Dès que l’État est né
 

Ecrit par Sechy, le 10-07-2023 01:00

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Tags : Addiction, Aiguille, Amour, Argent, Artifictiche, Atlantide, Autorité, Banque, Christ, Collectifictif, Commerce, Convention, Croyance, Démocrapitaliste, Diable, Dragon, Echo, Egopinion, Egorgueil, Égrégore, Empire, Enfer, Essence, État, Feu, Guerre, Hararielisme, HOTC, Images, Jardin, Laïcité, Loi, Marchandise, Marxengelsisme, Masque, Messianisme, Mental, Métal, Mieux, Nostalgie, Paradis, Peur, Pierre, Pinceau, Pointe, Pouvoir, Raison, République, Rêve, Russie, Scalaire, Serpent, Silence, Social, Spirale, Spontacratie, Tore, Transhumanisme, Utotalitarisme, Verbopinion, Vie, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Yi King, Yokai

 
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Dès que l’État est né
dans la CAUSE NÉCESSAIREMENT D’UNE CONQUÊTE,
D’UNE VIOLENCE, les représentants de ce
Pour-Voir n’ont cessé de rêver à l’institution
d’un ”Royaume universel” (une gouvernance
mondiale) réunissant sous la direction d’un
seul ou d’un petit groupe tous les peuples
de la Terre.


Globalisme ou gouvernance mondiale, LA MONTÉE CYCLIQUE DES TOTALITARISMES : la banale sentimentalité de la couverture sociale des a-priori, des ”COMME SI” moraux de l’Occident chrétien de la dualité corps-esprit (totalitarisme ou globalisme christique qui donnera Mussolini, Hitler, Staline-Démiurge, Mao, etc.).
 
Jusqu’à ce hui ce but ne fut jamais atteint,
comme en témoigne la succession discontinue
dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui Coule)
des royaumes et empires les plus divers.
Même les plus grands et les plus puissants
n’ont eu qu’une bien courte durée :
dès que ces constructions de mental humain
atteignaient le point culminant de leur
winnerisme et de leur Pour-Voir, le ferment
de dissolution qu’elles portaient en elles :
l’ego et la croyance corps-mental, les démolissait.


Qu’est-ce qu’il en est de nos jours ?
Les globalistes rêveurs d’un royaume universel, donc les UTILITARISTES GLOBAUX ont maintenant de gigantesques outils technologiques pour arriver à leurs faims avec leur Argent-Marchandises-Dieu : verrouiller-contrôler les paiements par l’internet, y compris les comptes bancaires individuels et ceux des entreprises, empêcher les personnes de transférer des fonds d’un lieux à un autre. Ensuite l’intelligence artificielle passe au crible les centaines de millions de transactions chaque minute, à la recherche de ”défauts” ; leur algorithme est programmé pour identifier toute personne ayant trouvé le moyen de contourner le suivi des données informatiques, de ceux qui tenteraient encore de rester ”anonymes”.
Les institutions utilitaires globalistes, dont le BRI (banque des règlements internationaux) et le FMI y travaillent déjà.
Selon le projet ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” dans la logique judéo-maçonne spécu-républicaine de leur trinité « égalité-liberté-fraternité » et leur psychose égalitaire : TOUT EST PARTAGÉE en singerie communiste christique du ”Partage du pain et du vin” : Vous ne possédez effectivement rien puisque vous empruntez tout au DEHORS : le système collectif façon URSS des pires horreurs : LA PERCEPTION UNIQUE D’UNE COLLECTIVITÉ ET L’INTERDICTION DU MOINDRE MOI-INDIVIDUEL : VOUS N’ÊTES QU’UN OBJET TEL LE ROUAGE D’UNE MÉCANIQUE GLOBALE.
Dans cet enfer ce qui reste du Moi-Individuel n’est autorisé à travailler QUE POUR SURVIVRE, jamais pour posséder quelques richesses pour l’avenir de ses enfants par exemple ; et sa survie dépend entièrement AU DEHORS : le système qui peut ainsi contrôler sa vie en appuyant sur un bouton.

Ce SUPER ÉTAT TOTALITAIRE et ses membres du gouvernement prétendra posséder LA CLÉ DE L’UNIVERSEL (qui est en tout être humain : le Soi).

Or l’Universel véritable c’est CHACUN DE NOUS (1).


