Le Vrai Danger ce ne sont pas des virus
 

Ecrit par Sechy, le 12-12-2021 00:05

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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Le Vrai Danger ce ne sont pas des virus
c’est la réplication en artificielle d’un
« cerveau humain » on « conscience »
appelée aussi « intelligence artificielle ».
 
Mère Nature universelle, venez Nous aider
en ces temps de génocide pfizeresque
injectable, et protégez-nous des robots
et de leur « intelligence artificielle » !
Maître Véritable, Grands Anciens,
Venez-Nous en aide !


« Avez vous réfléchi aux conséquences fatales
qui résulteront d’un progrès illimité ? »
Déjà, à cause de la multiplicité des acquisitions
scientifiques, l’homme ne parvient à vivre qu’à
force d’énergie et d’endurance, dans une ambiance
d’activité trépidante, enfiévrée et malsaine. Il a
créé la machine qui a centuplé ses moyens et sa
puissance d’action, mais il en est devenu l’esclave
et la victime : esclave dans la paix, victime dans la
guerre. La distance n’est plus un obstacle pour lui ;
il se transporte avec rapidité d’un point du globe à
l’autre par les voies aérienne, maritime et
terrestre. Nous ne voyons pas cependant que ces
facilités de déplacement l’aient rendu meilleur ni
plus heureux ; car si l’adage veut que les voyages
forment la jeunesse, ils ne semblent guère
contribuer à raffermir les liens de concorde et de
fraternité qui devraient unir les peuples.
Jamais les frontières n’ont été mieux gardées
qu’aujourd’hui. L’homme possède la faculté
merveilleuse d’exprimer sa pensée et de faire
entendre sa voix jusqu’aux contrées les plus
lointaines, et pourtant ces moyens mêmes lui
imposent de nouveaux besoins. Il peut émettre et
enregistrer les vibrations lumineuses et sonores,
sans y gagner autre chose qu’une vaine satisfaction
de curiosité, si ce n’est un assujettissement assez
peu favorable à son élévation intellectuelle. Les
corps opaques sont devenus perméables à ses
regards, et s’il lui est possible de sonder la matière
grave, en revanche que sait-il de lui-même, c’està-
dire de son origine, de son essence et de sa
destinée ?

Aux désirs satisfaits succèdent d’autres désirs
inassouvis. Nous y insistons, l’homme veut aller
vite, toujours plus vite, et cette agitation rend
insuffisantes les possibilités dont il dispose.
Emporté par ses passions, ses convoitises et ses
phobies, l’horizon de ses espoirs recule
indéfiniment. C’est la course éperdue vers l’abîme,
l’usure constante, l’activité impatiente, forcenée,
appliquée sans trêve ni repos. « Dans notre siècle,
a dit fort justement Jules Simon, il faut marcher ou
courir : celui qui s’arrête est perdu. » A cette
cadence, à ce régime, la santé physique périclite.
Malgré la diffusion et l’observation des règles
d’hygiène, des mesures de prophylaxie, en dépit
des innombrables procédés thérapeutiques et de
l’amoncellement des drogues chimiques, la maladie
poursuit ses ravages avec une inlassable
persévérance. A telle enseigne que la lutte
organisée contre les fléaux connus ne semble
avoir d’autre résultat que d’en faire naître de
nouveaux, plus graves et plus réfractaires.
La nature elle-même donne des signes non
équivoque de lassitude : elle devient paresseuse.
C’est à force d’engrais chimiques que le cultivateur
obtient maintenant des récoltes de valeur
moyenne. Interrogez un paysan, il vous dira que
« la terre se meurt », que les saisons sont troublées
et le climat modifié. Tout ce qui végète manque de
sève et de résistance. Les plantes dépérissent, —
c’est un fait officiellement constaté, — et se
montrent incapables de réagir contre
l’envahissement des insectes parasites ou
l’attaque des maladies à mycélium.

