A-MEN-PTAH le TORE de Ptah
 

Ecrit par Sechy, le 04-01-2022 03:20

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Tags : Aiguille, Atlantide, Blanc, Christ, Diable, Dragon, Eau, Feu, Instant, Jardin, Opinion, Paradis, Pointe, Ptah, Opinion, Paradis, Peur, Rêve, Serpent, Silence, Spirale, Tore, Vie, Vierge

 
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A-MEN-PTAH le TORE de Ptah
(depuis un moment appelé « Atlantide »).
Le TORE dans le sens du TOUR DE POTIER
qui donne vie à l’Argile : l’ADN… le mâle
phallique qui féconde et l’Ouvrier qui
œuvre ou ouvre avec ses deux mains.
Ptah est Dieu des Artisans et Ouvriers,
ceux qui ouvrent (les EAUX…).


BLANC DE L’INSTANT : FONDA-MENTAL.
 
En sumérien :
A : eau, eau courante, canal, source.
MEN : couronne, diadème, tiare ; et par
rapprochement MANA : compagnon, égal ou
partenaire.
A-MEN-PTAH = LA COURONNE D’EAU DE PTAH,
LE TORE (Atlantide, Eaux Primordiales).
LA TOUPIE-TOUR DE PTAH
argile ADN avec l’Eau de mu (mw en égyp.)
apparu au MOYEU du Cœur de la Conscience infinie.
Le Flux fut détourné par ce qui EST : l’Eau de
Ptah, qui permettra l’habitat parallèlement
au Centrum Centri de Ptah.



TORE : circuit cristallins identique aux réseaux du BLOB ou Physarum : plein de petits moteurs (ou petits cerveaux) plutôt qu’un gros qui peut casser.

« Qui se sert du crochet, du cordeau, du compas et de l’équerre pour rectifier, offense la Nature ; qui se sert de la corde, de la ficelle, de la colle et de la laque pour consolider les choses va à l’encontre de leurs qualités propres. Qui plie les hommes par le rite et les rompt par la musique, qui les protège par la bonté et les relie par la justice, celui-là corrompt leur nature originelle. […] Comment la bonté et la justice censées unir les hommes comme la colle à la laque, la corde et le cordeau, pourraient-elles avoir quelque influence sur un monde régi par le Tao et la vertu ? Elles ne provoquent que des égarements ».
(Tchouang-tseu, chapitre 8, Pieds palmés).

A-MEN-PTAH le TORE de Ptah = l’Éveillé, au vrai sens d’Initié (de nos jours le mot Initié est rattaché à une secte). Éveillé ou Initié signifie qui réalise en ne prenant pas appui sur le mental et ses perceptions du sensible spatio-temporel : son mental pour exercer sa fonction n’est pas astreint à n’utiliser que l’empirisme à la mode anglaise des David Hume John Locke c’est-à-dire le sensible, mais porte ses désignations ou pointages dans l’INTUITION, en un dialogue Maât ou direct avec l’A-MEN-PTAH. INITIÉ OU ÉVEILLÉ DEVRAIT SIGNIFIER :  « QUI VIENT DE NULLE PART ET NE VA NULLE PART ». (Pour réf. au Soûtra du Diamant 29). Veut aussi dire : « Si l’Éveillé mourrait, il lui faudrait renaître… ».

INITIÉ, ÉVEILLE = CELUI QUI EST DÉLIVRÉ DE LA TYRANNIE DE L’OPINION ET DONC QUI N’EST PLUS SOUMIS À LA LOI DE SUCCION OU ATTRACTION UNIVERSELLE. L’ÉVEIL A UNE SEULE ADHÉSION : LE SOI OU CONSCIENCE INFINIE, ET UNE ADHÉSION ÉTERNELLE D’INSTANT EN INSTANT.


