Le temps est devenu à se rendre INSAISISSABLE
 

Ecrit par Sechy, le 21-12-2021 23:56

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Tags : Aiguille, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Commerce, Convention, Croyance, Diable, Dragon, Égrégore, Enfer, État, Feu, Guerre, Images, Jardin, Marchandise, Marxengelsisme, Nostalgie, Paradis, Peur, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Serpent, Silence, Social, Spirale, Transhumanisme, Vie, Vierge

 
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Le temps est devenu à se rendre INSAISISSABLE
Car en ces temps de la racine du mal : la
dualité Dedans-Dehors, il est devenu vital
D’ARRÊTER CETTE SAISIE EN RECOURANT À
L’INTROUVABLE, AU NON IDENTIFIABLE, AU
NON-ALGORITHMIQUE OU NON-CALCULABLE,
SANS RÉFÉRENCE TOUT CONFORT ET POSSESSION,
car SANS la vision d’un Dedans et d’un
Dehors, PERSONNE NE PEUT SAISIR OU
OPINIONER L’UN OU L’AUTRE, À MOINS
DE VOULOIR « SORTIR » DE L’UNIVERS,
SORTIR DE SON MENTAL POUR LE CONTRÔLER,
POUR LE SAISIR NE SERAIS-CE QUE DU POUR-VOIR
(ce que rêvent de faire/fer les transhumanistes
en « augmentant » leur mental).
 
NE PAS ENTRER DANS LE MOINDRE SYSTÈME,
NE PAS RENTRER DANS LE MOINDRE CHIFFRE OU
LA MOINDRE QUANTITÉ SOCIALISANTE,
SORTIR DU NUMÉRIQUE, DU CHIFFRE (d’affaires)
C’EST CELA LA VRAIE LIBERTÉ. ET L’EGO
EST DEVENU LE PIRE SYSTÈME DEPUIS LE
CAPITALISME-LIBÉRALISME : LA SAISIE QUI FAIT
CROIRE (appelée de nos jours « laïcité »).

Le Vaccin absolu s’appelle
« N’est pas le Rien »
ou « N’est pas X ».
x = l’inconnu, par conséquence non saisissable,
non identifiable et donc protégé de l’ego,
protégé de l’individualisme : le ‘je’.

Le Vaccin absolu CONTRE L’OPINION
s’appelle « N’est pas X » portant aussi
l’antienne du Soûtra du Diamant et de la
Connaissance transcendante : Gate gate
pâragate pârasamgate bodhi svâhâ (Allé,
allé, allé au-delà, allé complètement
au-delà, l’Éveil, ainsi).
Ce qui correspond au CATÉCHISME OCCULTE :



“ Qu’est-ce qui est toujours ? “ - “ l’espace, l’éternel [Anupâdaka], le sans parents “ - “ Qu’est-ce qui fut toujours ? “ - “ le germe dans la racine “.
“ Qu’est-ce qui, sans cesse, va et vient ? “ - “ le grand Souffle “.
“ Il y a donc trois Éternels ? “ - “ Non, les trois sont un. Ce qui est toujours est un, ce qui fut toujours est un, ce qui est et devient sans cesse est un aussi : et c’est l’Espace “.

