N(P)AÎTRE EST UN CRIME
 

Ecrit par Sechy, le 02-07-2024 00:13

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N(P)AÎTRE EST UN CRIME
”En fait, chacun de nous est un « assassin du
Soi » (âtmahan) à chaque moment de sa vie”.

(Ramana Maharshi, entretien 17, 24-1-1935).
 
 
anipucsac1.gifPage précédente : Aladin la découverte du feu vulgaire

« L’activité est création [le Faire/Fer qui rouille] ; l’activité est la destruction du bonheur inhérent à chacun. Si une activité est recommandée, celui qui la recommande n’est pas un maître mais un tueur. C’est comme si le Créateur (Brahmâ) ou la Mort (Yama)(1) se manifestaient sous l’apparence d’un tel maître. Celui-ci, au lieu de libérer l’aspirant, renforce ses chaînes ». (Ramana Maharshi, entretien 601, 27-12-1938).

Shiva : la dissolution et destruction, la Transformation des Êtres.

La Fête de la Victoire le 8 mai 1945 EST UNE INVERSION, NON UNE VICTOIRE AU VU DE CE QU’IL SE PASSE EN 2024 ! Le 8 mai 1945 ne fut nullement une transformation mais une AUGMENTATION du Pour-Voir des quatre derniers millénaires avec le dogme du ”peuple élu”, lui aussi de LA MÊME MATRICE QUE LE 8 MAI 1945 : UNE INVERSION, le ”Plus jamais ça !” rêvé ne s’est pas concrétisé, mais finit en amplification DE PLUS EN PLUS SOURNOISE des ”Plus ça change et plus c’est la même chose” : le monothéisme unilatéral républicain !

« Naître » = le danger du Pour-Voir.
« Les questions dans la Gītâ ont été posées dans un esprit particulier et les réponses s’y conforment. Les gens ne voient que le corps [le matérialisme, la laïcité] et ils veulent aussi des siddhi [des pouvoirs surnaturels]. Quant à la réalisation du Soi, nul pouvoir ne peut l’atteindre, alors comment des pouvoirs pourraient-ils aller au-delà ? Les gens désireux de siddhi ne se contentent pas de leur idée de jnana [Connaissance, sagesse], aussi veulent-ils y associer des siddhi. Ils risquent de négliger le bonheur suprême du jnana et d’aspirer aux siddhi. Ils s’embourbent ainsi dans les voies latérales au lieu de s’engager sur la voie royale. Ils ont toutes les chances de s’égarer. On leur dit que les siddhi accompagnent le jnana afin de les mettre sur le bon chemin et les maintenir sur la voie royale. En vérité, le naāna comprend tout et un jnanî ne gaspillera pas une seule pensée pour les siddhi. Que les gens obtiennent d’abord le jnana et qu’ils cherchent ensuite les siddhi, s’ils le désirent.
J’ai dit : sharîra samasrayâh siddhayah (les siddhi n’existent qu’en rapport avec le corps) car leur manifestation concerne le corps. Un jnanî et un siddha ne sont pas différents. Dans le varândâtum (le don des faveurs) les faveurs incluent l’ātma-lâbha (l’atteinte du Soi). Ainsi, les siddhi n’appartiennent pas seulement à un ordre inférieur, mais aussi à l’ordre le plus élevé.
Les shâstra (les Écritures) sont destinés à répondre à la multiplicité des situations. Mais leur esprit reste toujours le même.
Dans le Halasya-mahima, il y a un chapitre sur les siddhi octuples dans lequel Shiva affirme que Son bhakta [dévot] ne leur accorde même pas une pensée. Shiva dit encore que jamais Il n’accorde de bienfait. Les désirs des adorateurs sont exaucés uniquement d’après leur prârabdha [destinée]. Si Ishvara [Dieu] Lui-même l’affirme, que dire des autres ? Pour manifester des siddhi, il faut qu’il y ait d’autres personnes pour les reconnaître. Ce qui veut dire que celui qui manifeste de tels pouvoirs est dénué de jnana.
C’est pourquoi les siddhi ne valent pas la moindre pensée. Seul le jnana mérite d’être recherché et obtenu ». (Ramana Maharshi, entretien 57a du 24-6-1935).

