C’EST LA CONSÉQUENCE DE L’IDOLÂTRIE JUIVE
DE LEUR MISE EN VALEUR DU TEMPS :
LEUR IDOLÂTRIE DE L’ÉVOLUTIONNISME
confondu avec une réalisation du Soi (un salut),
ÉVOLUTIONNISME LE PARFAIT ET AUTHENTIQUE
« ISME » TUEUR (et si bénéfice pour le capital).
LA DÉMENCE DU SOCIAL, DU CONNECTÉ INFORMATIQUE
ET DU POUR-VOIR (avec les écrans et les réseaux),
qui pour alimenter cette mise en valeur du temps
détruit des territoires entiers de vie.
Des mines de cobalt, de lithium, etc., jusqu’aux
entrepôts des Gargantua de la distribution de
marchandises pour alimenter cette démence de
socialisme en ”vivre ensemble”, prouve dans l’absolue
la perdition totale de l’humain qui se croit « arrivé »
rassuré par le BIG BANGISME DU DEHORS,
en complément de l’hystérie consumériste LÀ ENCORE
PARFAITE MISE EN VALEUR DU TEMPS AYANT NOM :
LOI DE SUCCION, PLOMB, PESANTEUR, et ”progrès”
en une authentique DROGUE NUMÉRIQUE,
CETTE PROTHÈSE À CERTITUDES,
CETTE PROTHÈSE À OPINIONS ET ”DÉBATS” (réseaux).
AU CHOIX :
- Ou bien la victoire de cet actuel monde du Complexe prométhéen au sens de la démence de la
”raison” et de ses ravages conduisant assurément au
PANOPTIQUE CIVILISATIONEL TOTALITAIRE où toute évolution vers les Mondes Libres sera interrompue et il sera procréé une évolution statique, artificielle dans le Minéral, le Végétal, l’Animal et l’Humain. Le transhumanisme anglo-américain et son I.A. artificielle en est un avant goût, et annonce la
”bio-machine-humaine”.
- Ou bien La victoire de ce qui n’a besoin d’aucune victoire, d’aucun nirvana, parce que
C’EST : le monde du Soi, ou du Christ, l’Ici et Maintenant.
Dans un choix comme dans l’autre, le mot
« bien » disparaît, comme disparaît le mot
« liberté », ou
« vérité », et
« paix ».
Ce monde actuel sous complexe de Prométhéen porte bien ce qu’en exprime Gaston Bachelard dans :
La psychanalyse du feu : UN COURT-CIRCUIT PERMANENT, UNE VIOLENCE SUPÉRIEURE EN SENS CONTRAIRE :
ÉVOLUTIONNISME/CROISSANCE. Évolution pour le productivisme matérialiste du capitalisme ; Croissance au sens du Salut ou de la
’liberté” pour l’ego de l’humain. Démence provoqué par ces deux mots : d’un côté le capitalisme et son monothéisme unilatérale républicain demande à son esclave consommateur de
« respecter la planète » par un mode de vie plus contrôlé, donc de se restreindre dans sa consommation, et de l’autre le capitalisme en demande toujours plus au consommateur pour toujours faire plus de fric !
Monde de déments socialisés en tout connecté dans évidemment
« l’intérêt général » qui ainsi fabrique le consommateur
« triant ses déchets », ceci en l’absence pour lui de toute tentative égoïste.
Entre l’
Homo œconomicus et l’
Homo électeur, apparaît de nos jours l’
Homo ethicus :
« responsable » chargé à son échelle de réparer sa planète par sa micro-vertus contre les macro-vices du monothéisme unilatéral républicain qui entretient le régime capitaliste.
Ainsi le dément consommateur se retrouve, comme sa république, comme ses banques et leurs isme mondial, à avoir à gérer la TENSION EXTRÊME que produisent ces injonctions contradictoires : être économiquement RENTABLE, et écologiquement RESPONSABLE
À LA PLACE DE L’IRRESPONSABILITÉ DE SON MONDE ÉCONOMICO-BANCAIRE.
MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN ET SA PAROISSE : TRANSITION ÉNERGICO-ÉCONOMIQUE = LA GOUVERNANCE PAR LA DUALITÉ PUR-IMPUR, avec en France son outil Laïcité.
