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Langage second : Télépathie 4 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 21-09-2011 00:27

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Goulag, Homéopathie, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Yokaï

 
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Langage second : Télépathie 4
Le premier langage étant le SILENCE
Langage le plus élevé et le plus efficace
 
Même un savant doit s’incliner devant un sage illettré. L’illettrisme est ignorance, l’éducation est ignorance, l’éducation est ignorance savante. Les deux ignorent leur véritable but ; tandis qu’un sage n’est pas ignorant parce qu’il n’y a pas de but pour lui. (Ramana Maharshi, entretient 355 du 8 février 1937). C’EST LE TAO.
 
 
LA MAIN VERTE
 
 
 
Comme la Télépathie est sans limites, le problème est d’ACCORDER le récepteur !!! Sinon c’est le Chaos intégral. Les morts peuvent communiquer avec les vivants, les animaux devinent le futur proche. Les animaux sont télépathes, et dans les deux sens, soit c’est le maître qui perçoit à distance très éloignée ce qui va arriver à son animal de compagnie, soit c’est l’animal qui perçoit le danger menaçant son maître. Les animaux sont habiles à lire les pensées humaines !
Mais le plus intéressant concerne la Télépathie et les plantes.
 
Un certain Cleve Backster, meilleur spécialiste américain de détecteur de mensonge, sur un coup de tête, en 1966, décida de relier une des électrodes d’un détecteur de mensonges (polygraphe), à la feuille d’une plante. En versant de l’eau sur les racines, la plante aspire bien mais sur le cadran du galvanomètre, aucune réaction électrique malgré la plante imbibée d’eau.
Par contre l’aiguille du polygraphe traçait des mouvements en dents de scie descendant ; réactions comparables à celles d’un être humain soumis à une stimulation émotionnelle.
Backster décida une autre expérience : plonger une feuille de la plante dans une tasse de café bouillant ; sur le graphique il n’y eut aucune réaction. Il tenta une expérience plus osée : il imagina qu’il brûlerait la feuille reliée aux électrodes. À l’instant même où la vision de la flamme se dessinait dans son esprit et avant même d’avoir tendu sa main vers une boîte d’allumettes, le polygraphe dessina une grosse courbe vers le haut. La plante semble avoir deviné ses pensées. Il renouvela l’expérience en allant réellement chercher des allumettes, le graphique dessina la même courbe. À contrecœur il entreprit de brûler la feuille ; cette fois-ci la réaction fut moindre. Ensuite il fit semblant de vouloir brûler la feuille, la réaction fut nulle.

Cleve Backster recruta des collaborateurs et poursuivit ses recherches. Il pensait que la capacité qu’avaient les plantes de lire son esprit relevait d’une forme de perception extra-sensorielle ; puis rejeta cette idée de passer au-delà des cinq sens humains. Les plantes n’ont pas ces sens et n’ont pas de « système nerveux », en apparence. Mais alors comment les plantes ressentent les pensées des humains, sans connaître le moindre de leurs alphabets ?
Donc suite aux expériences de Backster, il s’avère que les plantes réagissaient non seulement aux menaces des expérimentateurs, mais également à des dangers potentiels, comme l’apparition soudaine d’un chien, ou celle d’une personne qui ne leur voulait pas de bien. Même une araignée se trouvant dans la même pièce q’une plante reliée au polygraphe pouvait provoquer un changement spectaculaire dans le tracé ; juste avant que l’arachnide n’échappe à l’individu chargé de l’empêcher de bouger. Chaque fois que l’araignée réussissait à s’échapper, la plante le percevait et réagissait au niveau de la feuille.

Backster remarqua que lorsque une plante est menacée d’anéantissement par un danger ou des agressions extérieures, elles se défend en « s’évanouissement », un peu comme le ferait un être humain. Cela fut prouvé de nombreuses fois, et notamment les plantes sentent les personnes qui leurs sont dangereuses, même si c’est pour des raisons professionnelles, par exemple incinérer des plantes pour obtenir leur poids sec à des fins d’analyses...

J’ai vécu cette expérience, et sans polygraphe, en transportant du lieu de travail où on m’en avait fait cadeau, un Kalanchoe à fleurs rouges jusque chez moi, situé assez loin : j’étais obligé de prendre le train de banlieue. Pendant tout le temps de transfert, le Kalanchoe s’est complètement flétrie, comme s’il n’avait pas été arrosé depuis plusieurs jours ; cet état fut à son maximum dans le train, je pouvais bien l’observer puisque j’avais la plante sur mes genoux. Évidemment, et à mon grand soulagement, le Kalanchoe a repris vie une fois chez moi.
Une plante se comportera différemment selon son environnement.

Selon Backster, il se peut qu’une plante [comme pour le Soi], apprécie d’entrer dans une forme de vie supérieur [le Soi], au lieu de pourrir sur le sol. La même impression se dégage quand on allume une bougie, et qu’après un temps d’observation on l’éteigne.