- Un visiteur : Quelle est la différence entre méditation (dhyâna) et investigation (vichâra) ?
- M. : Les deux reviennent au même. Ceux qui sont peu doués pour l’investigation doivent pratiquer la méditation. Dans cette pratique, l’aspirant, s’oubliant lui-même, médite sur « Je suis le brahman » ou « Je suis Shiva » ; ainsi il s’accroche au brahman ou à Shiva ; cela le conduira finalement à l’Être, qui subsiste en tant que brahman ou Shiva, et il réalisera que Celui-ci est l’Être pur, c’est-à-dire le Soi.
Celui qui adopte la voie de l’investigation commence par s’accrocher à lui-même en demandant « Qui suis-je ? » et le Soi lui apparaîtra clairement.
(Ramana Maharshi, entretien 172 du 28-2-1936).

JNANA (Connaissance) n’est pas DONNÉ à tout le monde : ÇA-VOIR sans en subir les conséquences mortelles : PANique, est actuellement hors de portée du mental humain, à moins, a moins que s’en mêle la GRÂCE, le NON-AGIR.
En effet, L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL est clair : « NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ». Seul le NON-LOCAL peut fonctionner en une sorte « d’interaction virtuelle » mais qui n’a rien à voir avec l’actuelle connexion modèle informatique avec ses « réseaux sociaux », lesquels ne fonctionnent que par le ‘je’ de l’ego… et ainsi fonctionnent en « thermodynamique » qui chauffe (passion-possession).
NE PAS ATTACHER, NE PAS FROTTER, NE PAS CROQUER (la Pomme), MAIS VIVRE L’INSTANT SANS L’ATTACHER À UN AUTRE INSTANT AFIN DE RESTER PUR.
EN CROQUANT LA POMME, ÈVE EMPÊCHA CE QUI DOIT ÊTRE FAIT, alors ce fut la disparition, momentanée, du SAINT CHAOS ou ÂGE D’OR, pour imposer la dictature de la flèche du temps en géométrie euclidienne de la ligne droite dans un seul sens : IMPOSER L’HISTOIRE ET SA DIALECTIQUE MATÉRIALISTE, déclencher le commerce et le VERBUM-OPINION.
PÉCHÉ ORIGINEL = ÈVE A BOUFFÉ LA POMME : ELLE A DE L’INSTRUCTION (identification au corps-mental. Dans l’argot des truands, une ”pomme” est un naïf qui se laisse escroquer).
ÈVE (EAU) A DE L’INSTRUCTION : condamnation de l’humain qui s’est hasardé dans le labyrinthe de la reconnaissance d’une vérité à laquelle il est incapable de faire face à un sort contradictoire et imbécile : le mariage du but à atteindre et l’impossible du but(2). La connaissance au sens actuel de CROQUER LA POMME OU FROTTER POUR AMORCER LE FEU VULGAIRE MÈNE À LA CATASTROPHE, L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE DE L’INDUSTRIE DU CAPITAL L’ANNONCE.

Ainsi, à la différence des autres animaux, la CONDITION HUMAINE EST D’ÊTRE CONDITIONNÉ PAR UN SAVOIR ET, AVANT TOUT, PAR UN HABILLAGE (les autres animaux ne portent pas de vêtement), mais en même temps il ignore son Soi, il est démunie pour faire face à son propre savoir : réaliser son Soi et le DEHORS s’acharne maintenant à l’y éloigner de plus en plus : il devient de moins en moins doté d’un surcroît de Connaissance, la preuve, son outil ”intelligence artificielle”, il ne RE-trouve plus son TROISIÈME ŒIL, il est dans son état actuel avec son I.A. assisté des industries du capitalisme comme à la fois UN WINNER ET UN LOSER, il gît dans un savoir, une certaine connaissance tout en étant AVEUGLE.
De plus en plus l’humain devient la seule créature terrestre à avoir conscience de sa propre mort (comme tout ce qui est né un jour meurt un autre jour), mais il est aussi le seul nom-la-forme à rejeter sans appel l’idée de la mort, flagrant chez les transhumanistes des vallées siliconées au capital et chez un Laurent Alexandre. L’humain de l’après Covid-19 sait qu’il vit, mais IL NE SAIT TOUJOURS PAS COMMENT IL FAIT POUR VIVRE ; IL SAIT QU’IL DOIT MOURIR (sauf saint Laurent Alexandre), mais ne sait pas comment il fera pour mourir [Big Pharma du capitalisme et l’État républicain s’occupe de tout).
Bref, l’humain de l’époque du CAC40 et du Nasdaq, du Dow Jones et autres marchés est celui capable de savoir, POUR-VOIR, ce que par ailleurs mais principalement car AU DÉPART, il est incapable DE SAVOIR, DE POUR-VOIR (Retournement de la Lumière) ; il se trouve confronté à ce qu’il est justement incapable d’affronter. Incapable de savoir et surtout d’IGNORER (avec son smartphone il n’ignore plus rien) !


