Depuis bientôt plus de 10.000 ans de cette voie de l’Agriculture, nous sommes entré dans LA CHUTE (péché originel) : péché contre la Nature, c’est-à-dire contre nous-mêmes. Péché contre l’Essence commune à tous les êtres vivants : l’INSTANT, qui naturellement doit s’incarner en tous êtres humains, concrètement, dans une individuation unique et propre à telle ou telle personne individuée : « Je suis CE JE SUIS ». Le Diable en faisant miroiter la possibilité au premier couple humain de devenir « comme des Dieux » (
Eritis sicut dii) et « comme leur chef : Dieu », or c’est tout simplement un ÉLOIGNEMENT DE L’INSTANT. On n’atteint pas un but : Instant et sujet-objet sont indissolublement accordés, et pour l’éternité : on ne devient pas, on EST : JE SUIS CE JE SUIS. L’instant ne peut pas devenir : IL EST L’INSTANT. « Devenir » est le propre de la Chronologie tueuse.
« Je suis celui qui suis »,
Ego sum qui Sum, a dit Dieu de Lui-même (qui ici n’est pas nommé Yahvé, c’est important) en Se faisant connaître à Moïse sur le mont d’Horeb (
Exode 3, 14 : Dieu dit à Moïse : « Je suis celui qui est ». Et il dit : « Voici ce que tu diras aux Israélites :
‘Je suis’ m’a envoyé vers vous »). Ensuite seulement le mot Yahvé est à nouveau introduit à 3, 15, avec confusion entre l’universalité et le Dieu yahviste. Le « Je suis » est bien universel et est expliqué par
Ramana Maharshi, qui je sache n’était pas Yahviste !!!
Donc aucun but ou rédemption à atteindre, on ne devient pas ON EST. C’est aussi l’enseignement de Ramana Maharshi et du Soi divin qui est identique à l’Instant, à Dieu, à la Conscience ou
Centrum Centri, ou d’une foule d’autres noms comme le Cœur, l’Essence, la Foi, la Vérité, le Tao, etc. CHRIST veut aussi dire « Je suis CE JE SUIS », parce que Christ sait ce qu’est l’Homme, parce qu’il est l’Homme, il s’est dit ROI, et là je pense à la STARGATE, au POINT FOCALE, au TROUVÈRE.
Le drame de toutes les révolutions découlent de la Chute où chacun « veut avoir raison » : « C’est mon opinion », « C’est la loi de ceci ou de cela... ». L’opinion devenue mature depuis l’époque de la Renaissance pour atteindre son sommet en 1789 prend le masque de l’Universel, de Dieu, en renversant les rôles :
Ce sont les accidents du monde 3D qui engendrent les essences, ce qui est la signature du Diable. Et le socialisme ou communisme, le mondialisme actuel en fait la partie : il est une catholicité en creux, comme l’envers d’un cuivre repoussé. C’est exactement la même inversion suivante : les Anciens avaient forgé la formule disant que « L’homme est la mesure de toutes choses » ; avec 1789 et la « raison » des philosophistes du siècle de lumières la formule est devenu : « L’homme doit être mesuré par les choses ! », et effectivement il est contrôlé par Big Brother...
L’exploitation et l’écrasement des indigents et des nécessiteux, et des classes moyennes, par un pouvoir en vue de réaliser par tous moyens un bénéfice personnel ou celui d’un trust, sont qualifiés d’actions contraires aux lois cosmiques et humaines.
Évidemment depuis 1789 l’opinion est soutenu par le Saint Fric.
Depuis 1789 NOUS SOMMES EN GUERRE DE RELIGIONS, ce que les Yahvistes ont compris en premier avec leur « Royaume de Dieu (yahviste) sur Terre » ou système de la carotte et du bâton :
« Quand sera venu l’âge de la rédemption et de la perfection, la Terre Sainte offrira tant de trésors [toujours ce matérialisme] que le commerce et ses activités annexes seront inutiles », écrit
Gershom Scholem dans :
Sabbataï Tsevi - Le messie mystique. Ce n’est pas pour demain ni après-demain que l’usure yahviste disparaîtra !
Le Yahviste errant Olof Aschberg banquier des Bolcheviks.