Directement lié mais en apparence pas en place :
IL Y A UN PROBLÈME AVEC LE CRÉATIONNISME PAR UN DIEU ET LE FAIT QU’IL SOIT CACHÉ : comment peut-il alors créer ?
L’INSTANT est caché, les Ancien Chinois de l’école du Dhyana (chan, méditation, contemplation) disaient : « Dès que l’encre est sèche [langage écrit, établissement de lois ou d’organisation, d’administration], nos formules sont fausses ».
Or l’Instant, c’est Nous : le ‘Je’, le Soi vécu dans la plénitude du sentiment océanique
(1).
Paradoxe du ‘Je’ Dieu et du ‘je’ ego, mais paradoxe qui ne peut naître qu’à cause de l’ego : le ‘je’, le jiva ou âme individuelle. Paradoxe du MOI-COLLECTIF/MOI-INDIVIDUEL, pas prêt de se résoudre….
« Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’. Tel est le paradoxe de la réalisation du Soi. Ceux qui sont déjà réalisés n’y voient aucune contradiction. Prenez la bhakti [dévotion] : Je m’approche d’Ishvara [Dieu, l’Être suprême] et je prie afin d’être absorbé en Lui. Je m’abandonne dans la foi et le recueillement. Que reste-t-il après ? À la place du ‘je’ initial, ce qui subsiste après l’abandon total de soi-même est Dieu, dans lequel le ‘je’ s’est dissous. C’est la plus haute forme de dévotion (parabhakti ou prapatti), l’abandon total ou le niveau suprême de
vairāgya.
Vous renoncez à telle ou telle chose qui fait partie de « vos » possessions. Si, au lieu de cela, vous renoncez au ‘je’ et au « mien », tout est abandonné d’un seul coup. Le germe de la possessivité a disparu. Le mal est alors écrasé avant même d’avoir pu éclore. Pour parvenir à ce résultat, le non-attachement (vairâgya) doit être très fort. La volonté de parvenir doit être comparable à celle d’un homme que l’on maintient sous l’eau et qui s’efforce de revenir à la surface pour survivre [ce ne sera donc pas les Schwab-Harari et leur :
”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux”] ». (
Ramana Maharshi, entretien 28 du 4-2-1935).
Le comble de la possession des Schwab-Harari est identique à celui qui ne vit que pour la
« liberté » : il n’est pas de meilleur et authentique PRISONNIER, tout comme ce monde anglo-américain qui ne vit que pour son sécuritaire possessif égoïste...
ÉTANT TOUS LE Soi, l’Instant, comment Icelui ne fait-il pas pour se bousculer en apparaissant à chaque Instant ? Ce qui équivaudrait à SE FAIRE VOIR DANS L’INSTANT COMME DES MILLIARDS DE MILLARDS ET DES MILLIARDS À L’INFINI
EN MÊME TEMPS, CE QUI SOULÈVE LA QUESTION DE
« QU’EST-CE QUE LE TEMPS QUI COULE ? », et par là-même :
QU’EST-CE QUE LA NAISSANCE (ou CO-n-naissance ou con-naissance) ? ET :
QUI NAÎT ?
« Vous savez que vous ne savez rien. Découvrez ce qu’est cette connaissance. Cela est la Libération (
mukti) ». (Ramana Maharshi, entretien 12 du 15-5-1935).
La réponse à la question : Qu’est-ce que la naissance, est donné par le Maharshi : « La naissance consiste dans le fait que l’ego oublie son origine, le Soi.
On peut alors dire que la naissance de l’individu a tué la mère. Le désir de retrouver sa mère est en fait le désir de retrouver le Soi, c’est-à-dire de se réaliser soi-même, ce qui équivaut à la mort de l’ego ; cela signifie l’abandon à la mère, afin qu’elle vive éternellement ». (Ramana Maharshi, entretien 16 du 19-1-1935).
