À BAS LES COMMANDEMENTS, À BAS LES DROITS DE L’HOMME
 

Ecrit par Sechy, le 17-10-2021 21:50

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Banque, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Racailles, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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À BAS LES COMMANDEMENTS, À BAS LES DROITS DE L’HOMME
À BAS LES « TU DOIS » et « TU NE DOIS PAS »,
LES RITUELS, LA POMPE (1) !!!
À BAS CES RAISONS DE LA CROYANCE À L’EGO,
À BAS LES NORMES ET LES CONVENTIONS,
qui vont fourguer : le pouvoir, l’État, la banque
et la marchandise et ses « valeurs » et son com-merx,
son mercis de la soumission et du conditionnement,
dont le président-directeur « général » sera le
DIEU des religions abrahamistes du conditionnement !
 
 
Messianisme de la morale et du sentiment : « Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas », tout cela pour des choses vouées à périr par leur usage même ! Voilà bien les prescriptions et doctrines des hommes ! » (Colossiens 2, 21). La satisfaction moral de soi-même est semblable aux observations RITUELLES qui engendrent LA STÉRILITÉ, car reposants COMME EN ACTUELLE DÉMOCRATIE SUR LES CONFLITS D’INTÉRÊTS DIVERSIFIÉS À L’INFINI SELON LES SITUATIONS SOCIALES DES GROUPES ET DES INDIVIDUS, aussi divers que les égoïsmes inconscients, que les morales de situation. LES CONFLITS D’INTÉRÊTS DIVERSIFIÉS À L’INFINI SELON L’UNIFORMITÉ, L’ÉGALITARISME QUI NE CONNAÎT PAS DE LIMITES : ON PEUT DIVISER SANS FIN UN CORPS INDIFFÉRENCIÉ.
PAS DE « COMMANDEMENTS » MAIS ÊTRE : chaque perception sensorielle est en elle-même DANS L’INSTANT, LE SPONTANÉ ET DONC DANS L’IMPERSONNEL, SANS LE MENTAL KILLER. Chaque perception est dans l’Instant, lequel ne peut pas être identifié ou possédé par l’ego ou le mental.
Pourtant, aussitôt par le mental dès que nous reconnaissons l’objet comme perçu ou possédé par nous, le sujet, l’ego s’est installé ET L’OBJET APPARTIENT AU PASSÉ, car la raison, la logique chère aux Grecques opère sur ce qui est déjà dépassé. Le EST, arrive vivant, saisi par le mental, il ne peut plus vivre, car la raison ne se nourrit que de substance morte.
L’acte de raison, de logique, de dialectique, massacre la perception du EST, le vivant. Nous ne pouvons jamais connaître l’Instant, le Présent, le Ici et Maintenant parce qu’il EST. Et ce EST ou Instant, le Soi, n’est pas « là » pour être expérimenté à la John Locke ou par un empirisme quelconque. L’instant n’est pas au DEDANS d’une séquence temporelle telle la géométrie euclidienne de la ligne droite, mais cette séquence pourrait être DANS l’Instant (Tout est dans Tout).


Colossiens 2, 21 veut dire que nous vivons entièrement à la surface des choses, comme la « couverture sociale » de l’inconscient collectif et des conventions et des « collaborations ». Tout ce que nous faisons est SUPERFICIEL. Aussi loin que nous pénétrions, aussi profondément que nous creusons dans les particules de l’infiniment petit, nous ne trouverons jamais rien d’autre que des surfaces. Du berceau au tombeau nous ne voyons jamais l’intérieur de quoi que ce soit car, quoi que nous fassions et quelque soit la direction vers laquelle nous nous tournions, nos cinq sens tombent toujours sur des surfaces, puisque les surfaces sont du spatio-temporel, comme le sont nos sens liés au corps.

ESPACE ET TEMPS OU « DIMENSION » NE SONT QUE DES CONCEPTS MATHÉMATIQUES : DU SPEED DE CONSOMMATEURS ET UTILISATEURS DE CETTE DIMENSION. QUAND TOUT CE CHAOS MENTAL S’ARRÊTE, C’EST L’ÉTERNITÉ, LE NOIR DE LA NUIT OBSCURE.
Les dimensions ne sont pas des « objets extérieurs », elles sont une propriété du mental et de l’inconscient collectif.

