GRAIN-FOCALE = Ceci devient cela
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2022 02:18

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GRAIN-FOCALE = Ceci devient cela
Aiguille, Point Focal.
 
Complément de la page précédente et le Soleil et son Centrum Centri : La Cène, la Pâtée, se Re-Paître

La Chanson du Cavalier, de Garcia Lorca, c’est le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Cœur de la Connaissance transcendante (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi).
 
 
GRAIN-FOCALE « Ceci devient cela ».
Grain (prt) et Hiver (prt) sens de faire des provisions pour cette saison difficile ; encore un bel exemple pour le Croisement dans le Caducée, et en plus situé dans le mot grain (cause) ! Ici c’est donc l’effet produit de l’Hiver, et pas la caractéristique de froideur, ou son sens concret, matérialiste.
Homonyme de Grain : ænxt avec ænx la Croix de Vie ANKH. Les Anciens Égyptiens jouent sur les mots, et sont champion de l’euphémisme.
Donc tout phénomène est « réactif » (comme les sucres-grains, dans l'effet domino). Une cause active (Grain) ne produit jamais un effet direct ou caractéristique, puisqu’elle reste abstraite ou cachée, si la résistance manque…

Un autre exemple avec le mot àb, écrit avec la lettre concrète : à, exprime la soif ; le mot ab, écrit avec la lettre abstraite : a (le a privatif), exprime le désir : ab. Ce double aspect d’une fonction : physique et psychique, se retrouve dans le sens donné au mot cœur : àb, selon qu’on entend le cœur organe, ou le Cœur comme le Soi, le Centrum Centri ou lieu d’où s’élève le ‘Je’-‘Je’.

À rapprocher de qkd : construire, forme, Nature, caractère, tout entier, réunir.
Le Grain-Focale : fixer ou Grain Fixe ou Fixation cavalante ! Il est indiqué dans l’œil irt. Irtt est le Lait : le Blanc de l’Instant.
Fixer la cavalcade ou fixation au Rouge (sens de résister au feu en Alchimie) : c’est-à-dire l’union avec l’Un.
Nier les corps et la séparation est donc une négation de l’être actuel du monde de la Manifestation.

IMPORTANT, IMPORTANT, car ça illustre la dualité de cause-effet par la non-dualité effectué par le CROISEMENT. Correspond aussi aux phénomènes des Interférences lumineuses et sonores : lorsqu’une résistance, de même nature que la cause agissante, absorbe cette cause et l’annule, le premier croisement est comme « une mort » (1) ; la résistance réagissant, devenant active à son tour, donnera un phénomène-Vie (2ème croisement).
(La lumière n’est pas le contraire de l’obscurité : voir le cas des interférences révélant l’aspect ondulatoire de la lumière qui peut se superposer à elle-même. Expérience de Thomas Young en 1801). L’eau coule vers ce qui est humide ; le feu coule vers ce qui est sec (Yi-king) ; différent parce que deux, mais semblable, car ils coulent tous les deux !

Trop de fixation tue (synthèse) ; Éros, désir suprême, ni tout amour terrestre et par là s’asservit à la mort. Donc il importe de dépasser ce stade, c’est-à-dire de dépasser et vaincre cette négation, cette mort. Il faut réussir à rendre cavalant ce Fixe.
C’est bien ce qui se dégage de « l’énergie » transmutatoire évoquée dans la « réalité » de la Pierre Philosophale. Le centre de la Croix, c’est le Grain Fixe, le grain de la Pierre.