Là encore, ressemblance à LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT : ni l’UNE ni l’AUTRE NE SONT VISIBLE PARCE QUE L’INSTANT NE PEUT SE VISUALISER, OU NE PEUVENT SE CON-CEVOIR COMME LA
”LIBERTÉ”, OU LA
”VÉRITÉ” NE PEUVENT SE CONCEVOIR sans s’imposer à l’autre, au dehors (d’où d’ailleurs le problème de LA MALADIE, OU DU MICROBE-VIRUS-POLLUTION-SALETÉ, QUI DE CE FAIT N’EXISTE PAS, SAUF PAR LE MENTAL-EGO
(2), quand le mental entre en piste : MAL à DIT : D.I.T. déité du temps où le DIT était trans-dit et déité.
QU’EST-CE QUE LA SALETÉ, L’IMPUR, LE JUGEMENT, L’INSAISISSABLE ?
C’est le mental qui a une
« raison », une OPINION qui possède une conception QUI FABRIQUE LA SALETÉ, LE JUGEMENT, LA CAUSE, comme l’expose en variation Ramana Maharshi le 21-12-1946 : « La vie de l’humain est ce qu’elle est. Ce qui est EST [sens du
”Le Royaume des Cieux est en Vous”]. Tous les problèmes viennent du fait d’en avoir une certaine conception [
”certaine conception” qui s’appelle OPINION, la chose possédée par le mental.
”Certaine conception” comme la fameuse
”amélioration” qui entre dans l’évolutionnisme et la RÉPARATION des juivistes : la tiqounerie rabbinique]. Le mental entre en jeu [en ‘je’ ego]. Il a une certaine conception [l’icarisme, telles les ailes de cire d’Icare ; de nos jours les
”ailes d’Icare” sont L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE : LA CAROTTE du TRANSHUMANISME-TECHNOLOGIE-CONCEPT].
Tous les problèmes viennent de là. Si vous êtes tel que vous êtes, sans le mental avec ses concepts [ses opinions donc et ses
”améliorations”], tout ira pour le mieux pour vous. Si vous cherchez la source du mental, toutes les questions seront résolues.
[…] Le salut pour qui ? [la libération pour qui ?] Qui désire le salut ? Et qu’est-ce qu’une conduite juste ? Qu’est-ce que la conduite ? Et qu’est-ce qui est juste ? Qui peut juger de ce qui est juste et de ce qui ne l’est pas ? Selon les
samskâra (tendances), chacun a des considérations différentes sur ce qui est juste [le mot
”juste” renvoie nécessairement à l’opinion]. Ce n’est qu’en connaissant la Réalité que l’on peut savoir ce qui est juste [
seul un Total peut connaître un Total]. La meilleure attitude serait de trouver QUI désire le salut. La juste conduite est de remonter jusqu’à la source originelle de ce QUI, ou EGO ».
(Ramana Maharshi au jour le jour, 31-12-1946).
AVOIR UNE OPINION OU CERTAINE CONCEPTION = L’USINE DE LA SALETÉ, LA FABRIQUE À POSSÉDER DES SENTIMENTS ET A EN SALOPER, EN POLLUER LES AUTRES.
PAS DE PIRE POLLUTIONS ACTUELLES QUE LES OPINIONS DU MENTAL ; ça et les pollutions du numérique capitaliste de l’informatique !
OPINIONER = CHOISIR, comme le consommateur choisit la couleur de ses caleçons. SEUL LE MENTAL FAIT CHOISIR. Or comme l’exprime le Maharshi à l’entretien 398 du 14-4-1937 : « La force de l’habitude nous pousse à croire qu’il est difficile de cesser de penser. Quand cette erreur est découverte, personne ne serait assez stupide pour s’efforcer à penser inutilement ».
Choisir :
- LA VOIE ACTUELLE DE CE MONDE DU COMPLEXE PROMÉTHÉEN, GENRE BIG BANG : OÙ LA PENSÉE COMMENCE-T-ELLE ???
- LA VOIE ORIGINELLE DU GATE GATE EN FORME D’ALTERNANCE DU YIN ET YANG : TOUT DANS L’IMPÉNÉTRABLE DE LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT.
