Destroy’s Russia - Lenin Vampire
 

Ecrit par Sechy, le 20-06-2009 02:50

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Camps, Chrétiens, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Etzel, France, Goulags, Identité, Israël, Juifs, Ku Klux Klan, Nazis, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures, Usure


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Destroy’s Russia - suite 34
Lénine, chef de la secte des bolcheviks juifs était-il un vampire ?
 
« Sans merci, sans faire de détail, nous allons tuer nos ennemis par centaines, par milliers, qu’ils se noient dans leur propre sang. Pour le bain de Lénine, pardon le sang de Lénine, que coule à flots le sang de la bourgeoisie, plus de sang, le plus possible... » (La Krasnaïa Gazeta. J’ai ajouté le bain)
 
 
Normalement Lénine n’aurai pas dû remporter le pouvoir en Russie, avec le caractère qu’il avait, il fut très loin d’une autorité incontestée, même au sein de son propre parti. À la moitié d’octobre 1917, une poignée de Juifs bolcheviks et donc de premier plan, continuaient de s’opposer à son projet de coup d’État contre le gouvernement provisoire. On disait que le Parti n’était pas préparé à la prise du pouvoir et qu’il ne jouissait pas encore d’un soutien populaire. Par quelle pirouette ce coup d’État eut cependant lieu le 25 octobre ? Tout au long de ces 34 pages, j’ai essayé d’apporter que la Révolution russe avait aidé financièrement par des banquiers Juifs. En toute logique on ne peut pas faire une révolution comme ça, sans agent, dans un si grand pays que la Russie. Et après il faut mobiliser et motiver ses troupes, les habiller, etc...
 
Donc le 25 octobre 1917 la foule s’empara du Palais d’Hiver.

L’argent a contribuer à permettre cette Révolution, je résume, car :
- La Russie n’allait pas si mal que cela (j’ai essayé d’appuyer cela dans quelques pages).
- La guerre Russo-Japonaise et la première guerre mondiale n’ont pas arrangées les choses.
- Les bolcheviks étaient affreusement mal préparés.
- Les bolcheviks étaient détestés par les paysans.
- Les bolcheviks se lancèrent aussitôt dans une sanglante guerre civile à la seule fin de s’octroyer le pouvoir.

Ainsi à partir de 1918, lorsque l’armée Blanche se regroupa pour combattre l’armée Rouge, dirigée par Lénine, et « Herr Trotsky, du Café central », la Russie fut le théâtre de quelque-uns des affrontements les plus brutaux que l’Europe de l’est et l’Orient aient jamais connus.
Comme déjà écrit au cours de ces 34 pages, les bolcheviks s’en sont pris à, presque, toute formes de vie, tel la Horde d’Or.
Dans ce contexte de chaos naquirent les premiers goulags.

Lénine qui prétendait lutter contre le capitalisme, l’a utilisé pour, financer sa Révolution, puis pour s’enrichir ou enrichir son gouvernement et par la même sa future nation, et sur le dos de dizaines de millions de prisonniers.
En bon Juif partiel qu’était Lénine, il fut champion du sophisme et de la traîtrise : il se félicitait de l’arrestation des « saboteurs millionnaires » qui voyageaient en train dans des compartiments de premières classe. Aussi suggéra t-il de les envoyer travailler pendant six mois dans une mine.
Si je parle de traître à propos de Lénine, c’est parce qu’il voulaient en même temps condamner les criminels et autres voleurs, mais il voyaient aussi en eux des alliés potentiels.
D’un autre côté le code criminel de Lénine décrétait qu’il n’existait pas de « culpabilité individuelle » et que la peine « ne devait pas être considérée comme une sanction » !
La création de l’État sociétique (non il n’y pas de faute c’est intentionnel) allait donner naissance à une nouvelle espèce de criminels : l’ennemi de classe. Ainsi un tel ennemi était plus difficile a débusquer que celui qui tue au coin de la rue, et surtout beaucoup plus dur a rééduquer. Aussi il fallait le châtier plus durement que le simple assassin.

En mai 1918, le premier « décret sur la corruption » précisait : « Si la personne coupable de recevoir ou d’offrir des pots-de-vin appartient aux classes possédantes et y recourt pour conserver ou acquérir des privilèges, liés aux droits de propriété, il convient de la condamner aux travaux forcés les plus durs et désagréables et de confisquer tous ses biens ».
En lisant cela j’ai l’impression de revenir 2000 ans en arrière aux temps des Romains, dans un mauvais roman ou un riche patricien suite à une sombre affaire de rivalité de pouvoir est envoyé aux galères, et tous ses biens confisqué au profit de l’empereur.
Ainsi sous Lénine comme sous certaine empereurs romains on condamnait non pas pour ce que vous aviez fait, mais pour ce que vous étiez : riche, ou patricien, ou intellectuel, ou prêtre, ou marchands, ou cosaques, vous étiez condamné aux goulags galères pour construire l’État sociétique de Lénine.

