans le capitalisme, c’est la circulation des FÉTICHES dans la fièvre des transactions : VALORISER OU METTRE EN VALEUR LA FLÈCHE DU TEMPS (les marchandises c’est secondaire).

Flèche du temps ou mise en valeur de cette flèche avec les palanquées d’éoliennes, de panneaux solaires, les véhicules électriques y compris les vélos, les skateboards électriques : les nouveaux MARCHÉS-FÉTICHES issus de la décision de l’étatisme transformé en « vert » ou en restructuration, qui, non seulement ne vont pas résoudre la baisse des profits, c’est-à-dire la baisse de l’évolutionnisme et de sa flèche du temps, mais vont augmenter de plus bel la CHUTE, contraire de l’évolution, dans ce cas. L’Oiseau Phénix a beau se réduire en cendre à chaque crise, il laisse de moins en moins de cendre pour se régénérer, comme faire une photocopie de photocopie et ainsi de suite : au bout de la dixième photocopie en remettant ainsi de suite la précédente photocopie pour en tirer une nouvelle au final la qualité se dégrade de plus en plus. Il en est de même du profit qui de siècle en siècle, mais surtout à partir de 1914-2018, rapporte de moins en moins : NON PAS EN MATIÈRE OU EN RENTE ARGENT DÉMATÉRIALISÉ MAINTENANT, MAIS EN RENTABILITÉ D’EXPLOITATION SOCIALE DE L’OUVRIER MONDIALISÉ (ou « prolétariat mondial »), le prolétaire ne rapporte plus comme avant….

Ainsi le « redémarrage » économique mondial ne peut plus se faire que sur une longue période, même si dans les « infos » on entend parfois le mot « redémarrage », ce sera un FAUX REDÉMARRAGE, UN FÉTICHE ayant la forme de la f(r)iction étatique mondiale du Covid-19, et du réchauffisme climatique de la planète qui ne peuvent qu’être en osmose avec le capitalisme vert.

FÉTICHISME DE LA MARCHANDISE, pour la simple raison que FÉTICHE = DÉSIR = MESSIANISNE = LA CAROTTE QUI DOIT FAIRE AVANCER L’ÂNE MAIS QUI NE DOIT JAMAIS ÊTRE MANGÉ COMME LE MESSIE NE DOIT JAMAIS ARRIVÉ, sinon la machine est cassé.
DÉSIR = LE DEHORS, L’AUTRE, TOUJOURS L’AUTRE, TOUJOURS LA CAROTTE, JAMAIS CECI MAIS TOUJOURS AUTRE CHOSE.
Par exemple Vénus est vulgivaga, comme dit Lucrèce : LA VAGABONDE, comme l’homme d’affaires qui voyage dans son monde-hôtel comme l’argent circule partout parce qu’accepté partout, une vagabonde qui glisse d’objet en objet comme l’indifférenciation d’une chose la représente sans aucune limitation, on peut la diviser à l’infini comme le désir circule d’objet en objet de consommation sans jamais s’arrêter, C’EST CELA LA MISE EN VALEUR DE LA FLÈCHE DU TEMPS : ERRER À L’AVENTURE PARMI LES CHOSES, vulgus, vagor. LE DÉSIR ÉTANT INCAPABLE DE SE FIXER SUR UN OBJET (sauf à n’être plus le désir), il s’ensuit qu’il est toujours à court d’objet, ainsi il faut lui en produire sans cesse.
Lucrèce est tout de même un utilitariste quand il écrit dans le Livre IV du De rerum natura : « Le monde est complet, aucun objet n’y manque. Les objets du désir n’y sont manquants que parce qu’il arrive au sujet de s’en détourner sans cesse, non en tant qu’ils feraient défaut en eux-mêmes ». (Mazu Daoyi, 709-788, écrira presque la même chose quand il dit que « Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque », ce qui ne peut qu’engendrer LE SPONTANÉ, LE ICI ET MAINTENANT). Évidemment de nos jours, pour les transhumanistes, ET POUR LES JUIFS, LE MONDE EST INCOMPLET : IL FAUT L’AMÉLIORER, L'AUGMENTER ET DONC LE RÉPARER (dans la flèche du temps éc(v)olution et dans sa valorisation…).
Comme la BÊTISE, LE DÉSIR NE SE LASSE JAMAIS : Il est incapable d’apprécier dans son EST, en tant que tel, un objet, qui dans son EST ne peut qu’exister ICI ET MAINTENANT, et donc qui n’offre aucun confort, aucun refuge dans l’invention de la valeur, parce que cet objet EST la non-dualité : IDIOTÈS, SINGULARITÉ (unique, sans copie, sans fétiche).
Le désir sera l’âme du capitalisme : la fabrication de BESOINS, l’utilitarisme, fabriquer le faux : le consommateur lui-même, qui devra être perpétuellement insatisfait, angoissé (c’est superbement fait avec le covid-19), et évidemment blasé ; par le désir insatiable le consommateur devra ressentir un appétit insatiable, et un désir d’expériences nouvelles et de développement personnel (son corps, son ego…). C’est la définition du fétichisme de la marchandise, que le mot CAROTTE symbolise aussi, également le mot MESSIE. Ce qui fait que toute « vérité » provenant de l’État ne peut qu’être, PAR ESSENCE, PAR FÉTICHE, un MENSONGE, LE FAUX (le covid-19 ayant un scénario et des mesures économico-sociales étatiques est un mensonge étatique).
Fabrication de BESOINS = DÉSIR D’ÉCHANGES, SOCIAL (et réseaux sociaux, augmentés par la technique…).

