Ces Juifs créateurs du besoin et de la saisie
 

Ecrit par Sechy, le 17-12-2021 23:04

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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Ces Juifs créateurs du besoin et de la saisie
LA LOI DE SUCCION chez les frères Abraham et
Simon Oppenheim qui déclaraient ceci en 1840 :
« Vendre une perle que vous avez à quelqu’un
qui en a envie, ce n’est pas faire des affaires ;
mais vendre une perle que vous n’avez pas à
quelqu’un qui n’en veut pas, voilà ce qui
s’appelle faire des affaires ».
(Réf. page 451 du livre de Jacques Attali,
Les Juifs, le monde et l’argent).
 
Sa variation se trouve dans l’antienne talmudique
DE LA VALEUR D’ÉCHANGE : « Rien n’est bon pour les
Juifs si ce n’est bon aussi pour ceux qui les
entourent », une définition possible de la
république, du social et de sa trinité
judéo-maçonnique spéculative
”liberté-égalité-fraternité”,
pages 166, 340, 359, 365 du livre d’Attali, de
ces « bons citoyens qui ne veulent rien d’autre
qu’apporter la prospérité autour d’eux » (p.365)
Proposer des services c’est créer
aussi des besoins, DES BÉQUILLES et une
envie de se voir commandés.
AIDER AUTRUI C’EST TOMBER DANS LA RACINE
DU MAL EN RÉDUISANT LA LIBERTÉ ET EN
AUGMENTANT LA RACINE DU MAL : LA SAISIE,
SAISIE PARTICULIÈREMENT À L’ŒUVRE EN CETTE
PÉRIODE DU SOI-CHRIST (Noël et éternel
Retour à l’Origine par le Premier de l’An).
NOËL EST DEVENU LE DIABLE, LA DÉPRIME.


La « valeur d’échange » LA RACINE DU MAL,
définie par un seul mot : SAISIE,
qui ne peut que contenir inévitablement
les mots : VALEUR, BESOIN (articifiels) :
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion ou Eucharistie].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme,
du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V,14)

« Dans l’introuvable il n’y a pas de saisie »
DANS LE COMMERCE ET SON SOCIAL EN RÉSEAUX
IL N’Y A QUE DES SAISIES (par les consommateurs
soumis à la loi de succion, aussi appelée par
les religions abrahamistes et messianiques :
Eucharistie ou Communion [social],
Salut, Rédemption).


Ce mental criminel de Juifs représentants de la
loi de succion et marchands du Temple et plus
tard marchands de confiance (ancien nom des
banquiers) qui créèrent un besoin, une SAISIE
UN ARTIFICE, UN CONCEPT, UN CALCUL, DU VIRTUEL
(informatique comme par les ”réseaux sociaux”
parfaite saisie des masses dans ses filets de
l’illusion confort, rassurante, consolatrice).

Les injections spike répétées sont identiques
aux marchands de confiance : les masses confient
leur santé, donc LEUR SÉCURITÉ, LEUR PEINE,
LEUR IMMUNITÉ aux marchands de confiance et du
Temple pour-voyeurs du Big Pharma nouveau cocooning
car il est interdit de mourir ce serait mauvais pour
la LOI DE SUCCION (ou de consommation,
de besoin artificiel).

Ainsi, la santé des injectés est maintenant
entièrement sous la dépendance des marchands de
confiance au sens générique :
CROYANCE-CRÉDIT-CRÉDO et OPINION.
Les injectés aux ARNm deviennent des objets de
cette finance internationale dont le nombril est
la City de Londres et son essence est
la LOI DE SUCCION : LA SAISIE (aussi appelée
« valeur d’échange », « attraction universelle »)
Les injections contre un virus covid-19-X produisent
une réaction en chaîne d’arrêts des fonctions
vitales du corps et de sa réponse immunitaire : le
citoyenisé devient un robot au service des
marchands de confiance et de leur loi de succion.

LOI DE SUCCION = SOUMISSION comme les injectés
aux ARBm sont SOUMIS TEL UN DROGUÉ À LEUR DROGUE.
INJECTIONS ARNm = ADDICTION (tous les X mois) et
tout bénéfice et loi de succion pour les fabricants
et pourvoyeurs de cette drogue légale (2).

LOI DE SUCCION = PENSER (et par conséquence
PANSER, dont les injections spikes à ARNm).