"Explique, ô Lanou (disciple)." – "L'Un est un Cercle (Anneau) sans circonférence, car il est partout et n'est nulle part ; l'Un est le Plan sans bornes du Cercle, manifestant un Diamètre pendant les périodes manvantariques seulement ; l'Un est le Point indivisible trouvé nulle part, perçu partout durant ces périodes ; c'est la Verticale et l'Horizontale, le Père et la Mère, le sommet et la base du Père, les deux extrémités de la Mère n'atteignant en réalité nulle part, car l'Un est l'Anneau comme aussi les anneaux qui sont dans cet Anneau. C'est la Lumière dans l'Obscurité et l'Obscurité dans la Lumière : "le Souffle qui est éternel" Il procède du dehors au-dedans, quand il est partout, et du dedans au dehors quand il n'est nulle part (c'est-à-dire Mâyâ; l’un des centres (1)(2). Il s'épand et se contracte [exhalation et inhalation]. Quand il s'épand, la Mère se diffuse et s'éparpille ; quand il se contracte, la Mère se retire et se rassemble. Cela produit les périodes d'Evolution et de Dissolution, Manvantara et Pralaya. Le Germe est invisible et ardent : la Racine [le Plan du Cercle] est fraîche mais durant l'Evolution et le Manvantara, son vêtement est froid et rayonnant. Le Souffle chaud est le Père qui dévore la progéniture de l'élément aux nombreuses faces [hétérogène] et laisse ceux qui n'ont qu'une seule face [homogènes]. Le Souffle frais est la Mère qui les conçoit, les forme, les enfante et les reprend dans son sein, pour les reformer à l'Aurore [du jour de Brahmâ, ou Manvantara]."
(La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, Préface)

Page d’archive préhistorique

Un manuscrit archaïque - assemblage de feuilles de palmier rendues, par quelque procédé inconnu, inaltérables à l’eau, au feu et à l’air - se trouve sous les yeux de l’auteur. Sur la premier page l’on voit un disque blanc immaculé, sur fond noir.
Sur la suivante, il y a un disque semblable, avec un point au centre. L’étudiant sait que le premier représente le Cosmos dans l’Éternité, avant le réveil de l’Énergie encore assoupie, émanation de l’Univers en des systèmes postérieurs. Le points dans le cercle jusqu’alors immaculé, l’Espace et l’Éternité en “ repos “, indique l’aurore de la différenciation. C’est le Point dans l’OEuf du Monde, le Germe qu’il contient deviendra l’Univers, le Tout, le Cosmos illimité et périodique, ce Germe étant périodiquement et tour à tour latent et actif.
Le cercle unique est l’Unité divine, dont tout procède, où tout retourne : sa circonférence, symbole forcément limité de par les limites de l’esprit humain, indique le PRÉSENCE abstraite, à jamais inconnaissable, et son plan, l’Âme Universelle, bien que les deux ne fassent qu’un. La surface du disque est blanche et le fond est noir : cela montre clairement que ce plan est la seule connaissance qui soit accessible à l’homme.
(D’après La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky, vol.1, début de la Préface)

Nous devons Nous évanouir quand le isme, LA COAGULATION ou Pour-Voir croit Nous capturer ou croit Nous identifier. Tout doit devenir PARADOXAL, NON-SENS et surtout NON-BON SENS : ne jamais rentrer dans la pensée commune, donc NE JAMAIS RENTRER DANS L’INCONSCIENT COLLECTIF, MÊME SI CELA SEMBLE PERDU D’AVANCE. Car même chez l’être humain ce qu’il appelle « INSTINCT » N’EST QU’UNE CONSTRUCTION DU MENTAL, COMME SES CINQ SENS. L’instinct rattaché à une catégorie, une référence de nom-la-forme comme « l’instinct d’une araignée »… Alors l’instinct est attaché seulement à un corps, un nom-la-forme qui sera périssable. Ne pas confondre l’instinct et l’intuition comme semble le faire Anatole France et reporté dans le dic. Le Robert : « La raison « est capricieuse et cruelle. La sainte ingénuité de l'instinct ne trompe jamais ». L’INSTINCT N’EST QU’IMAGINAIRE, UN PIÈGE PARFAIT, LE D’ANGER, D’ANGE (gardien).

L’instinct est le même Thème que les « sciences humaines » ou encore pire : « cognitives » : connaître.


