Destruction de la Russie - Pouvoir juif
 

Ecrit par Sechy, le 28-05-2009 02:14

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destruction de la Russie - suite 24
En route vers le Rothschildo-Marxisme (1)
 
« A la Bourse, il y a un moment où, pour gagner, il faut savoir
parler hébreux ». (Rothschild)

Halte au bigbrotherisme Juif, aux marx-merdia et athée-lévy-sion (1)

« Le Troisième Reich était la seule force capable de venir à bout de
l’horreur communiste absolue » (Soljénitsyne)
 
 
La plupart des extraits ci-dessous proviennent du livre de Roger Dommergue Polacco de Ménasce : Vérité et Synthèse.

« Il m’a semblé qu’une opinion aussi universelle que l’antisémitisme, ayant fleuri dans tous les lieux et dans tous les temps, avant l’ère Chrétienne et après, à Alexandrie, à Rome, à Antioche, en Arabie et en Perse, dans l’Europe du Moyen Age et dans l’Europe moderne, en un mot dans toutes les parties du monde où il y a eu et où il y a des Juifs, il m’a semblé qu’une telle opinion ne pouvait pas être le résultat d’une fantaisie ou d’un caprice perpétuel et qu’il devait y avoir à son éclosion et à sa permanence des raisons profondes et sérieuses ». (Bernard Lazare dans son livre « L’antisémitisme et ses causes »)

Lénine, juif
Il écrivait en 1915 dans le « Social démocrate » No 40, journal juif russe : « Les États-Unis du monde et non seulement de l’Europe, seront réalisés par le Communisme qui amènera la disparition de tous les États même de ceux qui sont purement démocratiques. »
 
Baruch Lévi, juif
Lettre à Karl Marx, reproduite dans « La Revue de Paris » du 1er juin 1928, page 574 : « Dans la nouvelle organisation de l’humanité, les enfants d’Israël se répandront sur toute la surface du globe et deviendront partout sans opposition l’élément dirigeant surtout s’ils réussissent à imposer aux masses ouvrières le ferme contrôle de quelques-uns d’entre eux. Les gouvernements des nations formant la république universelle passeront sans efforts aux mains des Juifs sous le couvert de la victoire du prolétariat. La propriété privée sera alors abolie par les gouvernants de race juive, qui contrôleront partout les fonds publics. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud que, lorsque le temps du Messie arrivera, les Juifs posséderont les biens de tous les peuples de la Terre. »
Citation de Karl Marx dans « Deutsch-Franzosiche Jahrbucher » de 1844 : « C’est en vain qu’on cherche dans le labyrinthe de l’âme juive une clef pour sa religion. Au contraire, on doit chercher le mystère de sa religion dans le mystère de sa nature. Quelle est la base du Judaïsme ? Une passion pratique et un lucre pour le profit. A quoi pouvons-nous réduire son culte religieux ? A l’extorsion. Qui est leur Dieu véritable : l’argent comptant. »
René Groos, juif
Citation du « Le Nouveau Mercure », mai 1937 : « Il y a, c’est un fait, une conspiration juive contre toutes les nations. »
Medina Ivrit, Juive
Extrait de « L’Etat Juif », Prague, N°33, 27 septembre 1935 : « Dans nos coeurs ne règnent qu’un sentiment : la vengeance. Nous commandons à nos coeurs de bannir tout autre émotion et de ne nous laisser diriger que par ce sentiment unique : Celui de la vengeance. Notre peuple à qui le monde doit les conceptions les plus hautes, n’a plus aujourd’hui qu’un seul désir : Ravager, détruire, boycotter. »

« British Israel truth »
Commentaire écrit en 1906 par les Juifs Dinnis Hanau et Aldersmith. « Le retour complet, définitif et triomphant des Juifs aura lieu après l’écroulement de la Russie. Nous pouvons attendre des changements considérables de la grande guerre qui arrive et qui est suspendue sur les nations d’Europe. Selon notre interprétation des prophéties, l’Empire Turc sera démembré et une grande puissance comme l’Angleterre ne peut pas permettre qu’une autre puissance occupe la Palestine. »