Enfin, nous n’apprendrons rien en disant que la
plupart des découvertes, orientées d’abord vers
l’accroissement du bien-être humain, sont
rapidement détournées de leur but et spécialement
appliquées à la destruction. Les instruments de
paix se changent en engins de guerre, et l’on
connaît assez le rôle prépondérant que la science
joue dans les conflagrations modernes. Tel est,
hélas ! l’objectif final, l’aboutissement de
l’investigation scientifique ; et telle est aussi la
raison pour laquelle l’homme, qui la poursuit dans
cette intention criminelle, appelle sur lui la justice
divine et se voit nécessairement condamné par elle.
(Fulcanelli, Les demeures philosophales).

Bref, l’être humain NE SAIT RIEN DE LUI-MÊME !
Il s’ingénie à détruire sa condition humaine,
celle de ses semblables, et celle de ses frères
et sœurs minérales et végétales.

Extrême confusion de ce monde
Baba et banalisation du monde des
tous spikés, tous pfizérisés.
C’est le « réalisationnisme » synonyme
du FAIRE/FER où la Réalisation du Soi
est confondu avec le « développement
personnel »
et simple état psychologique
de « bien-être » dans leur conformité
de WINNERS TUEURS D’HUMILITÉ,
LE MARCHÉ OU RÉSEAUX TUEURS.

BABALISATION OU MONDE DE LA TERRE PLATE.
Terre plate = la diversité marchandises.
BABALISATION OU MONDE = FAUX MYSTICISME
APPELÉ » LAÏCITÉ » ou « ATHÉISME » et
AGNOSTIQUE.

Ce monde actuel ne se fait pas piquer
contre le covidisme, MAIS INDUBITABLEMENT
CONTRE DIEU : IL FAUT ÉLIMINER DIEU
COMME ILS VEULENT ÉLIMINER UN VIRUS ET
SES DESCENDANTS (variants).
L’INJECTION AUX ARNm A REMPLACÉ DIEU.

L’intelligence artificielle IA va remplacer Dieu.
LE « ISME » OU SYSTÈME MERCANTILE A
DÉJÀ REMPLACÉ DIEU.

Même isme antique en caricature de l’Oiseau
Phénix renaissant de ses cendres.
Le « ISME » de réduire tous les Terriens à la
même NORME, du genre « tous les humains ont la
même nature, ils ont tous le même ”droit”, ainsi
ils se valent tous », mais combien de Terriens
oublient que « CERTAINS ONT UN PLUS GROS EGO ET
UN PLUS GROS COMPTE EN BANQUE QUE D’AUTRES,
PARCE QU’ILS FONCTIONNENT UNIQUEMENT DANS LE
MONDE QU’ILS ONT CONSTRUIT : CELUI DES WINNERS
CELUI DES ÉVOLUTIONNISTES
(qu’ils appellent
« progrès ») ; dont la première expérience
hautement concrète sera le « isme » à
injections-injonctions à ARN messagers.

LE KILLER DE CETTE PLANÈTE,
C’EST LE MENTAL DE L’HUMAIN
et en conséquence son prolongement en
« intelligence artificielle ».


Car la « fin des temps » énoncée par les religions du Salut et du marxengelsisme peut très bien aboutir à ce que l’IA, construite par le mental de l’humain, devienne LE ROBOT PARFAIT, Le Saint Graal du « zéro défaut » capable de tout manipuler dans son environnement : la Terre, ET CAPABLE DE SE RÉPARER LUI-MÊME ET DONC DE SE RÉPLIQUER TOUT SEUL (et en seulement quelques heures, alors que pour un humain il faut neuf mois pour faire un bébé humain…).
À ce hui ce n’est pas encore le cas, mais prochainement les robots seront capables de se réparer eux-mêmes jusqu’à singer un semblant « d’immortalité » en se réparant tout seul sans fin. Le robot prochain pourra se servir de n’importe quel outil dont se sert un vulgaire humain, ainsi il pourra s’atteler à n’importe quelle tâche comme le font les humains avec les mêmes outils. Le robot de demain pourra par conséquent réaliser les mêmes choses que font les humains ; faire les mêmes choses en plus rapide, sans grandes erreurs et SANS FATIGUER.
Dès qu’il y aura la construction ne serait-ce que de DEUX robots de ce type, comme avec deux êtres humains s’accordant sur une même opinion issue de leur inconscient collectif et décidant de fonder le « réel », les deux robots pourront faire de même ET DÉCIDER DE SUPPRIMER LES HUMAINS DEVENUS LEURS INFÉRIEURS, EN TOUT.
DEVINEZ QUI SERA LE PROCHAIN ESCLAVE DE QUI ?
Ce sera le retour à l’esclavage de l’antiquité où les maîtres humains seront les esclaves, un peu comme la caricature du film (La planète des singes) où les singes devenus IA ont des esclaves devenus des animaux humains.