Être Initié c’est être passé derrière le rideau, ou avoir tiré le rideau, sens de PARADIS (de para- étymologie de parer : parasol, paravent et concept de protection, donc tirer le rideau c’est accéder en détruisant cette protection, ce sceau, ce cachet). Être Initié ou Éveillé n’est pas le résultat d’attitudes morales, lesquelles ne sont qu’une esthétique du sentiment, comparable à la palanquée actuelle de « spécialistes » nécessairement dans la diversité capitaliste dans la multiplicité indéfinie des situations de l’empirisme à la John Locke, des complexes, des accidents dans l’espace-temps ; c’est d’ailleurs à ce piège que se font prendre les pharisiens…

En Égypte ancienne, le sens d’Initié, selon une inscription de Karnak, Amenhotep « fut initié au Livre divin et il fixa les regards sur les beautés (les excellences) de Thoth (la « Langue » de Ptah) ; il comprit leurs mystères et on le consultait à leur sujet ». Un Prêtre initié était « Chef des Mystères », mystères au Ciel, mystères sur Terre, et dans les enfers ; mystères des deux faces d’Isis et Nephtys.

ÉVEILLE, INITIÉ devrait signifier : « Je me suis uni au Soi, Lui ayant toujours été fidèle », sens du Christ générique. L’Initié dans l’Ancienne Égypte était CHRIST ou véritable incarnation du Dieu ou Soi sur Terre : « Le Royaume des Cieux est en vous ».
ÉVEILLE, INITIÉ devrait signifier : JEHOVAH : Le « Saint-Esprit » du christianisme ne devrait plus signifier le machin des solstices coupant en deux les équinoxes et qui favorise la dualité. Car c’est le point insaisissable qui sépare ce qui fut et ce qui sera, donc SAINT-ESPRIT = LE SOI OU INSTANT.
RAPPEL : LE CHRISTIANISME EST FONDÉ SUR LES PAÏENS ET LE PAGANISME. Par exemple l’Empereur Julien sur le Soi, qu’il appelle « Dieu Soleil Roi » :
DISCOURS EN L'HONNEUR DU SOLEIL ROI,
ADRESSÉ A SALLUSTE.


Le mois consacré à Ptah-Osiris-Christ et indirectement le Apollon des Grecs était le celui de décembre. Les Grecs nommaient ce mois Dios, le mois de Pluton, et que les Macédoniens appelaient « Apellaios », le mois de la clôture de l’année, parce que le noms d’Apollon veut dire la « clôture du jour » :
« Ainsi donc, avant de commencer l'année, dès l'expiration du dernier jour des spectacles et fêtes de Saturne, nous solemnisons la fête consacrée au soleil invincible. Ces fètes portaient le nom de Néonénies, c'est-à-dire, du renouvellement des mois de l'année, ou du nouveau mois. Elles s'ouvraient le 25 décembre, le huitième jour avant les calendes de janvier, par des jeux du cirque, en l'honneur du soleil.
Le mois de décembre, jusqu'à ce jour, était affecté à d'autres fêtes, et surtout à celle des Saturnales, qui durait sept jours (Macrob. Saturnalium, 1.1, ch. 10), pendant lesquels on donnait gratuitement au peuple, les combats des gladiateurs, munera gladiatoriorum spectaculorum. Ces tristes combats cessaient par l'ouverture
des fêtes héliaques ou solaires ». (Julien, Œuvres complètes).

Dans Homère, Apollon-Phœbus est un Dieu double comme Jéhovah-Élohim dans l’Ancien Testament. Vu comme l’Un ils sont le Pantocrator. Mais en inventant le concept de temps ils devenait le Futur et le Passé. Ainsi lorsqu’il s’agit de « captivité d’Israël » et donc de politique, c’est Élohim qui « parle » à Moïse et non Jéhovah au sein du Buisson ardent, où il est manifesté par les flammes : « Je suis ce JE SUIS » (ou ”Je suis celui qui suis”).