L’humain présent c’est plus que jamais SISYPHE ET SON ROCHER (Plomb-Pesanteur, attraction, loi de succion) roulant vers le bas et toujours remonté style ”Plus ça change et plus c’est la même chose”, soit l’instabilité extrême du désir et la perpétuité de la lutte contre la tyrannie de cette loi de succion ou Plomb-Pesanteur : satisfait, roulé, sublimé, la loi repart sous quelque forme grâce à l’ego. Le ROCHER DE SISYPHE C’EST L’ÉVOLUTIONNISME : TOUJOURS PLUS, TOUJOURS PLUS HAUT TELS LES LAURENT ALEXANDRE PARFAIT SISYPHE MODERNE. Pas de plus matérialisme que le Rocher de Laurent Alexandre.
ROCHER DE SISYPHE = LE CRIME OU LA TENTATION D’EXISTER.


LE CRIME OU LA TENTATION D’EXISTER, LA TENTATION D’OPINIONER : « Et puis, étant donné que tous les êtres sont vides [d’une identité qui leur appartienne en propre], à propos de quoi, dans le mental de qui, de quelle nature et pour quelle raison, des opinions concernant l’éternel, etc., pourraient-elles prendre naissance ? » (Nagarjuna, Stance 27,29).
RIEN N’EST SOI-MÊME : rejoint le ”Qui suis-je ?”
ABANDONNER TOUTES LES OPINIONS = ABANDONNER L’IDÉE DE NAÎTRE ET DE CAUSALITÉ.

Seul celui qui est né cherche le POURQUOI et fait dans la création.
Le non-né (le ”nouveau-né” ou co-naissance) est SANS POURQUOI, et le TAO le protège par le Non-Agir.


Depuis l’âge du feu vulgaire il y a QUATRE POUR-VOIR :
- Voir au Dehors. Porte du Silence.
- Voir au Dedans. Station des Fèces.
- L’état mental de Pour-Voir. Dépouillement
des os.
- Ni dedans ni Dehors par non-identification
avec le corps. Porte de l’Issue.
La Porte de l’Issue : le Golgotha, Mont du Crâne, et Il était Christ-Roi couronné : C.R.Né. au-delà de la parole et du Silence opinioné comme ignorance, se trouve la Porte de l’Issue.

Absolument tous les derniers 10.000 ans du Néolithique et de la voie de l’Agriculture partent du FROTTEMENT : découverte du feu vulgaire et sa domestication ou conservation, CE QUE LES HUMAINS ACTUELS NE SAVENT PAS FAIRE : impossibilité de stoker de l’électricité, obligation de batteries, polluantes, rechargeables, mais pas inépuisables…..

À ce hui le monothéisme unilatéral VEUT VOUS FAIRE NAÎTRE, OU AVORTER (loi de l’avorteuse panthéonisée), TEL LE MA-PATRIARCHE, LA MÈRE-PÈRE ÉTAT, RÉPUBLIQUE. À ce moment là le monothéisme républicain décide du droit de vie et de mort de chacun de ses paroissiens ! Et c’est la définition de la société fourmilière, du totalitarisme de cette démocratie autoritaire et commerciale : le régime républicain se mêle de tout(3) : il frèt(t)e : AVEC LARRY FINK-BLACKROCK qui dirige le monde et la France par l’intermédiaire de leur marionnette macron-rothschild.