Le Grain Fixe possède un aspect avec le mot Djet (Ddt) : indestructible ; c’est le Verbe divin inné, emprisonné au plus profond du corps mortel, puis réveillé, libéré et devenu fixe ou indécomposable ; rapport avec la résurrection. Le corps immortel reste prisonnier de la Terre et d’Osiris si Rê ne vient démêler le sac de nœuds (obtention du Grain cavalant).
Rê-Osiris sont les deux animateurs, deux courants de Vie Universelle du Djed humain.
(Dd : pilier Djed, parole, Verbe) Iri : faire, créer, construire, cultiver. Œil d’Horus : Irt Hr.
Œil de Rê : Irt Rc.
Deux yeux : Soleil pour l’œil droit, et Lune pour l’œil gauche. La face d’Horus Universelle fait le jour et la nuit selon qu’il ouvre ou ferme l’œil solaire, celui de Rê. Il est dit que l’œil d’Horus, fils d’Isis, fut découpé par Seth en petits morceaux qui furent rassemblés par Thot en un œil complet : Œil Oudjat.

[Note : la reproduction des Hiéroglyphes avec les caractères latin utilisé par les égyptologues n’est pas possible ici à cause des navigateurs Internet, d’où une notation de rendu approximative avec l'alphabet classique].


« Ne vous confondez pas avec l’objet, c’est-à-dire avec le corps [comme dans l’exemple du GRAIN cité en début de page, l’effet produit de l’Hiver, et pas la caractéristique de froideur de l’hiver, ou dans l’exemple du soleil à la page précédente]. Cela donne naissance au faux ego, puis au monde et à vos activités dans ce monde, d’où résulte la souffrance [et la métallurgie, les armes de guerres qui vont avec] ». (Ramana Maharshi, entretien 46 du 12-4-1935).

« Mrs. Dhar : Shrî Bhagavân [le Maharshi ; le sage] recommande le vichara, la pratique de l’investigation [examen mental sur sa propre Nature], même lorsqu’on est engagé dans des activités extérieures. Si le but d’une telle investigation est la réalisation du Soi, il s’ensuit que la respiration doit s’arrêter. Et si la respiration s’arrête, comment le travail se poursuivra-t-il, en d’autres termes, comment la respiration peut-elle s’arrêter pendant qu’on travaille ?
- Maharshi : Vous confondez le moyen et la fin (la sâdhanā et le sâdhya). Qui est l’investigateur ? C’est l’aspirant et non le siddha [l’être accompli]. L’investigation indique que l’investigateur se considère comme séparé de l’investigation [l’histoire de la chanson du cavalier dans la page précédente].
Tant que cette dualité persiste, l’investigation doit être poursuivie jusqu’à ce que l’individualité ait disparu et que le Soi ait été réalisé comme étant l’Être éternel (incluant l’investigation et l’investigateur).
La vérité est que le Soi est Conscience constante et ininterrompue. Le but de l’investigation est de découvrir que la vraie nature du Soi est pure Conscience. La pratique de l’investigation doit être poursuivie tant que le sens de la séparation persiste.
Une fois la Réalisation accomplie, l’investigation n’est plus nécessaire. La question ne se posera même pas. La Conscience penserait-elle à poser la question de savoir qui est conscient ? La Conscience demeure pure et simple.
L’investigateur est conscient de sa propre individualité. L’investigation ne s’oppose pas à la conscience individuelle de l’investigateur ; le travail extérieur n’est pas un obstacle non plus à une telle conscience. Si le travail, en apparence extérieur, n’est pas un obstacle à la conscience individuelle, comment le travail dont on est conscient qu’il n’est pas séparé du Soi peut-il faire obstacle à la conscience ininterrompue du Soi, qui est Un sans second, et qui n’est pas un individu séparé du travail ? ». (Entretien 454 du 10-2-1938).