Dans ce monde devenant de plus en plus uniforme et mécanisé, robotisé, numérisé, UN CORPS DEVIENT INDIFFÉRENCIÉ et par là même il n’aura aucunes limites, puisqu’on peut le diviser sans fin, ce qui est d’ailleurs conformé par la palanquée de spécialistes qui pullulent  sur les plateaux de télévision dans leur « plus ça change et plus c’est la même chose » : un son unique, pas de fausse note pour expliquer les f(r)ictions officiels du covid-19 et du réchauffisme climatique et de sa variante les « gaz à effet de serre » : ILS PONDENT TOUS DES FRAGMENTS INFORMES S’ADRESSANT À DES ZOMBIS, À DES FÉTICHES, À DES FAUX, DES ALIÉNÉS. De plus, le « vrai » officiel est ENCORE PLUS FAUX que le vrai individuel vu et donc déjà possédé intimement (intime conviction) : le « vrai » officiel sera vu, entendu et possédé par des millions voir des milliards de gens augmentant d’autant sa fausseté officielle de « vrai »

Le fétichisme de la Marchandise est un complot général contre l’être humain, la tyrannie du besoin.
Messie Marchandise-opinion : messie médiatique, juridique, étatique et politique, scientifique, philosophique et religieux (le social de la marchandise, échange).
LE FÉTICHISME DU COVID-19, DU RÉCHAUFFISME, ETC. prennent le MASQUE de l’universel en renversant les rôles : Ce sont les accidents [le spatio-temporel, la « valeur » du temps] qui engendrent les Essences : lesquelles ne peuvent qu'être : « IL N’Y A PAS D’AUTRE DIEU QUE DIEU » (Islam) ; ou « Je suis ce JE SUIS » ; « MOI ET LE PÈRE, NOUS SOMMES UN » (Jean 10,30)  ; « ”Je suis” est le nom de Dieu » (Ramana Maharshi, entretien 106 du 29-11-1935).
Le fétiche ne peut que renvoyer le faux, il fera dira alors, comme la radio d’état France-Info : « Et tout est plus clair », révélation étonnante et affirmation encore plus étonnante du FAUX qui se veut « clair » parce que provenant de l’officiel, la majorité, les zombifiés  !!

[En haut de page : le fardier de Cugnot fonctionnant à la machine à vapeur, une thermodynamique relativement propre, le foyer utilise seulement du bois]


Note.
1. Pour ne pas faire le jeu du Pour-Voir et de ces cancéreux, Nous devons rester NOIRS, INCONTRÔLABLES, NON IDENTIFIABLES, NON CLASSABLES, DANS L’OMBRE COMME LA VILLE D’YS (dans la non-dualité Dedans-Dehors). La Tradition associe Paris et Par (pair) YS en proclamant que la fin de la capitale PARIS verrait la re-découverte de la ville engloutie d’YS… YS étant l’Eau Primordiale, le mouvement des Gilets Jaunes (seulement en sommeil comme YS) en passant par la catastrophique période de 1789, la France et ses Grands Ancêtres Gaulois est bien le moteur du monde, en corrélation avec l’Inde… Les Gilets Jaunes ou sous une autre forme sera désormais un MOUVEMENT INCONTRÔLABLE ET EN RÉACTION EN CHAÎNE.
 
 

Dernière mise à jour : 13-10-2021 02:43

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