Le Morphème Hui (Sagesse, prâjna : l’état individuel dans l’état de sommeil profond sans rêve) représente un balai de tiges de bambou au-dessus du signe du cœur : balayer ou retourner la lumière c’est la même chose jusqu’à balayer le balai lui-même. Sinon, le piège du mental est toujours intact !

À ce hui de wokisme des personnes veulent ressembler à elle-même, et c’est ça le WINNERISME À LA MODE, le contraire de ne ressembler à rien.
Nous arrivons « les mains vides » sur cette planète, autant se mettre en sentier avec ses mains vides et en revenir de même !
À ce hui le winnerisme saisit tout et complique tout.

C’EST LE MONDE DES MARCHANDS DE MOTS, LE MONDE DES OPINIONS POSSÉDÉES, LE MONDE DU VERBUM-MERCANTILE SALOPERIE QUI DONNE L’ILLUSION DE « COM-PRENDRE » QUELQUE CHOSE ! Et le wokisme devient le winner de cette illusion de comp-prendre : une singerie de l’éveil. Le capitalisme vend non seulement ses marchandises mais en premier IL VEND DES PENSÉES, IL VEND DES MOTS/MAUX. C’est en quoi le Verbum, au sens de la parole : le Logos de la pensée en son sens métaphysique, est devenu une marchandise, un objet mercantile comme un autre, UNE COAGULATION.

L’ÊTRE HUMAIN QUI ATTEINT L’ÉVEIL OU LE TAO EST IGNORÉ DU MONDE.
(Ainsi le wokisme n’est nullement un « truc » de l’Éveil. Comme de tout maintenant le wokisme, en plus de par son isme, est un FAUX éveil).

L’ÊTRE HUMAIN QUI ATTEINT L’ÉVEIL OU LE TAO EST IGNORÉ DU MONDE, c’est pourquoi il est comparé à un IDIOT, à un CRÉTIN, un DEMEURÉ, un IMBÉCILE : l’enfançon, l’embryon d’Infini. Verset 20 du Tao-tö king, trad. Liou Kia-hway :

Abandonner l’étude c’est se délivrer des soucis.
Car en quoi diffèrent
oui et non ?
En quoi diffèrent
bien et mal ?
On doit redouter cette étude que les hommes redoutent,
Car toute étude est interminable.

Tout le monde s’échauffe et s’exalte
comme s’il festoyait au cours d’un grand sacrifice,
ou qu’il montât sur les terrasses du Printemps.
Moi seul je reste imperturbable
comme un nouveau-né qui n’a pas encore ri.
Moi seul j’erre sans but précis
comme un sans logis.

Tout le monde a sa richesse,
moi seul parais démuni.
Mon mental est celui d’un ignorant
parce qu’il est très lent.
Tout le monde est clairvoyant
moi seul suis dans l’obscurité.
Tout le monde a l’esprit perspicace,
moi seul ai l’esprit confus
qui flotte comme la mer, souffle comme le vent.
Tout le monde a son but précis,
moi seul ai le mental obtus comme un paysan.

Moi seul, je diffère des autres hommes
parce que je tiens à téter ma Mère.

Savoir-Pourvoir-Oser-SE TAIRE (le dernier terme est l’Enfançon).

SE TAIRE (le dernier terme est l’Enfançon) = le NON-AGIR, le BODHISATTVA, l’ÉVEILLÉ AUTHENTIQUE ET PARFAIT (ou tout autre qualificatif que l’on peut donner aux Êtres ”unifiés” ou en non-dualité).
SE TAIRE font donc la partie de la difficulté D’ÊTRE INSIGNIFIANT, surtout à nostre époque !