Et se prolongeant à l’entretien 455 : « Mrs. Dhar : Je fais partie de la création et j’en demeure dépendante. Je ne peux résoudre l’énigme tant que je ne deviens pas indépendante. Je demande alors à Shrî Bhagavân, s’il ne pourrait pas le faire pour moi.
- Maharshi : Oui, c’est Bhagavan qui dit : « Devenez indépendante et résolvez l’énigme par vous-même. C’est à vous de le faire ». Je répète : Où êtes vous en ce moment pour poser cette question ? Êtes-vous dans le monde, ou le monde est-il en vous ? [c’est le site qui souligne]. Vous devez admettre que vous ne percevez pas le monde dans votre sommeil, bien que vous ne puissiez pas y nier votre existence. Le monde apparaît quand vous vous réveillez. Où est-il alors ? Il est clair que le monde n’est autre que votre pensée.
Les pensées sont vos projections. Le ‘je’ est créé en premier et ensuite vient le monde. Le monde est créé par le ‘je’ qui, à son tour, s’élève du Soi. L’énigme de la création du monde est donc résolue si vous résolvez la création du ‘je’. C’est pourquoi je dis : trouvez votre Soi ».
Encore une fois : le monde vient-il vous demander : « Pourquoi est-ce que j’existe ? Comment ai-je été créé ? » C’est vous qui posez cette question. Celui qui pose la question doit établir la relation entre le monde et lui-même. Il doit admettre que le monde est le fruit de sa propre imagination. Qui imagine tout cela ? Qu’il trouve le ‘je’ et ensuite le Soi.
De plus, les explications scientifiques et théologiques ne s’harmonisent pas entre elles. La diversité des théories montre clairement l’inutilité de rechercher ce genre d’explications. Elles sont purement intellectuelles ou mentales et rien de plus. Et pourtant, selon le point de vue de l’individu, elles sont toutes vraies. Mais, dans l’état de Réalisation, il n’y a pas de création. Quand on voit le monde, on ne se voit pas soi-même [tel le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu]. Quand on voit le Soi, le monde n’est pas vu (2). Voyez alors le Soi et réalisez qu’il n’y a jamais eu de création ». (Entretien 455).

« Chacun sait qu’il est. « Qui est-il ? » Et subjectivement : « Qui suis-je ? » Le faux ego est associé aux objets ; il est même son propre objet [et le consommateur-objet du capitalisme].
L’objectivation est l’erreur [et son « objectivation historique » à la Marxengelsisme]. Seul le sujet est la Réalité. Ne vous confondez pas avec l’objet, c’est-à-dire avec le corps. Cela donne naissance au faux ego, puis au monde et à vos activités dans ce monde, d’où résulte la souffrance. Ne pensez pas que vous êtes ceci, cela, ou quelque chose ; non plus que vous êtes comme ceci ou comme cela, ou un tel ou une telle. Débarrassez-vous seulement de cette erreur. La Réalité se révélera d’elle-même. Les Écritures disent que le Soi est nitya-siddha, toujours présent, et cependant elles parlent de la dissipation d’ajnana [ignorance, absence de conscience du Soi]. Si le Soi est toujours (nitya) et présent (siddha), comment peut-il y avoir l’ajnana ? Pour qui est l’ajnana ? Ces affirmations sont contradictoires, mais elles servent à guider le chercheur sérieux sur la bonne voie. Ce chercheur ne comprend pas facilement l’unique vérité si on la lui expose en termes simples, comme dans : …naham neme janâdhipâh… [BhG II.12] (”Il n’est pas vrai qu’il y ait eu un temps où je n’étais pas, ni toi, ni ces rois des hommes ; il n’est pas vrai non plus qu’aucun de nous doive jamais, dans l’avenir, cesser d’être”). Shrî Krishna déclara la Vérité, mais Arjuna ne put la saisir. Plus tard, Krishna dit clairement que les gens Le confondaient avec le corps, alors qu’en réalité, Il n’était pas né et Il ne mourrait pas. Néanmoins, Arjuna eut besoin de toute la Gîtâ pour que la Vérité lui soit rendue claire.
Comprenez donc, le Soi est seulement être et non pas être ceci ou cela. C’est simplement être.
Soyez… et c’est la fin de l’ignorance. Cherchez à qui est l’ignorance. L’ego surgit lorsque vous sortez du sommeil. Dans le sommeil, vous ne dites pas que vous êtes en train de dormir, que vous allez vous réveiller, ou que vous dormiez depuis longtemps. Et cependant vous êtes bien là. Ce n’est qu’au réveil que vous dites que vous avez dormi. Votre état de veille englobe aussi le sommeil.
Réalisez votre pur Être. Ne vous confondez pas avec le corps. Le corps est le résultat des pensées.
Les pensées continueront à se dérouler [par le vagabondage ou idéation], mais vous n’en serez pas affecté. Vous n’étiez pas concerné par le corps quand vous dormiez ; vous pouvez toujours demeurer ainsi [être ”COUR”].

