Création = loi de succion
 

Ecrit par Sechy, le 08-01-2023 14:33

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Création = loi de succion
les Mangeurs et les Mangés
soit les Winners et les Losers.
Loi de succion dans le Talmud de Babylone
 
 
« Tu pourra exploiter l’étranger, mais tu libéreras ton frère de ton droit sur lui. Qu’il n’y ait donc pas de pauvre chez toi. Car Yahvé ne t’accordera sa bénédiction dans le pays que Yahvé ton Dieu te donne en héritage pour le posséder ». (Deutéronome 15,3-4). ”Ce verset peut être compris comme un commandement, indiquant qu'il incombe à chaque individu de s'assurer qu'il ne sera pas dans le besoin. Par conséquent, vos biens ont préséance sur les biens de toute autre personne”.
Et à 14,6 : « Si Yahvé ton Dieu te bénit comme il l’a dit, tu prêteras à des nations nombreuses [appliqué à la lettre par les Rothschild et autres Lazard] sans avoir besoin de leur emprunter, et tu domineras des nations nombreuses, sans qu’elles te dominent ».

Le RÉSEAU OU SOCIAL à 14,7-8 : « Se trouve-t-il chez toi un pauvre, d’entre tes frères, dans l’une des villes de ton pays que Yahvé ton Dieu t’a donné ? Tu n’endurciras pas ton coeur ni ne fermera ta main à ton frère pauvre, mais tu lui ouvriras ta main et tu lui prêteras ce qui lui manque ».
« Une cave m’est connue, une lampe m’a éclairé, une source m’a désaltéré », exemple de RÉSEAU chez la judéo-maçonnerie spéculative de 1717 : une société de winnerisme en forme d’admiration mutuelle, où, au temps de l’informatique et de la numérisation du monde (au sens de la saisie ou du contrôle de tout), LE MYSTÈRE NE PEUT QUE GÊNER !!!
Bref, Deutéronome, Talmud, Commandements ou ”Droits de l’Homme”, sont de pures copies sur les sagesses égyptiennes : genres littéraires de l’Orient ancien ; recueils de préceptes pratiques et moraux énoncés par une personne pourvue d’une longue expérience à l’usage d’un jeune homme, visant à lui faire connaître les « normes » de conduites dans la vie sociale.… Ça s’appelle aussi : « politique » (et de nos jours de spécialistes il y a des ”sociologues”). Et de nos jours de quantité le régime républicain et capitaliste fait « en gros ».

Pourquoi l’économie est si prégnante chez le démiurge « Yahvé ton Dieu » ? Soi-disant le « Créateur » du monde ?
De plus, qui dit « création » dit nécessairement ou naturellement EN HARMONIE, donc SANS GUERRE ENTRE LES MANGEURS ET LES MANGÉS !
Car « Félicité » signifie bien Paix, sans la dualité optimisme-pessimisme et un pessimisme mondialisé à ce hui et depuis l’après 1789.
« Création » devrait signifier : Émerveillement devant ces séquences créationnistes (Montagnes, Océans, Espace ou Univers et ce qu’il y a DEDANS : Nous).
Tant de guerres, de conquêtes, d’empires faits et défaits depuis les millénaires du Néolithique font que ce ”Yahvé ton Dieu” semble N’ÊTRE PLUS AMOUREUX, OU INCESTUEUX DE SA PROGÉNITURE : L’INCESTE ORIGINEL A DISPARU.

Pourtant, le ”Yahvé ton Dieu” semble avoir inventé la loi de succion : MANGÉ ET ÊTRE MANGÉ, SOIT LE SOMA ET AGNI : LA THERMODYNAMIQUE ou DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE : LE FEU POUR FAIRE CHAUFFER L’EAU DANS LA MACHINE ET AINSI POUR LA FAIRE TOURNER.
Soma (du grec sôma : corps) est la nourriture et Agni sera le feu QUI MANGE : pas de meilleur mangeur à la loi de succion que le feu vulgaire de la thermodynamique !
MANGEURS ET MANGÉS = WINNERS ET LOSERS ; ou encore : DEDANS-DEHORS, ENGENDRER.

D’ailleurs, Brahmâ est aussi le Créateur en Inde, et synonyme de Paix, de Félicité (Ramana Maharshi, entretien 433 du 26-12-1937).

Même question aussi bien à ”Yahvé ton Dieu” qu’à Brahmâ : « Pourquoi Brahmâ, qui est Perfection, nous crée-t-Il et nous met-Il à l’épreuve dans le but de le réintégrer ? »
- Maharshi : Où est l’individu qui pose cette question ? Il est dans l’Univers et inclus dans la création.
Comment peut-il poser cette question alors qu’il est enchaîné dans la création ? Il faut qu’il aille au-delà d’elle pour voir si alors quelque question se pose encore.
(Entretien 452 du 7-2-1938).

