La seule Vérité essentielle
 

Ecrit par Sechy, le 26-08-2022 04:50

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La seule Vérité essentielle :
« Il n’existe qu’un seul Soi et
rien d’autre que le Soi.
Le connaître, c’est connaître tout le
reste. Cela ne peut être répété trop souvent.
« “Vous êtes le Soi, nous dit-il, rien que
le Soi ; tout le reste n’est qu’imagination,
alors soyez le Soi ici et maintenant.
Il n’est pas nécessaire de se retirer dans
une forêt ou de s’enfermer dans une chambre ;
poursuivez vos activités essentielles,
mais libérez-vous de l’association avec
leur auteur.
Le Soi est le témoin,
vous êtes Cela ”».
(Le Major Chadwick rapportant le condensé de
l’enseignement de Ramana Maharshi et cité
dans la préface des entretiens du Maharshi)
 
Satyan nasti paro Dharma.
(Il n’y a pas de Religion supérieure
à la Vérité).
Devise indienne, et ici Vérité est
le Soi, à ne pas confondre bien-sûr
avec l’opinion !!! Car l’opinion c’est
l’ego, le soi avec le s minuscule,
le ‘je’ qui est soumis, conditionné par
l’autre, le Dehors, par l’ignorance, du Soi.
Quand le non-conditionnement est détruit,
le non-soi conditionné brille de sa
propre lumière, telle l’évaporation de
l’illusion d’optique de ce monde.
« L’apparence de ce monde est une confusion ;
de même que le bleu du ciel est une
illusion d’optique. Mieux vaut ne pas s’y
intéresser et l’ignorer ». (Yoga Vasistha).

Depuis 1789 l’inconscient collectif parle de
« liberté », de « libération » (certainement
de la dualité Église-Roi), pour la remplacer
par la dualité Capital-Président !
Et l’inconscient collectif est toujours
dans l’INCONSCIENCE !
« Vous savez que vous ne savez rien.
Découvrez ce qu’est cette connaissance.
Cela est la Libération (mukti) ».

(Ramana Maharshi 12, 15-5-1935).

Liberté ou Libération = la Réalité.
« Quelle est la nature de la Réalité ?
- Maharshi :
a) L’existence sans commencement ni
fin, l’existence éternelle.
b) L’existence partout, sans limites, infinie.
c) L’existence sous-jacente à toutes les formes,
tous les changements, toutes les forces,
toute la matière et tout l’esprit.
Le multiple (les phénomènes) change et
disparaît, alors que l’Un (le noumène)
perdure éternellement.
d) L’Un qui remplace les triades, à savoir
le connaisseur, la connaissance et le connu.
Les triades ne sont que des apparences dans
le temps et l’espace [des opinions],
tandis que la Réalité s’étend au-delà et
derrière elles. Elles sont comme un mirage
qui cache la Réalité. Elles proviennent
de l’illusion ». (Entretien 28 du 4-2-1935).

« Si le ‘je’ [ego] est aussi une illusion,
qui donc alors rejette cette illusion ?
- Maharshi : Le ‘Je’ rejette l’illusion du
‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’.
Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi.
Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient
aucune contradiction ».
Paradoxe de la conscience qui dépend des
objets et les objets qui dépendent de la
conscience, ce qui suppose une Conscience
au-delà pour s’en « apercevoir » !

Depuis 1789 et la poussée du capital et de
son « libéralisme », la liberté est confondu
avec le mot « bonheur », lequel n’est que
relatif : la « bonne » heure, par rapport à
la « mauvaise heure » !
« Quand un contact agréable a lieu ou son
souvenir et quand il y a absence de contact
ou de souvenir désagréable, nous disons qu’il
y a là du bonheur. Un tel bonheur est relatif
et il vaut mieux l’appeler plaisir [et une définition
de l’actuel consommateur possessif de ceci et de
cela dans le système du « votre ceci, votre cela »].
Mais les hommes veulent un bonheur absolu et
permanent. Celui-ci ne réside pas dans les objets
mais dans l’Absolu. C’est la paix, libre de
souffrance et de plaisir – c’est un état neutre ».
(Ramana Maharshi 28, 4-2-1935)


LA FIN DU CAPITALISME ET DE LEUR SYSTÈME BANCAIRE ET DE LEUR « MARCHÉ » (leur monde, leur planète, leur univers espace-temps).