Le concept selon lequel la vie humaine aurait une « valeur » per se (pour elle-même), est une affirmation injustifiable de la vanité humaine et qui va se retrouver en principe des droits de l’homme hérités des Commandements modèle Moïse. Ce qui rejoint le concept du winnerisme des humains les faisant « supérieurs » par rapport aux autres formes de vie.
Les phénomènes dépendent du temps qui coule, et toutes les opinions des humains sont construites sur les phénomènes et donc sur le temps, et doivent posséder quelque chose du caractère illusoire de ce temps. On peut les considérer toutes, sans exception, comme des imbécilités, des « conneries ». Mais, « démystifier » ceci et cela, ça demande du temps qui fabrique le démystifié. La seule démystification qui ait quelque réalité est celle qui détruit tout concept dépendant du temps et donc de l’histoire. Ce qui reste alors, s’il reste VRAIMENT un grain de sénevé (Mt.13,31), alors ce pourrait être la Vérité, le Soi et par là même le Zéro indien.

Les « commandements » et autres « droits de l’homme » ne pouvaient être fabriqué que parce qu’il y avait LA CROYANCE À L’EGO. Du coup il restait à tenir une classification en dualité bien-mal, évidemment conçue dans un but social ou politique.
Réduisez la croyance à l’ego, et ses manifestations se dissiperont comme l’eau s’évapore sous la chaleur du soleil. Car aucune action n’est bonne ou mauvaise en elle-même, ni même en vertu de son appartenance à une catégorie d’action identifiée conventionnellement « à but social ».
Toute action devrait être une réaction adéquate aux circonstances, dans l’Instant, que ce soit crime ou abnégation.

Sans la croyance à l’ego, tous les États, royaumes et empires du monde disparaissent, LES RELIGIONS ABRAHAMISTES DISPARAISSENT.

LA NUIT OBSCURE ET LE ZÉRO INDIEN.


Comme la dualité DEDANS-DEHORS n’existe pas (comme l’écrit le Soûtra de la Liberté inconcevable V,14), RIEN NE SE TRANSMET, sinon, ce ne sont que des conventions d’opinions arrachées souvent par la violence. Tout au plus peut-on parler de RAYONNEMENT, d’ondes, de vibrations, dans le sens d’accompagner l’autre dans son jus : être au courant, du sien, et jus est LIT, RIVIÈRE. Aussi il est impossible de comprendre sans se jeter à l’eau (primordiale). Se disposer consiste principalement à NE PAS FAIRE/FER, À NE PAS INTERFÉRER, ce qui ajoute encore à l’AMBIGUÏTÉ, puisqu’il s’agit d’un état de NON-AGIR (Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement). Et c’est là que commence le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ », du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), équivalant de la devise alchimique, LA NUIT OBSCURE : « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore ». Le « Gate gate… » pouvant être « l’autre » ou la Circonstance, l’occasion qui - comme le symbole dévoile un Instant pour mieux re-voiler l’Instant suivant et plus fortement qu’auparavant - nous fait momentanément « devenir » l’autre (transmutation), qui nous fait participer de son état, peut alors opérer, ou non, une transmutation alchimique.