« Subhûti, tout ce qui comporte des marques [des identités, des références, des chiffres ou des calculs] est trompeur. Tout ce qui est dépourvu de marque ne recèle aucune tromperie. Ce n’est donc pas à ces marques que l’on reconnaîtra le Bienheureux (Tathâgata, l’Éveille ou Ainsité], car dans ce qu’on appelle ”marques” on ne trouvera rien de tel que des ”marques”, dit le Bienheureux dans le Soûtra du Diamant conformément à la formule « N’est pas X » : ici « des marques qui ne sont pas des marques ».
C’est pourquoi dans l’absence de saisie, l’absence de marque donc, il n’y a aucun nom-la-forme, aucune sensation, représentation ni conscience ; il n’y a pas de Pour-Voir comme le sens de l’ouïe, des yeux, du nez, de la langue et du corps, ni d’esprit ou de raison ; il n’y a pas de connaissance et par conséquence d’ignorance ; il n’y a pas non plus de vieillissement et de mort, etc. Comme il n’y a rien à teindre ou saisir, le Réalisé vivant se repose sur la Connaissance transcendante où tout est transparent (sans obstacle), et la peur n’existe plus.
Cette Connaissance transcendante se trouve dans la Grande Formule de l’Éveil : Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).

HALLUCINATION COLLECTIVE (covidesque) = SAISIE ou CROYANCE (au corps).

RESTEZ INSAISISSABLES, NON ESPIONNABLES, IMPRÉVISIBLES, COMME DES TERRORISTES, PARCE QUE L’IMPRÉVISIBILITÉ EST LE PIRE ENNEMI DU CAPITALISME, DE WALL STREET ET DES BANQUES ET DE TOUS LES RÉGIMES ÉTATIQUES MONARCHIE ET RÉPUBLIQUE. L’IMPRÉVISIBLE ENGENDRE LA PEUR. ET COMME TOUS LES POUVOIRS TIENNENT LES PEUPLES PAR LA PEUR, C’EST MAINTENANT AUX PEUPLES DE MAINTENIR LES POUVOIRS DANS LA PEUR. Car les pouvoirs ne pourront plus entrer en coïncidence entre le Seul Réel et sa représentation ce qui prive le pouvoir du temps généralement nécéssaire à la prise en considération de ce qui lui arrive, même le calcul par un algorithme ne leur sera d’aucune utilité, car le pouvoir MAINTENANT S’EFFORCE DE CONSTRUIRE UN INCONSCIENT COLLECTIF BIEN À SA SOLDE : L’INGÉNIERIE SOCIALE SANITAIRE DU COVID-19 EN APPORTE MAINTENANT DE NOMBREUSES PREUVES, dont le prochain « passe vaccinal » déguisement d’obligation « vaccinale » encore plus tordu que l’obligation vaccinale contre le BCG voté par le Conseil de la République le 12 juillet 1949, à la majorité absolue, par 218 voix contre 22. Avant cela, il y eut une sorte de première mouture de « Conseil de défense sanitaire » : le premier Congrès international du BCG, les 18-23 juin 1948, qui se tenait à l’Institut Pasteur à Paris, sous la présidence du Comité d’honneur par le directeur de l’Institut Pasteur : Jacques Tréfouël. Il était vrai que la tuberculose était à la mode depuis la révolution industrielle au 19è siècle européen. Déjà à l’époque de 1945 la médecine naturelle ou traditionnelle - telle que celle qui soigne avec l’Homéopathie par doses antiques de l’infinitésimal du qualitatif (Science remontant à plusieurs millénaires maintenant) - parlait des « ENFANTS COBAYES », mais « des cobayes qui rapportent… un certain CHIFFRE D’AFFAIRES (sens de bénéfices) » ; ce sera dans l’après 1945-55 la saga cyclique des cutiréactions dans les écoles du judéo-maçon spéculum Jules Ferry, car ça se passait dans les classes pendant la scolarité. Imaginez en 2022 que l’on vienne dans les classes d’école primaire piquer les enfants contre le covidisme sans demander l’avis des parents…