A cette époque de chaos, si vous aviez le malheur de voyager sans billet de train, vous pouviez être condamné selon le bon vouloir d’un membre d’un obscure tribunal révolutionnaire, soit pour vole, soir pour crime politique !
Pendant les 74 ans de communisme des Juifs bolcheviks, il n’y eut aucune distinction entre simple criminel et dissident politique ! (Le mot criminel était devenu un fourre tout, un peu comme notre loi Hadopi ou on criminalise un internaute)
Cependant, dans la première décennie du pouvoir des Juifs bolcheviks les pénitenciers se scindèrent en deux catégories : une pour chaque catégorie, ceci en réaction au désordre du système carcéral existant.
Mais les prisons traditionnelles étaient sales, lugubres, et surpeuplées, il y faisait un froid terrible et on y mourait de typhus et de faim. Les gardes Rouges arrêtaient « au hasard » des centaines de personnes par jour et ne savaient qu’en faire. A ce chaos il faut ajouter que tous les prisonniers n’étaient pas égaux, certains étaient logés carrément dans le luxe d’anciens palais, et la plupart des gardes étaient sans expériences et les régimes de prison farfelus, et certains purent heureusement s’évader. Les seuls qui ne s’évadaient pas étaient ceux qui étaient trop paresseux.

A ce chaos des prisons traditionnelles, il fut trouvé dès le 4 juin 1918 la solution des goulags ou camps de concentration. Selon Trotsky, en bon esclavagiste juif : « la bourgeoisie des villages et des villes sera mobilisée et organisée en bataillons (une armée de travailleurs) arrière pour accomplir des tâches subalternes : nettoyage de casernes, de rues, creuser des tranchées, etc. Mais comme tout a un coût, il fallait que les prisonniers assurent l’autofinancement des camps. Ainsi les premiers fondateurs des camps imaginèrent qu’ils seraient « rentables ». Hélas, un peu comme à Guantanamo (voir ci-dessous) les gardiens des camps n’en avaient rien à faire de la rentabilité, ils étaient là POUR SE VENGER. Ils préféraient humilier les anciens nantis, ces gardiens bolcheviks faisaient faire des tâches qui étaient un prétexte à se moquer, à rabaisser. Un des nantis était par exemple forcé de nettoyer à la main un plancher couvert d’une épaisse couche de crasse. Un autre reçu l’ordre de nettoyer les toilettes avec une nappe.

La Tchéka, police secrète combattant les contre-révolutionnaires et cancer du régime bolchevik, était un État dans l’État, un peu comme le système américain avec Guantanamo et autre Patriot Act de G.W. Bush. Cette Tchéka fondée par Félix Dzerjinski, n’avait aucune allégeance envers le gouvernement sociétique (non il n’y a pas de faute) ni envers aucune de ses administrations. Elle n’avait aucune tradition de légalité, ni aucune obligation d’obéir à la règle de droit, aucun besoin de consulter la police, les tribunaux ou un commissaire à la justice. Son nom indiquait : « Commission extraordinaire pan-russe pour lutter contre la contre-révolution et le sabotage ». la Tchéka est devenu ensuite le Guepeou et le KGB.
La Tchéka et la politique de « Terreur Rouge » de Lénine, suite à une tentative d’assassinat contre lui, fut une composante importante de la guerre civile.
Suite à une mauvaise organisation des premiers camps, à une inégalité de traitements, à des révoltes de prisonniers, il fut trouvé la solution des îles  Solovetski avec les premiers vrais goulags, ceux de l’esclavage d’État, ou appelé de façon sophistique : travail forcé comme méthode de rééducation. Il y avait la même chose écrite au fronton des camps de concentration des nazis ; mais eux ce n’était pas pour « rééduquer », c’était pour tuer.
Sur les îles Solovetski le droit sociétique ne s’appliquait plus, mais seulement le droit de Solovetski : mélange de négligence criminelle et de cruauté aléatoire.
Dans une région de forêt, les prisonniers devaient couper des arbres, sans pause ni repos, avec à peine de quoi manger. Désespérant d’obtenir quelques jours de repos, ils se tranchaient les mains et les pieds.
Bien-sûr dans ces îles il y eut maints actes de tortures : les gardes avaient régulièrement enfermé des prisonniers nus dans des vieux clochers d’église glaciaux, pieds et mains liés dans le dos par une même corde, etc.