Le Zéro c’est aussi un monde de subtilités et d’influences totalement irrationnelles, non contrôlables, qui peuvent éventuellement faire écho (Ondes porteuses et sous-porteuses…). Voir l’idéographie chinoise au haut de page, qui signifie : courant, influx, influence, LA DIAGONALE QUI TRAVERSE, LA PUTRÉFACTION, RENONCEMENT [RENOIERIE][NOIER]/[NIER] et DIGESTION/ABANDON et LACHER PRISE/FLUIDE/COULER/COLON : TUER, NOYER, et l’on n’est pas loin du NOIR de qui découle la BLANCHEUR, puis la ROUGEU (le SURFEU).
Xun décrit l’action mystérieuse de la Putréfaction, l’Ainsité : le Soi, le EST, et aussi nom du Seul Réel, l’état naturel (bzhin nyid en tibétain), et épithète des Bouddhas ou Réalisés.
Xun est très proche d’un autre idéogramme de même prononciation qui signifie « crépuscule », il évoque LA NUIT OBSCURE où surgit les « états » que l’on peut rencontrer dans le sâdhana (moyen, discipline, méthode, pratique spirituelle] : « La Réalité, c’est simplement la perte de l’ego. Détruisez l’ego en cherchant son identité. Parce que l’ego n’est pas une entité, il disparaîtra automatiquement et la Réalité resplendira spontanément d’elle-même. C’est la méthode directe. Tandis que dans toutes les autres méthodes l’ego subsiste.
Celles-ci soulèvent quantités de doutes et à la fin la vraie question reste en suspens. Dans cette méthode-ci, par contre, la question finale est la seule qui existe, et elle est posée dès le début.
Aucune sādhanā (discipline) n’est nécessaire pour s’engager dans cette quête.
Il n’y a pas de plus grand mystère que celui-ci : nous cherchons à atteindre la Réalité alors que nous sommes la Réalité (2). Nous pensons que quelque chose nous cache notre Réalité et qu’il faut le détruire avant d’obtenir cette même Réalité (2). C’est ridicule. Un jour viendra où vous rirez vous-même de tous les efforts passés. Et ce qui sera le jour où vous rirez est déjà ici et maintenant. […] Dans le Yoga-vāsishtha il est écrit : « Ce qui est réel nous est caché, mais ce qui est faux se révèle à nous comme vrai ». En fait, la seule chose dont nous faisons l’expérience, c’est la Réalité ; pourtant nous ne le savons pas. N’est-ce pas la merveille des merveilles ?
La recherche « Qui suis-je ? » est le glaive qui sert à trancher l’ego ». (Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).

Si donc il se passe quelque chose entre deux êtres (peu importe le nom-la-forme) ou avec une circonstance, quelque chose de l’ordre d’une transmission, ce n’est qu’à l’occasion d’une « PRÉSENCE D’ABSENCE » que l’indicible « trame » ou « courant », fil d’Ariane peut se dérouler. Le Royaume des Cieux qui est en Vous transmet ses indications si, et seulement si, NOUS SOMMES EN ÉTAT DE TRANSPARENCE : DANS SES POMPES (Padam en sanskrit indique le Pied, synonyme du Soi ; être bien dans des pompes, être dans son LIT, ou comme Cendrillon avoir trouvé « chaussure à son pied »).

TON ÉTAT COMMUNIQUE AVEC TOI, IL N’Y A RIEN D’AUTRE, SURTOUT PAS DE DEDANS NI DE DEHORS : PADAM EST L’ÉCOUTE, LE COURANT, LE FLUX, LA TRANSPARENCE.

LES NORMES ET LES CONVENTIONS NE FONT QU’AUGMENTER, AMPLIFIER LE CORPS, celui qui va fourguer : le pouvoir, l’État, la banque, la marchandise et ses « valeurs » et son com-merx, son mercis de la soumission et du conditionnement, dont le président sera le DIEU, vont défigurer le sens du Christ-Jésus qui est le Soi, Padam : « Si, délaissant le corps analogue à un cadavre comme étant un vrai cadavre et sans même murmurer le mot ‘je’, on de demande avec diligence : ”Qu’est-ce qui s’élève en tant que ‘je’” il émane alors spontanément dans le Cœur un certain ‘Je’-‘je’ silencieux [sphurana : manifestation (de lumière)] - qui a entièrement annihilé le sens de l’individualité, la forme de l’ego, ”Je suis le corps” - finira par se résorber de lui-même, à la façon de la flamme qui allume le camphre. Cela seul, les grandes âmes et les Écritures l’appellent Libération » (cité dans Padamalai ”Une guirlande pour Padam”, de Muruganar [1890-1973], l’un des proches disciples éveillés de Ramana Maharshi).