- Question : Dans quel sens le bonheur est-il notre nature réelle ?
- Maharshi. : La félicité parfaite, c’est le brahman [l’Absolu]. La paix parfaite, c’est la paix du Soi. Cet état seul existe et il est consciemment ressenti. On arrive à la même conclusion par le raisonnement métaphysique et par les convictions acquises en suivant le bhakti-mârga (la voie de la dévotion).
Nous prions Dieu de nous donner la félicité et nous la recevons par Sa grâce. Le dispensateur de la félicité doit être la Félicité elle-même et aussi l’Infini. Ishvara est donc le Dieu personnel d’un pouvoir et d’une félicité infinis. Le brahman est Félicité, impersonnelle et absolue. Dans leur nature spirituelle, les ego limités, prenant leur source dans le brahman et ensuite en Ishvara, ne sont que félicité. Biologiquement, un organisme ne fonctionne que parce que toutes ses fonctions s’accompagnent de bonheur. Le sentiment du plaisir favorise notre développement : nourriture, exercice, repos et tendances grégaires. La psychologie (et la métaphysique) du plaisir, c’est peut-être que notre nature est fondamentalement une, entière et emplie de félicité. Prenez cela pour une hypothèse probable. La Création est le fait d’une seule divinité qui se divise en Dieu et Nature (mâyâ ou prakritî). Cette mâyâ est constituée de deux éléments : le para, qui est l’Essence-support, et l’apara, qui comprend les cinq éléments, le mental, l’intellect et l’ego (l’octuple manifestation).
La perfection de l’ego est tout à coup brisée, suscitant un besoin qui donne naissance au désir d’obtenir quelque chose ou de faire quelque chose. Quand ce besoin est satisfait par l’accomplissement de ce désir, l’ego est heureux et la perfection originelle est rétablie. C’est pourquoi on peut dire que le bonheur est notre condition naturelle ou notre nature [c’est le site qui souligne]. Le plaisir et la douleur sont relatifs [et source de bénéfices pour le capital] ; ils tiennent de notre état limité et se développent en fonction des satisfactions des désirs [et de la création de besoins pour engendrer les désirs]. Si ce développement relatif est stoppé et que l’âme s’immerge dans le brahman – dont la nature est la paix parfaite – cette âme cesse d’éprouver un plaisir relatif temporaire et jouit d’une paix parfaite : la Félicité [et c’est la fin du capitalisme]. Ainsi on peut dire que la réalisation du Soi est Félicité ; c’est le Soi réalisé en tant que l’oeil spirituel sans limites (jnanadrishti) et non pas la clairvoyance [et non par la consommation et son pouvoir d’achat] ; c’est l’abandon de soi à son plus haut niveau. Tandis que le samsâra [le cycle du monde, la consommation, la création et la manifestation sur le plan du « fini »] est souffrance. (Entretien 28, 4-2-1935).

L’être humain l’Univers Lui-même qui devient conscient du Soi transcende la dissolution cosmique (pralaya : dissolution du monde) et atteint la Libération (mukti). « Pourquoi pas Dieu (Ishvara) qui est infiniment plus sage et plus capable ? » (Entretien 30).

« La première fois que l’un des assistants vint chez Bhagavân [le Maharshi ou Sage], il demanda : « Quel est le chemin qui mène à la Libération ? » Le Maharshi répondit : « Le chemin sur lequel on est déjà engagé conduit à la Libération ». Peut correspondre à cette sentence en non-dualité de Louis Cattaux : « Quelle que soit la chose que nous avons décidé de faire, persévérons jusqu’à ce que l’absurde ou la lumière de Dieu nous délivre et nous rende libres dans l’acte et dans le repos ». Ou à cette autre non-dualité évacuant le terrible Dedans-Dehors de la racine du mal : « Celui qui est dans l’erreur essaie de l’imposer aux autres. Celui qui possède la vérité s’efforce de l’appliqué à lui-même. C’est la marque qui ne trompe pas » ; ici le mot « vérité » ne peut qu’être le Soi et aucunement l’opinion… Les « sauveurs du monde », la chefferie du capital mondialiste essaye d’imposer son opinion aux autres, toujours dans l’optique de l’Oiseau Phénix increvable du « Plus ça change et plus c’est la même chose », aussi appelé « progrès » (un faux ”Jour san fin”, voir plus bas).