Théodore Reinach, juif
Auteur de l’article « Juif » de la Grande Encyclopédie, page 273, tome 21 : « La longue spécialisation des Juifs dans le commerce de l’argent explique leur supériorité héréditaire dans cette branche et dans toutes les occupations qui s’y rattachent comme aussi la fréquence des défauts qu’elle engendre : âpreté, goût démesuré du lucre, finesse dégénérant en duplicité, penchant à croire que tout est à vendre et qu’il est légitime de tout acheter.
La brusque émancipation intellectuelle et religieuse produisit d’autres effets de déséquilibre : en rompant les liens qui l’attachaient au Judaïsme traditionnel, le Juif ne trouve plus dans sa conscience vidée ni frein ni guide moral pour l’arrêter. Il s’abandonne comme un cheval échappé à toute l’effervescence de son imagination et de la logique, à tous les excès de la pensée et de l’action. La société berlinoise dès la fin du siècle dernier, a offert de remarquables exemples de ce radicalisme ou plutôt de ce nihilisme moral. »
 
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L’annuaire officiel de la juiverie (gouvernement d’Israël), publié aux États-Unis, donne avec orgueil la liste suivante des Juifs exerçant un pouvoir en Russie, en l’an 5678 de l’ère hébraïque :

Aaronson, dirigeant à Witebsk   Kantorovitch, député à Pétrograd
Alter, dirigeant à Kamenetz   Kempner juge à Lodz
Apfelbaum, dit Zinovief, dirigeant à Pétrograd   Kerensky, député
Bekerman, magistrat à Radom   Lazarowitch maire d’Odessa
Bernstam, magistrat à Pétrograd   Lichtenfeld, juge à Varsovie
Bernstein, commissaire au Charbon   Lublinsky, juge à Petrograd
Bloch, ministère de la Justice   Luria, commissaire à la banque
Boff, dit Kamgoff, dirigeant à Pétrograd   Maldelbert, maire de Zitomir
Bothner, chef de la police de Moscou   Mandzin, procureur
Bramson (Abrahamson), dirigeant à Pétrograd   Meyerowitch, commissaire aux Armées
Braunstein, dit Trotsky, dictateur à l’armée   Minor, président du Conseil municipal de Moscou
Brodsky, juge à Pétrograd   Nathanson, membre du Conseil d’Etat de Pologne
Cohen, juge à Lodz   Per, juge à Varsovie
Davidowitch, juge à Pétrograd   Prelman, juge à Saratov
Dickstein, procureur à Pétrograd   Perlmutter, membre du Conseil d’Etat de Pologne
Dalbrowsky, commissaire à Pétrograd pour les Affaires Juives   Pfeffer, membre du Conseil d’Etat de Pologne
Eiger, commissaire pour les Affaires Polonaises   Podghayetz, maire de Moghilev
Fisher, juge municipal à Pétrograd   Poznarsky, juge à la Cour de cassation
Friedman, maire d’Odessa   Rabinowitz, commissaire du Travail à Tavrida
Friedman, commissaire de la Justice à Pétrograd   Rafes, adjoint au commissaire des affaires locales en Ukraine
Geilman, commissaire de la Banque   Ratner, administrateur de la cité de Nachichevanskz
Ginzburg, dirigeant à Kolomensky   Rosenfeld, dit Kameneff, député
Greenherg, chef de la police de Moscou   Rundstein, juge à la Cour de cassation
Greenberg, curateur du district de Pétrograd   Phineas Rutenberg, commandant en second de la milice de Pétrograd
Grodski, juge à Pétrograd   Sacks, commissaire-adjoint à l’Education
Grusenberg, enquêteur sur les affaires navales de l’ancien régime, commissaire de la marine nouvelle   Schreiber, procureur à Irkoutsk
Gunzburg, commissaire du Ravitaillement   Schreider, maire de Pétrograd
Guitnik, commissaire du Commerce à Odessa   Silvergarb, commissaire des Affaires juives en Ukraine
Gurevitch, adjoint au Commissariat de l’Intérieur   Stechen, sénateur
Gutterman, commissaire au Ravitaillement à Saratov   Steinberg, commissaire à la Justice
Halperin, secrétaire général du gouvernement   Sterling, juge à Varsovie
Halpern, adjoint au maire de Kolomensky   Trachtenberg, juge à Pétrograd
Hefez, adjoint au commissariat de la Justice   Unsehlicht, commissaire à Pétrograd
Hillsberg, juge à Lublin   Vinaver, député
Hurgin, vice-commissaire pour les Affaires Juives   Weinstein, administrateur de Minsk
Isaacson, commissaire à la Marine   Warshavsky, commissaire au commerce à Pétrograd
Kachnin, commissaire du travail à Kherson   Yonstein, maire d‘Oriel
Kahan, juge à Pétrokov   Wegmeister, membre du Conseil d‘État de Pologn
Kalmanovitch, procureur à Minsk   Zitzerman, procureur à Irkoutsk
Kaminetski, juge à Pétrograd    
 
