Kamen Rider Kiva
 

Ecrit par Sechy, le 24-11-2009 14:32

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Publié dans : Sommaire JDramas, Sommaire Dramas du JAPON

Tags : Dramas, Japon, Kamen Rider Kiva, Robot, Science-fiction


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Kamen Rider Kiva
仮面ライダーキバ


HENSHIN !
 
 
http://wiki.d-addicts.com/Kamen_Rider_Kiva
http://www.tv-asahi.co.jp/kiva/
Page sur Kamen Rider Kabuto 仮面ライダーカブト

Drama en 48 épisodes diffusé au Japon en 2008 sur TV Asahi, d’après un manga de Ishinomori Shotaro.

Kurenai Wataru (joué par Seto Koji) est un jeune homme destiné depuis sa naissance à devenir Kamen Rider Kiva, et à devoir lutter contre la course effrénée des monstres connus comme Fangires, monstres drainant la vie humaine. Bien que combattant pour l'humanité, Kiva est visé par une organisation destiné à protéger l'humanité des autres races, et voyant ainsi Kiva comme une menace. Ils ont un soldat de leur côté, Kamen Rider IXA (joué par Kato Keisuke), qui possède les capacités correspondantes à celles de Kiva. Plus le récit progresse, puis il arrivera que la saga Kamen Rider est lié à Kiva d'une façon qu'il n'avait jamais imaginé.
Simultanément est raconté l’histoire du père de Wataru : Kurenaï Otoya (joué par Takeda Kohei). Avec le délai fixé en 1986, il y a 22 ans, l'histoire de Otoya va révéler l'origine de Kiva, et comment le destin de Kurenai Wataru va s’accomplir. (Résumé d’après le DramaWiki)
 
L’épisode commence par les funérailles de Itoya Akira en 1986.
Nous sommes dans l’atmosphère des anciens Godzilla et du traumatisme des deux bombes atomiques lancées sur le Japon par les Américains, plus la passion de la robotique du Pays du Transistor Levant. Les modernes radiations atomiques de la seconde guerre mondiale ayant entrainées de mutations, cela se traduit dans l’imaginaire populaire et chez les scénaristes japonais. Avec ces deux bombes larguées sur le Japon, pays sacré, il y avait de quoi traumatiser la psychologie de jeunes japonais et japonaises pour des dizaines et des dizaines de générations. Cela se traduit également dans les Goldorak, et de Osamu Tezuka : Astro le petit robot (l’enfant robot, Astro Boy, déjà une mutation). On a aussi les petites saloperies comme les Pokémon à l’impact mental plus que douteuse.
 
 
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Et puis on aime bien avoir peur, le soir blottit bien au chaud dans sa tanière. Les trains fantômes de fêtes foraines ne s’y sont pas trompés. Et dans ces archipels soumises à des séismes nombreux du à une activité du feu central de notre planète, il est normal d’avoir de grands dragons volant ou à pattes qui font cinquante mètres de haut et se ballade à Wall Street, la plus grosse couille du monde...
Par contre sur cette planète on aime pas du tout les petites créatures comme les virus de la grippe, nouvelle peste moderne ; il suffisait de l’inventer pour faire gagner de l’argent aux laboratoires pharmaceutiques.
 
 
Film Godzilla Final Wars
 
 
 