Par exemple un Jean Paulhan est dans le monde Prométhéen quand il écrit qu’il FAUT CHOISIR, ET PARADOXE DE LA RÉALISATION ET DE LA MISE EN VALEUR DU TEMPS : SAISIT DE LA VÉRITÉ : « Si la pensée est avant tout recherche de ce qui est, elle ne peut être à la fois contestation de ce qui est. Personne ne peut en même temps accepter et refuser la vérité. Il faut choisir et décider une fois pour toutes d’un point de départ, inflexible et obscure, où la pensée commence. Qui donc écrivait :
”J’espère tout du côté impénétrable” ? (Le 14 juillet, n°3, p.3)
« Où la pensée commence », est-ce un prémisse du QUI SUIS-JE ?
Sinon :
MERDE À JEAN PAULHAN ! Ce pourrait être le scribe de cette page qui écrivait par le GATE GATE, ou le :
« Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », de l’Alchimie, le :
« J’espère tout du côté impénétrable ».
Paulhan se situe DÉJÀ dans la numérisation capitaliste du monde actuel ; il veut tout
« propre » en identifiant TOUT, en POSSÉDANT TOUT.
La Vraie Médecine.
Il n’y a que la pureté du mental qui soit un remède contre les maladies, parasites ou idées fausses à n’en plus finir, EN LES RETOURNANT.
Déclarer qu’il y a des microbes c’est comme pour la ”liberté” : on invite les microbes et on invite le contraire de ”liberté” : la servitude (volontaire dans ce cas en parlant de ”liberté”). Même peine en parlant de ”nirvana” conduisant direct à la Stance 16,9 de Nagarjuna en un COMBLE DE LA POSSESSION : « ”Un jour je m’éteindrai libre de toute appropriation, le nirvana m’adviendra”. Prendre les choses ainsi, c’est le comble de l’appropriation » (identique au ”Vous ne posséderez rien et vous serez heureux” des Schwab-Harari). L’athée et l’agnostique sont ce comble de la possession en prétendant échapper à toute croyance dans la dualité de la racine du mal et du pur-impur ou spirituel-temporel : idem avec la laïcité, ce comble de la croyance en la ”République universelle en sa sainte trinité Liberté-Égalité-Fraternité” judéo-maçonnique, ce nouveau monothéisme unilatéral républicain !
Le mental est impur rempli d’opinions, de formes, de l’Être même, et des concepts de toutes sortes. Tels sont les quatre schémas habituels qui naissent de la conscience conceptualisante ou « raison » et qui opèrent dans la Conscience infinie.
Le nihilisme ou la « laverie »,la tiqounerie rabbinique, consiste à croire à l’anéantissement de l’erreur du mental, de l’œil, et ainsi de suite comme le rêve certainement le transhumanisme avec son « homme ou mental augmenté ».
Le mental impur appelle « nirvana » ou ”Vous ne posséderez rien et…” la permanence que le mental accorde au SÉCURITAIRE-BÉQUILLE NOMMÉE : CONSCIENCE INFINIE. Même peine que d’inventer la liberté pour ouvrir la porte à son contraire la servitude, ou que de parler de vaccins et fabriquer des microbes et virus pour valider le vaccin (principe de l’utilitarisme)… (En référence au fameux résumé du chapitre Les apparitions, dans le Lankâvatâra, p.254).
PARLER DE ”LIBERTÉ”, DE ”VACCINS”, DE ”NIRVANA” OU DE ”PROGRÈS”, FABRIQUE DES TRANSHUMANISTES OU ÉTERNALISTES, DES GOOGLE CANDIDATS À PROTHÈSES DE TOUTES SORTES EN COMPLET REMPLACEMENT DU CORPS HUMAIN POUR LE BÉNÉFICE DES INDUSTRIES CAPITALISTES DE LA BIO-INFORMATIQUE.
LA LIBÉRATION CONSISTE À NE PLUS AVOIR D’OPINIONS DE ”LIBÉRATION” ! COMME CELA LES MICROBES ET MALADIES IRONT SE FAIRE VOIR AILLEURS ! MAIS CELA N’EMPÊCHERA PAS DE MOURIR (il ne fallait pas naitre… dans la croyance à un corps).
Notes.
1. TRANSMUTER LE PLOMB EN OR = SUPPRIMER LA PESANTEUR DU PLOMB MÉTAL, OU SUPPRIMER L’ATTRACTION, SUPPRIMER LA LOI DE SUCCION VULGAIRE.