Commandements et « droits de l’homme » maintiennent, par le citoyenisme ou « l’usager », le consommateur, la perceptibilité de l’ego [aham = ‘je’]. Mais le Nom originel se poursuit spontanément sans aucun effort de la part de l’individu, comme l’exprime le Maharshi dans Padamalai de Muruganar. Dans cette sotte siété à satiété, surtout en Occident, tout est construit pour séparer le sujet et l’objet ; tout est fait dans le fétichisme de l’objet, concret ou abstrait, détruisant ainsi l’Unité et créant la dualité. « Ne méditez que sur le Soi », dit le Maharshi. Et Tenter de détruire l’ego ou le mental à l’aide de pratique [sadhana] autres que l’investigation du Soi [Atma vichara], est analogue au voleur se déguisant en policier pour attraper le voleur qui n’est autre que lui-même. Seule l’investigation du Soi peut révéler la vérité selon laquelle ni l’ego ni le mental n’existent réellement, et elle seule permet de réaliser l’Être du Soi pur et indifférencié ou Absolu ». À propos du mot « Indifférencié », que tente de réaliser dans son égalitarisme le régime capitalo-républicain en embarquant tout le monde dans sa même soupe, voir la page On peut diviser sans fin un corps indifférencié.


ÊTRE, ou ÊTRE COUR (enclos, jardin, tapis volant, vase, vaisseau).

Cour = être Maât, direct, comme la Déesse égyptienne représentant la Vérité, la Réalité, le direct parce qu’il n’existe aucune dualité, aucune autre voie est possible.
ÊTRE = lA VÉRITABLE LIBÉRATION : SE LIBÉRER DU MENTAL EN LE RÉDUISANT AU SILENCE : « Il suffit de se demander intérieurement qui nous sommes. Comment cette investigation pourrait-elle jamais être conduite à travers les livres [ou à travers des « commandements » quelconques) ? On doit se connaître soi-même à travers notre propre œil de sagesse [intuition notamment]. Le Soi est au-dedans des cinq enveloppes, les livres sont au-dehors. Comme le Soi doit faire l’objet d’une investigation qui rejette les cinq enveloppes, il est futile de le rechercher dans les livres. Un jour viendra où il faudra oublier tout ce qui a été appris [sens de « Heureux les simples d’esprit » (Mt.5,3)], dit le Maharshi dans Padamalai.

ÊTRE COUR : « Demeurer dans l’état de conscience de la Réalité suprême sans interruption, même au cours d’activité, c’est être naturel [sahaja : inné] »

Commandements et « droits de l’homme » FORCENT À VOIR ET À CROIRE. Or l’Être qui réalise le Soi ne voit pas, ne croit pas, puisqu’il n’est pas dans la dualité d’un sujet face à un objet, il ne projette pas : « L’état de réalisation du Soi, comme on l’appelle, n’est pas de gagner quelque chose de nouveau ou de parvenir à un but distant, mais plutôt d’être tout simplement ce que vous êtes en permanence et que vous avez toujours été. Tout ce qui est nécessaire c’est de renoncer à vouloir appréhender le non-vrai comme s’il était vrai. Nous sommes tous occupés à ceci : considérer comme réel ce qui ne l’est pas. Il nous faut seulement abandonner cette habitude ancestrale. Alors, nous réaliserons le Soi tel qu’Il est. En d’autres termes, « Être le Soi ». À un moment donné, on rit de soi-même pour avoir essayé de découvrir le Soi pourtant si évident et incontestable [symbolisé par la plume sur la tête de la Déesse Maât]. Alors, que répondre à cette question ? [quand un homme réalise le Soi, que voit-il ?] » (le Maharshi dans Padamalai).

DI-able : le Capable (Able) et Deux (Di), comme Diffamateur, le Dichotomiste, avec les implications de séparation/non-séparé de l’Unité qui permet le Soi ou Retournement de la Lumière (retour dans les apparences).