Mr. Ekanatha Rao : Comment cette recherche peut-elle se concilier avec la nécessité de gagner sa vie quand on est dans le monde ?
- Maharshi : Les actions en elles-mêmes n’entraînent aucune servitude [sauf dans l’esclavage sous le capitalisme dans le système du salariat]. La servitude résulte seulement de la fausse conception : « Je suis celui qui agit » [celui au pouvoir d’achat et au FAIRE/FER]. Abandonnez ce genre d’idées et laissez le corps et les sens jouer leur rôle sans interférence de votre part ». (Entretien 46 du 12-4-1935).
« …laissez le corps et les sens jouer leur rôle sans interférence de votre part ».

Retour sur : « Les Anciens Égyptiens jouent sur les mots, et sont champion de l’euphémisme » (par exemple remplacer le mot « aveugle » par « non-voyant », comme pour enjoliver ou BRODER autour du mot). Rejoint l’ambiguïté du SACRÉ et l’AMBIGUÏTÉ même. Tout être, tout objet donc et toute acte sacré sont le lieu d’une profonde ambivalence ou ambiguïté. L’objet sacré quel qu’il soit est investi d’une énergie prodigieuse (par exemple la MANA des Polynésiens) Autant icelle peut être bénéfique d’un côté et d’un Instant à l’autre se retourner en son contraire et devenir destructrice et mortelle.
L’Ambiguïté s’inscrit dans le concept du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) : un décryptage anagogique (un sens spirituel du langage écrit fondé sur un type figuratif de la Conscience infinie).
Or ce monde fonctionne suivant son inconscient collectif et suivant sa conscience relativiste qui entraîne une lecture horizontale, dans la « mise en valeur de la flèche du temps », avec flots des associations répétitives, comme les symboles (sun, grev : avec) et codent les images entre elles, comme les symboles s’agglomèrent eux-mêmes dans leurs sources assez nombreuses, comme les Arché-types.
La conscience de l’Ambiguïté, sa réalité, est une avancée dans le Gate gate au-dessus de de la science globalisante ou de l’inconscient collectif fonctionnant dans l’horizontalité de la « couverture sociale » et du conventionnel, le superficiel.
(Voir la suite sur la page AMBIGUÏTÉ très important)


Notes.
1. Utilisation très concrète par exemple dans l’utilisation de deux filtres Polaroïd utilisés pour supprimer les reflets sur une surface métallique. La lumière polarisée, comme celle de la lune, vibre dans un seul sens.


