Quand le mental fonctionne arrive les catastrophes.
Ici en Occident ils appellent ça ”État de droit”(1)
”Deho ’ham (je suis le corps) est une limitation,
la racine de toutes les actions et de tous les
désirs égoïstes et mesquins.
Brahmāham (je suis le brahman [l’Absolu]) est le
passage au-delà du limité. C’est sympathie, amour
et charité, etc., toutes des vertus
d’essence divine”. (Ramana Maharshi 54).
L’état de NIRVANA ou OUTRE-SOUFFRANCE.
« La douleur n’existe qu’aussi longtemps que l’on s’identifie à une forme définie. Si cette forme est transcendée, on saura que l’unique Soi est éternel. Il n’y a ni mort ni naissance. Ce qui est né, c’est seulement le corps. Le corps est une création de l’ego. Mais l’ego n’est pas perçu en l’absence de corps. Il est toujours identifié avec le corps.
C’est la pensée qui pose problème. Que l’homme sensé se demande s’il était conscient de son corps lorsqu’il dormait profondément [le scribe de la page souligne]. Pourquoi le sent-il à l’état de veille ? Mais, bien que le corps ne soit pas ressenti durant le sommeil, est-ce que le Soi n’en existait pas moins ? Comment était cet homme en sommeil profond ? Et comment est-il à l’état de veille ? Quelle est la différence ?
L’ego émerge, c’est le réveil. En même temps les pensées s’élèvent. Que l’homme trouve à qui appartiennent ces pensées. D’où proviennent-elles ? Elles ne peuvent que provenir du Soi conscient. S’en rendre compte, même vaguement, aide à l’extinction de l’ego. C’est alors que la réalisation de l’unique Existence infinie devient possible.
Dans cet état il n’y a pas d’individus en dehors de l’Existence éternelle. Il ne peut donc plus y avoir de pensée de mort ni de lamentations.
Si l’homme considère qu’il est né, il ne peut pas éviter la peur de la mort. Qu’il cherche donc s’il est né ou si le Soi a quelque naissance [comme le
”Big Bang”].
Il découvrira que le Soi existe depuis toujours, que le corps qui est né se réduit à une pensée et que l’émergence de celle-ci est la racine de tout le mal.
Trouvez d’où jaillissent les pensées. Alors vous demeurerez dans le Soi toujours présent au plus profond de vous-même et vous serez libéré de l’idée de la naissance ou de la peur de la mort ». (Ramana Maharshi, entretien 80 du 3-10-1935).
Et que fait le système d’injection ”anti-covid” ?
IL PREND LA PLACE DU CORPS SANS LA LOGIQUE DE « RÉALITÉ AUGMENTÉE » ET DANS LE CAS DE L’INJECTION IL AUGMENTE NON LA RÉALITÉ, MAIS LE CORPS, ce qui revient au même ! Tout étant augmenté, tout devient ”speedé” : le corps s’affole à la moindre exposition à un DEHORS qu’il considérera, selon les principes de ses fabricants du Dehors, comme MENACES, TERRORISTES, alors celui qui faisait du vélo très souvent ne pourra plus en faire que quelques heures par mois ! Le corps de l’injecté NE LUI APPARTIENT PLUS, IL APPARTIENT À LA FIRME DE L’INDUSTRIE CAPITALISTE DE BIG PHARMA, CONFORMÉMENT À CETTE SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE APPELÉE ”RÉPUBLIQUE” : LA QUANTITÉ. L’injecté aux nanotechnologies est UNIFORMISÉ, STANDARDISÉ COMME UN PRODUIT D’USINE (rêve du ”zéro défaut”).
L’injection à ARN messager DÉTRUIT LE CORPS (système immunitaire) POUR LE REMPLACER PAR LE CORPS (ARNm) DE L’INDUSTRIE BIG PHARMA DU CAPITAL : LES INJECTÉS APPARTIENNENT DÉSORMAIS AUX INDUSTRIES DU CAPITAL, LEUR CORPS EST PILOTÉ PAR CES INDUSTRIES À TRAVERS LEURS INJECTIONS AUX ARNm.
La QUALITÉ, qui est de l’ordre de l’Infini, de l’Insaisissable, ne peut être engendré par la SAISIE DE LA QUANTITÉ QUI EST INSAISISSABLE DANS L’AUTRE SENS : SA NATURE EST INDÉFINIE, JAMAIS ACHEVÉE, ce qui conduira à la formation de cette
société fourmilière nommée
”République”, où ne sera toléré aucune liberté individuelle vers la RE-découverte de l’Infini spirituel, le Soi. Le régime républicain et commerciale du consommateur et
”pouvoir d’achat” MULTIPLIE, CUMULE les consommateurs pour en faire des troupeaux,
MAIS REFUSE LES PERSONNES, C’EST-À-DIRE LES ÊTRES HUMAINS DANS LE SENS DE LEUR ’EST’, et non dans le sens de leur ’
AVOIR’ de consommation dans leur corps-mental.
