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Pensée unique, Dressage, Jules Ferry Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 25-02-2010 22:52

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Dictature, École, Éducation, Formation, Liberté, Politique, Pouvoir, Vie

 
Pensée unique, Dressage, Jules Ferry
Les écoles de Jules forment-elles de futurs Prix Nobel ?
La majorité des Prix Nobel sont juifs mais aucun musulman ?


Jules Ferry, un homme a déboulonner !
LE PIÈGE DES MOTS/MAUX.
 
 
« Il y a pour les races supérieures un droit parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures ».
(Jules Ferry, Discours au Parlement, juillet 1885).
 
La laïcité sous sa forme actuelle a été une connerie, divisant une société d’un côté en religieux (ceux qui ont voués leur vie à leur croyance), et de l’autre en civils ou citoyens esclaves de la révolution des bourgeois de 1789, citoyens future chaire (il n'y a pas de faute) à usines ou esclaves de la société industrielle en pleine construction débouchant sur le cancer de la croissance, et du dieu Profit. Future chaire à usines issue de la révolution de 1789 : citoyens utiles à la république seulement pour les enfants qu’ils engendrent pour faire tourner les usines et la société de consommation, et aller au casse-pipe si la république est en danger. Tel est le sens du mot prolétaire de l’ancienne Rome. Maintenant on tolère juste en plus un hypocrite droit de vote participatif, pour donner un sens au mot/maux démocratie, et pour faire croire au pouvoir économique de son maigre compte en banque. Sans compter que tout au long de sa vie d’adulte, le prolétaire doit savoir se vendre... sous peine de se retrouver SDF (Sans Domicile Fixe, comme on dit actuellement, et comme Diogène aussi).
Cette révolution de 1789 qui a mélangée pouvoir politique et pouvoir économique, permettant aux Juifs clan mafieux Rothschild de quasiment gouverner la France pendant une partie du 19è siècle.
 
Cette damné révolution bourgeoise de 1789 qui a distingué, divisé, l’art gratuit du travail, et l’artisanat dérivant sur l’ouvrier qui n’ont pour fin que l’argent et le profit. Comme si de la matière devait naître l’Esprit ! ce qui se passe réellement aux États-Unis avec le dieu dollar. Révolution bourgeoise commencée biens-sûr sans l’accord des pouvoirs du roi, du temps de l’ancien régime : au cours du 17è siècle si sinistre (on torture facilement celui qui ne pense pas comme tout le monde), on éliminait les bouches inutiles, ceux qui n’étaient pas productif, on fit déporter, enfermer les déviants de toutes sortes : fous, jouisseurs et prostitués, mendiants, sorcières ; tout ce peuple qui démentait par sa seul existence l’ordre de l’intérêt matériel et de la « pureté de la race ». Il fallait de solides gaillards pour aller au devant des canons de l’ennemi du roi.

Alors que le Prix Nobel non seulement n'est pas ce qu'il devrait être, puisqu'il est : une remise de fric, et issu d'un fabricant de matières meurtrières, et lui aussi est dans le sens des écoles de Jules Ferry : un formatage prison.
Le génie scientifique est un Saint aussi authentique que le Saint religieux, selon Hermann von Keyserling et selon le sens du mot Saint. C’est-à-dire que selon Jean Coulonval qui cite Keyserling, Science et Philosophie ne font qu’UN : entre les deux il y a une sorte de théologie. Les mots comme les maux sont enfants du temps des accidents ou temps vulgaire, ainsi le Savoir fait obstacle à la connaissance. S-A-voir : ne pas se voir ; pas de dualité ; a-visé : privé de visé ou sans but ni vices... Ne pas voir S ou déploiement général.

