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Criminelle Liberté, Criminels Dieux Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-01-2011 22:41

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Crimes, Dieu, Démocratie, Dictature, Église, Esprit, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Mots, Nature, Nourriture, Opinion, Paix, Paroles, Pouvoir, Prisons, République, Sagesse, Sexe, Supplices, Synarchie, Terreur, Tortures, Travail, Yôkai

 
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Criminelle Liberté, Criminels Dieux

Criminelle 1789


Les cahiers au feu et la maîtresse au milieu !
Et aussi les politiciens et autres autorités qui tripotent les petits enfants. C’est naturel ! et nécessaire pour la carrière et le pouvoir... Il faut l’avoir en Mains,
comme le petit phallus. Que ne ferait-on pas pour la légion d'horreur.
 
 
 
Oui, au nom de Dieu, au nom de la liberté et de la paix, au nom du « bien commun », au nom de l’Or, (ordure et merde des fèces fesses des grosses commissions), que de crimes et d’horreurs ont été commis depuis des millénaires dans le monde de cette petite planète bleue. Alors toutes personnes qui prétendent faire de la politique en mettant en premier la défense des libertés sont hautement suspect. Liberté étant maintenant synonyme de « faire du fric ».
« Je définirais la mondialisation comme la liberté pour mon groupe de s’implanter où il veut, le temps qu’il veut, pour produire ce qu’il veut, en s’approvisionnant et en vendant où il veut, et en ayant à supporter le moins de contraintes possibles en matière de droit du travail et de conventions sociales ». Percy Barnevik, PDG d’ABB, 1995, sur le site syti.net.
 
 
Comment des types qui se prétendaient « chevaliers » sont partis à l’époque du Moyen-Age « en croisades casser de l’infidèles » ? C’est ahurissant ! Au nom de dieux monothéistes et de ces multiples universalités, que de crimes et d’horreurs.
Au nom de la liberté, l’égalité, la soi-disant fraternité de la révolution de 1789, que de crimes et d’horreurs ont ensanglantés non seulement la France, mais aussi le monde, par exemple en Russie.
 
Au nom de la « pureté et de la liberté » des franc-maçons, que de crimes et d’horreurs se sont insidieusement infiltrés dans le pouvoir et la domination dictatoriale du monde. Insidieux possède le sens de in : dans, et si, dieu : donc du latin insidiosus, de insidiæ « embûches ». Satan, Dieu, fomentent des embûches... Il n’y a donc pas que les franc-maçons !

Se FIXER, fixer la liberté c’est la TUER ! La preuve avec la révolution de 1789 qui servit beaucoup de modèle dans le monde, surtout chez les communistes, nous voyons maintenant où cette fixation nous a conduit ! et que la plupart des politiques persistent à poursuivre, ajoutant ainsi de l’huile sur le feu.

De plus, selon la loi des Croisements, c’est le contraire qui est important, à cause de la chronologie tueuse : dès qu’une chose surgit de la Source, ça y est, elle est foutu ! Alors prétendre défendre la liberté c’est déjà la tuer ! Nous en avons vu le parfait et splendide résultat avec 1789, effectivement un modèle !
À la période de 1789, une certaine Madame Roland, guillotinée en 1793 à Paris, a d’ailleurs crié avant qu’on lui coupe sa tête : « Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom ! ». Oui, au nom de L’OPINION.

Et justement, il semble bien que tous les tyrans aient le mot liberté à la bouche. Enfin un peu de bon sens, aucun tyran ne va annoncer qu’il va faire chier son peuple... Il en est réduit à faire ça petit-à-petit, et à dose homéopathique... comme maintenant un peu partout de par le monde. Comme ça les chaînes passent mieux et les gens s’habituent à leur esclavage. Encore merci les killers philosophes du siècle des lumières.