La SAISIE : le libre arbitre (de l’ego) : « Ce même ego voit que ses activités passées se sont déroulées dans le cadre d’une « loi » ou de règles et que son propre libre arbitre n’était qu’un simple maillon dans le jeu de cette loi. L’omnipotence et l’omniscience de Dieu sont dès lors considérées par l’ego comme la force qui agit sous l’apparence de son propre libre arbitre. L’ego parvient donc à la conclusion qu’il doit fonctionner selon les apparences. Quant aux lois naturelles, ce sont des manifestations de la volonté de Dieu, établies par Lui […] Si notre mental est agité par le sentiment d’imperfection et d’insatisfaction de ce qui nous arrive ou de ce que nous avons commis ou omis, alors il est sage d’abandonner le sens de la responsabilité et du libre arbitre et de nous considérer comme l’instrument prédestiné de l’Omniscient et Omnipotent afin d’agir et de souffrir selon Son bon plaisir. C’est Lui qui se charge de tous les fardeaux et qui nous donne la paix ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
À l’entretien 193 du 3-6-1935 : « Le libre arbitre et le destin existent toujours. Le destin est le résultat des activités passées ; il concerne le corps. Que le corps agisse comme il lui convient.
Pourquoi vous en préoccuper ? Pourquoi y prêtez-vous attention ?
Le libre arbitre et le destin durent aussi longtemps que le corps. Mais la sagesse (jnana) les transcende tous deux. Le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Lorsqu’un événement se produit, c’est la résultante des diverses activités passées, de la volonté divine et d’autres facteurs ».
« Le libre arbitre et le destin perdurent aussi longtemps que le corps subsiste. Mais la Sagesse transcende l’un et l’autre, car le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance ». (Entretien 346 du 23-1-1937).
« Le libre arbitre ne se conçoit qu’en fonction de l’existence d’une individualité. Tant que l’individualité subsiste, il y a le libre arbitre. Tous les shâstra [écritures sacrées, science traditionnelle] sont basés sur ce principe et conseillent comment diriger le libre arbitre dans la bonne voie.
Cherchez pour qui le libre arbitre ou le destin a de l’importance. Demeurez en cela. Alors les deux sont transcendés. C’est le seul but de ce genre de discussion. À qui ces questions se posent-elles ? Découvrez cela et soyez en paix ». (Entretien 426 du 12-6-1937).

Selon Jacques Attali, page 18 de son livre cité, les Juifs auraient inventé l’évolutionnisme pour « racheter » la faute de l’Homme et par là même fabriqué la flèche du temps, qu’ils devaient mettre en « valeur », eux et les autres ; mais surtout eux avec leurs commerces en valeurs d’échanges.
METTRE EN VALEUR LE TEMPS = METTRE EN VALEUR LES ÉCHANGES… D’OPINIONS ET DE MARCHANDISES ET DE VALEURS.
TEMPS = ESPOIR, MESSIANISME, CAROTTE (attachée à distance de la tête de l’âne pour le faire avancer) et religions du Salut LOI DE SUCCION. Le Salut ou Rédemption fait la partie de la loi de succion, comme le désir augmenté par les frères Oppenheim, qui peut aussi s’appeler espoir, celui de l’âne arrivant à enfin manger la carotte : « Même ce désir-là est un obstacle. Le Soi est toujours présent, rien n’existe en dehors de lui. Soyez le Soi, et désirs et doutes disparaîtront. Ce Soi est le témoin dans les états de sommeil profond, de rêve et de veille. Ces trois états appartiennent à l’ego. Le Soi transcende même l’ego.
N’existiez-vous pas durant le sommeil profond ? Saviez-vous alors que vous dormiez et que vous étiez inconscient du monde ? Ce n’est qu’en état de veille que vous décrivez cette expérience de sommeil comme étant inconscience ; pourtant votre conscience quand vous dormez est la même que lorsque vous êtes éveillée. Si vous savez ce qu’est cette conscience de veille, vous connaîtrez la conscience qui se tient comme témoin dans les trois états. Cette conscience peut être trouvée en cherchant la conscience telle qu’elle était durant le sommeil profond ». (Entretien 13a du 7-1-1935).