Donc créer la PANique dans le pouvoir afin que le pouvoir ne puisse pas aviser, ne puisse pas calculer ou ne puisse pas utiliser ses algorithmes de « prévoyance du futur », comme cela le pouvoir n’aura aucun temps pour aviser et se défendre, il ne pourra pas utiliser cette opération de volte-face qui est principalement l’humaine raison de faire face à quoi que ce soit.
PANique = L’ANTI-MESSIANISME ABRAHAMISTE ET DU SALUT : ABOLITION DE LA FLÈCHE DU TEMPS.
PANique = abolition absolue du capitalisme car il repose sur le messianisme, les prévisions ou le calcul ; le pire ennemi du capitalisme c’est l’atemporel, l’absence de temps donc l’Instant, le SPONTANÉ, l’INTUITION, comme le dit bien Jacques Attali dans le résumé de son livre, Les Juifs, le monde et l’argent, page 18 : fabriquer un « sens au progrès ; elle [l’évolution] fait de l’Alliance avec Dieu la flèche du temps ; elle accorde à l’homme le choix de son destin : le libre arbitre… ». Que toute la dialectique matérialiste et historique de la foi dogmatique à l’évolution, à l’Homme né de la matière s’écroule, et le socialisme au sens de la doctrine du politisme du marxengelsisme s’écroule aussi.

Il n’existe pas d’évolutionnisme, c’est une invention issue de la LOI DE SUCCION, de la valeur d’échange, comme l’histoire du collier de la femme racontée plusieurs fois par Ramana Maharshi : « une femme portait un collier autour du cou. Ne s’en souvenant plus, elle se mit à le chercher, questionnant son entourage. Une de ses amies, se rendant compte de ce qu’elle cherchait, lui désigna le collier autour de son cou. La femme le toucha de ses mains et fut aussitôt rassurée. Avait-elle récupéré le collier ? Là encore, l’ignorance causa la douleur et la connaissance, le bonheur.
Il en va de même en ce qui concerne l’homme et le Soi. Il n’y a rien de nouveau à gagner [pas d’évolutionnisme].
L’ignorance du Soi est responsable de la souffrance présente ; la connaissance du Soi apporte le bonheur.
De plus, si quelque chose de nouveau doit être obtenu, cela implique que c’était absent auparavant. Ce qui a été une fois absent peut disparaître encore. Ainsi, le salut ne serait pas permanent. Mais le salut est permanent parce que le Soi est ici et maintenant, et éternel.
Les efforts de l’homme sont donc dirigés vers la disparition de l’ignorance. La Sagesse semble survenir, alors qu’elle est naturelle et toujours présente ». (Entretien 63 du 6-7-1935).

ÊTRE INSAISISSABLE, INCONTRÔLABLE : Un pouvoir qui a peur à son tour ne peut pas rester longtemps au pouvoir, ses armes ne lui seront d’aucune utilité…
ÊTRE INSAISISSABLE, INCONTRÔLABLE, parce que vous pensez saisir du bonheur par le contact donc par l’échange avec quelque chose qui est séparé de vous. « Mais ceci n’est pas la Vérité. La Félicité [ananda] est la nature même du Soi. Le bonheur que vous tirez d’autre chose fait partie du bonheur du Soi [Atman], mais ce bonheur n’est pas complet. Tant qu’il vous faut un objet au DEHORS (pour être heureux, et actuellement : « vacciné ») l’incomplétude se fait ressentir [d’où le cas des injections multi-répétées aux ARNm…]. Quand on ressent que seul l’Atman est présent [dans l’Instant], le bonheur permanent demeure. […] Ce que l’on appelle bonheur c’est simplement la nature du Soi. Le bonheur et le Soi ne sont pas différent l’un de l’autre. Seul le bonheur du Soi existe ; cela seul est le Réel. Il b’est pas en ce monde un seul objet capable de procurer le bonheur. Nous croyons tirer notre bonheur de ces objets en raison d’un manque de discernement et une incapacité à déterminer ce qui est correct [aviveka]. Quand le mental est externalisé, il expérimente la souffrance. En vérité, chaque fois que nos (pensées) désirs trouvent satisfaction, le mental retourne à sa source et vit le seul bonheur-Soi [la Vraie Demeure]. Voilà comment l’activité mentale erre sans repos : elle émerge du Soi et l’abandonne, puis (après un temps) elle retourne au-dedans ». (Ramana Maharshi, dans Padalamai, enseignements recueillis par Muruganar (1890-1973) un des proches disciples éveillés du Maharshi).