Comme il est écrit cité dans le livre de Jean Coulonval : Synthèse et Temps Nouveaux, notre université forme des hommes et des femmes qui sont incapables de concevoir qu'on peut accéder à la culture par d'autres moyens que ceux des écoles. D'autres moyens que le pauvre Van Gogh a indiqués avec une si cruelle exactitude quand il a parlé des « cours gratuits de l’université de la misère ». Mais pas la misère matériel, la misère morale qui réside dans le fait d’avoir à supporter la contrainte, l’humiliation, et le sentiment d’une injustice sociale. On ressent, j’ai ressentis cela dans les classes surchargées des écoles de Jules ferry.
Les mauvais écoliers qui autrefois faisaient l’école buissonnière (quel joli mot), qui maintenant disent à leur prof : « Moi monsieur je vous dis merde ! », comme dans le superbe film de Jean Vigo : Zéro de conduite. Il y a une raison. Et comme pour tout actuellement, les pouvoirs ajoutent de l’huile sur le feu, en sécurisant, en TUANT tout simplement, en CASTRANT. Le pouvoir en place ajoute une castration à la castration de l’école de Jules Ferry. Un diction dit : « Pierre qui roule n’amasse pas mousse », et Jean Coulonval ajoute merveilleusement : « Pierre qui ne roule pas crève dans la mousse » (sens de : est rongé par la mousse).


ÉDUCATION ET DRESSAGE, PENSÉE UNIQUE (comme au cirque)

Le dictateur juif fabricant d’âmes, Karl Marx a écrit que la structure intellectuelle de l’individu est le produit de son milieu. Ainsi fabriqué par les seules contingences sociales et historiques dont il n’a pas à décider, l’individu ne doit vivre que dans le temps linéaire entre un passé et un futur, comme la naissance et la mort. Le souvenir même lui est interdit, il ne doit pas regarder en arrière pour boucler le futur sur le passé. Seul, le dictateur fabricant d’âmes, et de la pensée unique, s’accorde cette possibilité et l’interdit aux fabriqués. Lui seul a droit au « Je ».
Ce n’est pas nouveau, car qui dit éducation dit DRESSAGE, FABRICATION, COULAGE dans un moule. Pourquoi la différence énorme qui s’agrandit de décennie en décennie entre les fabricants (quelques-uns et à la limite un seul) et les fabriqués (nous, les milliards d’individus) ???

Nous ne sommes pas des numéros, des noms sur une liste électorale, des postes de travail dans les usines... Les structures sociales ne doivent persuader personne que la vie se limite aux besoins physiques. Aucune structure sociale ne doit faire croire que la vie se limite au sensible, entre l’instant de la naissance et l’instant de la mort.

NOUS NE SOMMES PAS TRAÇABLE, NOUS NE SOMMES PAS DES MARCHANDISES, NOUS NE SOMMES PAS GÉRABLE COMME DANS UNE USINE.
Nous devons tout faire pour échapper à cette traçabilité de tatouage de numéro de sécurité sociale et de puce sur carte d’identité. Tout faire pour échapper à la traçabilité du contrôle permanent des flux d’informations, d’hommes et de marchandises ; ce besoin matérialiste et de rentabilité d’assurer que jamais ne manque une palette dans un stock de marchandise (le zéro défaut de l’industrie), que jamais on ne trouve un billet volé dans le commerce ou un terroriste dans l’avion. Ainsi le pouvoir économique et militaro-industriel, grâce à la puce RFID, au passeport biométrique, au fichier ADN met absolument en prison ses citoyens. Mais heureusement pour nous, France d’en bas : plus il y a de technologies, plus il y a des failles... Se souvenir qu’il n’y a rien de plus VOLATIL que l’informatique et rien de plus « bidonnable ».

Je cite toujours Jean Coulonval, « en France, le fait d’être ouvrier manuel est une tare. ([NTMR : dans une société vouée au monde industriel depuis la révolution de 1789] On le voit dans l’afflux énorme des étudiants qui, pour fuir cette déchéance, sont préoccupés de s’assurer des occupations où l’on ne travaille pas avec ses mains ». N’est-ce pas messieurs les hommes et femmes politiques de tous bords !
En 1968, lors des grèves et mouvements sociaux importants, des étudiants bien décidé à ne jamais tenir un outil de leur vie, qui prétendaient enseigner aux ouvriers ce qu’est la condition ouvrière, et vendaient sur les marchés populaires les journaux gauchistes, vêtus de faux habits de travail, y compris les raccommodages. Des crétins purs et simples ! et certains sont devenus des dirigeants d’entreprises du CAC 40, chère à un certain Sarkozy, la France d’en haut, certainement le « peuple élu », les qualifiés.
 
 
Hélas, en matière d'éducation et d'endoctrinement il y a pire !