Il ne peut pas exister deux globalité(s) de connaissable et donc d’existant, car aucun ne pourrait alors être dit ”Universel”, parce que ne contenant pas l’autre et étant limité par lui. Cela pour la même raison que, Si l’on tient que le Soi est infini, il y en a nécessairement qu’un Seul, puisque s’il en était deux, chacun étant limité par ce qui le distingue de l’autre, aucun ne pourrait être dit Infini (1).
Ainsi toutes les idéologies politiques sont des MASQUES POUR LE BESOIN D’ABSOLU, DE RELIGION, ET LA GOUVERNANCE MONDIALE SERA LA RELIGION.
Le big problème, c’est qu’il ne peut pas y avoir plusieurs universalité(s) et que la lutte entre les pseudo-universalité(s) est cruelle, impitoyable, meurtrière et sanglante. QUAND UNE MAGIE PARLE TOUTES LES MAGIES PARLENT, ET QUAND UNE SE TAIT TOUTES SE TAISENT : les ismes qui s’emparent des groupes humains, sont des psychoses collectives, y compris dans les religions abrahamistes.

L’État globaliste idéal sera la dictature d’un seul individu ou d’un petit groupe qui « dit » la vérité du jour et ce que sera celle du lendemain ; une intelligence artificielle pourra même le faire !

Le curé d’Ars et la stance 17,31-33 de Nagarjuna disent le MASQUE du ”Faire semblant” qui cache la Vacuité : « De même que le Maître [le Buddha], par son pouvoir miraculeux, crée un être magique et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre à son tour [et avec l’I.A. Nous entrons plein pieds dans la concrétisation de la MAGIE, avec toutes les causes-effets augmentés], de même l’agent se présente comme un être magique, et l’acte accompli par lui est comme un deuxième être magique créé par le premier [socialisme]. Passions, actes, agents, fruits ressemblent à une ville de génies célestes [et de pouvoirs ou de transhumanistes], sont pareils à un mirage [eyes candy hollywoodien], à un songe ».

Ainsi le monde et le ‘moi’ de la conscience ne sont ni réels ni irréels mais de l’ordre de L’ILLUSION, DU MASQUE DU ”COMME SI” comme l’énonce le curé d’Ars et Nagarjuna. C’est ce qui ARRIVE DANS LA FICTION : on com-prend, ON Y CROIT, c’est une illusion en cascade ”COMME SI” la vérité tout entière ne pouvait consister qu’en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout, telle que le procède une ”intelligence artificielle” à coups de transistors.

MAGIE des hallucinations que, depuis l’absence de commencement, l’on perçoit ”COMME SI” il s’agissait d’objets AU DEHORS, DONC NE PAS SORTIR DE L’UNIVERS POUR-VOIR :
« Voir ainsi les choses [sans Dedans-Dehors], c’est abolir toute fiction d’objet et se libérer des mots et de leur sens tels que l’erreur se les approprie. Lorsque l’on sait que son propre corps et ses possessions, de même que l’espace ainsi occupé, ne sont que le champ d’expérience de la conscience fondamentale, il n’est plus de sujet pour se les approprier, plus aucun objet d’appropriation, et plus rien qui naisse et disparaisse [telle la dualité cause-effet] : la vision juste consiste à penser constamment de la sorte sans jamais se départir de cette réalisation » (Lankâvatâra, chapitre Compendium de tous les enseignements).

À coups de transistors : à coups d’opinions : ”crée un être magique et que cet être magique, magiquement créé, en crée un autre à son tour” ou qu’une opinion créé magiquement en créé une autre à son tour, ET ÇA N’A PAS DE FIN MAIS A TOUJOURS FAIM : LE MENTAL HUMAIN SE CONSTRUIT SES OPINIONS À LA FAÇON D’UN CARRELAGE (comme celui des carreaux noirs et blancs des loges judéo-maçonniques) ; c’est pourquoi dans la croyance au corps-mental IL NE PEUT Y AVOIR DE PAIX, car il ne peut y avoir deux corps-mental humains qui puissent vivre la même série d’événements, ou de vivre le même événement de façon identique, ”normalisée” comme le rêvent les démiurges globalistes. Chaque humain est dans sa façon de penser, de sentir, un résultat de la vie, de sa vie à lui. Il est fabriqué, moulé dans un cadre sensible, scolaire-social et temporel, d’autant plus flagrant que sa vie est maintenant normalisée par son smartphone et son ”tout connecté” comme ses ”réseaux sociaux”.
IL EST CONDITIONNÉ COMME UN OBJET DE SUPERMARCHÉ OU SUR AMAZON. IL N’EST PAS LIBRE.