Il était propriétaire de la
Nya Banken (Nouvelle Banque) fondée en 1912 à Stockholm. Les autres membres de son conseil d’administration étaient des socialistes suédois. Le nom de Cecil Rhodes se retrouve avec Earl Grey, un de ses proches et président de la
British Bank of North Commerce de Londres. Le cercle d’ami d’Aschberg était
Léonid Krassine, un des chefs bolcheviks ; le Yahviste
Carl Fürstenberg, ministre des finances du premier gouvernement bolchevique ; Max May, vice-président de
Guaranty Trust à New York (branche de la
banque Morgan)..
Les fonds dont bénéficièrent les Bolcheviks étaient transférés d’Allemagne par l’intermédiaire de la
Nya Banken et de Jacob Fürstenberg sous la couverture de paiement de marchandises. Aschberg joua ainsi un rôle de canal pour l’affectation du Saint Fric destiné à la révolution bolchevique, et la
Guaranty trust de Morgan y était indirectement liée par son association avec Aschberg et des intérêts dans
MacGregor Grant Co. à New York, agent de la banque russo-asiatique, un autre canal d’affectation.
En 1922 les Bolcheviks créent leur première banque internationale. Et oui, on a beau cracher à la gueule des bourgeois on ne s’échappe toujours pas du capitalisme et on copie bêtement sur eux ! Cette banque fut bâtie sur un consortium qui comprenait les anciens banquiers russes de gestion privée et de l’argent investi par les banquiers allemands, suédois, américains et britanniques. Cette banque bolchevique s’appelait :
Ruskombank (Banque du Commerce Extérieur). Elle était dirigée par Olof Aschberg. À son comité de direction se trouvaient les anciens banquiers de gestion privée du Tsar, des représentants de banques allemandes, suédoises et américaines, et évidemment des représentants de l’Union Soviétique. Début 1922, Olof Aschberg rencontre à Berlin les Yahvistes Emil Wittenberg et Aaron Scheinmann qui était directeur de la banque d’État soviétique, afin de discuter de l’engagement de l’Allemagne dans la Ruskombank ; puis les trois banquiers yahvistes se rendent à Stockholm et y rencontre Max May, le vice-président de la
Guaranty Trust Company (J.P. Morgan).
Les banques n’ayant aucun cœur donnent du Saint Fric à tous les belligérants de la planète, révolution de
Pancho Villa notamment, période plein pot avec la première guerre mondiale et la révolution russe. 400.000 dollars furent donnés à Pancho Villa pour l’achat d’armes, pour la propagande mexicaine et autres activités de révolution.
C’est à cette époque que l’Allemagne collecta des sommes considérables pour des opérations secrètes et d’espionnage en Amérique du Nord et du Sud. Source du Saint Fric : toujours Morgan et sa
Guaranty Trust et l’
American International Corporation, impliquées dans la révolution bolchevique et ses conséquences horribles. Le gouvernement allemand finança aussi les activités de Lénine.
En ce début du 20è siècle deux Vatican de la finance se partageaient les États-Unis et dominaient Wall Street :
- Les Rockefeller et leur Standard Oil.
- Le groupe J.P. Morgan
Ce sont ces mêmes deux groupes bancaires qui détiendront dans leur totalité toute l’industrie hollywoodienne du cinéma américain à la fin des années 1930, avec les cinq grands studios : Paramount, MGM, Fox, Warner, R.K.O ; et les trois petits studios : Universal, Columbia, United Artist. Ces usines à rêves venant juste après la grande crise économique de Wall Street en 1929. Hollywood et ses banques, Adolph Hitler et Staline comprendrons parfaitement le rôle incroyable que peut jouer la propagande politique à travers le cinéma, et
Ivan Pavlov sera de la partie, y compris indirectement dans le management de l’institution du Goulag avec l’essor du
behaviorisme découlant directement de la mode du freudisme. Tout est lié.
Le totalitarisme ou socialisme est synonyme de CORRUPTION, il est alors très facile de justifier l’injustifiable comme ce fut le cas en URSS à propos du Goulag, du KGB, etc. Les « crimes » pour lesquels les socialistes arrêtaient les gens, les jugeaient et les condamnaient relevaient du délire, et les procédures d’investigation et de condamnation étaient absurdes, voire surréalistes. Alors qu’en Europe sous occupation du national-socialisme nul ne jugea ni ne condamna les Yahvistes, alors que l’immense majorité des détenus du système du Goulag avaient été interrogés (même superficiellement), jugés (même en une parodie de procès) et reconnus coupable (même si cela prenait moins d’une minute).