Ainsi, la révolution bolchevique fut entièrement juive : idéologues (Marx, Lassalle), financiers (Warburg, Loeb etc.), politiciens (Lénine, Trotsky, Kerensky, etc), bourreaux carcéraux et concentrationnaires, (Kaganovitch, Frenkel, Yagoda, etc.).

Symbolisme du poing fermé et du bras levé, main ouverte
Lorsque les Juifs célèbrent leur fête de la vengeance, le Purim, qui rappelle le massacre de 70 000 Goyim, ils font tous ensemble le salut du poing fermé, qui sera le salut bolchevique. Ce signe est religieux et raciste. Il est l’antithèse du signe de croix religieux et du salut d’amitié entre les races latine et saxonne. Le bras tendu et levé, main ouverte, signifie : « Je viens en ami, franchement, ne cachant pas d’armes. »
Aux Internationales socialo-communistes fondées par les Juifs, et dont ils espèrent, très logiquement hélas, du fait de l’insuffisance mentale du plus grand nombre des humains, l’hégémonie mondiale, ils ont imposé ce salut du poing fermé qui est une manifestation naturelle de leur mentalité psychopathique. C’est le salut de la vengeance, le salut ennemi de la civilisation, et de la race blanche qui en est à accepter un tel salut : Celui de la vengeance et de la domination juives.
Comme je me souviens dans mon enfance, comment ils se moquaient des « idiots de Goyim ». Ils doivent bien rire de voir tant de Goyim déchristianisés servir leur cause et marcher vers leur propre suicide, le bras levé et le poing crispé...

Schlom Ash, nous informe que le moindre ébranlement du régime soviétique serait la mort des Juifs. Dans « Jewish World » du 19 juin 1922 de Londres, il nous dit : « Non seulement dans les milieux révolutionnaires mais, même dans l’Armée rouge, l’antijudaïsme est si fort que seule la discipline de fer imposée par les Bolcheviks et la crainte de la peine capitale retiennent les soldats et les femmes de commencer partout des pogroms. En Russie, paysans, soldats, femmes, citadins, tout le monde hait les Juifs. Tous les Juifs en Russie sont unanimes à penser que la chute des Soviets et le passage du pouvoir en d’autres mains serait la plus grande calamité possible pour les Juifs. La flamme de l’antisémitisme brûle en Russie aujourd’hui plus fort que jamais. » [Rappelons que dans le régime soviétique Juif, Staline avait planifié un pogrom national que sa mort empêcha].