La Vraie Demeure, le Saint Chaos de ce FEU SANS FLAMME NI CENDRE, lorsque ce Feu n’est pas devenu la flamme jaune et le charbon rouge, puisqu’Il est invisible, il est comme le ZÉRO INDIEN (tous les noms-les-formes et au-delà y sont contenus : « Faites Feu vaporant, digérant, continuel, non violent, subtil, environné, aéreux, clos, incomburant, altérant. Et, en mon vrai Dieu, je t’ai dit toute la manière du Feu, et récapitule mes mots, mot à mot. Car le Feu est tout, comme tu peux voir par tous les dits Code de toute Vérité ». (Explique Bernard Le Trévisan, qui par là même exprime la PUTRÉFACTION, le RENONCEMENT encore appelée RÉDUCTION : il ne parle nullement d’un objet qui pourrait devenir inflammable, car penser à un UTILITARISME, à une TECHNOLOGIE, à une PUISSANCE OU UN POUVOIR, C’EST NON SEULEMENT S’EN SERVIR, S’EN SAISIR, ET ÉVIDEMMENT NATURELLEMENT EN ABUSER).
Ce Vrai Feu et évoqué ci-dessus par le Maharshi : quand le feu vulgaire se dévore lui-même, quand la puissance ou le pouvoir se retourne contre lui-même par le Retournement de la Lumière, alors l’être humain devient l’ÊTRE en sa totalité, en sa Vraie Demeure À L’INSTANT DE SA PERTE, COMME LA BRAISE QUI AVANT DE S’ÉTEINDRE S’ILLUMINE FORTEMENT D’UNE FAÇON QUASIMENT HUMAINE (sans faire de l’anthropomorphisme, mais tout est dans le mental, Tout est dans Tout) : la destruction de la braise ou du corps par le Vrai Feu par l’intensité de la DESTRUCTION ou RENONCEMENT apporte la preuve la plus claire de l’existence : l’ÊTRE est hors de sa création : « Je suis ce JE SUIS », Il n’existe donc pas à proprement parler ; ce qu’on appelle Être n’est que l’existant.
RAPPEL : dans le sensible ou le spatio-temporel, tout devenant dualité cause-effet, ce qui est de l’Esprit au sens de Sacré et ce qui est du Diable se ressemble dans les formes : le pouvoir de Dieu est également celui du Diable : les deux se confondent dans le pouvoir très suspect de la mort qui est d’annuler ce qui a existé, et de faire que ce qui existe n’a pas d’existence… (D’où d’ailleurs la construction laborieuse, soignée, d’un mandala fait de sable coloré, puis sa destruction quand il est terminé). Voir la page Maharshi 264.
TOUT CE QUI EST SACRÉ EST TOTALE AMBIVALENCE (aussi bien bénéfique que maléfique et sans prévenir… et agir en son contraire comme une énergie destructrice et mortelle ; ce sera donc la dualité pur-impur).