Ce qu’il appelle « liberté », ce n’est que le droit et la permission octroyée par ses ”Droits de l’Homme” de rechercher les conditionnements qui l’arrangent et le confortent le mieux, dont il joint le plus, ce qui n’est pas possible sans contredire ce qui convient à l’autre citoyenisé. Résultat : de perpétuels CONFLITS entre individus, classes et nations, à y ajouter le masque des ”élections”.
En « démocratie » aussi bien aux USA qu’au Japon du dernier empereur Naruhito, tous les salarimen qui beuglent de ”démocratie” passent la plupart de leur survie dans des lieux NON-DÉMOCRATIQUES, comme la famille, l’école, les hauts lieux ou temples du capitalisme, sans compter l’armée et la bureaucratie des institutions étatiques et mercantiles : ils se croient tous « libres » dans « leur » démocratie des cités-béton-acier-verre où tous les citoyenisés sont bétonnisés ou uniformisés donc à égalité comme identiques sur le plan des « valeurs républicaines » (qui les protègent…).
Quel pays le plus petit possible qui ne possède pas au minimum une ”banque centrale” ? (Même le Vatican : 0,44km carré possède une banque).

Le Soi, la Chaise d’Isis.

« Et un jour, le grand ‘Je’ avec une majuscule, s'est révélé. Je l'ai vu par-delà le temps de l'Histoire, des accidents, des contingences ; par-delà les mots, les couleurs et les sons, les plaisirs et les peines. Le grand ‘Je’ qui dit « Je suis celui qui suis » [ou « Je suis ce JE SUIS »].

Il se découvrait comme la pointe ultime au sommet de moi-même, le centre sans lequel je ne serais pas, comme un angle n'est pas si deux droites ne se joignent en un sommet, comme la circonférence ou la sphère ne seraient pas sans le centre. Ce centre, ce sommet, n'ex-iste pas ; il lui suffit d'être et, sans lui, il n'y a pas d'existant. Il est tout entier mon «je» comme il est tout entier le 'je' [ego] de chaque humain, comme tous les rayons sont issus d'un même centre. C'est lui qui fonde la « Personne ».

Ce ‘Je’ m'a enseigné ma genèse à partir de lui-même.

Je porte en moi, en mon noyau, l'essence de tout ce qu'il a créé, et ce noyau est le même pour tous les humains. En lui.

Le « Un » et l’« Infini » sont une même chose. L'essence de la création totale, toute l'échelle de ce qui « est », et celle de l'individu qui est moi, c'est la même.

Le problème de la con-formité de la chair historique à ce squelette-essence est le même pour mon Je-individu que pour le Je-humanité globale, dans l'instant présent comme dans la totalité historique. Et la mort de chaque individu est une eschatologie au même titre que l'Apocalypse de l'humanité totale que nous annonce saint Jean. Toute mort est métaphysique et toute mort est glorification quand elle est vraie, quand la métamorphose de chrysalide en papillon est réussie ».
(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 31 à Michel Aimé, le 10-9-1974).

Note.
1. Un seul Universel ou un seul Soi :
« Si vous affirmez que vous voyez les objets ou que vous ne connaissez pas l’Unité réelle, vous devez en conclure qu’il y a deux soi : le connaisseur et l’objet connaissable. Or, personne n’admettrait qu’il existe en lui-même deux soi. L’homme réveillé dit que c’était lui qui était plongé dans le sommeil profond, mais qu’il était inconscient. Il ne dit pas que le dormeur était différent de celui ici présent. Il n’y a qu’un Soi. Ce Soi est toujours conscient. Il ne change pas. Il n’existe rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi 144, 23-1-1936).

- M. : La Réalisation est déjà là. L’état libre de toute pensée est le seul état réel. Il n’y a aucune action correspondant à une réalisation. Y a t-il quelqu’un qui ne réalise pas le Soi ? Y a-t-il quelqu’un qui nie sa propre existence ?
Lorsqu’on parle de Réalisation, cela implique l’existence de deux soi : l’un qui réalise, et l’autre qui doit être réalisé. On cherche à réaliser ce qui n’est pas encore réalisé. Une fois que nous admettons notre existence, comment se fait-il que nous ne connaissions pas notre Soi ?
- Q. : À cause de nos pensées, de notre mental.
- M. : Tout à fait. C’est le mental qui empêche et voile notre bonheur. Comment savons-nous que nous existons ? Si vous dites que c’est à cause du monde environnant, alors comment pouvez-vous savoir que vous existiez pendant votre sommeil profond ?
- Q. : Comment pouvons-nous nous débarrasser du mental ?
- M. : Est-ce le mental qui désire se tuer ? Le mental ne peut pas se tuer lui-même. Par conséquent, ce que vous avez à faire, c’est rechercher la nature réelle du mental. Vous découvrirez alors qu’il n’y a pas de mental. Quand on est à la recherche du Soi, le mental n’est plus nulle part.
Quand on demeure dans le Soi, on n’a plus besoin de s’inquiéter du mental.
(Ramana Maharshi 146, 26-1-1936).

- M. : …. Il n’est pas nécessaire de voir le Soi avec un autre Soi. Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi est non-Soi. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi. Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de ces deux fonctions, tout seul, en tant que pure conscience.