Film Godzilla Final Wars
 
 
Mêlé à l’atmosphère du manga, en plein lieu sacré des funérailles a lieu une transformation de monstre qui terrorise l’assistance, l’imagination visuelle, le côté motos japonaises et l’action prennent leur ampleur. Ce premier monstre a des couleurs de confiseries de fête foraine ! puisqu’il lance sur ses victimes comme une toile d’araignée ressemblant à de la barbe à papa. Ce monstre fait partie des « Fangires ».
Découverte d’un type à l’accoutrement étrange : ciré en plastique et masque anti-microbien  sur le visage, qui récupère des restes de poissons.
Aso Yuri (joué par Takahashi Yu) découvre un responsable de société qui n’est autre qu’un fangire sous sa forme non humaine (en fait ces Fangires sont comparables à des vampires). Le type voleur de détritus est face à Aso Yuri, et pour l’instant on se demande s’il n’est pas muet. Yuri se décide à lui arracher son masque et découvre le beau visage de Seto Koji (Kamen Rider Kiva). Il se décide a parler pour dire qu’il est allergique « à ce monde ».
Puis à nouveau nous avons un combat entre la fille en cuir et a moto du début, contre le responsable de société qui se transforme en sa vraie nature : un fangire (vampire), ayant revêtu son costume de Honda, pardon, de fangire. Et ce sont vraiment des sadiques et avec de multiples mâchoires inspirées sur les films Aliens.
 
 
 
Alors pour fabriquer le costume de Kiva nous avons :
- Un petit robot ou jouet volant appelé Kivat qui suit son maître comme un chien. Habituellement il loge dans un violon. Il parle aussi.
- Kurenai Wataru empoigne le jouet volant et le voila qui devient un fangire, tout au moins au début... ensuite en le mordant le Kivat le fait revêtir une belle carrosserie digne des plus belles motos japonaises. L’ensemble a un côté légèrement érotique. Wataru devient un superman.

Deuxième épisode : on avait déjà découvert Kurenai Wataru jouant du violon, ici on le voit dans son art de la lutherie : enduire un verni fait à partir d’une infecte bouillie d’arrêtes et de têtes de poissons. Son père était un célèbre luthier. Faut-il « signer un pacte avec le diable » pour fabriquer de tels violons ? a l’air de se demander Wataru.
Pour le moment, un fangire aimant surement le violon s’attaque uniquement aux musiciens jouant de cet instrument. Une soliste donnant un prochain concert va être protégé par Aso Yuri.
Amusant ce deuxième épisode avec l’importance donnée aux violons dans l’action.
 
 
 
Troisième épisode : on s’attache un peu au passé de Kurenai Otoya (le père de Kurenai Wataru), et une femme se dit enquêter auprès de Wataru, sur les crimes qu’aurait commis son père... donc on remonte de 22 ans en arrière. Son père aurait ruiné plusieurs personnes. Reste donc au fils à trouver ce qu’aurait fait son papa comme bonne action.
Enfin, il entre en piste Kato Keisuke (Kamen Rider IXA).
Les combats contre les Fangires sont comme des refrains venant s’intégrer sur des couplets.
Au quatrième épisode, Kato Keisuke est très présent en compagnie de Seto Koji, lequel s’efforce naïvement de réparer les erreurs de son père en rendant service bénévolement aux victimes. Il travaille sur un chantier même la nuit sans dormir. Mais peut-être que le père de Kiva a fait une bonne chose dans sa vie ?
 
 
 
Après hésitation, trois étoiles sur quatre tout de même ; ce qui est une grosse différence par rapport à l’unique étoile du Kamen Rider Kabuto, parce que l’introduction du violon est importance et très intéressante. Il y a de l’invention, de l’humour, de la naïveté et une espèce de fluidité sympathique, et l’inévitable aspect de jeu vidéo puisque on retrouve au générique le nom de Bandai. Il faut rentrer dans l’atmosphère sympa de Kamen Rider, sinon on risque de considérer cette série à succès comme de l’abrutissement télévisuel du monde de l’entertainment.
Seto Koji est amusant et bon-enfant, il joue de manière naturelle, ce qui est en opposition de son rôle de Kiva, il sait aussi être émouvant. Kato Keisuke a toujours un sourire si craquant. Les costumes des Rider sont marrants et bravo aux sculpteurs pour leur design inventif.

M. Roudakoff
 
 
 
 
 
 
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Dernière mise à jour : 24-11-2009 15:13

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