« L’environnement ne vous abandonne jamais comme vous le désirez. Regardez-moi : j’ai quitté ma maison de famille. Regardez-vous : vous avez quitté votre cadre familial pour venir ici. Qu’est-ce que vous trouvez ici ? Est-ce différent de ce que vous avez laissé derrière vous ? Même celui qui est immergé pendant des années dans le nirvikalpa-samâdhi, lorsqu’il émerge de cet état, se retrouve dans le milieu qui lui est départi. C’est la raison pour laquelle l’Acharya [maître, savant, et référence au saint et philosophe Shankara], dans son ouvrage remarquable, le Viveka-chûdâmani, donne la priorité au sahaja-samâdhi plutôt qu’au nirvikalpa-samâdhi.
On devrait être naturellement en état de samâdhi, en son état originel, au sein de n’importe quel environnement ». (Entretien 54 du 16-6-1935).
SAMÂDHI : absorption totale dans le contemplation. Sahaja-samâdhi : samâdhi auquel on parvient naturellement sans effort. Peut correspondre à cet avertissement dans le Secret de la Fleur d’Or : on ne peut pas « saisir » le mental : le « TOUT » est insaisissable, l'Univers étant NOUS ne peut pas être saisi : « Un mental purifié est élixir, un mental vidé est remède. On dit du mental qu’il est purifié quand il ne s’attache plus à rien. On le dit vidé lorsqu’il ne garde plus rien en lui. Mais si l’on s’attarde sur le vide de cette vacuité, c’est que la vacuité n’est pas encore vide. Un mental vide et qui ne pense pas à sa vacuité, voilà ce qu’on appelle la véritable Vacuité », dit Le Secret de la Fleur d'Or, traduction de Thomas Cleary.
Le Vrai cesse d’être vrai dès qu’il est vu ou ”objectivé”, POSSÉDÉ (tel le ”fait” ou Faire/Fer qui rouille, telle l’opinion qui rouille encore plus car dépendante des accidents du spatio-temporel : l’expérience de l’existant. Dans ce concept, aucune doctrine ne peut être immuable parce qu’elle a sa source dans le concept du temps qui coule. C’est pourquoi la doctrine politique étatique républicaine sera perpétuellement fluante, souple, se pliant aux circonstances dans la logique des « Plus ça change et plus c’est la même chose », singerie d’un « Jour sans Fin » singeant le « Soi tranquille et sache que Je suis Dieu » (1)).
Nirvikalpa-samâdhi : stade le plus élevé du samâdhi dans lequel l’âme perd toute sensation de séparation d’avec le Soi universel, mais état temporaire, car il y a encore retour à la conscience de l’ego.

“Le tout” [cosmos ou univers] relève encore du mental puisque c’est le connu et l’inconnu qui forment “le tout” [« l’ordre », « l’or donné » (l’ordonné dans la dualité ordre-chaos)]. Ce n’est que lorsque vous aurez transcendé le mental que vous demeurerez le pur Soi. Votre connaissance actuelle est limitée ; la véritable connaissance est illimitée et ne peut donc être comprise par la connaissance actuelle. Cessez d’être le connaisseur, et ce sera la Perfection ». (Ramana Maharshi, entretien 147 du 26-1-1936).
À ce hui mercantile et d’ingénierie politico-marchande : « Cessez d’être le SPÉCIALISTE, et ce sera la Perfection ».
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.

LIBÉRATION = LA LIBÉRATION DE TOUT ASSERVISSEMENT OU DE TOUT LIEN.
CE QUI EST IMPOSSIBLE DANS LE CAPITALISME ET L’ÉTATISME MARCHAND ET DÉMOCRATIQUE, RIEN QUE LE MOT « CONSOMMATION » LE PROUVE AVEC SON COMPLÉMENT « POUVOIR D’ACHAT », L’ASSERVISSEMENT SUPÉRIEUR DU CAPITAL.

« La Libération consiste uniquement à rester conscient du Soi » (1) et Ramana Maharshi, entretien 92 du 7-11-1935.
« Même la mukti (la Libération) doit être le résultat d’un effort tant que prévaut le sentiment d’être l’auteur de ses actions [les Faire/Fer, les a-faire…] ». (Entretien 116 du 25-12-1935).

- Question : Qu’est-ce que le moksha (la libération) ?
- Maharshi : Le moksha consiste à savoir que vous n’êtes jamais né. « Reste tranquille et sache que je suis Dieu ».
Rester tranquille veut dire ne pas penser. Ce qu’il faut, c’est savoir et non pas penser ». (Entretien 131 du 6-1-1936).


Note.
1. « En sommeil éveillé en état de « veille », sens de : « Soi tranquille et sache que Je suis Dieu » [Être], du Psaume 46,11.