Depuis le 1789 français, LES DÉS SONT JETÉS,
LES VERROUS DU SECRET ET DU SACRÉ ONT SAUTÉ.
AVEC LA TECHNOLOGIE NOUS VIVONS LES
TEMPS OÙ CE SONT LES POURCEAUX ET AUTRES
VIRUS D’HUMAINS QUI SE JETTENT SUR LES PERLES
afin d’échapper à la souffrance.

Le prochain robot à base d’IA pourra-t-il
connaître lui aussi la souffrance ?

L’HEURE EST AU DÉVOILEMENT (dans le sens
de ”progrès”) : ON TIRE LE RIDEAU :
APOCALYPSE (révélation, Synthèse et Temps
Nouveaux
).
Cependant : PLUS QUE JAMAIS AUPARAVANT :
PRUDENCE EXTRÊME DANS CE MONDE DU SPEED
ET DE SON TOUT, TOUT DE SUITE, qui invite
facilement à tous les excès possibles, y
compris bien-sûr en spiritualité, et
pousse à faire abstraction des conduites
traditionnelles dans la logique de
l’évolutionnisme.

Qu’est-ce que le « Bien » ?
Cet état est unique.
Aucun autre ne lui est comparable.
Bien qu’étant Unique, il est curieux
que pour l’inconscient collectif il soit
jugé « très rare », comme l’Instant
insaisissable…

Mère Nature universelle, venez Nous aider
en ces temps de génocide pfizeresque
injectable, et protégez-nous des robots
et de leur « intelligence artificielle !
Maître Véritable, Grands Anciens,
Venez-Nous en aide !

Car ce monde va de plus en plus mal où
le smartphone est devenu le Saint Graal,
le Dieu même, évolutionnable
comme son ARNm tous les
ans ou tous les 6 mois.

Il est ce monde comme les gens qui CROIENT
que cette planète est un cube ou un
camembert, comme le mineur voisin de
Jean Coulonval (Synthèse et Temps Nouveaux),
des capitalistes qui font dans la quantité,
comme un paysan moderne ou un transhumaniste
qui veut agrandir son champ ou s’augmenter :
après une parcelle-vérité, j’en achèterai une
autre, puis une autre, à l’infini, aucune
raison que ça s’arrête en démocratie et en
paradoxe du socialisme de l’individualisme !

L’État républicain français et tous États qui
se disent « république » se vautrent dans ce
qu’ils appellent « liberté », c’est-à-dire
dans ce qui n’a aucune limite comme la chaîne
sans fin de causes et d’effets, qui, en
elle-même, ne peut que conduire à la stérilité,
ce que certains appellent « développement
historique de la nation »
.

C’est leur Terre-plate-évolutionnniste.
Dans la Terre-ronde, la sphère a une surface
finie, comme une ligne en bouclant sur
elle-même accomplit un cercle tel l’Ouroboros.


« Monde clos ou Univers infini ? ».
« On peut considérer la totalité du cosmos comme une collection d’étoiles, comme un total de billes dans le sac d’un gamin. On aurait alors l’analogue de ce qu’est la ligne pour le ver : une collection de pas, de petites distances accumulées, interminable. Ou l’analogie de ce qu’est la Terre pour mon Mineur : une collection de parcelles de terre qui s’ajoutent, indéfiniment. or, le problème du ver est résolu par la circonférence. Le problème de mon Mineur est résolu par la sphère.
Tout le monde dira que mon Mineur était vraiment un crétin, un minus. Et pourtant ! Ceux qui tiennent l’Univers pour un total fini de sphère dans un volume fixe, même s’ils envisagent la possibilité d’ajouter indéfiniment des sphères à des sphères (comme un gamin qui gagne aux billes), même s’ils croient que leur imagination suffit à le faire gonfler, ceux-là ne sont pas moins crétins que mon Mineur.