L’expression « Avoir la main verte » signifie un ACCORD, une AFFINITÉ entre une plante et son propriétaire, comme avec un animal de compagnie classique : chat, chien. Et cet ACCORD subsiste malgré un éloignement. Backster observa et alla jusqu’à démontrer que ses plantes avaient réagi positivement au moment précis où il avait décidé de rentrer à New York, alors qu’il se trouvait à une vingtaine de kilomètres.
Une fois habituées à une personne, comme avec un chien ou un chat, les plantes semblent capables de maintenir un lien avec cette personne où quelle se trouve, et même si elle est entourée de milliers d’autres personnes. Cela fut démontré par Backster un soir de 31 décembre où il marcha avec un chronomètre et un petit carnet où il nota ses faits et geste en plein Times Square. Il eut des bousculades, faillit se faire renverser par une automobile, etc. De retour dans son labo, il constata que chacune de ses plantes sous observation avait réagit de la même façon face à ses petites émotions.
Backster n’a aucune idée de l’énergie capable de transmettre les pensées ou les sentiments d’un être humain à une plante. Ce n’est pas du domaine électromagnétique, comme l’expérimenta Backster.

Il est indiscutable que le règne végétal communique hautement, une bonne quantité de plantes dans un appartement parisien, et évier et lavabo vont se couvrir plus rapidement de moisissures, obligeant à les nettoyer plus souvent. Jusqu’à quel point d’ailleurs l’émission des plantes ne pénètrent-elle pas dans le corps humain !? Backster dégusta un pot de yaourt auquel il voulu mélanger une confiture contenant un préservateur chimique mortel pour les ferments vivants du lait caillé, ce qui occasionna une grosse courbe du polygraphe sur lequel était branché une plante. Un autre tracé bizarre s’expliqua lorsqu’on réalisé que les plantes réagissaient à la mort des bactéries ébouillantées dans les tuyaux d’écoulement des éviers. Alors il n’est pas étonnant de constater que évier et lavabo cité plus haut se couvre rapidement de moisissures, les plantes et toute cette vie organique croyant bien faire, peut-être au détriment de l’habitant du lieu ! n’ayant pas la vocation à se laisser pousser de la mousse sur le corps !!! Mais il est indiscutable que LES CELLULES COMMUNIQUENT, quelles soient humaines, végétales, et minérales (arrangement cristallins).
D’ailleurs Backster réussit à installer des électrodes dans différents organismes unicellulaires tels des amibes, levures, moisissures, cellules sanguines, et même spermatozoïdes. Les tracés furent tout aussi intéressants que ceux des plantes. Évidemment les spermatozoïdes sont étonnants...
Une sorte de « disque cosmique » semble être la maison de l’être unicellulaire, si bien que le cerveau n’est qu’un outil, une gare de triage et NON PLUS LE SIÈGE DE LA MÉMOIRE.

Comme les Alchimistes et chercheurs de l’invisible, Backster dit que la sensibilité perceptive ne s’arrête pas au niveau cellulaire. Elle est localisée au niveau moléculaire, et même au-delà. Se rappeler que le Tout est autre chose que la somme des parties. Donc il n’y a rien « d’inanimé », comme il n’existe pas de « mauvaises herbes ». Tout est vivant.
Backster voulu communiquer l’enthousiasme de ses recherches à la « science » et autres revues scientifiques, afin que d’autres puissent vérifier ses dires. Seulement la Télépathie entre Backster et les plantes fausse les expériences, ainsi il fut amené à pratiquer des expériences comme détruire des cellules vivantes mécaniquement et à des moments fortuits, en l’absence de toute présence humaine dans le laboratoire et ses environs. De cette façon Backster tenta de démontrer « qu’il existe une perception primaire non encore définie chez les végétaux ; que la destruction de la vie animale peut être utilisée comme stimulus à distance pour démontrer cette perception, et que celle-ci semble fonctionner chez les plantes indépendamment de la présence humaine ». Par exemple des plantes réagissaient violemment et de manière synchrone à la mort de crevettes plongées dans l’eau bouillante. Cette expérience et ses résultats furent consignés pendant l’hiver 1968 dans un article du volume de : The international Journal of Parapsychology.
Bref, ces publications arrivèrent dans le grand publique et des ménagères commencèrent à parler à leur légumes ! À la suite de cette publicité, Backster obtint plus d’argent pour acheter du matériel, notamment un encéphalographe plus sensible que le polygraphe.

L’électromagnétisme sera à mettre aux ordure dans un certain temps car, un œuf de poulet sans aucune structure circulatoire transmet une information. Ainsi Backster relia un œuf à l’électrocardiographe, et à l’autre bout de son bureau il plongea un autre œuf dans l’eau bouillante. Le premier œuf réagit fortement à la mort de son semblable.