Et c’est là qu’apparaît le problème gigantesque : COMMENT LE PRÉSENT PEUT-IL EXISTER DANS UNE LANGUE DITE À CE HUI : « PRIMITIVE », QUAND LE TEMPS N’ÉTAIT PAS ENCORE UN CONCEPT ?
L’Instant ou le Soi : il ne peut exister deux Soi ou deux Instant(s) identiques ou deux globalité(s) du TOUT incluant l’existant, car aucun ne pourrait alors être qualifié d’universel, parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Ainsi il ne peut y avoir qu’un Soi, puisque s’il en était Deux, chacun serait limité par ce qui le distingue de l’autre et aucun ne pourrait être dit infini.
LE TROU : Dieu ou le Soi n’existe pas, IL EST : Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout (ce qui est appelée « création ») et ce qu’on appelle l’Être n’est que l’ex-istant (« Jamais l’Âme et Dieu ne peuvent co-exister », Saint Bonaventure).
Tout TOURNE AUTOUR DU TROU DU TORE : SON CENTRE QUI EST NULLE PART, MAIS SA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT : L’INITIÉ OU L'ÉVEILLE N’A NI NAISSANCE NI MORT, au sens de ON A ÉTÉ, ON SERA, ON N’EST POINT (du Un Point c’est Tout), parce que le Point  qui pointe au sens du « N’EST PAS X » qui est censé séparer le Passé du Futur EST AUSSI INSAISISSABLE QUE LE CENTRE GÉOGRAPHIQUE DE LA FRANCE (1).
Élohim veut dire : NAISSANCE DU JOUR OU AURORE, le Rose du Pommier, l’OR ROSE, l’Éveil et Zéro Indien de tous les possibles : aucune limite, avec l’Aurore c’est le monde d’Instant en Instant, le BLANC DE L’INSTANT LÉGÈREMENT TEINTÉ DE ROSE UN PEU VIOLACÉ (DANS LE TORE). AURORE-ROSE = FÉLICITÉ.
AURORE OU STAR-GATE, A-MEN-PTAH DE L’APRÈS-VIE.
AURORE : MIR-IAM ou Pointe du Jour, l’Instant : à Chartres au 19è siècle il y avait une image druidique en pierre noire symbolisant la grande statue de la Vierge Noire détruite en 1789 avec écrit dessus : « VIRGINI PARITURÆ ». Cette image n’a pu provenir que de la Koridwen gauloise [la Mère universelle, Isthar, Tanit, Cybèle, etc., le Soi], qui enfantait sans cesser d’être vierge. (Voir la page : LE FEU : POINTER).
Vierge Noire : c’est la Mahadevi de l’Inde, Kali la noire qu’on salue en ces termes « Tu es l’image de Tout, la mère de Tout. Avant le commencement des choses, tu existais sous la forme d’une obscurité qui est au-delà de la parole et de la pensée et, de toi, par le désir créateur du suprême Brahmâ, est né l’univers entier ».

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Le nom « Jéhovah » se compose des deux temps du verbe « Être », ou « Vivre », en hébreu : « Éheiéh », il vivra : « havah », il vécu. Quant au point de coïncidence entre ces deux temps, IL RESTE SOUS-ENTENDU. C’est le TROU du TROUVÈRE, L’INSAISISSABLE, car dans tout objet il y a la loi de succion, la croix dans ce cas : jonction des deux traits formant LE BUT que tout le monde s’efforce de VOIR, de SAISIR, TOUT EN DÉLAISSANT LE TROU ! XUN, le TROU, le « N’est pas X » : « Tu ne découvriras point la nudité de ton père, ni la nudité de ta mère. C'est ta mère : tu ne découvriras point sa nudité ». (Lévitique 18,7).

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LE TROU : « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264, du 20-10-1936). Voir en note 3 le sens du Trou et de la Toupie.
Verset 11 (nombre du TAO) du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway :
Trente rayons convergent au moyeu
mais c’est le vide médian,
qui fait avancer le char.
On façonne l’argile pour en faire des vases,
mais c’est du vide interne
que dépend leur usage.
Une maison est percée de portes et de fenêtre,
c’est encore le vide
qui permet l’habitat.
L’Être donne des possibilités,
c’est par le non-être qu’on les utilise.