Par quoi est limité le camembert de mon mineur ? Un abîme ? Une muraille ?
Par quoi est limité l’Univers sac-de-billes, en nombre fixe ou croissant, ou occupant un volume en expansion ?
C’est le même vertige intellectuel que pour le camembert [des platistes].
Je suppose que, de la même façon que la géométrie du cercle n’est pas celle de la ligne droite, que celle de la sphère n’est pas celle du cercle, celle de l’Univers n’est pas celle de la sphère.
De la même façon que la ligne droite, en bouclant ses deux bouts pour se faire cercle, perd sa réalité de quantité fini (Pi est un nombre incommensurable). De même que le cercle, en se développant en sphère, perd sa propriété de surface définie par un périmètre, l’Univers doit être conçu selon une géométrie ou la sphère perd ses propriétés. Fini ? ou infini ?
De la même façon que la question de savoir si pour la ligne droite il y a terminus ou pas terminus, n’a plus aucun sens quand elle se boucle en cercle.
De même que la question de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de surfaces planes, n’a plus sens quand on considère la sphère, la question de savoir s’il y a terminus ou pas terminus dans l’addition de sphères à des sphères, ou s’il faut allonger le rayon qu’on a la tentation d’assigner à la globalité cosmique, doit perdre tout sens intelligible dans la géométrie de l’Univers, de la Création. Elle doit réaliser l’identité des contraires du Haut et du Bas, du Grand et du Petit… ». Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 30 à Aimé Michel, le 4 juillet 1974.

Or, tant que l’oligarchie et sa finance internationale fonctionne comme le mineur de Jean Coulonval, il n’y a pas de raison que ça s’arrête !


TOUT étant Sans Pourquoi, TOUT est UN : EAUX PRIMORDIALES OU SAINT CHAOS.
« L’ego est comme notre ombre sur le sol. Tenter de l’enterrer serait une sottise. Le Soi n’est qu’un. S’il est limité, c’est l’ego. S’il est illimité, c’est l’Infini, la Réalité ». (Ramana Maharshi, entretien 146 du 26-1-1936).

« S’il est limité, c’est l’ego », dit le Maharshi, et c’est cela que veulent transformer en IA certains ego au Pour-voir et à l’argent. LE PROCHAIN ROBOT AVEC SON IA RISQUE FORT DE DÉVELOPPER UN EGO, UNE INDIVIDUALITÉ IDENTIQUE À CELLE DU CITOYENISÉ DE LA RÉPUBLIQUE.

« Trouvez-le. En fait, chacun de nous est un « assassin du Soi » (atmahan) à chaque moment de sa vie ». (Ramana Maharshi, entretien 17 du 24-1-1935).

Tout ce que tu considères comme « à toi », à « moi », à « lui » ou à « elle », tout cela est UN. Tous les noms-les-formes sont UN.

Aussi longtemps que le germe de la différenciation, ET « DIVERSITÉ » DU MERCANTILISME est présent, l'arbre correspondant est à même de fleurir, que l'on s'y attende ou pas, C’EST L’ARBRE SUR LEQUEL LE CROYANT CUEILLE LA POMME. Il faut donc renoncer à cette faculté de différenciation. Tout est UN.

Comment quelqu'un pourrait-il aimer les autres mieux qu'en sachant qu'ils sont lui-même ? Puisque l’Univers est DANS le mental]. Il les connût en tant qu'Unité -, il les aime en tant qu'Unité, puisqu'en vérité, ils sont UN.
L'amour d'un Sage ou Bienheureux ayant réalisé l'Unité de toutes choses dépasse, et de très loin, même l'amour d'une mère. Il n'y a pas d'autre moyen pour réaliser un tel amour que la connaissance de l'Unité : tout est UN.