Comme les camps de Solovetski servirent d’expérience pour se multiplier à travers toute l’URSS, on mis au point une nouvelle torture, digne du sophisme le plus cruel : nourrir le prisonnier au prorata de son rendement au travail. Ainsi les plus faibles meurent en quelques semaines ; et c’est ce système criminel qui causa d’innombrables morts. On appelle ça LA RENTABILITÉ.

(D’après le livre Goulag, de Anne Applebaum)
 
 
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Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Professeur de danse et de James Bond.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger. Après un long passage par l’Égypte, la Turquie et Chypre, Kolia décide en 1926 de tenter sa chance à Paris. Rapidement à cours d’argent il décide de partir pour Cannes ; puis se retrouve dans la misère. Après une série d’aventures affectives à Cannes, Kolia rentre à Paris, toujours en recherche d’un job... et peut-être d’une future femme.

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Cette première rencontre marquait pour Kolia le début d’une grande aventure d’amour, fertile en rebondissements tourmentés. Cette première soirée passée au Parc, embaumé par l’odeur des tilleuls et des fleurs, en compagnie d’un être affectueux, sensible et frétillant, rendit Kolia très sentimental. Par leur comportement spontané et leurs gestes délicats, tout ceci démontrait déjà une grande sympathie mutuelle, à tel point qu’à la fin de ce rendez-vous, ils s’embrassaient sans cesse. Après s’être séparé et avoir fixé le rendez-vous suivant, Kolia songeait à cette soirée, douce, remplie de chaleur intime, tout en étant convaincu que ce qui était inaccessible paraissait à présent accessible.
Le soir, lorsqu’il était seul, il réfléchissait au problème de l’amour physique et à ses aventures précédentes avec quelques femmes de passage et qui ne lui laissèrent aucune trace dans ses sentiments. Lorsque ses pensées revenaient à Zazacharoula, il ne pouvait s’empêcher de la classer à part, et en aucun cas la comparer aux autres femmes précédentes. Curieusement il se souciait peu de l’issue de cette nouvelle conquête sentimentale, laquelle devenait sincère, affective, au fur et à mesure de leurs rencontres successives, qui se renouvelèrent jusqu’à la fin de juillet.

Après avoir passé deux mois au Touquet Paris-Plage comme professeur de danse et de tennis à l’hôtel Carlton, Kolia revint à Paris au même hôtel où il demeure depuis deux ans.
Le Paris mondain du début Septembre était encore désert. Il rencontra et retrouva ses relations qu’il avait eux dans les cabarets russes.
Pour le moment, pas de travail, ceci l’obligea à se faire inscrire au chômage pour survivre, vu ses ressources minimes.

Un après-midi, Kolia remontait les Champs-Élysées et rencontra un de ses amis, Basile, lequel venait tout juste d’arriver de Biarritz où il avait passé quelque temps comme professeur de danse. Après échange de quelques nouvelles, Basile l’invita au café et lui proposa une « affaire spéciale ».
Il s’agissait de l’enlèvement d’une jeune fille. M. Kindal, riche suédois, avait fait venir à Paris son amie Inga, étudiante âgée de 20 ans, soi-disant sa fiancée. Après quelques jours de vie commune, M. Kindal ne revit plus Inga. Ne sachant que faire, il se confia à son ami Basile en lui demandant de l’aider pour la retrouver. Après maintes recherches, ils apprirent qu’elle était séquestrée par un trafiquant indochinois. Alors Basile voyant que Kolia était libre, lui proposa de l’enlever moyennant une forte somme d’argent. Kolia accepta la proposition avec empressement.

Quelques jours plus tard, Kolia fut présenté à M. Kindal, lequel lui donna aussitôt des informations précises afin de retrouver Mademoiselle Inga, sa fiancée. Il lui donna sa photo et lui fit sa description, en lui indiquant où elle serait susceptible de se trouver.
D’après leurs investigations, elle se trouverait dans un hôtel de l’avenue Wagram, proche de l’Étoile. M. Kindal donna 1000 fr à Kolia pour la couverture de ses premiers frais d’hôtel et autres. D’ailleurs, Basile et Kindal eurent l’occasion d’apercevoir une fois près de l’Étoile, la jeune fille en compagnie de l’indochinois, lequel était de bonne corpulence et impressionna les deux amis.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 20-06-2009 03:25

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