FROTTEMENT-ROUE-FUSEAU : Christos en grec, le gras, et le sec ou pointe (”briquet”) machine à frottement ou à feu vulgaire : LE PROMÉTHÉE : apparition du développement du mental : Prométhée dérobe le Feu, saisi à la ROUE DU SOLEIL (que les Chrétiens symbolisent par l’ostensoir en forme de soleil avec en son centre une boîte pour contenir l’hostie consacrée). Prométhée apporte donc le feu vulgaire sur Terre. Prométhée = l’ego et la satisfaction personnelle, soit la LOI DE SUCCION VULGAIRE : FEU DÉROBÉ = LE POUR-VOIR, LA RAISON L’ENCHAÎNEMENT À LA CHAÎNE SANS FIN DE CAUSES ET D’EFFETS. PROMÉTHÉE DOIT-ÊTRE LIBÉRÉ PAR LE SURFEU : au sens de Jean Coulonval : une NOUVELLE TERRE, UN TEMPS NOUVEAU QUI IRA VERS L’ÊTRE, ET NON PAS COMME ACTUELLEMENT VERS L’AVOIR ET LE POUR-VOIR OU POUVOIR : LE BOUT-ŒIL (bouteille : ”Vas-y voir !”).
SURFEU : D’OR-mir : ”Le moksha [Libération] consiste à savoir que vous n’êtes jamais né. « Reste tranquille et sache que je suis Dieu ».
Rester tranquille veut dire ne pas penser. Ce qu’il faut, c’est savoir et non pas penser ». (Ramana Maharshi 131, 6-1-1936).
Et à l’entretien 338, 23-1-1937 : « Seul le Soi est réel. Tout le reste est irréel. L’esprit et l’intellect ne sont pas séparés de vous.
La Bible dit : « Reste tranquille et sache que Je suis Dieu ». La tranquillité est la seule condition à la réalisation du Soi qui est Dieu ».
SURFEU : D’OR-miroir, MÈRE-VEILLE, POINTE (jaillir-jalon…). L’énergie se retourne contre soi, l’Être se TOTALISE À L’INSTANT DE SA PERTE OU PUTRÉFACTION-RENONCEMENT : L’INTENSITÉ DE LA DESTRUCTION APPORTANT LA PREUVE ULTIME DE L’EXISTENCE D’OR-mir : « Reste tranquille….. ».

Voir le scénario d’un projet de long métrage où il est question du PUITS : LA FOSSE OÙ IL N’Y A POINT D’EAU, qui rejoint le FIL D’ARIANE : les bouts de bois, l’un mâle, et l’autre femelle ou l’un ”gras” et l’autre ”sec” (celui taillé en mâle ou pointe), le ”gras” était appelé « christos ». Bref, c’était la machine à engendrer le feu vulgaire, machine perfectionnée par l’addition d’une corde et d’un archet, à l’aide duquel on manœuvrait le FUSEAU, comme les forets dont se servaient les serruriers au 19è siècle. Nous retrouvons ces trois pièces sous le nom de Lachésis, Capu ou Hécube qui veut dire FOSSE, AUGE ou CAVITÉ, qui se nomme en sanskrit gupyaka (4), et dans laquelle s’introsuisait la pointe du ”prométhée” ; Clodo était la corde et Atropos ou Aterpa celle qui ne tourne pas, qui donnera le nom hellénique de la FUSAÏOLE, LA FUSÉE, LE MENHIR OU PIERRE LEVÉE, LE LINGA. Le nom grec de cette machine à feu vulgaire signifie ; ”Fil d’Ariane”, « Ariadne » ou « Aridela », qui était le nom grec de ce « briquet ». On donnait le nom de « Thésée », (l’esclave), au FUSEAU emprisonné dans la corde qui devait délivrer le feux vulgaire captif dans le SVASTIKA (BRIQUET en forme de croix phénicienne). Le billot ou support était le « paladium » sur lequel étaient fixés avec des chevilles deux morceaux de bois en CROIX, tordus à leurs extrémités, pour le pas être entraînés dans le mouvement de rotation du fuseau. « Ces morceaux de bois représentaient « la cavale liée », ”marim” ou ”la vache liée“, PYRIM « DANS LE PUITS SANS EAU », en grec ΠΡEAVE, en hébreu MIKI, d’où le nom de l’Archange MICHEL, vainqueur du Dragon » (réf. Grasset d’Orcet, Archéologie mystérieuse, vol.1 chapitre Les incendies de Troie).