La liberté en régime républicain n’existe que pour celui qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par tout le monde ; c’est la liberté de Satan, de
l'ORGANISATEUR, la liberté de la SAISIE :
LES SATAN OLIGARCHIE NE CHERCHENT PAS À LIBÉRER OU À FACILITER LA PROGRESSION DsES ÂMES, ILS CHERCHENT À LES POSSÉDER.
Pour les Satan Oligarchie, les masses, les consommateurs, SONT DE LA CHAIR À RANCOR(2), de la chair de cause à effet augmentés.
Le NOIR DE LA NUIT OBSCURE de Jean de la Croix :
« N’êtes-vous pas distincte des pensées ? N’existez-vous pas en leur absence ? Les pensées peuvent-elles exister sans vous ? » (Ramana Maharshi, entretien 341 du 23-1-1937).
Comme le temps : existe-t-il s’il n’y a pas une conscience pour le voir, et donc le concevoir ?
TAUREAU-VACHE : force créatrice, le Vrai Feu. Le Taureau Indra [Indra Dieu védique combat la Déesse Danu et le Dragon Vritra] est chaleur fertile.
Le Taureau est un animal primordial et accès au ”séjour de la Lumière éternelle” : les Eaux prim (Eau et Feu et ambiguïté absolu ; il est ouranien et chthonien).
Au pays de Magadha régnait le roi Indradyumma, qui avait pour femme Ahalyâ. À cet endroit vivait un beau jeune homme aux mœurs relâchées, appelé Indra. Un jour, au cours d’une conversation, la reine écouta l’histoire de la séduction de la célèbre Ahalyâ par Indra, le roi du firmament. Ahalyâ devint follement amoureuse d’Indra et, avec l’aide d’une de ses filles d’honneur, elle réussit à faire venir le jeune homme auprès d’elle. À partir de ce jour-là, Indra et Ahalyâ se rencontraient régulièrement en cachette dans une maison.
Ahalyâ était si éprise d’Indra qu’elle le voyait partout. La seule pensée du jeune homme lui donnait un visage rayonnant. Leur amour devint si fort que leur liaison finit par transpirer et parvenir aux oreilles du roi.
Le monarque furieux tenta de briser leur relation par toutes sortes de châtiments : ils furent immergés dans de l’eau glaciale, frits dans de l’huile bouillante, attachés aux pattes d’un éléphant, roués de coups de fouet. Indra disait au roi en riant :
« Ô roi, pour moi l’univers entier n’est que la bien-aimée. Et il en est de même pour Ahalyâ. Tout cela ne nous affecte donc pas. Sire, je ne suis que mental ; et seul le mental est l’individu. Tu peux punir le corps ; mais tu ne peux ni malmener le mental ni le modifier le moins du monde. Si le mental est saturé d’un élément quelconque, ce qui arrive au corps n’affecte nullement le mental. Icelui demeure même hors d’atteinte des bénédictions et des malédictions, de même que la montagne fermement établie n’est pas déplacée par les cornes d’un petit animal. Le corps ne crée pas le mental, mais le mental crée le corps [tout est
”dans la tête”]. Le mental est la seule semence du corps. Quand l’arbre meurt, la graine ne meurt pas, amis quand périt la graine, l’arbre périt avec. Si le corps périt, le mental peut se créer d’autres corps ».
Le roi alla voir le sage Bharata et le supplia de châtier le couple récalcitrant. Le sage attira une malédiction sur le couple. Mais, les intéressés déclarèrent au sage et au roi : « Hélas, votre entendement est à tous deux fort limité. En nous maudissant de la sorte, vous avez dilapidé les mérites acquis par la pénitence. Votre malédiction détruira sûrement notre corps, mais nous ne perdrons rien pour autant. Nul ne peut détruire le mental d’autrui ».
La malédiction du sage détruisit donc leur corps et, en quittant leur corps, ils naquirent à nouveau ensemble dans le corps d’animaux et d’oiseaux, avant de se rejoindre en tant que couple dans une sainte famille. Jusqu’à présent, du fait de leur amour total l’un pour l’autre, ils renaissent toujours en tant que conjoints [sans dualité]. Même les arbres de la forêt furent inspirés et contaminés par l’amour et la ferveur suprême de ce couple.