« L’attachement est l’esclavage de l’homme. Il disparaît lors de l’élimination de l’ego ». (Ramana Maharshi, entretien 317, 6-1-1937).
– Se maintenir dans la Réalité est le
samâdhi.
– Se maintenir dans la Réalité avec effort est le
savikalpa-samâdhi.
– Se fondre dans la Réalité et demeurer inconscient du monde est le n
irvikalpa-samâdhi.
– Se fondre dans l’ignorance et demeurer inconscient du monde est le sommeil (dans celui-ci la tête tombe, mais non en
samâdhi).
– Demeurer dans l’état originel, pur et naturel, sans effort, est le
sahaja-nirvikalpa-samâdhi. (Ramana Maharshi, entretien 391, 6-4-1937).
- SAVIKALPA-SAMÂDHI.
Externe (bâhya).
Dépendance de la vu.
Le mental saute d’un objet à l’autre. Il doit être gardé stable et fixé sur la Réalité sous-jacente.
Dépendant de la parole.
Les phénomènes extérieurs ont leur origine dans la Réalité unique. Cherchez-là et maintenez-vous en Elle.
Interne (antar).
Le mental est troublé par le kâma (désir), le krodha (colère), etc. Cherchez d’où iceux s’élèvent et comment ils trouvent leur existence. Maintenez-vous à leur source.
Une quantité de pensées s’élèvent de la Réalité intérieure et se manifestent. Maintenez-vous dans cette Réalité.
> Ces quatre formes de savikalpa-samâdhi sont atteint avec effort.
- NIRVIKALPA-SAMÂDHI.
Externe (bâhya).
Immergé dans l’unique Réalité, fondement de tous les phénomène, en restant inconscient des manifestations transitoires.
Cet état est comparable à l’océan sans vagues dont les eaux sont calmes et paisibles.
Interne (antar).
Immergé dans l’être le plus intime qui est l’unique Réalité et qui donne naissance à toutes les pensées, en restant inconscient de tout le reste.
Cet état est comparable à une flamme non agitée par des courants d’air et qui brille tranquillement.
> Quand ces divers n
irvikalpa-samâdhi ne sont pas atteints avec effort et qu’on réalise que l’océan sans vagues du samâdhi extérieur est identique à la flamme immobile du samâdhi intérieur, cet état est appelé
sahaja-nirvikalpa-samâdhi.
« Le
sahaja est l’état originel. La
sâdhanâ [méthode, moyen, pratique spirituelle] consiste à éliminer les obstacles sur la voie de la réalisation de cette vérité éternelle ». (Ramana Maharshi 398, 14-4-1937).
- M. : La concentration, c’est ne pas penser à quoi que ce soit. D’autre part, c’est chasser toutes les pensées qui nous cachent la vision de notre véritable nature. Tous nos efforts ne visent qu’à soulever le voile de l’ignorance. Dans l’état actuel, il semble difficile de dompter les pensées.
Mais dans l’état de renaissance spirituelle, on trouvera, au contraire, qu’il est plus difficile de les susciter.
Car y a-t-il des choses à penser ? Il n’y a que le Soi.
Les pensées ne peuvent fonctionner que s’il y a des objets. Mais comme il n’y a pas d’objets, comment les pensées peuvent-elles s’élever ?
(Même entretien 398).
« Les pensées ne peuvent fonctionner que s’il y a des objets ». C’est le COMMERCE, le CAPITALISME, le POUR-VOIR ou POUVOIR, la RAISON et le CALCUL (objectivisme) ; voilà pourquoi la ”raison” a autant de succès depuis le français « siècle des Lumières » et des riches perruques poudrées ; voilà pourquoi l’ordinateur religion (commerce) du tout connecté a autant de succès chez les Anglo-américains. Voilà pourquoi L’OBJET PÉTROLE, L’OR NOIR a autant de « va(o)leur » chez les Barilleux (prix du baril).
2.
Est déclaré « pur », par le mental, ce qui n’est pas sale. DÈS QU’IL Y A POSSESSION OU IDENTIFICATION : LE PUR APPARAÎT ET DISPARAÎT LA SALETÉ ! D’où cet actuel monde obsessionnel par la sécurité depuis le 11 septembre 2001 qui veut tout identifier COMME POUR « TOUT LAVER » ET TOUT RENDRE « PUR » (rendre tout transhumaniste… vaccinés).