Une femme s’imagine par erreur avoir perdu son collier qu’elle a toujours à son cou. Elle se met à le chercher partout, jusqu’à ce qu’une amie lui dise qu’il est à son cou. Elle a créé son sentiment d’avoir perdu le collier, sa propre anxiété de le rechercher, puis son propre plaisir de le retrouver.
De même le Soi est toujours présent, que vous le cherchiez ou non. Tout comme la femme s’imagine que son collier a été retrouvé, de même éprouve-t-on le sentiment que le Soi, toujours présent ici et maintenant, se révèle lorsque cessent l’ignorance et la fausse identification. C’est ce qu’on nomme Réalisation. Mais il n’y a rien de nouveau. C’est simplement l’élimination de l’ignorance, et rien de plus.
Le vide est le résultat néfaste de la recherche du mental. Le mental doit être tranché, racines et branches. Cherchez qui est le penseur, qui est le chercheur. Demeurez le penseur, le chercheur. Toutes les pensées disparaîtront [Être dans l’Instant].
- Q. : Alors demeure l’ego – le penseur.
- M. : Cet ego-là est le pur Ego, purgé de toute pensée. Il est le même que le Soi [le scribe de la page souligne]. Tant que la fausse identification persiste, les doutes persistent aussi et des questions s’élèvent sans fin. Les doutes cesseront seulement lorsqu’on aura mis fin au non-Soi. Le résultat sera la réalisation du Soi. Il n’y aura plus personne pour douter ou questionner. Chacun devrait résoudre tous ces doutes en lui-même.
Même une multitude de paroles ne pourrait donner satisfaction. Tenez fermement le penseur.
Ce n’est que lorsque le penseur est abandonné que les objets apparaissent à l’extérieur ou que des doutes s’élèvent dans le mental.
(Ramana Maharshi 245, 8-9-1936).

- M. : L’ignorance du Soi. Qui est ignorant du Soi ? Le soi serait alors ignorant du Soi. Y aurait-il deux soi ?
(Entretien 263, 20-10-1936).

- Q. : Comment peut-on atteindre le Soi ?
- M. : Le Soi n’a pas à être atteint puisque vous êtes le Soi [comme on ne ”sort” pas de l’Univers pour le voir…].
- Q. : Oui, il y a en moi un Soi qui ne change pas et un autre qui change. Il y a deux soi.
- M. : Le changement n’est qu’une simple pensée. Toutes les pensées s’élèvent après que la pensée ‘je’ est apparue. Voyez à qui les pensées apparaissent. Ainsi, vous les transcendez et elles s’évanouissent. Autrement dit, en remontant à la source de la pensée ‘je’ vous réalisez le ‘Je’-‘Je’ parfait. ‘Je’ est le nom du Soi.
(Entretien 266, 21-10-1936).

« Il n’existe pas deux soi, c’est-à-dire un soi qui prétend ne pas avoir réalisé le Soi ». (Ramana Maharshi 317, 6-1-1937).

- M. : Vous prenez donc conscience de vous-même. Qui devient conscient de qui ? Y a-t-il deux soi ?
- Q. : Non.
- M. : Vous voyez alors qu’il est faux de supposer que la conscience passe par différentes phases.
Le Soi est toujours conscient. Quand le Soi s’identifie à celui qui voit, il voit des objets. La création du sujet et de l’objet est la création du monde. Sujets et objets sont des créations dans la pure Conscience. Vous voyez des images bouger sur un écran de cinéma. Quand vous portez votre attention sur les images, vous n’êtes pas consciente de l’écran. Pourtant les images ne peuvent pas être vues en l’absence de l’écran. Le monde équivaut aux images et la Conscience à l’écran. La Conscience est pure. Elle est identique au Soi qui est éternel et immuable. Éliminez le sujet et l’objet, et seule demeurera la pure Conscience.
(Entretien 453, 8-2-1938).

« Vous prenez conscience du corps quand vous oubliez le Soi. Mais pouvez-vous oublier le Soi ? Puisque vous êtes le Soi, comment pouvez-vous l’oublier ? Il doit y avoir deux soi, pour que l’un puisse oublier l’autre. C’est absurde. Le Soi n’est donc pas déprimé ; il n’est pas imparfait et il est toujours heureux. Le sentiment contraire n’est qu’une simple pensée qui n’a en réalité aucune force.
Débarrassez-vous des pensées. Pourquoi s’efforcer de méditer ? Étant le Soi, on demeure toujours réalisé. Soyez seulement libre de pensées ».
(Entretien 462, 19-2-1938).
 
 

Dernière mise à jour : 10-07-2023 01:22

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