À partir de là se trouve le
ZÉRO INDIEN : La Conscience infinie, nostre propre conscience, et le sans limite sont tous constitués d’une unique substance imprégnée de la Conscience infinie. « Par conséquent, sans te soucier de ce que ces jeunes gens ont créé, tu peux créer autant de mondes qu’il te plaît [dit le Soleil] ».
”Absolument tout ce qui apparaît dans la conscience semble prendre naissance, s’y établir et porte même des fruits !” (YV III,90-91). Tel est le pouvoir du mental. De même que, par les pouvoirs de leur mental, les fils du saint obtinrent le poste de créateurs du monde, je suis moi aussi [Brahma parlant à Vasistha] devenu créateur du monde. C’est le mental qui fait apparaître les choses. Il provoque l’apparence du corps, etc. Rien d’autre n’est conscient du corps.
”Cette conscience individualisée elle-même porte le nom de jiva, ou âme individuelle, quand les potentialités sont dans un état extrêmement subtil. Et quand cessent tous ces tours de passe-passe du jiva, elle brille elle-même en tant qu’Être suprême” (YV III,91). Je ne suis pas, et il n’est personne non plus au sein de cet univers : tout cela n’est autre que la Conscience infinie. De la même façon que l’intention des jeunes gens est devenue manifeste, tout cela est apparence fondée sur la Conscience infinie. L’intention des jeunes gens leur donna le sentiment qu’ils étaient les créateurs : je le suis pour les mêmes raisons.
Seule la Conscience pure et infinie se pense en tant que jiva et en tant que mental avant de se prendre elle-même pour le corps. Quand cette fantaisie onirique se prolonge, ce long rêve donne l’impression d’être la réalité ! Il est tout à la fois réel et irréel : parce qu’il est perçu, il paraît être réel, mais, à cause d’une contradiction fondamentale, il est irréel.
Le mental est sensible du fait qu’il est nourri de la conscience. Quand il est envisagé comme distinct de la conscience, il est inerte et induit en erreur. Quand il y a perception, le mental prend le rôle d’objet de perception : mais dans la réalité - de même que, lorsqu’il est perçu comme tel, le bracelet est vu ; même si, en vérité, il est de l’or.
Parce que seul Brahman [le Soi, l’Absolu] est tout cela, même ce qui est inerte est pure Conscience : mais, de moi jusqu’à la pierre, nous sommes tous indéfinissables, ni inertes ni doués de sensibilité. Il ne peut y avoir appréhension de deux choses complètement différentes. La perception n’est possible que lorsqu’il y a similarité entre sujet et objet. Concernant ce qui est indéfinissable et dont l’existence n’est pas certaine, inerte et sensible ne sont que des mots dénués de substance. Dans le mental, le sujet passe pour être sensible et l’objet inerte. Le jiva erre donc, jouet de l’illusion. En vérité, cette dualité elle-même est la création du mental, une hallucination. Bien-sûr, nous ne pouvons pas non plus déterminer avec certitude que cette illusion existe. Seule
EST la Conscience infinie.
Quand cette division illusoire n’est pas vue pour ce qu’elle est, prend naissance la fausse égoïté. Mais quand le mental s’enquiert de sa Vraie Nature, cette division disparaît. Il y a réalisation de l’unique Conscience infinie, et l’on accède à la grande Félicité.
[En référence à :
Yoga Vasistha : L’histoire d’Ahalyâ, traduction en anglais de Swami Venkatesananda (1921-1982)]
Dans cette histoire d’Ahalyâ, même la mort y est considérée comme un acte du mental.
« Les douleurs dépendent de l’ego ; elles ne peuvent exister sans le ‘je’, mais le ‘Je’ peut exister sans elles [et c’est le sens du mot Nirvana] ». Ramana Maharshi, entretien 343 du 23-1-1937).
SORTIR DE L’ABSOLU = S’ATTACHER À.
Qu’il faille s’attacher à certain Instant, c’est certain, Mais SANS fixation, sans coagulation conformément au principe du
« Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi). S’attacher à un Instant comme on se promène dans un Paysage. S’attacher =
cultiver pour soi-même, coaguler, fixer ou concentrer, stocker, CELA MÈNE AU POUR-VOIR, LE POUVOIR DES VOYEURS : UN CONSOMMATEUR DE CONCENTRATION DEVIENT UN BÉNÉFICIAIRE : IL S’ATTACHE, IL FABRIQUE UNE DURÉE DE CONCENTRATION.