À ce hui Nous subissons les déluges du Verbum formant LA RÉALITÉ suffisante pour imposer leurs combinaisons cinématographique de mise en scène, et leurs aventures Hollywoodiennes peuvent à bon État de droit se substituer à la réalité des humains. Un peu ce que pratiquant en son temps le très riche financièrement Raymond Roussel. Roussel attaque la « réalité de l’opinion, ou du langage » (le signifié : le réel et le signifiant : l’opinion, la saisie).
Non content d’éliminer le réel au profit du langage, Roussel s’en prend s’en prend à ”la réalité même du langage” : il s’en prend à l’opinion ce système des sens puisque totalement lié au spatio-temporel et donc à la raison-corps. Ainsi il n’y a en réalité de réalité nulle part, ni Dehors le langage, ni Dedans le langage. Bref, l’univers de Raymond Roussel est LA fiction même : FEINDRE, « COMME SI ». ROUSSEL = LE « COMME SI », DES JEUX D’ENFANTS, DES COMBINAISONS COMME L’ENFANT ASSEMBLE DES CUBES OU DES PETITES BOÎTES ET MANIPULE DES SOLDATS EN PLASTIQUE POUR DÉFENDRE ET EN MÊME TEMPS ATTAQUER LE CHÂTEAU FORT.
Donc absolument TOUT doit être IMAGINAIRE. Roussel parcourait le monde à l’intérieur d’une confortable roulotte dont les rideaux étaient constamment fermés ; roulotte qu’il ne quittait qu’un quart d’heure pour se consacrer à une ”carte postale’ (visite sommaire de la ville) lorsque son chauffeur l’avertissait qu’il était à Pékin ou à Constantinople.

Si les histoires deviennent intéressantes, c’est parce qu’elles manquent complètement d’intérêt, n’ayant en elles rien qui puisse retenir un instant une attention de quelque ordre que ce soit : en science, politique, religion, philosophie et histoire.
Et c’est un winnerisme authentique et très rare que de réussir à ne rien dire, réussir à ne se découvrir d’un fil, réussir à ne jamais trahir une connivence envers une cause ou un intérêt quelconque, surtout à notre époque du DÉLIRE DE LA CAUSE : COMME LE BIG BANG….
N’EST PAS INSIGNIFIANT QUI VEUT, surtout à nostre époque du culte du narcissisme et des réseaux sociaux de l’informatique jeux du capitalisme !
 
QU’EST-CE QUE LA CROQUE-POMME D’ÈVE OU LA PERTE DU PARADIS (le Jardin, le Tapis volant) ?

C’est la perte du JARDIN-MONDE : au sens du : IL N’Y A PAS UN MONDE, NI AUTRE, NI ICI ET MAINTENANT.

L’éjection du Jardin c’est ne pas vouloir vivre l’INSTANT, ou le ICI et MAINTENANT, LE SI INSIGNIFIANT PARCE QU’INSAISISSABLE !
DEPUIS LA CROQUE-POMME D’ÈVE, L’HUMAIN EST PIRE QUE LES ANIMAUX, beaucoup fuient les humains quand ils s’approchent d’eux,  PARCE QU’IL EST SANS PRÉSENT, IL EST DÉJÀ UN ZOMBI, UN ROBOT (pas besoin des transhumanistes et des Laurent Alexandre et de leurs programmeurs dans la Vallée des siliconnés anglo-américains).
L’être humain est DÉJÀ un assisté du berceau au tombeau : IL REFUSE DE VIVRE VRAIMENT ! Il était ainsi logique que surgisse un jour le concept d’État et de monnaie (le Pour-Voir : monnaie : avertir, on frappe monnaie et ça fait du bruit pour avertir, comme les ”trompettes de la renommée” ou celles des médaillés olympfric/flic. Faire ”sonner les cloches“).

REFUSER DE VIVRE VRAIMENT ÇA S’APPELLE LE FLÉAU, LE TERRORISTE, L’INNOMMABLE ! (Tous anti-consommateur).

FLÉAU = absence d’espace et absence de temps pour opinioner cet espace.
TOUT est résumé le ici-bas chez les Anciens Chinois et leur ”encre de Chine” : « Dès que l’encre est séché, nos formules [ou lois] sont fausses » disent les Anciens Chinois de l’École du Dhyâna (contemplation).
Alors l’expérience de la vie se résume par le ”COMME SI” : absence totale de l’Instant à vivre, sinon de le vivre par le FAUX du ”COMME SI” c’est-à-dire par la CROQUE-POMME = LE REGRET DU DÉJÀ LOIN ET DU DÉJÀ PASSÉ, PUISQUE L’ENCRE A SÉCHÉ. LE JARDIN EST LOIN OU FAUX. C’EST LE SENS DU MOT FLÉAU : UN JARDIN FAUCHÉ, CROQUÉ, COUPÉ, ENLEVÉ, INEXISTANT.