Brahman, Brahmâ et encore le ”Yahvé ton Dieu” NE PEUVENT QU’ÊTRE LE MENTAL, ÉVIDEMMENT PUR !
« L’achala-chitta (le mental sans mouvement) est la même chose que le shuddha-manas (le mental pur). On dit donc que le manas du jnani [le Réalisé, le Bienheureux] est le shuddha-manas. Le Yoga-Vasishtha déclare aussi que le brahman n’est autre que le mental du jnani. Par conséquent, le brahman n’est rien d’autre que le shuddha-manas.
Q. : La description du brahman en tant que sat-chit-ânanda convient-elle au shuddha-manas ?
Car celui-ci sera aussi détruit lors de l’émancipation finale.
M. : Si l’on admet le shuddha-manas, on doit aussi admettre que la Félicité (ânanda) du jnani n’est qu’un reflet [un ”COMME SI”]. Ce reflet doit à la fin se fondre dans son origine. C’est pourquoi l’état du jîvanmukta [Libéré vivant] est comparé au reflet d’un miroir sans tache dans un autre miroir semblable. Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur âkâsha (éther). De même, la félicité reflétée du jnani représente la véritable Félicité (ânanda).(Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938).


« Brahmâ, le dieu créateur, créa quatre garçons par la force de son esprit : Sanaka, Sanândana, Sanatkumâra et Sanatsujâta. Ceux-ci demandèrent à leur créateur pourquoi il les avait fait naître.
Brahmâ leur répondit : “Je suis obligé de créer l’Univers. Mais je désire me livrer à des ascèses (tapas) afin de réaliser le Soi. Je vous ai donné la vie pour que vous me relayiez dans la création de l’Univers. Vous y parviendrez en vous multipliant”. Les quatre fils n’apprécièrent pas l’idée de leur père. Ils se demandaient pourquoi ils devaient prendre sur eux cette charge et trouvaient qu’il était plus naturel de se mettre à la recherche de la source originelle. Ils préféraient revenir à leur origine et être heureux. Ils n’obéirent donc pas au souhait de Brahmâ et le quittèrent en quête d’un guide pour réaliser le Soi. Comme ils étaient naturellement doués pour obtenir la réalisation du Soi, leur direction spirituelle ne pouvait venir que du meilleur des Maîtres. Et celui-ci ne pouvait être autre que Shiva, le yogirâja [roi des yogis]. Shiva leur apparut, assis au pied d’un banyan, l’arbre sacré.
Etant un yogirâja, avait-Il besoin de pratiquer le yoga ? Il entra en samâdhi [contemplation] aussitôt et se tint en repos parfait. Le silence régnait. Les quatre frères Le virent et l’effet fut immédiat. Ils tombèrent en samâdhi et tout doute fut dissipé.
Le silence est le véritable upadesha (enseignement). Il est l’upadesha le plus parfait. Il ne convient qu’aux chercheurs les plus avancés. Les autres sont incapables d’en tirer une pleine inspiration. C’est pourquoi ils ont besoin de mots qui expliquent la Vérité. Mais la Vérité est au-delà des mots. Elle n’admet aucune explication. Elle ne peut qu’être indiquée [le scribe de cette page souligne]. Et comment cela peut-il se faire ?
Les gens sont sous l’emprise de l’illusion. Si celle-ci est dissipée, ils réaliseront la Vérité. Il faut donc leur dire de réaliser l’irréalité de l’illusion. C’est alors qu’ils essayeront d’échapper à ses pièges. Le résultat sera le vairâgya (le détachement, le renoncement). Ils se mettront en quête de la Vérité, à la recherche du Soi, et finiront par se maintenir dans le Soi. Shrī Shankara, qui était un avatar de Shiva, était plein de compassion pour les êtres déchus. Il voulait que tous réalisent leur Soi, l’état de Félicité. Ne pouvant pas tous les atteindre par son Silence, il composa le Dakshinâmûrti-stotra sous la forme d’un hymne afin que les gens puissent le lire et comprendre la Vérité.