LA CONTINUITÉ DE LA PRÉSENCE CULTIVÉ OU ARTIFICIELLE D’INSTANT EN INSTANT DEVIENT, EN ELLE-MÊME, SUSPECT, CAR CHARGÉ D’EFFORT DE SPATIO-TEMPOREL : ÉCHO DU VIOL PAR L’EGO, D’OÙ L’AVERTISSEMENT TRADITIONNEL : « NE PAS ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT ».
Lorsque l’état d’attention divisé en sujet-objet dissout le centre fictif : le ‘
Nous’, du social, là commence le SUBJECTIF en forme du CHAHUT DE L’EGO qui peut se confondre avec le
ZÉRO INDIEN en une sorte d’ENTRE-DEUX chargé de promesses. C’est là qu’entre la clé principale :
LA SIMPLICITÉ.
Clé qu’IL NE FAUT JAMAIS PERDRE. La concentration fuit le compliqué et le winnerisme et les originalités. C’est pourquoi il n’est rien de plus difficile, surtout à nostre époque de Big Brother et de tous connectés, QUE LE SANS TRACE, de plus délicat que la légèreté dans ce monde du PLOMB-PESANTEUR ou loi de succion vulgaire : comment ne pas laisser de trace dans une neige vierge qui se dépose sur la POINTE de l’Instant ? (Les Artistes-Artisans autrefois NE SIGNAIT PAS LEURS ŒUVRES, le commerce n’était pas installé).
Il y faut l’habit de la PUTRÉFACTION, DE L’INSAISISSABLE, DU NON-DÉSIR.
LE PONTIFE, CELUI QUI FAIT PASSER LE PONT À L’ADEPTE, DÉCLARE : NE VOUS PLANQUEZ PAS MÊME DANS LE SANS TRACE ; ce qui correspond au Principe du GATE GATE et du VOLATIL par rapport au COAGULE (du Plomb). Se planquer, se réfugier = se coaguler, prendre parti….
Le sentiment océanique englobe toutes choses, pareil au
”cent mille cours d’eau différents” qui tous sont l’eau de l’Océan à saveur unique mais comprenant toutes les saveurs, tel le Centre est nulle part et la Circonférence est partout. Celui qui demeure dans le sentiment océanique se baigne dans TOUTES LES EAUX : LES EAUX PRIMORDIALES.
Le sentiment océanique du ‘Je’-‘Je’ ininterrompu est l’océan infini ; l’ego, la pensée ‘je’, n’est qu’une bulle à la surface de cet océan ; on l’appelle jîva ou âme individuelle. De même, la bulle d’eau, lorsqu’elle éclate, ne fait que se mêler à l’océan ; et quand elle est bulle, elle fait toujours partie de l’océan. (Réf. à Ramana Maharshi 92 du 7-11-1935).
Notes.
0. « L’être impur est celui qui est complètement dominé par
rajas [le faire/fer, le rouge adamiste] et
tamas [l’ignorance, le noir, l’inertie] ; l’être mélangé est celui où l’essence pure (
sattva) s’affirme d’une façon irrégulière ; dans le
shuddha-sattva l’être a triomphé de
tamas et
rajas. Après ces stades successifs vient le stade qui transcende les trois
guna [qualités fondamentales sous-jacentes à toutes manifestations spatio-temporelles : être, faire/fer, ignorance] ». (Ramana Maharshi, entretien 73 du 27-9-1935).
« Nous disons aussi que le mental vibrant est impur et que le mental apaisé est pur. Le mental pur est le
brahman [l’Absolu]. Il s’ensuit que le brahman n’est rien d’autre que le mental du sage » (Ramana Maharshi entretien 204 du 18-6-1936).
L’ignorance, le doute et la fausse identification (au corps) sont les obstacles à dissiper (entretien 249, 24-9-1936).
La personne qui dort ou le cadavre ne pose pas de questions.
- M. : Cherchez qui pose ces questions. C’est vous. N’existiez-vous pas dans le sommeil ? Pourquoi n’y avait-il alors aucune imperfection ? Le Soi pur est simplement Être. Il ne s’associe pas avec des objets et ne devient pas conscient comme dans l’état de veille. Ce que vous appelez conscience dans l’état présent est une conscience
« associée » [la conscience relativiste ou lumière de la conscience dans
Le Secret de la Fleur d’Or] qui requiert un cerveau, un mental, un corps, etc.
Mais durant le sommeil profond, la conscience subsistait sans tout cela.
- Q. : Mais je ne connais pas la conscience du sommeil.
- M. : Qui n’en est pas conscient ? Vous admettez bien
« je suis ». Vous admettez
« j’étais » dans le sommeil.