« Abandonnez les pensées. Vous n’avez pas besoin d’abandonner quoi que ce soit d’autre.
Pour voir quelque chose, il faut que vous soyez là. Ce « vous » c’est le Soi. Le Soi est éternellement conscient ». (Entretien 41 du 22-3-1935).
Idem et principalement avec le temps : il faut une personne ou une conscience pour le voir, sinon il n’existe pas ; et à l’état de veille, ce sont les autres qui disent qu’il existe un temps. « Un objet peut-il exister sans quelqu’un qui le voit ? Les expériences peuvent être réelles, mais les objets dépendent de celui qui les voit », dit Ramana Maharshi à l’entretien 164 du 24-2-1936. Un couteau ne va pas se planter tout seul dans un corps ni couper tout seul une chair ! Il faut quelqu’un pour le fabriquer et l’utiliser.
« Le concept du ‘je’, c’est l’ego. L’Éveil au ‘Je’, c’est la réalisation du Soi réel. Il resplendit éternellement comme ‘Je’-‘Je’ dans l’enveloppe intellectuelle. Il est Connaissance pure ; la connaissance relative n’est qu’un concept [de la dualité sujet-objet]. La félicité de l’enveloppe de félicité n’est aussi qu’un concept [une enveloppe].
On ne peut pas dire « j’ai bien dormi » si l’on n’en a pas fait l’expérience, si subtile soit-elle.
C’est à partir de l’intellect que l’on parle de l’enveloppe de félicité. La félicité du sommeil n’est qu’un concept, tout comme l’est l’intellect. Néanmoins, dans le sommeil, ce concept est extrêmement subtil. L’expérience est en effet impossible si en même temps l’on n’en a pas conscience (c’est-à-dire une connaissance relative).
La nature inhérente du Soi est Félicité. Cependant, une certaine forme de connaissance doit encore être admise, même dans la réalisation de la félicité suprême. On peut la qualifier de plus subtile que le plus subtil ». (Entretien 204 du 18-6-1936).

Pas de besoin, pas de désir TOUT EST DÉJÀ LÀ ICI ET MAINTENANT.

« La Réalisation n’est pas quelque chose à acquérir. Elle est déjà là. Tout ce qui est nécessaire consiste à se débarrasser de la pensée « je n’ai pas réalisé ».
- Question : Ce n’est donc pas la peine d’essayer de l’obtenir.
- Maharshi : Non, en effet. La tranquillité mentale, la paix, est Réalisation. Il n’y a pas un instant où le Soi n’est pas.
Aussi longtemps qu’il y a doute ou sentiment de non-réalisation, on doit s’efforcer de se débarrasser de ces pensées.
Les pensées sont dues à l’identification du Soi avec le non-Soi. Quand le non-Soi disparaît, seul demeure le Soi. Pour faire de la place quelque part, il suffit d’enlever ce qui encombre. La place ainsi dégagée n’a pas été ajoutée. Mieux encore – la place existait déjà, même quand le lieu était encombré.
L’absence de pensées n’est pas un vide. Il faut qu’il y ait quelqu’un pour connaître le vide. La connaissance et l’ignorance relèvent du mental. Elles sont nées de la dualité. Mais le Soi est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il est la lumière même. Il n’est pas nécessaire de voir le Soi avec un autre Soi. Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi est non-Soi. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi. Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de ces deux fonctions, tout seul, en tant que pure conscience.
Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver.
De même le Soi est toujours présent, que vous le cherchiez ou non. Tout comme la femme s’imagine que son collier a été retrouvé, de même éprouve-t-on le sentiment que le Soi, toujours présent ici et maintenant, se révèle lorsque cessent l’ignorance et la fausse identification. C’est ce qu’on nomme Réalisation [faisable évidemment à l’état de veille]. Mais il n’y a rien de nouveau. C’est simplement l’élimination de l’ignorance, et rien de plus.
Le vide est le résultat néfaste de la recherche du mental. Le mental doit être tranché, racines et branches. Cherchez qui est le penseur, qui est le chercheur. Demeurez le penseur, le chercheur. Toutes les pensées disparaîtront ». (Entretien 245 du 8-9-1936).

« La conscience est apparue en un éclair et a disparu de même. Ce qui a un commencement doit avoir une fin. Ce n’est que lorsque la Conscience suprême, toujours présente, est réalisée qu’elle devient permanente. À vrai dire, la conscience est toujours avec nous. Chacun sait : « Je suis » !
Personne ne peut nier son propre être. L’homme, en sommeil profond, n’en est pas conscient ; quand il est éveillé, il semble en avoir conscience. C’est pourtant toujours la même personne. Il n’y a aucun changement entre celui qui dormait et celui qui est éveillé. En sommeil profond, il n’était pas conscient de son corps. Ce n’est qu’au réveil qu’il en prend conscience. La différence réside donc dans l’émergence de la conscience du corps et non dans quelque changement de la conscience réelle.
Le corps et la conscience du corps apparaissent et disparaissent ensemble
[c’est le site qui souligne] ». (Entretien 96 du 13-11-1935).