Voici un extrait de la traduction d'un document daté de mai 1979, et trouvé le 17 juillet 1986 dans un photocopieur IBM acheté à une vente de surplus. (Publié en annexe du livre "Behold a pale horse" de William Cooper, Light Technology Publishing, 1991). Si ce que reflète l’extrait du texte ci-dessous est censé encore représenter une démocratie, alors ce mot n’a plus aucun sens... Le texte fait plutôt penser à une dictature digne d’un stalinisme marxiste.

« Afin de parvenir à une économie totalement prévisible, les éléments des classes inférieures de la société doivent être amenées à un contrôle total, c'est à dire doivent être mises à la rue, placés sous un joug, et assignées à un devoir social à long-terme depuis le plus jeune âge, avant qu'ils aient une opportunité de se poser des questions sur la propriété de la matière. Afin de parvenir à une telle conformité, la cellule familiale des classes inférieures doit être désintégrée au moyen d'un processus d'augmentation des préoccupations des parents.
La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures ».


Majeur et vacciné

Dans les médias à la botte des banques, on parle et on montre des jeunes qui cassent et brûlent des voitures, ou volent à l’étalage, ou jouent au chat et à la souris avec des CRS, ou « ces bandes », mais on ne montre presque jamais le positif : les innombrables jeunes qui apprennent un métier manuel, ceux qui partent de bonne heure au travail et constitue la part plus considérable de la nation.
« La France est un produit de son école, et non l’inverse. [NTMR : oui, le formatage ou dressage scolaire]
Nous vivons dans un pays excessivement scolaire, où l’on se souvient du passage du bac comme d’un moment marquant de la vie. Où des retraités vous parlent encore de leur échec, quarante ans plus tôt, à tel ou tel examen, et combien cela a grevé toute leur carrière, toute leur vie.
L’école de la République [NTMR : Jules Ferry] a formé depuis un siècle et demi un type de subjectivités étatisées, reconnaissables entre toutes. Des gens qui acceptent la sélection et la compétition à condition que les chances soient égales. Qui attendent de la vie que chacun y soit récompensé comme dans un concours, selon son mérite. Qui demandent toujours la permission avant de prendre. Qui respectent muettement la culture, les règlements et les premiers de la classe. Même leur attachement à leurs grands intellectuels critiques et leur rejet du capitalisme sont empreints de cet amour de l’école. C’est cette construction étatique des subjectivités qui s’effondre chaque jour un peu plus avec la décadence de l’institution scolaire. La réapparition, depuis vingt ans, de l’école et de la culture de la rue en concurrence de l’école de la République et de sa culture en carton est le plus profond traumatisme que subit actuellement l’universalisme français. Sur ce point, la droite la plus extrême se réconcilie par avance avec la gauche la plus virulente. Le seul nom de Jules Ferry, ministre de Thiers durant l’écrasement de la Commune et théoricien de la colonisation, devrait pourtant suffire à nous rendre suspecte cette institution ». Extrait de L’insurrection qui vient, du Comité Invisible.
Et oui, après dans les médias aux ordres des banques on entend les « bons pères de familles », et les hommes politiques crier à l’intolérable en ce qui concernent les violences à l’école, les incivilité et autres agressions, et les hommes de pouvoirs ajoutent de l’huile sur le feu en raccrochant le drapeau français, en créant des cours d’éducation civique et autres joyeusetés encore dans le style Jules Ferry. Rien sur la Nature, les travaux manuels, l’art, etc.
Pour réussir dans la politique, la voie la plus rapide et la plus facile est celle  des flatteries démagogiques. (Jean Coulonval). J’ajoute qu’il faut aussi avoir eu une enfance dans une famille aisée.