D’Instant en Instant Rien n’est jamais le même aussi RIEN = LE TOUT : LE VIDE EST LE PLEIN, LE ZÉRO INDIEN, LA VRAIE ÉNERGIE LIBRE.

LA ROUE OU TORE IDENTIQUE À L’ARC-EN-CIEL : D’INSTANT EN INSTANT LE BLANC DE L’INSTANT VA ET VIENT ENTRE CIEL ET TERRE.
« D’aller par ce chemin, non ailleurs, je t’avoue ;
Remarque seulement les traces de ma roue.
Et pour donner partout une chaleur égalle,
Trop tost vers terre et ciel ne monte ny dévalle.
Car en montant trop haut le ciel tu brusleras,
Et devallant trop bas la terre destruiras.
Mais si par le milieu ta carrière demeure,
La course est plus unie et la voye plus seure »

(De Nuysement, Poème philosophic de la Vérité de la Phisique Minéralle, dans Traitez de l’Harmonie et Constitution generalle du Vray Sel. Paris, Périer et Buisard, 1620 et 1621, p. 254. Cité par Fulcanelli dans Le Mystère des Cathédrales).

« Toute apparence nouvelle est vouée à disparaître. Toute chose créée sera à coup sûr détruite. L’éternel n’est pas né pas plus qu’il ne meurt. Nous sommes en train de confondre les apparences avec la Réalité. L’apparence porte sa fin en soi. Qu’est-ce qui apparaît nouvellement ? Si vous ne pouvez pas le trouver, abandonnez-vous sans réserve au substrat des apparences ; alors la Réalité seule subsistera ». (Ramana Maharshi, entretien 238 du 20-7-1936).
- Question : Ne suis-je pas née en ce moment même ?
- Maharshi : Tant qu’il s’agit du corps, la naissance est réelle. Mais le corps n’est pas le ‘Je’. Le Soi ne naît ni ne meurt. Il n’y a donc rien de nouveau. Les Sages voient tout dans le Soi et tout venant du Soi.
En lui, il n’y a pas de diversité. C’est pourquoi il n’y a ni naissance ni mort ». (entretien 244 du 20-8-1936).

Le croisement de la Croix ne saurait conduit au « Point c’est Tout », il installe seulement l’amorce de l’Initiation ou Éveil, les traditions nomment aussi cet état : « Salut », ou « Paradis ». La Félicité ou Libération est HORS de la racine du mal, la dualité Dedans-Dehors et hors de l’action pour… ou Faire/Fer.
Trou = Ver-Ite. État initial où ré-installe la Vraie Initiation, dans le Point c’est Tout du croisement de la Croix.

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Comme pour la bougie, la flamme re-couvre ou dé-couvre le Vrai.
« L’Éternel fait mourir et il fait vivre. Il fait descendre au séjour des morts et il en fait remonter ». (Samuel 2,6).
XUN, idéogramme plus haut, c’est le TROU, le « N’est pas X », sorte de « vapeur noire » qui monte du feu et qui tue, fait un trou, soit fait une « AUBE D’OBSCURITÉ PROPICE », LE SURFEU = « Je suis SOBEK [Dieu Crocodile], qui se tient au milieu de la terreur qu’il inspire [PANique]. Je suis SOBEK, celui qui prend de vive force ; je suis le grand Aquatique [grand Poisson et symbole des Eaux Primordiales], le grand qui est dans la ville du Grand-Noir [attribut du Delta : Triangle, première figure fermée] ; je suis celui devant qui on s’incline dans Létopolis [symbole solaire dans le sens qu’il se lève à l’Orient et se couche à l’Occident] ». (Le Livre des Morts des Anciens Égyptiens, chapitre 88, trad. Paul Barguet).
Crocodile est la symbolique maîtresse de la mort et de la renaissance. S’il est redoutable, c’est le cas de tout ce qu’on nomme « fatalité », l’inéluctable. Dans de nombreux pays d’Asie Crocodile est lié au Royaume des Morts. Dans la Genèse des Maya Crocodile porte la Terre sur son dos dans une conque. Crocodile englouti comme Gargantua, puis digère. Crocodile = Star-gate du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) ; Crocodile est le Sacré dans la foudroyance de son ambiguïté : la lumière alternativement éclipsée et foudroyante. Dans l’Ancien Testament Crocodile est le Léviathan ou Saint Chaos (dit « primitif » !).