PREUVE DU FORMATAGE DE L’HUMAIN EN UNE PENSÉE NORMALISÉE, ROBOTISÉE CONTENUE ACTUELLEMENT DANS UN SEUL MOT : « COMPLOTISME ».
Or, ce formatage cher à n’importe quel pouvoir politique de l’étatisme c’est : « faire comme tout le monde », SOIT ÊTRE UNIQUEMENT TOURNÉ VERS LE DEHORS : INTERDICTION DE L’INCONSCIENT, LUI-MÊME MAINTENANT FORMATÉ PAR LE POUVOIR. Or l’inconscient est par essence CONTRADICTION, c’est le BESOIN de l’inconscient (”accessible” par le Retournement de la lumière), ce que veut interdire le pouvoir. Car en effet la contradiction permet le ZÉRO INDIEN, l’EXCEPTION, la SINGULARITÉ (l’originalité), et le Zéro Indien ne passe nullement par la raison tueuse et possessive de l’ego. L’inconscient est toujours SINGULARITÉ, et paradoxalement quand « l’inconscient collectif » entre en jeu, il devient la possibilité de libération car la délivrance N’EST PAS INDIVIDUEL, PARCE QUE LE FEU NATUREL EST UNIVERSEL : ici le Soi (Paradoxe de la Réalisation du Soi, lié au dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif).

IL FAUT VEILLER, D’INSTANT EN INSTANT, pour ne pas se laisser SUR-PRENDRE (paradoxe)… Ce sera donc le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ ». Car si on atteint un point ou un but, cela signifie une possession, et donc signifie aussi LE TOMBEAU, au sens de la COAGULATION, d'une vérité, de la FIXATION (qui inévitablement pourra devenir une constante, un dogme, un confort, une saisie, une loi).



Notes.
1. Mâyâ : illusion, pouvoir inhérent au brahman, l’Absolu, par lequel icelui manifeste le monde.

2. Centre veut dire un centre d'énergie ou un foyer cosmique lorsque la prétendue "création" ou formation d'une planète est accomplie par cette force que les Occultistes appellent VIE et les, Savants "énergie", alors le processus a lieu du dedans au dehors, chaque atome, paraît-il, contenant, en lui-même l'énergie créatrice du Souffle divin. Aussi, tandis qu'après un Pralaya Absolu, ou quand le matériel préexistant ne consiste qu'en UN Elément, et que le SOUFFLE "est partout", ce dernier agit du dehors au-dedans, après un Pralaya mineur, tout étant resté en statu quo – à l'état réfrigéré, pour ainsi dire, comme la lune – au premier frisson du Manvantara, la planète ou les planètes commencent leur résurrection à la vie du dedans au dehors. (Note de La Doctrine Secrète, vol.1, de H.P. Blavatsky).

Dans l’entretien 20 du 30-1-1935, Ramana Maharshi dit que la Mâyâ « n’est rien d’autre que la Réalité. Le terme de mâyâ est utilisé pour désigner les manifestations de la Réalité. Par conséquent, la mâyâ n’est rien d’autre que la Réalité ».
« La Création est le fait d’une seule divinité qui se divise en Dieu et Nature (maya ou prakriti). Cette maya est constituée de deux éléments : le para, qui est l’Essence-support, et l’apara, qui comprend les cinq éléments, le mental, l’intellect et l’ego (l’octuple manifestation).
La perfection de l’ego est tout à coup brisée, suscitant un besoin qui donne naissance au désir d’obtenir quelque chose ou de faire quelque chose. Quand ce besoin est satisfait par l’accomplissement de ce désir, l’ego est heureux et la perfection originelle est rétablie. C’est pourquoi on peut dire que le bonheur est notre condition naturelle ou notre nature. Le plaisir et la douleur sont relatifs ; ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs. Si ce développement relatif est stoppé et que l’âme s’immerge dans le brahman – dont la nature est la paix parfaite – cette âme cesse d’éprouver un plaisir relatif temporaire et jouit d’une paix parfaite : la Félicité. Ainsi on peut dire que la réalisation du Soi est Félicité ; c’est le Soi réalisé en tant que l’oeil spirituel sans limites (jnanadrishti) et non pas la clairvoyance ; c’est l’abandon de soi à son plus haut niveau. Tandis que le samsâra (le cycle du monde) est souffrance ». (Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
 
 

Dernière mise à jour : 22-12-2021 01:05

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