À ce hui, tout est fait pour que le DEHORS Re-présente ou soit en REPRÉSENTATION CINÉMATOGRAPHIQUE (l’ouvertue des jo. de Paris en 2024 en fut un bon exemple). C’EST LE WINNERISME ARRIVÉ À MATURITÉ.
Le FLÉAU sera en inverse : l’anti Pour-Voir : le voir n’y verra que des images vierges de toute RE-présentation du Réel. Savoir-Pouvoir-Oser-SE TAIRE (LE FLÉAU énoncé aussi par Saint Bonaventure : « Jamais l’âme et Dieu ne peuvent co-exister» : Itinéraire n’est pas Itérer : NE POINT ATTACHER UN INSTANT QUI PASSE À UN AUTRE INSTANT (ça formerait un espace-temps dangereux : la f(r)iction).

Dans la mondialisation actuelle due à l’évolutionnisme technologique (liée aux industries du capitalisme), l’opinion va fabriquer le MOT, et le quantitatif ou CONFORT (l’anodin) va devenir dogme genre « république universelle », soit devenir essentiel. Alors nous aurons le lien qui relie le CONFORT à cette culture du narcissisme : dans les deux cas, le fait de dire, de pratiquer sa « liberté d’expression » suffit à certifier que la chose était à dire, alors on tient pour assuré que sa pensée est profonde et son opinion décisive, sa vie de première importance, dès lors que tout cela est ÉCRIT (binaire du noir-sur-blanc, ou l’inverse).
À ce stade, je remets en refrain la conclusion de ce qu’écrit David R. Olson dans : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée : « Mais il semble peu douteux que l’écriture et la lecture aient joué un rôle essentiel dans la genèse d’un bouleversement, par lequel nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée [donc le RE et uns distance entre]. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier » ; et page 220 : « Les signes ont été considérés au Moyen-Âge comme faisant intrinsèquement partie des choses, tout comme leur nom ; au XVIIè siècle, les signes deviennent des ”modes de représentation”. Les représentations finissent par être radicalement distinguées des choses représentées. Pour représenter de manière fidèle, la langue doit être amenée le plus près possible des mots ».

De même que l’on peut fabriquer une chose par le fait de la dire : le Verbe se confond avec l’Acte : « je jure », « je baptise », « je proteste ». le mot tient lieu de la chose, la constitue en la disant. Dans les cas ci-dessus on est dans l’HOTC (Histoire-Opinions-Temps qui coule) : on jure sur l’honneur (donc en principe sur l’ego, que l’on crois vierge), on baptise « au nom du Christ » (Imitation de Réalisation du Soi), on proteste par son ego (en son nom propre, que là aussi on crois vierge) et selon son opinion (conviction intime) ; soit toutes garanties EXTÉRIEURES… Nous sommes dans l’HOTC du How to do things with words (Comment faire des choses avec des mots), ce qui est probablement tombé dans les oreilles des MK-Ultra, de ses gens matérialistes qui salissent tout ce qu’ils touchent et autre « chaise de Montauk »(2) de matérialisation de noms-les-formes par moyen électronique, que l’on va d’ailleurs retrouver dans la série Netflix : Stranger Things.

L’ordre implié sans racine du mal sera DIA-BOLIQUE (dia-boulique et sym-bole ; enfler, ventre, jarre, paquet, emballage…), et aussi JETER. DIA : à travers, comme la PARA-BOLE : juxtaposé ou en PARALLÈLE. De là on retrouve nostre FLUX, NOSTRE GATE GATE, par exemple décrit par Fabre d’Olivet :