ÉVEIL, INITIATION = DÉVERGONDÉ : SORTIR DU GOND DE LA PENSÉE UNIQUE OU DU CONVENTIONNEL-CONDITIONNEMENT, passage du E à son Centre qui est nulle part : la fusée-fuseau (couvert des fils du TISSAGE du TISSERAND VULCAIN-PTAH). Dans la spiritualité ancienne il y avait nombre de divinité du fuseau, comme Ariadne, dont le nom signifie « fuseau ». Les Dieux du fil et de la corde ont conservé le nom de « funestes » (qui annonce la mort) ; le fil représentait en effet le dernier degré de l’exténuation du jour et de la vie ou la mort, LE SURFEU : ainsi les divinités infernales ont la tête ceinte d’un fil ou d’une bandelette et tiennent à la main une lance ou une mince baguette de myrte ayant même signification. Cheveu, épine, épée, voile, tout ce qui a une extrême petitesse ou finesse. Voir Tanit (Athéné ou Esprit saint) Croix de Vie et Stargate SOURCE.
D’E vers gond d’E, depuis le E (matière trinitaire) vers le pivot ou Shiva-chaise du I (2). Voir aussi la page Isis la Vierge Noire et le Fuseau. Isis la Vierge Noire et le Fuseau, le voile et le fil tissé par le fuseau, « couvert de fil » (fuseau ou écheveau).

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Notes.
1. « L'équerre à centrer. C'est un outil qui sert à trouver le centre approximatif d'une surface qui ressemble plus ou moins à une circonférence. A la façon dont on a décidé que Bourges est le centre géométrique de la France.
La circonférence fort irrégulière représente la section d'une barre d'acier plus ou moins cylindrique. En portant l'appui des tétons en plusieurs points on trace autant de lignes AB. On obtient un petit polygone irrégulier qui est le centre approximatif. Ce sont les accidents externes du contour de la pièce qui en ont décidé. En quelque sorte, ils l'ont imaginé, fabriqué. C'est ce que fait le mode de pensée qu'on appelle « opinion », scientifique, métaphysique, ou même religieuse, quand l'homme se fait de l'Absolu une conception qui convient à ses appétits, dans le monde des accidents, du spatio-temporel ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).

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2. Le fameux TROU, la STARGATE se retrouve jusque dans le CHICOT (comme la dent manquante ou cassée qui ne servira plus), le RIEN DU TOUT. Voir aussi l’espagnol chiquito (petit), l’auvergnat tches, ou tchet (mie en vieux français, rien) ; voir le français chiche, le grec kykkos (pépin). Voir la page Passage des 3 Portes ou FIXATION CAVALANTE.

3. Toupie, rejoint aussi la HACHE à la fois arme et outil. En anglais hache se dit AX, AXE, comme le Centre de l’Univers. L’Axe est un symbole fondamental, comme l’essieu plus tard nous donnera le CHARIOT. L’essieu supporte la totalité du poids du chariot ; il est fixe et les deux roues tournent sur les fusées. Donc nous avons une triade (voir la Triskell celte avec le signe du S cher à l’art gaulois), et l’idée de « roue » ou chose qui tourne ou figure un cycle, un rythme, évoque les cycles lunaires et solaires, l’ombre courant sur un cadran solaire indiquant une PÉRIODE, etc.
La Vacuité est représentée par l’immobilité du Vide au centre du moyeu-Axe d’une roue qui ne cesse de tourner : comme la TOUPIE. Le Centre est nulle part (et la Circonférence est partout). Voir aussi la page Un Point c’est TOUT.
 
 

Dernière mise à jour : 04-01-2022 06:46

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