« Maintenez fermement votre mental en état de méditation. Si vous n’avez ni la force ni la patience d’endurer les piqûres de moustiques, comment pouvez-vous espérer obtenir la réalisation du Soi ? La Réalisation doit exister parmi tous les tourments de la vie. Si vous vous étendez sur votre lit dans une position confortable, vous ne tarderez pas à vous endormir. Faites face à vos ennuis mais maintenez-vous fermement en méditation ». (Ramana Maharshi, entretien 150 du 28-1-1936).
- Maharshi : Vous existez. Vous dites « Je suis » ; cela signifie existence.
- Question : Mais je ne suis pas du tout sûr de cela, c’est-à-dire de mon existence.
- Maharshi : Oh ! Et qui donc parle en ce moment ?
- Question : Moi, bien entendu. Mais que j’existe ou non, je n’en ai aucune certitude. De plus, le fait d’admettre mon existence ne me conduit nulle part.
- Maharshi : Même pour la nier il faut qu’il y ait quelqu’un. Si vous n’existez pas, il n’y a pas de questionneur ni de question.
- Question : Admettons alors que j’existe.
- Maharshi : Comment savez-vous que vous existez ?
- Question : Parce que je pense, je sens, je vois, etc.
- Maharshi : Ainsi, vous pensez que votre existence découle de tout cela. Mais dans le sommeil profond, il n’y a pas de sensation, de pensée, etc., et cependant vous continuez d’être.
- Question : Mais non. Je ne peux pas affirmer que j’existais durant le sommeil profond.
- Maharshi : Niez-vous alors votre existence dans le sommeil ?
- Question : Peut-être que j’existe dans le sommeil, peut-être que non. Dieu seul le sait.
- Maharshi : À votre réveil, vous vous rappelez bien ce que vous faisiez avant de vous endormir.
- Question : Je peux dire que j’étais avant et après le sommeil, mais je ne peux pas dire si j’étais pendant le sommeil.
- Maharshi : Dites-vous maintenant que vous avez dormi ?
- Question : Oui.
- Maharshi : Comment pouvez-vous le savoir sans en avoir conservé le souvenir ?
- Question : Ce souvenir n’implique nullement que j’existais quand je dormais. Admettre une telle existence ne mène nulle part.
- Maharshi : Pensez-vous donc qu’un homme meurt chaque fois qu’il s’endort et qu’il ressuscite à son réveil ?
- Question : Peut-être. Dieu seul le sait.
- Maharshi : Alors demandez à Dieu de venir et de donner la solution à ces énigmes. Si on devait mourir en s’endormant, on aurait une peur du sommeil tout comme on s’effraie de la mort. Or, c’est l’inverse qui se produit, on recherche le sommeil. Pourquoi désirerait-on le sommeil s’il ne procurait aucun plaisir ?
- Question : Il n’y a pas de plaisir positif dans le sommeil. On recherche le sommeil seulement pour se débarrasser de sa fatigue physique.
- Maharshi : Oui, c’est vrai, « être libre de toute fatigue »… Il existe alors quelqu’un qui est libre de fatigue.
- Question : Oui.
- Maharshi : Ainsi, vous existez durant le sommeil et aussi maintenant, à l’état de veille. Vous étiez heureux en dormant, sans sensations, sans pensées, etc. Vous êtes le même maintenant, pourquoi n’êtes vous pas toujours heureux ?
- Question : Comment peut-on dire qu’on est heureux dans le sommeil ?
- Maharshi : Tout le monde dit sukham aham asvâpsam (« j’ai bien dormi » ou « j’ai dormi comme un bienheureux »).
- Question : Je ne pense pas que ces gens aient raison. Il n’y a pas sukha (félicité), il y a seulement absence de souffrance.
- Maharshi : Votre Être essentiel est Félicité. C’est pourquoi chacun dit qu’il était heureux en dormant.
Ce qui veut dire que dans le sommeil on demeure dans son état originel, non contaminé. Quant à la souffrance, elle n’existe pas. Où est-elle pour que vous puissiez parler de son absence dans le sommeil ? Toutes ces erreurs proviennent de la fausse identification du Soi avec le corps (le dvaita ou dualité).
- Question : Ce que je désire, c’est la Réalisation. Je ne sens pas le bonheur inhérent à ma nature.
- Maharshi : C’est parce que vous identifiez maintenant le Soi avec le non-Soi. Ce dernier n’est pas séparé du Soi. Cependant, l’idée erronée que le corps existe séparément subsiste et le Soi est confondu avec le corps. Cette fausse identification doit cesser pour que le bonheur puisse se manifester.
- Question : Je suis incapable de m’aider moi-même.
Bref, cet entretien 295 du 16-12-1936 se termine par le mot ABANDON (sens de RENONCEMENT, PUTRÉFACTION), parce que Nostre Nature est la Paix, la Félicité, soit : RESTER TRANQUILLE [du Psaume 46,11].
« Le médecin doit alors avoir les mains libres et le malade doit rester tranquille sans intervenir. Faites-en autant et restez tranquille. Aucun effort n’est nécessaire ». Et le questionneur finit par conclure lui-même : « C’est aussi la thérapie la plus efficace ».
 
 

Dernière mise à jour : 26-08-2022 05:35

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