Le rôle d’allumer le feu ne pouvait qu’être attribué à la MAITRESSE DU LOGIS ou « DAME DE LA RACE », qui s’y livrait en chantant une incantation gravée gravée sur le pommeau de la machine à feu, pommeau qu’elle tenait de la main gauche pendant qu’elle manœuvrait l’archet de la main droite.
Cette pièce était composée d’autant de vers que contenait de lettres la légende CIRCULAIRE de la fusée ou fusaïole :
- Droite, gauche.
- L’arc naisse, monte.
- Main roule fuseau.
- Gauche, droite.
- Le fuseau roule dans la main.
- L’arc monte, naisse.
- La jument est déliée (Marlps, à rapprocher de MARTRE et HERMINE : symbole par excellence du « isme », du système, de l’autorité : les juges au manteau d’hermine, symbolisant une illusion de « pureté morale » à même de condamner l’impure. MARLPS deviendra en gaulois : Ménélas, le ravisseur de la jument, à Achille qui porte ici le nom du CHAT PS. Le chat, qui rejoint le nom gaulois de GUNNA, la PEAU, rejoint gupyaka(4), et le mot gaulois Genaua : le chat est un « animal électrique », sa peau est un réservoir à électricité statique, opposée à l’actuelle électricité dynamique ou thermodynamique…. Gunna : nom donné par les scholies de Berne du 5è siècle, comparable au gallois gwn et continué par le vieux français : gonne, robe longue portée par les deux sexes, retrouvé dans l’anglais gown (jupe). Symboliquement le Chat est un Prométhée dérobant l’Étincelle divine…. La jument déliée sera donc HÉLÈNE ou Étincelle divine, le SOLEIL, lequel se rallumait chaque jour par la machine à feu vulgaire, OPPOSÉE au VRAI FEU…….)
BACHUS sera la TORCHE ENFLAMMÉE. LA FUSEÉ, LE MENHIR ou LINGA sera AGNI, ou CHAT (pis) ; parfois ÂNE ou JASON : voir la caricature en âne les bras en croix qui caricaturait les premiers Chrétiens. RAPPEL : L’ÂNE est la monture du Christ-Jésus le jour de la fête des rameaux.

La DAME DE LA RACE = L’ÉCONOMIE : du latin oeconomia, du grec oikonomia, famille de oikos : MAISON., donc gérer les biens de la maison, le plus important étant après la découverte du feu vulgaire de le DOMESTIQUER : le conserver. Domestique(er) renvoie à SÉDENTARITÉ, MAISON, ENTRETIEN, ORGANISATION, ADMINISTRATION, RÈGLEMENT, COMMERCE… Et inévitablement à la THERMODYNAMIQUE, LA GUERRE POUR CONSERVER LES BIENS DE LA MAISON CONVOITÉ PAR LE DEHORS.
LA MAISON, LA FAUSSE DEMEURE, ENGENDRERA LA RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS.

LA MAISON OU FAUSSE DEMEURE PAR LA CROYANCE AU SOLEIL QUI CUIT OU FEU VULGAIRE, LA THERMODYNAMIQUE, MARQUERA L’ACTUEL COAGULATION, L’ACTUELLE FIXATION AU SENS DE RAVIRE LE FEU DIVIN, POUR EN FAIRE UN FEU CHAUD OU DOMESTIQUE : LE FOYER, LE SOCIAL…
FAUSSE MAISON = FEUX CHAUD, FOYER, MARIAGE DES OPPOSÉS OU RÉCOLTE DE VÉRITÉS UN PEU PARTOUT POUR EN FORMER UNE GROSSE, genre une synthèse qui unirait une thèse et une antithèse, tel que fonctionne surtout l’Occident ! Il y a seulement YI ET YANG ou SOUFRE ET MERCURE, SOLVE ET COAGULE, lesquels ne sont aucunement des contraires, des opposés, ce qui dépasse le « isme » hégélien et l’opposition en ”isme” dualiste oui-non, c’est le FLÉAU, au sens de la TEINTURE MÈRE : dissolution d’un corps dans un liquide pour en faciliter l’absorption par l’organisme qu’il “teint” de son pouvoir. TEINTURE = TRANSMUTATION/MUTATION. À ce hui le Pour-Voir de gros ego et gros sous par le mot/maux « TRANSITION » CHERCHE À « TEINDRE » 8 MILLIARDS DE TERRIENS.