BL (bel) est le Zéro Indien, l’énergie en force dilatante (spirale, spiration, inspira et expiration) agissant du centre, qui est nulle part, à la circonférence EN AMPLIFIANT TOUTES CHOSES, COMME DANS UNE ESPÈCE DE ”BOUILLONNEMENT” et de boursouflure en une chose qui se transporte ou se boule-verse SANS ÉVOLUTIONNISME OU AUGMENTATION DE VOLUME ((page 196, dans La langue hébraïque restituée, de Fabre d’Olivet, chapitre : La cosmogonie de Moïse).
Et BL renvoie aussi à לבן qui indique BLANC, examen blanc et donc à rapprocher de VIDE, CACHÉ. Le BLANC de l’INSTANT OU l’addition des sept Couleurs de l’Arc-en-Ciel.
Bole, Bolide = tournoyer (Glos. Du Cange), et le Chercheur Ugo Morichini aimait à répéter que « Tout est basé sur la spirale ». Voir les pages Outrage au Seul Ré-EL, et Non État, Non débat-opinion, Non lieu.
Spirale, Tore, Torsion, VRIL-le (tarière, foret, mèche, tirebouchon… et ESCARGOT : LA COCHLÉE EN SPIRALE DE L’OREILLE HUMAINE contenant les terminaisons du nerf auditif [organe de Corti]). ET TOUS ANTI LOI DE SUCCION (la fausse, celle de l’attraction ”universelle”……).
Pour le mot Vril, voir aussi la page ”Le Vril et les mystères du feu vivant”. VRIL, la SHAKTI : pouvoir, énergie, Mère Divine personnifiant le Pouvoir latent de Shiva : « Seul l’âtman (le Soi) doit être réalisé. Sa réalisation embrasse toutes choses, y compris la shakti » (Ramana Maharshi 57b du 24-6-1935).

La SPIRALE OU BEL, LE ZÉRO INDIEN (l’énergie libre en Occident utilitariste), la Paix du Rien (perte) du Tout est PTAH, le NÉ DE LUI-MÊME, SANS DEDANS NI DEHORS, SANS INVOLUTION NI ÉVOLUTION ; IL EST ENCORE L’OUROBOROS QUI SE FERME LA BOUCHE, également assimilé à l’ARC-EN-CIEL : PTAH NÉ DE LUI-MÊME EST BISEXUÉ ET JUMEAU DE LUI-MÊME : DEUX EN UN LA SPIRALE ENROULÉE AUTOUR DE LA TERRE POUR LA PROTÉGER.
LA GAINE DE PTAH SIGNIFIE QU’IL EST LE CENTRE : DE LUI-MÊME, IL NE FAIT RIEN, MAIS SANS LUI, RIEN NE SE FAIT : LE CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE EST PARTOUT. TEL EST L’ARCHANGE PAR ESSENCE, TEL EST L’ARTISAN PAR ESSENCE PUISQUE PTAH EST LE DIEU DES ARTISANS, DES OUVRIERS : CEUX RÉELLEMENT QUI OUVRENT (qui n’ont rien à voir avec ce que de nos jours certains nomment ”l’exécutif”, comme si c’était le bourreau exécuteur des ”hautes œuvres” tel un Dieu ayant droit de vie et de mort).

 

Notes.
1. De -gone : genou. Du grec gônia (angle) : décagone, diagonale. Le GENOU est dans de nombreuses Traditions antiques le siège principal de la force du corps, le symbole de l’autorité de l’humain et de sa « puissance sociale ». De là le sens des expressions : plier le genou, ou faire un génu-flexion devant une autorité, ou en signe de respect. Faire plier du genou sera alors imposer sa domination sur quelqu’un, faire acte d’allégeance, ou adorer les Genoux des Dieux. Toucher les genoux = demander protection. Pline l’Ancien signalait le caractère spirituel des genoux, symbole de puissance. (Réf. dic. des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant).

DIA = à travers, ce qu’est incapable de faire l’informatique : le curseur sur l’écran LE FONCTIONNE QUE PAR ANGLE DROIT : Néfaste dans maints traditions, astrologiques, etc. On ne peut déplacer le curseur sur l’écran en diagonale, il faut procéder en ESCALIER à 90 degrés…. Décan ou Degré zodiacal en astrologie…. Bref, l’écran informatique et la souris provoquent un MALAISE par leur 90 degrés (à moins d’y être insensible).

2. Avant 1953, Prioré a commencé à traiter des patients humains dont les formations cancéreuses avaient été jugées désespéré. Fournier a maintenu(entretenu) un fichier énorme de ces cas humains, mais le fichier a été mystérieusement perdu plus tard. Néanmoins, Prioré par sa machine guéris une forme malveillante de la maladie d'Hodgkin, un cas de cancer du larynx, etc. Voir le site en anglais de Tom Bearden sur la machine de Prioré. Voir aussi l’Artec.