D’OÙ CETTE ACTUELLE OBSESSION DU « TERRORISTE », DE L’ÉTRANGER, DU MICROBE AVEC LE COVIDISME PASTEURIEN, ET MÊME PARADOXE MALADIF QUE CELUI DU MOI-COLLECTIF ET MOI-INDIVIDUEL AVEC LE PHÉNOMÈNE ORGANISÉ DU MIGRANISME : EST DÉCLARÉ SALE, TERRORISTE, CE QUI N’EST PAS POSSÉDÉ, SAISI OU IDENTIFIÉ.
L’IDÉE DE « DÉGOUTANT » EST UNE NON-POSSESSION, POUR RENDRE LA CHOSE « GOUTANTE », DOMESTIQUÉE, IL FAUT LA CUIRE : LA POSSÉDER, L’IDENTIFIER, LA CONTRÔLER, LA NUMÉRISER DONC….. ON COMPRENDRA ALORS L’INSISTANCE DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN À TOUT VOIR, TOUT CONTRÔLER JUSQU’À L’ÂME ET LE MODE DE VIE DE SES PAROISSIENS OU CONSOMMATEURS !!!
DANS CES CAS LÀ, DIEU ÉTANT CACHÉ, IL EST « SALE », PUISQU’IL N’EST PAS IDENTIFIABLE, OU PAS FIABLE, SUSPECT !!!…….. Ainsi selon cette mise en valeur du temps, TOUTE CHOSE PARTICIPANT DU POUR-VOIR, DU CECI, DU POINTAGE, AUCUNE CHOSE NE SERA SALE, CE QUI IMPLIQUE ALORS LE VRAI SENS DU MOT « CONNAISSANCE » : SI RIEN N’EST SALE, RIEN N’EST CACHÉ, PAS MÊME DIEU, ET ÇA REPOSE UN AUTRE PROBLÈME : CELUI DE LA CAUSALITÉ ET DE L’EFFET DEVENANT VISIBLE « À CAUSE », EN MÊME TEMPS QUE L’APPARITION DANS L’INSTANT DE TOUS LES ‘JE’ ou Soi possibles de l’Univers, des Univers……… Si une chose est Vrai ELLE EST NON-IDENTIFIABLE, INSAISISSABLE : LE VRAI CESSE D’ÊTRE VRAI DÈS QU’IL EST VU, comme l’exprimaient si clairement les Chinois du Dhyana cité plus haut : « Dès que l’encre est sèche, nos formules sont fausses » (elles ne sont plus DANS L'INSTANT).
On pourra aussi comprendre que la Laïcité républicaine à la française qui se vante de permettre toutes les croyances, soit Laïcité assimilée au PUR, au DROIT DE L’HOMME ! Pas de « sale » chez Laïcité : tout est CONNECTÉ, TRANSPARENT EN RÉSEAUX, tel le sens du mot RELIGION : de lire, donc relier des caractères ou idéogrammes pour former des noms-les-formes, ou relier pour former du social, relier les gens entre eux, au mieux, les harmoniser…. Ce qui implique en premier le QUI SUIS-JE ?
APPARITION DANS L’INSTANT EN MÊME TEMPS DE TOUS LES ‘JE’ ou Soi possibles de l’Univers, des Univers……… DANS LE SANS COMMENCEMENT NI FIN = LE SOLEIL (au sens symbolique bien-sûr), LES EAUX PRIMORDIALES.
L’INSTANT NE PEUT SE VISUALISER : IL EST LE SOLEIL-CHRIST : ON NE LE POSSÈDE PAS, ON NE LE VOIT PAS, ON NE FAIT QUE D’ESSAYER DE LE VIVRE (”Puiser de l’eau et couper du bois”, disent les Taoïstes) ; MAIS DES HUMAINS ONT INVENTÉS DES CONCEPTS, LE PREMIER ÉTANT CELUI DE « DIEU », SUIVI DE LA « CRÉATION » (Genèse), ALORS TOUT COMMENCE À CAFOUILLER, À COMMERCER !