« Ce que vous considérez être le Soi est en réalité le mental ou l’intellect ou la pensée ‘je’ [l’ego]. Les autres pensées [ou opinions] ne s’élèvent qu’après la pensée ‘je’. Accrochez-vous à cette pensée [celle du « QUI SUIS-JE ? »]. Les autres s’évanouiront et ce qui subsiste est le Soi ». (Entretien 238 du 20-7-1936).

- Question : Comment connaître le Soi ?
- Maharshi : Y a-t-il deux ‘je’ ? Comment connaissez-vous votre propre existence ? Vous voyez-vous avec vos yeux ? Interrogez-vous. Comment votre question est-elle venue se poser ? Est-ce que ‘je’ subsiste pour la poser ou non ? Puis-je trouver mon Soi comme dans un miroir ?
Comme votre perspective a été dirigée vers le dehors, le Soi a été perdu de vue et votre vision est devenue extérieure. On ne trouve pas le Soi dans les objets extérieurs. Tournez votre regard vers l’intérieur et plongez en vous ; vous serez le Soi ». (IMPORTANT passage de l’entretien 238 déjà cité ci-dessus).

Même entretien 238 : « Comment peut-on contrôler le mental ?
Réponse du Maharshi : Un voleur [à l’instar du voleur devenu policier] se trahira-t-il lui-même ? Le mental se trouvera-t-il lui-même ? Le mental ne peut pas chercher le mental. Vous ignorez ce qui est réel, et vous vous accrochez au mental, qui, lui, est irréel, tout en essayant de trouver qui il est (1). Le mental existait-il dans votre sommeil ? Il n’y était pas.
Maintenant il est là. Par conséquent, il est impermanent. Pouvez-vous trouver le mental ? Le mental n’est pas vous. Vous pensez être le mental et c’est pourquoi vous me demandez comment le contrôler.
S’il existe, il peut être contrôlé. Mais il n’existe pas. Comprenez cette vérité par la recherche. La recherche de ce qui est irréel est infructueuse. Cherchez donc la Réalité, c’est-à-dire le Soi. C’est la manière de maîtriser le mental. Il n’y a qu’une seule chose qui soit réelle.
- Question : Quelle est la seule chose réelle ?
- Maharshi : C’est ce qui est ; le reste n’est qu’apparence. La diversité n’est pas sa nature. Nous lisons les caractères imprimés sur le papier mais nous ne tenons pas compte du papier qui en est le support.
De même, vous vous laissez prendre par les manifestations du mental et vous laissez de côté le support. À qui la faute ?

« Chacun est le Soi infini. Et cependant, chacun prend le corps pour le Soi. Pour connaître quoi que ce soit, un éclairage est nécessaire. Un tel pouvoir d’éclairage ne peut provenir que d’une lumière éclairant à la fois la lumière physique et l’obscurité. Par conséquent, cette Lumière se trouve au-delà de la lumière visible et de l’obscurité.
Elle n’est ni lumière ni obscurité ; mais on l’appelle Lumière parce qu’elle les éclaire toutes les deux.
Elle est également infinie et demeure en tant que Conscience. Cette Conscience est le Soi dont chacun a connaissance. Personne n’est éloigné du Soi. Chacun est réalisé, chacun est le Soi. Et pourtant, n’est-ce pas un mystère que l’être ignore ce fait fondamental et désire réaliser le Soi ? Cette ignorance provient de l’identification erronée du corps avec le Soi [et la fabrication de la flèche du temps ou de l’histoire]. La Réalisation consiste donc à se défaire de cette fausse idée que l’on n’est pas réalisé [et que l’on n’est pas libre, mais pas au sens mercantile de 1789 et de la consommation aliénatoire assimilée à une ”libération”]. La Réalisation n’est pas quelque chose de nouveau à acquérir [elle n’est pas la carotte du messianisme]. Elle doit déjà exister pour pouvoir être permanente. Sinon, aucun effort pour l’atteindre ne vaudrait la peine ». (Entretien 482 du 29-4-1938).