Quelle est la nature de l’illusion ? Tous les hommes sont dans les griffes du plaisir, c’est-à-dire bhoktâ, bhogyam, bhoga. Et cela à cause de la fausse notion que les bhogya-vâstu (les objets de plaisir) sont réels. L’ego, le monde et le Créateur sont les trois principes fondamentaux, sous-jacents à l’illusion. Une fois que ces trois principes sont reconnus comme n’étant pas séparés du Soi, l’illusion est dissipée.
Les quatre premières stances traitent du monde. Elles montrent que le monde est identique au Maître dont le Soi est aussi celui du chercheur, ou bien au Maître auquel le disciple s’abandonne. Les quatre stances suivantes ont trait à l’individu à qui on montre que son Soi est le Soi du Maître.
La neuvième stance traite d’Ishvara et la dixième de la siddhi, la Réalisation.
Tel est le thème du stotra.
Que veut dire darpana (miroir) ici ? Un miroir, comme nous le savons, est un objet qui reflète la lumière. Qu’est-ce qui correspond au miroir dans l’individu ? La lumière du Soi, lumineux par lui-même, se réfléchit sur le mahat-tattva. Cette lumière réfléchie est le mental-éther ou mental pur.
Celui-ci éclaire les vâsanâ (tendances latentes) de l’individu et voilà que s’élève le sens du ‘je’ et du ’ceci’ [et du ”COMME SI”].
Une lecture superficielle de ces shloka (strophes) pourrait faire croire que l’attachement, la libération, etc., sont en relation avec le Maître, Shrî Dakshinâmûrti. C’est absurde. Ce qui est signifié, c’est l’abandon à Lui ». (Entretien 569 du 7-1-1938).

La formule : ”Yahvé ton Dieu” peut signifier véritablement : LE RENONCEMENT, « L’ABANDON À LUI ». Le seul et GROS PROBLÈME est que ce Dieu se fabrique UN PEUPLE PARTICULIER, IL DIVISE ENTRE CE PEUPLE ET LES AUTRES, IL FABRIQUE LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS qui engendre la SAISIE, LA LOI DE SUCCION, QUI VA ENGENDRER LE COMMERCE, LE SOCIAL, LE RÉSEAU… VOILÀ LE PROBLÈME DE CE DIEU PARTICULIER, POLITIQUE ET MARCHAND (qui achète ”son peuple”).

« Le turyâtîta est l’état dans lequel l’être individuel se fond dans le Suprême ». (Entretien 617 du 23 au 28-1-1939). Pour l’état de Turya et du Turyatita, voir la page : NOIR-BLANC MÊME COULEUR.

La ”Création” ressemble à un UTILITARISME SANS LA RACINE DU MAL : Dedans-Dehors n’existent pas en leur essence ; ainsi l’Univers est identique à un Dieu dont la ”forme symbolique” est identique à l’être humain, si bien que cet Univers est CONSUBSTANTIEL [THÉOL. CHRÉT. Qui est un par la substance. Le Fils est consubstantiel au Père, avec le Père] À LA TRINITÉ ELLE-MÊME puisque chacune de ses composantes est ”issue” de la Substance ”Dieu”.
L’UNIVERS DOIT SON EXISTENCE À UN SACRIFICE ABSOLU, AU SENS DE PERTE, GRATUITÉ, AMOUR : LA SPIRATION, LA VACUITÉ (au sens du ”souffle” dans Genèse 1,1 : « … un vent de Dieu tournoyait sur les eaux ».

GRATUITÉ : LA GRÂCE ÉTANT ICI ET MAINTENANT, ELLE EST GRATUITE, ELLE EST TOUJOURS ET N’EST PAS ”DONNÉ” (Ramana Maharshi 133, 6-1-1936).

« VOUS ÊTES TOUJOURS », dit le Maharshi à l’entretien 238 du 20-7-1936).

CRÉATION devrait signifier : HARMONIE, PERFECTION, ainsi il va de soi que l’Harmonie universelle ne peut exister que dans la mesure ou LA NATURE OU LE NATUREL EST RESPECTÉ, ce qui n’est pas le cas avec l’invention de l’État, de ses guerres, de sa sauce actuelle ”démocratie”, de sa technologie, etc…, tant la liste est désormais très longue.

Les transhumanistes se CROIENT PLUS WINNERS QUE BRAHMÂ : ils CROIENT pouvoir dans leur croyance au corps-matière-temps dépasser la puissance de Émergence-Croissance-Culmination-décroissance et mort ou dissolution, telles les phases inéluctables de tout ce qui est manifesté, quelque soient les cycles temporels envisagés, dont celui du transhumanisme qui voudrait son « Univers à lui ».

« Krishnamurti dit que l’homme doit découvrir le ‘je’ [ego]. Puis le ‘je’ se volatilise n’étant qu’un agrégat de circonstances [les ”Comme si”]. Il n’y a rien derrière le ‘je’…
- M : Oui, oui, c’est au-delà de toute expression.
(Ramana Maharshi 239, 20-7-1936).

À quoi sert la « raison » à la mode depuis le siècle des loupiotes français ?
« Le mental est la phase intelligente conduisant à sa propre destruction afin que le Soi se manifeste » (entretien 240, 23-8-1936). Depuis les loupiotes de 1789 et de leur laïcité ça ne semble pas le cas chez les consommateurs !
 
 

Dernière mise à jour : 08-01-2023 15:01

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