Jules Ferry, ministre d’Adolphe Thiers, ce criminel qui fit exécuter plus de 25 000 personnes, et qui sous le début de la troisième république a certainement eut à faire au célèbre banquier James Rothschild, qui faisait et défaisait des gouvernements au grès de ses intérêts ! D’où déjà l’apprentissage de « la France qui se lève tôt », ou les non qualifiés. Encore une division de plus, merci Sarko ! En plus, avec la mode du sécuritaire, nous avons une troisième classe (voir plus bas) : celle des individus à risque... Comme élu à la tête de l’État, il n’y a pas pire en ce moment...
Ce qui amène la notion de CLASSE : groupe social, et selon Jean Coulonval, c’est un phénomène psychologique de masse, né des réactions du sensible et du mental d’un groupe social formé de gens soumis à des conditions sociales et économiques massivement identiques. La classe, dans le sens où elle est comprise à notre époque, ou plus exactement « sentie » par la tripe, est un phénomène d’agglutination des états individuels sentimentaux psychiques : classe ouvrière (France d’en bas ou qui se lève tôt), classe bourgeoise (France d’en haut ou qui se lève tard), avec leurs multiples nuances : classes moyennes, cadres, agriculteurs, médecins, juges, etc. On trouve maintenant le nouveau marché aux esclaves : les sociétés d’intérimaires, où l’ouvrier n’en est même plus un, mais il est juste un manovrier (de main : manœuvre) vendant ses compétences pendant une durée limite, comme un tiroir-caisse.
Les classes ne sont que des « effets statistiques ». Ces classes sont pourtant déterminées, conditionnées par une certaine forme de rapports sensibles avec l’économie et donc avec la matière !
La classe est le contraire de la caste, qui elle est du domaine religieux dans le sens d’une organisation sociétale.
Comme division killer on a la même chose avec le psychanalyste, dérivant du sinistre Sigmund Freud. Lequel, comme tout psychanalyste de sa chapelle, est absolument convaincu, comme par un acte de foi, qu’i n’y a de réalité que dans le monde du sensible ; ces gens là oublient un pôle du courant, ou ils utilisent le Yin sans le Yang...

« Un chef d’État, un scientifique, qui reconnaît la possibilité au moins virtuelle, pour tout homme et femme, d’établir le contact avec ce centre que certain appelle Dieu, qu’on peut aussi appeler Un, Unité, un centre dont aucun individu ne dispose, ne sera pas tenté de posséder et de disposer à son gré du psychisme des hommes. A moins qu’il ne soit un démoniaque ». (D’après Jean Coulonval).
 
 
Le Mondialisme tueur

Résumé :
- Le nationalisme divise.
- Le mondialisme nie et tue les vocations nationales particulières. il ne peut procéder que par nivellement par le bas, sur le plan d’une basse psychologie du ventre et du bas-ventre. Ce mondialisme ne conduit qu’à un « général » vraiment général, baptisé : mondial, mondialisme, universel, non pas en ACCORD d’un ensemble, mais en solo de tambour ! Précisément par ce que ce mondialisme ne prend pour critères de valeur de sa civilisation des signaux purement matériels, et comme moyen de persuasion politique des procédés qui visent uniquement la psychologique et les appétits sensibles, donc la part de l’âme la plus excentrique, celle qui a le plus tendance à refuser, à refouler tout ce qui, dans le vrai sens, a vraiment valeur universelle. Car l’Universelle est de l’Esprit (qualité), le général (quantité) est de la Terre.
Ce mondialisme qui rêve d'annihiler l'Asie pour ne faire qu'un immense Occident. Tuer toute une population typée (les Chinois trop nombreux par exemple), en s'attaquant uniquement à son ADN. Il paraît que c'est faisable. Dans ce cas ce serait un monstrueux eugénisme encore jamais vu sur Terre, un ethnocide pire que celui des peuples du Soleil (Mayas, Incas, etc.). Comme tout en cette période est encore une histoire FRIC, on veut donc maintenir un nombre GÉRABLE d'habitants sur Terre. La fameuse quantité tueuse de la qualité.

La liberté, c’est ne pas manger la même soupe que tout le monde et donc ne pas faire parti d’un même moule, voir d’une même éprouvette. la liberté c’est être soumis seulement aux essences et non aux accidents du monde temporel ou matérialiste.
Rien ne vient à l’intellect que par les sens. Sauf ce qui vient directement de l’Esprit. Les opinions sont hélas du domaine des accidents, donc autant d’habitants sur cette planète, autant d’opinions.

Je termine, toujours et éternellement en compagnie de l’ami Jean Coulonval :
« Le 21è siècle sera le siècle de l’Esprit et de la Paix. Mais avant, il faut craindre une catastrophe ».

M.R.
 
 
 
Le social, la société des humains a un cancer. Civilisation vers sa mort clinique.
 
 
 

Dernière mise à jour : 16-05-2012 19:40

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