Qui es-tu ? Ce corps, est-ce toi ? S'il en est ainsi, pourquoi n'as-tu pas conscience du « serpent qui glisse » sur lui lorsque tu es en sommeil profond ? Certainement, tu es autre que ce corps.
Parfois, dans ton sommeil, tu as un rêve ; alors, tu t'identifies à un personnage ; ce personnage, est-ce toi ? Non. Ou alors, que devient-il à ton réveil ? Tu ne peux être lui. Plus encore, tu as presque honte de t'être identifié à lui (quand le rêve est angoissant). Il est clair que tu n'es pas ce personnage ; tu es celui qui se tient à l'écart, (celui qui est COUR).

« Grâce à l'intellect, tu es capable de te distinguer des objets environnants [comme le robot…] : comment pourrais-tu admettre que tu es la même chose que l'ignorance, ou le vide ? Comment cela pourrait-il être ta véritable nature ? Ce n'est pas possible. Tu es le Connaisseur qui sait que cet état est un voile obscur et dense recouvrant ta véritable nature. L'ayant condamnée après en avoir fait l'expérience, tu sais que tu n'es pas cette sombre ignorance du sommeil profond. Tu es celui qui se tient à l'écart de cela aussi ». « Tu es différent de ces trois états [de veille, de rêve et de sommeil profond], et de ce monde ». Trois états se résumant à la dualité conscience-inconscience, donc dualité étrangère au Seul Réel, au ‘Je’ la Vraie Nature, comme à l’état de Turiya. (Voir aussi la page ÊTRE).

« En pratique, il n'est pas possible pour quiconque, de demeurer à jamais dans cet état qui est l'état sans connaissance du particulier. Celui qui a réalisé le quatrième état [Turiya], tôt ou tard revient à ce monde -, mais pour lui le monde n'est plus comme avant - il voit ce qu'il a réalisé comme étant le Quatrième état [Turiya], rayonner en toutes choses. Il ne voit plus ce monde comme différent de cette Pure Connaissance. Ainsi, ce qu'il a vu à l'intérieur, il le voit maintenant, d'une manière différente, aussi à l'extérieur. Ayant quitté le stade de la différenciation, il est à présent établi dans l'état de non-différenciation, où qu'il se trouve. Désormais, il est Tout. Il n'y a rien qui soit différent de lui. Que ses yeux soient fermés ou ouverts, quels que soient les changements pouvant survenir, son état demeure inchangé. Cela est l'état de Brahmati ; Cela est l'état naturel éternel. Tu es cet état, éternellement Vrai.
- Il n'y a rien au-delà de cet état. Les mots "intérieur" [DEDANS] et "extérieure" [DEHORS], perdent leur sens. Tout est UN ».

Comme pour les injections à ARMm de ces gens qui ont peur de mourir : À MOI, À MOI, PIQUEZ-MOI, PROTÉGEZ-MOI ! Oh grand ego, Grand Winner, lorsque tu dis « à moi, à moi » tous les autres rivalisent par « à moi, à moi ». Lorsque tu dis : « Je suis le plus grand », les autres protestent : « Comment ? Mais c’est moi le plus grand, le plus intelligent, etc. » À cause de toutes ces dualités guerrières, tes productions mentales ou opinions sont augmentées indéfiniment, sans limite. AINSI L’HEURE EST VENU DU LÂCHER PRISE, DE LA NON-SAISIE AUTRE NOM DU RENONCEMENT OU DE LA PUTRÉFACTION, LE FLÉAU (pour les capitalistes et républicains).

FLÉAU = JE SUIS DEVENU LE TOUT, LE UN
(ce qui ne sera pas bon pour les capitalistes et républicains et socialistes et leur diversité marchandises).


[En références à : Synthèse et Temps Nouveaux, de Jean Coulonval. Ellâm Onru - Texte tamoul anonyme du 19è siècle, texte que Ramana Maharshi conseillait en lecture à ses visiteurs. Ramana Maharshi qui conseillait six livres : Kaivalya Navanitam, Ribhu Gitâ, Ashtâvakra Gitâ, Ellâm Onru, Swarupa Sâram et Yoga Vasistha]
 
 

Dernière mise à jour : 12-12-2021 00:44

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