Cet état d’être est votre Soi.
- État de SOMMEIL PROFOND.
Absence du monde.
Absence d’attachement.
Le Soi.
- État de VEILLE.
Monde.
Attachement (Plomb-pesanteur ou loi de succion vulgaire).
Le Soi.
(Entretien 280 du 10-11-1936).
1.
ÉTAT DE DROIT (d’après le juriste et psychiatre
Pierre Legendre) : fondé sur le principe de la
« raison », donc sur la France des gens riches qui se voulaient
« philosophes » : les
« lumières », et la France de Pasteur, selon la leçon du Prof. Macron.
Pierre Legendre, dans Le crime du caporal Lortie : « Je dirais, c’est une construction culturelle [?] d’une image fondatrice [inconscient collectif ?], grâce à laquelle toute société définit son propre mode de rationalité [c’est-à-dire que si deux individus sont d’une même opinion, ils fondent déjà une société,
UNE CONVENTION] », « c’est-à-dire l’attitude de l’IMAGE, DE L’ILLUSION devant le questionnement humain sur la causalité ».
Pour Legendre cette construction du mental produit un « certain type d’institutions, une politique de la causalité [donc de la pure dualité guerrière ou d’opinion], dont procède ce montage de l’interdit [donc nécessairement de la LIMITATION PAR FRUSTRATION ET DE LA SOUMISSION] que nous appelons en Occident l’État et le Droit ».
« Selon cette perspective, le système institutionnel, porté par l’image fondatrice [causale genre Big Bang ou la Cause, la convention, LE CONTRAT, L’AGRÉGAT ou le faire comme tout le monde], a pour fonction de transmettre la Raison [la pensée si mortifère et paradoxalement utilitaire… sens d’outil…], d’inscrire la reproduction humaine dans ses rapports de causalité, de perpétuer l’interdit [l’inceste et le cannibalisme principalement], à travers les générations [donc en réseau…]. Ainsi une société n’est-elle pas un bétail d’individus comptabilisables [là, ERREUR MONUMENTAL de Legendre puisque nous sommes tous devenus des marchandises numérisables], mais dans le principe une composition historique [causisme et Histoire-Opinions-Temps] de sujets différenciés [non résolution du dilemme Moi-Individuel/Moi-Collectif]. De la sorte, nous naissons tous présumés raisonnables. Cette condition impose à la folie statut de décomposition, soit, en termes de tradition européenne, statut de maladie de l’esprit [seulement point de vue de Legendre et non certitude]. À proprement parler, l’esprit se défait (
de-mentia) ».
Nous retrouvons là le même principe de construction de grumeaux selon les deux Anglais qui s’harmonisent pour former en premier, un match de football, et en second, avec un troisième Anglais, former pourquoi pas un Empire. PREUVE DE LA FRAGILITÉ EXTRÊME DE L’ESPÈCE HUMAINE. Ainsi, dans un système étatique, pas de différence entre une
« démocratie » à l’occidentale et
« État de droit » et le régime stalinien, hitlérien ou maoïste, ou de Mussolini, ce n’est QU’UNE QUESTION DE DEGRÉ…
Page 51 du livre de Legendre cité, il considère en note de bas de page UNIQUEMENT LE CORPS, LE SPATIO-TEMPOREL, L’EGO ou POSSESSION : « Dans cette perspective [celle du politisme lié à l’étatisme], il s’agit de notifier qu’aucun humain, en tant que sujet de la parole [donc seulement du mental et des cinq sens], n’a le pouvoir de se soustraire à son statut dans l’espèce »…. Encore la croyance, croyance… Et
« Circulez ya rien à voir », c’est le ravage du fixisme, le ravage du langage sonore tout simplement. Legendre ne jure que par la causalité :
« la Loi des lois », qui mène à rien car ELLE NE BOUCLE PAS TEL L'OUROBOROS, donc ce qu’il appelle comme les perruques poudrées :
« la raison », le mental killer. Il associe ce mental à un
PATRIARCAT, une paternité qui « institue la Raison des fils [sens du droit romain] ». Par contre Pierre Legendre reconnaît parfaitement en page 53 que
« les sociétés techno-scientifiques sont prisonnières d’un engrenage [l’évolutionnisme] : des accès aveugles de moralisation [et de sentimentalisme en isme] et de répression, entrecroisés dans le discours gestionnaire du sujet libre [système appelé ”démocratie”] ».
2. Rancor : le monstre dans les premiers
Star Wars, qui vit sous la salle du trône de la grosse limace Jabba the Hutt.