« Commandements » ou « droits » (de l’homme » ça fait CLIENTÈLE, CALCUL, donc sujet face à l’objet, ou vendeur face au client, ou offre face à la demande…
Actuellement depuis le Néolithique il y a trois écoles en économie sociale :
1 - L’école qui considère l’être humain comme un objet.
2 - L’école où on considère l’être humain comme une bête (rejoint le 1).
3 - L’école qui considère l’être humain comme un frère.
Dans la Rome impériale l’humain était plutôt considéré comme une bête ou un objet, un mobilier ; et à ce hui ce qui prime en Europe c’est plutôt une copie du « droit romain » mélangé du « droit capitaliste » faisant des êtres humains des objets à QR code ! QR code qui sera appliqué sous une forme plus « rudimentaire » et surtout plus douloureuse quand, à la Renaissance après la Réforme et le triomphe du rationalisme bien avant celui de la « raison » des riches perruques poudrées et de leurs « lumières » cette « raison » inaugure son règne en Angleterre en confisquant aux mains de l’Église le patrimoine des pauvres, et en marquant iceux d’un fer rouge, ancêtre du QR code, pour vagabondage, et en cas de récidive ils étaient pendus. Ce qui ramène au droit romain de cette « justice » que certains trouvent si « numérique », au sens de si exacte, mais totalement dépourvue de compassion dans le sort qu’elle faisait naguère subir aux esclaves infirmes ou malades.

Le point trois renvoie immanquablement à la période Hippie qui déclenchera en France mai 1968, celui des ouvriers, pas celui de la « Gauche » socialisant, car il y avait DEUX mai 1968.
Le point trois, parce que les êtres humains sont tous frères et sœurs, pour les fameuses « libertés », il ne saurait s’imposer d’autres limites que celles fondées sur l’harmonie de compassion et de solidarité, mais non de disposer du sort des un(e)s et des autres, au nom d’une prétendue « souveraineté populaire » puisque depuis 1789 en France nous sommes tous devenus le Roi, alors que ce roi ne saurait résider dans l’ego ou le mental killer d’un consommateur, de ce fait la prétendue « liberté » ne peut aucunement appartenir au nombre, à la quantité, au général comme ce sera le cas lors d’élection au « suffrage ”universel” » escroquerie de cette prétendue « liberté » accordée par certains qui eux se réservent une « liberté au-dessus » ! La communauté est au service de la personne, et non comme actuellement dans le citoyenisme la personne au service de la société. Donc la personne (Xun les petiotes chouses) est une valeur supérieure, à laquelle la valeur de la société doit être subordonné (mais speed et rentabilité du capitalisme empêche cela pour faire dans le faire/fer et la quantité productiviste industrielle). La personne est transcendante par rapport à la communauté, car c’est la personne qui donne un sens à la communauté, et non le contraire comme actuellement sous droit romain et « État de droit » et judéo-maçonnerie spéculative du Grand Orient de France.
Tant que l’ego sera « augmenté » façon transhumanisme égoïste, le dilemme antique Moi-Individuel/Moi-Collectif continuera ses ravages.

« Commandements » ou « droits » (de l’homme » ça fait « civilisation », c’est-à-dire : modernité et tromperie dans toutes les strates sociales, de cette couverture qui tartine par sa « couverture sociale » de l’ambroisie sur du poison.


Notes.
1. La POMPE : donc passer AU TRAVERS, PAR LE DIA-GONALE : dia (au travers), à travers LA BOULE, LA CARAPACE, LA COQUE, LE MASQUE, LA POMPE : latin embolus : piston, du grec embolos), ou à travers le Jet (lancer) ; et rejoint le BOLOS de amphibolos : ambigu.
Bref, DIA = À TRAVERS (la boule) ; l’expression populaire « Perdre la Boule » exprime bien cette vérité de passer à travers…. le conventionnel, les idées reçues….. Boule = la Baleine et les Pinocchio et Geppetto à l’intérieur, puis recrachés.

2. Réalité évoquée par Howard Phillips Lovecraft : toute chose qui naît devient par essence périssable : LA VRAIE VIE EST ABSENTE DE CE QUI EST APPELÉ « RÉALITÉ » OU SIMPLEMENT « VIE ».
« JE EST UN AUTRE » : À L’UN LE RÉEL, AU SECOND LES EMMERDES ET SES DATES DE PÉREMPTION.
Le « Je est un autre » s’exprime de façon surprenante dans Démons et Merveilles de Lovecraft, à la fin de la première partie : Le témoignage de Randolph Carter, par la phrase cinglante, dans l’Instant absolu, apocalyptique : « ESPÈCE DE CRÉTIN, WARREN EST MORT ! ».
 
 

Dernière mise à jour : 17-10-2021 22:43

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