TOUT EST LIÉ. La Pré-Matière est plus importante que la Matière. Ainsi les actes ne sont rien (illusion), c’est L’INTENTION qui est primordiale. En ce moment nous vivons la terrible intention d’installer ce qu’il faut désormais appeler un TOTALITARISME PLANÉTAIRE.
Seule, l’intention compte, lorsque sa réalisation est effective, ou passe dans le temps vulgaire ou monde spatio-temporel, c’est foutu, ça n’a plus aucun intérêt. Et c’est illustré sadiquement par l’écrivain Alphonse Allais lorsqu’il écrit « Que faire dans l’espace situé entre deux néants du berceau à la tombe, si ce n’est, danser comme sur la pont d’Avignon » (je cite de mémoire).

La Pré-Matière c’est par exemple les cristaux qui sont amenés à leur forme d’existence solide ou physique par des PRÉFORMES ou IMAGES FANTOMES d’énergie pure qui préfigurent l’état solide, notamment voir le passage sur l’expérience du chercheur italien Ugo Morichini. Ainsi les plantes sont capables de savoir quand un être humain projette par exemple de les brûler. Donc l’intentionnalité est du domaine énergétique.


Plusieurs chercheurs firent l’expérience de penser positivement chaque matin sur une plante et d’en délaisser une autre. Au bout d’un temps, la plante bénéficiant de pensées positives est resplendissante, l’autre laissé sans intention dépérit.
Cette communication télépathique se produit aussi dans une salle de spectacle ou de conférence : si la salle le publique a des pensées hostiles, les acteurs ou conférenciers auront le plus grand mal à redresser la barre. Avec les plantes il se passe la même chose, elles peuvent « faire le mort », et aucune réponse ne peut être obtenue si une atmosphère positive n’est pas rétablie.


Selon le chercheur chimiste Marcel Vogel, « l’intelligence » végétale est la conséquence du fait qu’elle peut devenir un prolongement de soi. On peut alors par une interaction avec le champ bio-électrique de la plante ou à travers lui, pénétrer les processus mentaux et les émotions d’une tierce personne.
Vogel déclare : « Une force vitale, ou Énergie cosmique [voir l’expérience de Morichini], qui entoure tout ce qui est vivant, peut se partager entre les plante, les animaux et les êtres humains. À travers ce partage, une personne et une plante ne font plus qu’un ! Cette fusion favorise une sensibilité mutuelle permettant à l’homme et à la plante non seulement de communiquer, mais aussi d’enregistrer leurs communications sur un graphique par l’intermédiaire de cette dernière ». Il y a donc fusion d’énergies, d’informations entre humains et plantes.
Un Clairvoyant comme C.W. Leadbeater en compagnie de Annie Besant entreprirent l’exploration de la Matière à l’aide du pouvoir Hindou Siddhi : faculté de se faire grand ou petit à volonté. Le changement des dimensions se trouve dans l’état de conscience de celui qui étudie, et non dans quoi que ce soit en dehors de lui. Le mental du clairvoyant peut se « rendre infinitésimal à volonté », c’est-à-dire que la conception qu’il a de lui-même peut être minimisée à un point tel qu’en comparaison, les objets normalement petits lui paraissent grands. Donc on peut parfaitement « pénétrer » dans une plante. Jacob Boehme disait qu’il suffisait de regarder une plante en croissance pour soudain, de par sa volonté, se mêler à cette plante, en faire partie, sentir ses « forces vives lutter pour trouver la lumière ».




En résumé :
Fondamental ! Comme en Alchimie, les chercheurs et expérimentateurs deviennent partie intégrante de leurs expériences. Ainsi il ne faut pas s’étonner que les chercheurs officiels prisonnier du dieu FRIC ne puissent rien trouver, ou quand ils trouvent, ce sont des choses qui marchent « à l’envers », par exemple le cathodique : catho « universel » de tube cathodique de télévision (cathode et anode) ; cela nous a donné le lavage de cerveaux que nous connaissons de nos jours.
Enfin, ce qui est valable pour les plantes l’est aussi pour les insectes, les minéraux... Des milliers d’abeilles se rassemblent lors des funérailles d’un apiculteur décédé, suppose un lien télépathique du temps de son vivant et en la circonstance c’est comme un « hommage ». Des chercheurs ont étudié des drosophiles : ils ont élevé des centaines de drosophiles ensemble. Après un temps ils les ont séparé pour former deux groupes : les émettrices et les réceptrices. Inutile d’écrire que cela fonctionne, puisque tout est liée !!!
Bien entendu arbres et plantes communiquent par un « aura » instantané.


[Référence à : La vie secrète des plantes, de Peter Tompkins et Christopher Bird)


Rien dans le Tout et tout dans le Rien.




Illusion d’optique au 11 septembre 2001

Il n’y a pas eu d’avion tel qu’annoncé sur les Tours américaines à Manhattan.
C’est de la haute technologie téléguidée depuis quelques satellites dans l’espace pour déclencher des « explosions ». La démolition contrôlée fit le reste.
Le 11 septembre 2001 fut une guerre de manipulation des esprits. Diabolisation des esprits et de la technique.
 
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 23-09-2011 01:44

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