Le mental et l’OPINION : LA GRANDE ENNEMIE DE LA VRAIE PAIX.
« Si la Réalisation [du Soi] était quelque chose qui vous est extérieur, une voie pourrait vous être montrée, compatible avec votre individualité, vos capacités, etc. Puis, surgirait la question de savoir si elle est réalisable et dans combien de temps. Mais ici, la Réalisation concerne le Soi. Vous ne pouvez pas rester sans le Soi. Le Soi est toujours réalisé. Mais seulement, vous ne reconnaissez pas ce fait. La Réalisation est maintenant obscurcie par l’idée que vous vous faites du monde. Vous voyez le monde [ou l’Univers comme envoyer des trucs dans « l’espace »] en dehors de vous et l’idée associée à lui obscurcit votre nature réelle. Il suffit de dépasser cette ignorance et le Soi sera révélé. Aucun effort particulier n’est nécessaire pour réaliser le Soi.
Tous les efforts servent uniquement à éliminer l’obscurcissement présent de la vérité ». (Entretien 490 du 4-5-1938).

Inventer l’espace-temps et s’envoyer en l’R dedans-dehors : « Qu’est-ce que le temps ? Le temps postule un état, la connaissance qu’on en a et les changements qui l’affectent. L’intervalle entre deux états est appelé « temps ». Un état ne peut naître que si le mental crée son existence ; le mental, à son tour, repose dans le Soi. Quand on ne se sert pas du mental, il n’y a pas de concept de « temps ». Le temps et l’espace sont dans le mental, mais l’état véritable de chacun se trouve au-delà du mental. La question de temps ne se pose pas pour celui qui est établi dans sa vraie nature ». (Entretien 601 du 27-12-1938).

- Question : Suis-je plus proche de moi-même dans mon sommeil que dans mon état de veille ? Car le Soi est pure conscience. Personne ne peut être éloigné du Soi. La question ne peut se poser que s’il y a dualité. Mais il n’y a pas de dualité dans l’état de pure conscience.
C’est la même personne qui dort, rêve et se réveille. L’état de veille est considéré comme étant plein de choses belles et intéressantes. En l’absence de ces dernières, on dit que l’état de sommeil est ennuyeux. Avant d’aller plus loin, éclaircissons le point suivant : Admettez-vous que vous existez durant votre sommeil ?
- Question : Oui, je l’admets.
- Maharshi : Et vous êtes la même personne qui est maintenant éveillée. N’est-ce pas ?
- Question : Oui.
- Maharshi : Il y a donc une continuité dans les états de veille et de sommeil. Quelle est cette continuité ? C’est l’existence à l’état pur.
Pourtant, il y a une différence entre les deux états. Quelle est cette différence ? Les manifestations telles que le corps, le monde et les objets apparaissent en état de veille, mais elles disparaissent en sommeil profond.
- Question : Mais je ne suis pas consciente dans mon sommeil.
- Maharshi : C’est vrai, dans le sommeil il n’y a pas la conscience du corps ou du monde. Mais vous devez bien exister dans votre sommeil pour pouvoir dire quand vous en sortez : « Je n’étais pas consciente dans mon sommeil ». Qui tient ces propos maintenant ? C’est la personne éveillée. Celle qui dort ne peut pas le dire. Autrement dit, l’individu qui, maintenant, identifie le Soi au corps affirme qu’une telle conscience n’existe pas dans le sommeil.
C’est parce que vous vous identifiez à votre corps que vous voyez le monde autour de vous et que vous dites que l’état de veille est plein de choses belles et intéressantes. L’état de sommeil vous paraît ennuyeux parce que vous n’y étiez pas en tant qu’individu, et en conséquence, toutes ces belles choses n’existaient pas. Mais quel est le fait indéniable ? C’est qu’il y a la continuité d’être dans chacun des trois états, mais qu’il n’y a pas de continuité pour l’individu et les objets.
- Question : Oui.
- Maharshi : Ce qui est continu est aussi durable, c’est permanent. Ce qui est discontinu est transitoire.
- Question : Oui.
- Maharshi : Par conséquent, l’état d’être est permanent et le corps et le monde ne le sont pas. Ils sont des phénomènes fugitifs qui passent sur l’écran de la conscience d’être, laquelle est éternelle et immobile.
(Entretien 609 du 18-1-1939).