Comme dans l’exemple du puits ci-dessus, le Vide du Verset 11 (nombre du TAO) et Verset central du Tao-tö king (trad. Liou Kia-hway) :
« Trente rayons convergent au moyeu
mais c’est le vide médian,
qui fait avancer le char.
On façonne l’argile pour en faire des vases,
mais c’est du vide interne
que dépend leur usage.
Une maison est percée de portes et de fenêtres,
c’est encore le vide
qui permet l’habitat.
L’Être donne des possibilités,
c’est par le non-être qu’on les utilise ».

D’Instant en Instant Rien n’est jamais le même aussi RIEN = LE TOUT : LE VIDE EST LE PLEIN ; et Stance 27,29 cité plus haut (Rien dans le Tout et tout dans le Rien).

PROMÉTHÉE DOIT-ÊTRE LIBÉRÉ PAR LE SURFEU : Rien dans le TOUT et tout dans le RIEN. Pour les Anciens la Mort n’est rien ; idem avec SHIVA. Le christianisme a conservé cette Tradition du Surfeu avec le BAPTÊME comme substitut de cette purification par la Mort. C’est aussi PANique le TOUT : PANique parce qu’on n’e peut voit ou RE-trouver la Connaissance qu’en mourant. De là la notion du VOILE ou du MIROIR qui se casse. Le VOILE ou RIDEAU qui sépare le « Saint des Saints » et que nul ne peut franchir ou tirer sans être voué à la Mort radical. À partir du levé de ce Voile, le TEMPS NOUVEAUX la TERRE VIERGE, la Vraie Demeure est là. Et qui dit Terre Vierge dit RONCE, ÉPINES, POINTES, BUISSON (aussi symbole de l’Arbre de Vie et de la pensée : BOIS, BUISSON, SCIENCE OU CONNAISSANCE. Le Buisson dans lequel apparaît « Élohim » se nomme en hébreu ”Çnah”, qui donnera le nom ”Sinaï” ; c’est un genre de RONCE qui peut produire en Europe la MÛRE (meure 12è siècle, du latin mora), et Mûre = la Déesse Myrhha ou Miriam la fille du Buisson. Aussi porte-t-elle toujours dans sa coiffure des fleurs de cet arbuste épineux, qui, en latin, se nomme sentis. Zan est resté le nom du vieux Jupiter doriens, et la capitale des Chétas se nommait ”Sanis”. Le même Dieu se nomme en étrusque ”Tinia”. Tous ces mots sont synonymes et veulent dire ÉPINE, du latin TENUIS, AIGU, POINT D’ACUPUNCTURE. C’est donc un équivalent de Shiva, qui s’applique à tout ce qui finit en pointe [comme le trident de Shiva et des déités de l’Eau, Neptune, Chalchiutlicue, Satan] » (Archéologie mystérieuse, de Grasset d’Orcet, page 87).

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De là on rejoint FROTTEMENT-ROUE-FUSEAU : FEU DE ROUE, CE QUI FAIT TOURNER LA ROUE (énergie) : MIROIR, ÉPINE, SHIVA-LINGA(5), POINTE ET ”EFFET DOPPLER/EFFET LARSEN” (bouclage-accrochage) (devraient être ensemble) ; on le retrouve dans la TCI (TransCommunication Instrumentale). Le Buisson ardent (RONCE, MÛRIER) fut une comme une TCI… En tous cas : UNE TRANSMISSION…
Ce vertigineux RÉSUMÉ signifie LA ROUE-ÉNERGIE : CE QUI FAIT TOURNER (dé-tourner, re-tourner)….. « Pour voir le Coeur, il suffit que le mental se tourne vers Lui. C’est alors qu’il se perd et le Coeur resplendit ». (Ramana Maharshi, entretien 99 du 19-11-1935).