Boycott systématique de tous les ouvrages qui ne sont pas en faveur des Juifs, déjà depuis 1895.
Saulus, Juif, dans le journal de Mayence « Wucherpille » de janvier 1895, inaugure une pratique qui dure aujourd’hui de façon totalitaire : l’impossibilité de dire quoi que ce soit concernant les Juifs et qui leur est défavorable sans être puni d’amendes et de prison (Loi Fabius-Gayssot : un Juif et un Communiste) : « S’il apparaît un livre qui nous soit hostile, nous ne l’achetons pas et l’édition ne tardera pas à passer au pilon. Le publiciste n’est plus rien : nous n’avons qu’à organiser contre lui la conspiration du silence. »
Non seulement cela, mais les Juifs se disent actuellement les seuls auteurs de la souffrance ! (et les cinquante millions de morts russe ?)

Le sort de la Russie s’est joué en 1913.
A propos du procès concernant un meurtre rituel à Kiev, le journal juif « Hammer » publiait dans son numéro 274, en octobre 1913 les commentaires suivants : « Le gouvernement russe a décidé d’engager à Kiev une bataille décisive contre le peuple juif. De l’issue de cette lutte titanesque dépend le sort, non pas du peuple Juif, car le peuple Juif est invincible, mais celui de l’Etat russe. « être ou ne pas être », ainsi se pose la question pour la Russie. La victoire du gouvernement russe est le commencement de sa fin. Il n’y a pas d’échappatoire, mettez vous bien cela dans la tête. Nous allons démontrer à Kiev, devant le monde entier, que les Juifs ne permettront pas qu’on en fasse un objet de raillerie. Si les Juifs jusqu’ici, pour des considérations tactiques, ont dissimulé le fait qu’ils conduisent la Révolution en Russie, maintenant, après l’attitude du gouvernement russe au procès de Kiev, notre tactique doit être abandonnée. Quel que soit le résultat de cette affaire, il n’y a plus de salut pour le gouvernement russe. Telle est la décision juive et elle s’accomplira. »
(Notez bien que le financement judéo-américain de la révolution bolchevique a commencé avant la fin du XIXème siècle).

Latzis, juif
Cet incitateur de la terreur rouge en Russie la fonde sur la haine de classe : « Nous exterminerons non pas seulement les individus, mais la bourgeoisie en tant que classe. Il est inutile de nous enquérir de preuves quant aux actions criminelles des accusés. Leur sort est décidé par la classe à laquelle ils appartiennent et par l’éducation qu’ils ont reçue. »

Citation de la femme Kroupskaya, veuve de Lénine, dans le journal soviétique « Outchi Gazetta » du 10 octobre 1929 : « Il est impérieusement nécessaire que l’État reprenne son travail antireligieux systématique parmi les enfants. Non seulement nous devons rendre nos garçons et nos filles non-religieux, mais activement et passionnément antireligieux. L’influence des parents religieux à la maison doit être vigoureusement combattue. Quoique la socialisation des femmes ne soit pas encore officiellement sanctionnée en Russie Soviétique, elle doit devenir une réalité et pénétrer la conscience des masses. Par conséquent, quiconque essaie de défendre une femme contre un assaut indécent manifeste une nature bourgeoise et se déclare en faveur de la propriété privée. S’opposer au viol, c’est s’opposer à la Révolution d’Octobre. » [NT : on se demande si cette pauvre femme possède toute sa tête ! pour ne pas dire psychopathique]



Note.
1. J’emprunte ces termes si lumineux à Roger Dommergue Polacco de Ménasce et à son livre Vérité et Synthèse.
 
 
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Suite des extraits du « Journal de Kolia » : À Cannes, problèmes d’argent et monotonie des gens riches.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don ), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris, puis en Provence. Il se trouve plongé dans un tourbillon de gens pour qui l’argent ne compte pas... mais lui n’en a pas !
 