Notes.
1. Typique exemple de l’impossibilité de ce qu’orgueilleusement l’humain appelle « science humaine ».
La connaissance par l’humain de sa nature humaine NE PEUT PAS ÊTRE UNE SCIENCE car toute science entre dans la dualité du sujet qui étudie son objet, ce qui implique le PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI : rechercher sa propre identité - alors qu’on ‘EST’, ‘CELA’ DE TOUTE ÉTERNITÉ - est une impossibilité de ne jamais identifier le Seul Réel, parce que le Seul Réel est précisément ce qui, pour être sans copie, sans double, demeure réfractaire à toute tentative d’identification ou de possession. Comme le policier aussi voleur ne va pas entreprendre de se saisir de lui-même ; s’il le fait, ou ne le fait pas, c’est QU’IL S’AUGMENTE, IL AUGMENTE DONC SON MENTAL EN ESSAYANT DE LE CONTROLER, IL AUGMENTE AINSI SON EGO, EN IGNORANT DE PLUS EN PLUS LUI-MÊME, EN SE TOURNANT DE PLUS EN PLUS VERS L’EXTÉRIEUR À LUI-MÊME…
« En cherchant si le mental existe ou non, on s’aperçoit qu’il n’existe pas. C’est là le contrôle du mental. Autrement, si on admet l’existence du mental et qu’on cherche à le contrôler, cela équivaut à obliger le mental à se contrôler lui-même, à l’instar d’un voleur se transformant en policier pour procéder à sa propre arrestation. De cette manière, le mental continue à subsister, mais échappe à lui-même ». (Ramana Maharshi, entretien 43 du 28-3-1935).
Vouloir « contrôler le mental » est l’équivalent de vouloir « sortir de l’Univers » pour l’examiner et le contrôler, COMME SI l’Univers était un objet extérieur, alors que l’Univers est DANS le mental : l’Être est l’Univers Lui-même. Où peut-il être ailleurs ?
« Telle cause, tel effet. L’arbre est ce qu’est la graine. L’arbre entier est contenu dans la graine qui, plus tard, se manifestera en tant qu’arbre. Cet arbre doit avoir un substrat que nous appelons mâyâ [illusion]. Mais en vérité, il n’y a ni graine ni arbre. Il n’y a que Être ». (Ramana Maharshi, entretien 439 du 3-1-1938).

2. Scénario ”post-apocalyptic” à la Hollywood :
« “Le ministre de la santé australien, le Dr Kerry Chant, a déclaré que la COVID sera avec nous pour toujours et que les “gens devront s’habituer à recevoir des vaccins en permanence”. Ce sera un cycle régulier de vaccination / revaccination.” Une troisième chose importante est le simple fait que les injections ne font en aucun cas la prévention de l’infection au virus dans le nez et les voies aériennes supérieures, et c’est là que les gens complètement “vaccinés” tendent à montrer leur charge virale. Ceci a pour effet que les “vaccinés complets” deviennent des “super propagateurs” de l’infection et un sérieux danger à la société. L’ancien journaliste du New York Times Alex Berenson prévient que la réponse indéfinie et incontrôlée auto-immune à la protéine spike du coronavirus qui est provoquée par ces injections pourrait produire “une vague d’anticorps appelés anticorps anti-idiotype ou Ab2s qui continuent d’endommager les corps humains longtemps après s’être débarrassés du SRAS-CoV-2 lui-même ou de ses protéines spike que les injections commandent aux cellules du corps de produire ” Les protéines spike elles-mêmes pourraient produire cette seconde vague d’anticorps, modulant la réponse initiale du système immunitaire en s’accolant et finalement détruisant la première vague d’anticorps. Les dernières nouvelles au sujet des grands dégâts causés par les “vaccins” anti-COVID peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com ». (Lire la suite sur Resistance71).
Nous sommes dans un monde d’aliénés dirigé ou plutôt digéré par des gros ego, leur béton, leur tôle-boulon-acier-verre. La fin de l’espèce humaine est proche : très possible en 2040-2100. LA SAISIE SERA LA PERTE DE L’ESPÈCE HUMAINE ET LE COVID-19 EST CETTE SAISIE : UN VIRUS ARTIFICIEL CRÉATEUR DE BESOINS : LES INJECTIONS SANS FIN COMME LA CHAÎNE SANS FIN DE CAUSES À EFFETS ET LE REMPLISSAGE SANS FIN DES COMPTES EN BANQUE DES GROS EGO. 
 
 

Dernière mise à jour : 18-12-2021 00:31

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