« ET POURTANT, ELLE TOURNE »(SPIRE) : C’EST ALORS QUE LE CŒUR RESPLENDIT….

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[En haut de page : Arunâchala-Shiva, la ”Montagne rouge”, théophanie du linga élevée en hauteur comme une montagne de feu, elle sera fameuse sous le nom d’Arunâchala, réf. au Shiva-purâna 9,21. Arunâchala-Shiva : un ”Buisson Ardent” permanent….]
 
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Notes.
1. Dieu et Diable ont en commun : ils se confondent dans leur POUVOIR présomptueux de la Mort qui est d’annuler ce qui a existé, donc de faire en sorte QUE CE QUI EXISTE N’A PAS D’EXISTENCE (a).

a. Ex-istant : « La vision globale, la synthèse de tout l'existant (Étant compris que Dieu est « Je suis celui qui suis » (ou ”Je suis ce JE-SUIS”), et donc n'ex-iste pas à proprement parler), parce qu'il est hors de sa Création. Ce qu'on appelle l'Être n'est que l'ex-istant ».
« Le principe du tour, c'est déplacer un outil coupant sur une pièce qui tourne. Résultat : des copeaux. N'existerait-il rien au monde, pas même la Création, que ce principe serait, essence éternelle du tour. Mais ce qui ne serait pas, c'est le tour concret, et on peut en réaliser une infinité de modèles à partir du principe : C'est l'existant. Un tour ne peut engendrer son principe, ni aucune autre machine. La recherche, le bricolage, peuvent éveiller l'idée d'un principe, elles ne le créent pas…. »
(Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettres 8 et 36).

L’EX-ISTANT devrait signifier par essence le « N’EST PAS X », le « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi), la BALANCE du FIXE ET VOLATIL ou SOLVE-COAGULE, la devise Alchimique = « Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore », à l’identique de la NUIT OBSCURE de Jean de la Croix : « Aussi l’espérance en Dieu seul dispose-t-elle d’une manière d’autant plus pure la mémoire à s’unir à Dieu, qu’elle la laisse dans un VIDE PLUS PROFOND ». (Chapitre XXI).

FLÉAU = LE Soi, le TAO ou LA TEINTURE, LE FLÉAU UNISSANT non seulement les deux plateaux de la BALANCE, mais aussi évidemment SOUFRE et MERCURE. Plateaux de la Balance ou Soufre et Mercure sont COMPLÉMENTAIRES, jamais antagonistes comme le Droite-Gauche de la république de 1789 à ces jours de 2024.

2. INACCESSIBLE.
Cordoue.
Lointaine et solitaire.
Cheval noir, lune grande,
Et des olives dans ma sacoche.
Bien que je connaisse le chemin,
Jamais je n’atteindrai Cordoue.
Par la plaine, par le vent,
Cheval noir, lune rouge,
La mort est là qui me regarde
Du haut des tours de Cordoue.

(Poème de Garcia Lorca, la Chanson du Cavalier)