Pour son travail, il n’envisageait rien à Paris, puisqu’en quittant le « Casanova » on lui avait promis de l’engager pour le même travail lorsque le cabaret de Cannes sera à nouveau ouvert vers la fin décembre. Ses recherches financières demeurèrent vaines, sauf quelques-unes, ce qui lui permit de ne pas mourir de faim, car l’hiver s’annonçait rude et froid. Il fut obligé d’habiter dans une chambre misérable d’un hôtel de passe.
Souvent il lui arriva de rester couché toute la journée pour éviter un épuisement inutile et la faim. Il faut noter qu’à cette époque, il n’y avait aucun secours concernant le chômage. Ces faits étaient très déprimants moralement. Kolia avait cependant un espoir, celui de la réussite de son départ pour Cannes et aussi ses relations avec ses camarades.

Kolia allait deux fois par semaine chez un nouvel ami, Basile Razoumovski, chez lequel il dînait. Il était russe, beaucoup plus âgé que Kolia et il voulait l’aider, ne serait-ce que sous la forme d’un repas modeste dans sa chambre d’hôtel et lui donner des conseils. Cela était très réconfortant pour Kolia et aussi très utile, car Basile était un homme très cultivé qui avait appartenu à la classe dirigeante avant la révolution, et restait toujours en contact avec l’aristocratie russe à Paris.
Aussi chaque vendredi, Kolia était sûr de manger à sa faim et aussi de s’instruire et se documenter sur toutes les questions, que ce soit de la musique, la littérature, l’histoire, les langues, en particulier l’Anglais et l’Allemand.
Pendant ce temps, Kolia avait établi une liste des personnes susceptibles de lui venir en aide, car il se posait pour lui un nouvel obstacle, c’est-à-dire celui de payer son billet aller-retour pour Cannes et régler l’hôtel. Enfin après avoir ramassé une somme modique et ayant vendu son vieux pardessus à Basile Razoumovski et deux bouteilles de champagne, cela lui permettait déjà de régler une grande partie de sa note d’hôtel.
Quant au voyage, Razoumovski lui avait recommandé une personne haut placée dans l’administration de la S.N.C.F., laquelle lui obtint un billet aller-retour avec une réduction de 50 %. Ainsi Kolia avait réussi provisoirement à échapper à cette misère et changer d’horizon.

Le lendemain matin il débarquait à Cannes ; c’était le jour du Nouvel An, et aussitôt il rejoignit le personnel du Casanova, qui se préparait à la mise en place à cette occasion.
Kolia fut obligé de donner son costume à repasser par la femme de chambre de son hôtel, et le soir du même jour il commença à travailler dans les mêmes conditions qu’à Biarritz, servir, verser le champagne aux clients et vendre les cigarettes.
Le jour suivant, il alla se promener en ville et surtout sur la « Croisette » et le port aux yachts. Il fut frappé par la beauté de cette ville, par la promenade des Anglais longue de plusieurs kilomètres, ses fleurs et ses couleurs.
La vie de nuit à Cannes était moins pénible qu’à Paris, vu le climat, et aussi il pouvait profiter de ses après-midi pour ses promenades et ses observations sur les gens.
Il avait rencontré la Princesse Gagarine, laquelle fut très précieuse pour lui par ses conseils sur la vie mondaine, les artistes et leurs aventures sentimentales. Elle vivait sur la côte pendant trois mois d’hiver et attendait son prochain départ pour les États-Unis.

Pendant ses deux mois de travail à Cannes, son existence et sa vie se passèrent normalement sans aucun fait marquant. Chaque nuit il travaillait dans une salle luxueusement décorée dans le style des milles et une nuits. La clientèle était cosmopolite, semblable à celle de Biarritz. Chaque après-midi, Kolia allait se promener sur la croisette pour respirer l’air pur et se désintoxiquer, cela dura jusqu’au début mars.

M. Roudakoff
 
 

Dernière mise à jour : 10-06-2009 18:26

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