2. On ne peut pas saisir ce qui sépare, comme s’il fallait atteindre, saisir le but, sans aussitôt être séparé de ce qu’on saisit. Pour saisir le ‘Je’, il fait un corps : le ‘je’ ou mental, mais dans la chute ou la croyance au corps, le ‘Je’ ou Soi est ignoré !
L’Original, l’Arché-type façon les noms-les-forme embarqués par Noé dans son arche, le Vrai, ne se DONNE ou ne se concrétise, ne se fixe : la GRATUITÉ, qu’une fois défunt (en mode SURFEU : telle l’Ouroboros l’énergie se retourne contre soi, l’ego, en révélant la VACUITÉ au Cœur même de l’ÊTRE. Quand comme l’Ouroboros se dévorant Lui-même, quand l’énergie se retourne contre elle-même, l’ÊTRE devient sur l’Instant de SON RENONCEMENT, LE FLÉAU, LA PUTRÉFACTION, LA PREUVE SUPRÊME DE SON EXISTENCE DANS L’INSTANT DU FLÉAU. C’EST LE PARADOXE DE LA RÉALISATION DU SOI-INSTANT.
Dans l’Arché-type on retrouve le PRINCIPE DU GRAIN-FOCALE « Ceci devient cela » : par exemple le Soleil est le Seul Réel et ce qu’il éclaire par ses rayons ne sont que des Doubles, de petits soleils : non pas une image de la Chose originale Soleil, mais bien la Chose elle-même. Le Soleil comparable en son Centrum Centri au CENTRE QUI EST NULLE PART. C’est pourquoi les radiations du CORPS soleil de la thermodynamique du feu vulgaire DÉTRUISENT ; seul ce qui est à l’intérieur - en sa non-dualité Dedans-Dehors qui ne fait que voir le CORPS par la saisie et le concept du temps entre le sujet et l’objet -, correspond au Soi ou Conscience infinie.
RACINE DU MAL : la dualité Dedans-Dehors, car le soleil (S) est le Tabernacle (Trésor, Tente, Temple (a)) de la Nuit obscure.
C’est bien le soleil ou l’étoile qui renferme en son Centrum Centri le Tic-Tac (tactique) de l’Univers, son Soi : le Noyau obscur solide rayonnant une lumière couleur de l’Or métal. LE SOLEIL ENFERME SON TRÉSOR, mais les humains du Néolithique sont allés jusqu’à adorer le soleil au lieu de l’honorer comme leur Soi !
On comprendra facilement que l’association de la couleur Or et du métal Or devant fabriquer dans le mental de certains humains l’invention du concept de valeur, COMME S’ILS DÉTENAIENT L’ÉNERGIE SUPRÊME, LIBRE ET INÉPUISABLE, « L’AUTONOMIE » qui  allait conduire au problème matérialiste et social et de l’énergie de l’actuelle civilisation de la consommation sous le concept du capitalisme : la tête, le CAPITAL, le SOLEIL, L’OR, L’INÉPUISABLE OU ÉVOLUTIONNISME SANS FOND ET SE CROIRE AUTONOME PAR UNE ÉNERGIE DEHORS.
A-dorer : du A privatif et dorer : priver d’Or !

Le soleil est imparfait, il a des tâches et des hoquets, mais son Centrum Centri, son Soi ne peut qu’être parfait.
C’est la raison pour laquelle les premiers humains du Néolithique firent une tragique erreur quand ils commencèrent À NE CONSIDÉRER QUE LE CORPS DU SOLEIL (le feu vulgaire), SA THERMODYNAMIQUE : « Ne vous confondez pas avec l’objet, c’est-à-dire avec le corps [ici avec l’exemple du soleil]. Cela donne naissance au faux ego, puis au monde et à vos activités dans ce monde, d’où résulte la souffrance [et la métallurgie, les armes de guerres qui vont avec]. Ne pensez pas que vous êtes ceci, cela, ou quelque chose ; non plus que vous êtes comme ceci ou comme cela, ou un tel ou une telle. Débarrassez-vous seulement de cette erreur. La Réalité se révélera d’elle-même ». (Ramana Maharshi, entretien 46 du 12-4-1935).

a. Tente, Tabernacle et Temple : la Tente de La Dame à la Licorne intitulée ”À mon seul désir” : le SURFEU, la VACUITÉ (abandon de l’ego, Fléau ou Putréfaction, Renoncement au sens de Vacuité, Renoncement au sens de non-dualité).
La Tente, le Tabernacle illustre le NIRVANA : « Le nirvana est perfection. Dans l’État parfait, il n’y a ni sujet ni objet ; il n’y a rien à voir, rien à ressentir, rien à connaître [sûr que c’est anti-société de consommation, anti-culture de masse…] Voir et connaître sont des fonctions mentales. Dans le nirvana il n’y a rien que la Félicité de la pure Conscience « Je suis ». (Ramana Maharshi, entretien 406 du 20-4-1937).
Nirvana : le contraire du samsâra (cycle des naissances et des morts, monde phénoménal de noms-les-formes). Le nirvana du parfait Bouddha ou Bienheureux n’est autre que l’ÉVEIL suprême appelé « nirvana sans demeure » (la Vraie Demeure).
 
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Dernière mise à jour : 10-07-2022 03:07

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