L’ici et maintenant c’est Cordoue, et le cavalier s’en trouve définitivement éloigné, privé de toute relation avec autre chose que lui ; alors il n’y parviendra pas ; il pourra s’en approcher autant qu’il le voudra, il ne sera jamais ici et maintenant, puisqu’il est LÀ-BAS. AUCUNE ROUTE NE MÊME À ICI. Tout ce qui arrive est de l’ordre de l’Histoire-Opinion-Temps qui coule et non de la fin : rien de réel ni de définitif ne se produit ici-bas.
Comme le mot A-teindre, du A privatif et teindre = NE PAS TEINDRE, même Thème que Dé-couvrir.
TOUT EST DE L’ORDRE DU « COMME SI » : rien de réel ni de définitif ne se produit dans le spatio-temporel, dans l’histoire. C’est d’ailleurs ce qu’exprime le langage vulgaire quand il dénonce ironiquement l’illusion de ceux qui confondent les accidents du spatio-temporel avec le BUT, comme ceux qui avancent leur ”Plus jamais ça  ”, ou leur ”Plus rien ne sera jamais comme avant” : « Le pauvre ! il CROIT que c’est arrivé ! » Ce qui signifie : c’est bien arrivé comme HISTOIRE ou ÉVÉNEMENT, mais cet événement n’a pas la coagulation (fixité, solidification) que vous lui attribuez : il sera balayé et remplacé par d’autres événements (comme les actuels déluges d’infos) ; rien de ce qui arrive dans le spatio-temporel n’est réellement une ”arrivée” : LA MORT SEULE, OU LE SILENCE SEUL, PEUT FAIRE LE POINT FOCAL, LE SURFEU, ENTRE L’ÉVÉNEMENT ET L’ÊTRE.

L’homonymie entre arriver (au sens d’atteindre un but) et arriver (au sens de survenir, avoir lieu : PAN) désigne par le même mot deux concepts qui, creusés à fond, s’excluent l’un l’autre : tant qu’il arrive quelque chose ou que le mot FIN n’apparaît pas sur l’écran, on n’est pas arrivé ; et quand le mot FIN apparaît sur l’écran, il n’arrive plus rien et les spectateurs sortent de la salle de cinéma. C’est alors le ”Circulez ya plus rien à voir”.
L’espagnol pasar (passer), qui ne se confond pas avec llegar (arriver), souligne au contraire le caractère transitoire de l’événement : on passe comme on ”passe” dans la rue en étant un ”passant” (un usager au sens républicain ou consommateur…. car la république, c’est la démocratie-consommation-marchandise….).
Le caractère transitoire de l’événement : comme les images qui défilent sur l’écran de cinéma, et alors tout semble se tenir : ON Y CROIT ! ON SAISIT, ON POSSÈDE, ON FAIT ”COMME SI”….

3. Il y va de la défense d'un dogme, celui du régime républicain, c’est-à-dire d'une position intellectuelle qui, pour l'accusation, est censée être implicitement acceptée par tout le monde, comme un centre dont on ne doit pas s'écarter sous peine de raisonnement faux. Si la pointe du compas dérape, la circonférence, le raisonnement et les actes qui les suivent, sont nécessairement faux. Tout accusé qui se reconnaît lié à la foi d'une religion (c'était le cas de Galilée et c'est le cas de tout membre d'un parti, tout particulièrement du parti communiste en Chine, et de la république et ses ”valeurs”) est supposé avoir parfaitement conscience d'avoir contrevenu au dogme, sauf dérangement mental.
Ce dressage au dogme républicain commence à l’éducation national : le COULAGE DANS LA MATRICE, LE MOULE. Et cette séparation nette et brutale entre fabricants (l’oligarchie et ses banques et industries) et les fabriqués (la masse, les milliards de Terriens) n’a jamais été aussi nette que depuis l’après 1945.

4. Proche du mot gupyaka, le mot gaulois Genaua : mot déduit du nom de lieu Genaua, devenu Genève et Gênes, comparable au vieil irlandais gin, au gallois genau, au vieux breton genou (bouche). Devant-l’Embouchure : Are-genua devenu Arguenon (Côte-du-Nord). (Réf. Dic. Français-Gaulois, de Jean-Paul Savignac).

5. Shiva-Linga symbole d’absence de forme, l’Absolu : un cylindre vertical au bout arrondi, sortant d’une base. « Le linga est manifesté, depuis les origines jusqu’à nos jours, sous la forme d’Arunâchala. Cette manifestation eut lieu un mois de décembre, alors que la lune se trouvait dans la constellation d’Orion (ârdrâ). Toutefois, Arunâchala fut adoré pour la première fois un jour de Shivarâtri [nuit avant la nouvelle lune de chaque mois pendant laquelle adorer Shiva procure des mérites instantanés], jour encore aujourd’hui considéré comme sacré ». (Ramana Maharshi, entretien 218 du 30-6-1936).
 
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Dernière mise à jour : 03-07-2024 01:58

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