Liberté, égalité, fraternité sont véritablement des mots/maux vident de sens... pour mieux faire avaler la pilule du poison de Big Pharma.
Par exemple cette sacré liberté, tout le monde la veut et sue sang et eau dans son travail d’esclave pour se l’offrir, comme un paquet de lessive ou une caisse de bouteilles de bon pinard. C’est exactement la même chose que l’imbécilité de la « propriété intellectuelle » (sic) et du « droit d’auteur » (sic).
Alors nous avons une « liberté dépendante », puisque tout le monde est esclave et obligé de travailler pour se l’offrir !
Ainsi il est mal vu de voler, forme de liberté et donc d’autonomie, mais bien vu de « travailler » pour enrichir les Couilles en or et autres banquiers juifs. L’esclavage, la dépendance, pire qu’une drogue des plus dures est bien là ; l’accoutumance est totale. Et c’est bien ça que nous voyons en ce moment avec toutes les agitations politiques qui commencent à frétiller du cul, afin de préserver soigneusement cette dépendance du peuple, qu’ils sentent menacée et qui leur file entre les pattes.
Alors on comprendra facilement que l’autonomie étonnante qu’offre aujourd’hui l’Internet fasse faire des cauchemars aux Couilles en or.
My God ! My Godemichet ! Monde de fous !

L’autonomie (la souveraineté personnelle), la liberté, la sécurité sont dans la même famille que le maux : CONFORT. Ce mot est champion dans notre société de technologie où tout est fait pour ce confort. Ça a même commencé sous Louis 14 avec les pompes pour les jardins du château de Versailles, alors que les gens n’avaient de cabinets de toilettes et faisaient leurs besoins n’importe où, sans compter la mode des perruques parfaites habitations pour les poux. Ah ! le Confort : qui va si bien avec la logique et la raison, tous les « scientifiques », les rationalistes du monde se ‘confortent’ sur ce confort intellectuel, sur cette raison résonnante et trébuchante, comme les pièces d’or, et les peaux de tambours discordantes.

Le mot/maux autonomie est le piège, il rejoint le mot/maux libéralisme de notre racaille en chef : Schwarkozy. Depuis l’invention de l’imprimerie jusqu’à 1789 l’autonomie c’est la mode, on y met les mots/maux : usager, responsable, valeur, et bien-sûr liberté. C’est le 1789 du siècle des lumières. Dans autonomie on entend le mot SÉCURITÉ, alors là encore on peut comprendre où nous en sommes ! surtout au niveau de l’esclavage, pardon, de l’emploi...

La mode étant à ce qui est physique, depuis 1789 nous sommes donc passé par l’autonomie, la liberté, et c’est bien pour ça qu’au passage de la société paysanne à la société industrielle au 19è siècle, l’autonomie est arrivé avec la construction du chemin de fer un peu partout dans le monde ; ensuite les puits de pétrole que s’achetèrent les Couilles en or de l’époque, qui amenèrent à la sacro-sainte AUTOMOBILE, qui remplaça le cheval, à tel point qu’on parle de ‘chevaux’ sous le capot d’une automobile.
L’autonomie était complète, surtout qu’il s’y ajouta ensuite la création des lignes téléphonique, de la radio, jusqu’à l’avion pour couronner le tout, en passant par l’actuel téléphone portable ; entre-temps avec la sainte automobile, il y eut une nouvelle autonomie ou trompeuse liberté, la création des vacances pour le pauvre peuple : les fameux congés payés ! si nécessaire pour les esclaves ; sans oublier la sécurité sociale avec son gouffre : le ‘trou de la sécu’. À cela il faut ajouter la « petite maison à la campagne » qu’on peut enfin s’acheter à crédit auprès des Couilles en or, sur justification de sa feuille de paye, pour concurrencer le château de son patron du cac40. Quelle autonomie, quelle liberté !!

Au 19è siècle s’y ajouta les facilités ‘autonomiques’ avec la chimie qui s’industrialisa pour aboutir à notre criminel Big Pharma et autres lobbys alimentaire et chimique. L’autonomie, le chemin de fer, la liberté matérialiste était à son comble, les Couilles en or juives et autres Frères Pereire pouvaient multiplier la construction de leurs coffres-forts sous la bénédiction des franc-maçons avides de pouvoirs. Toute cette autonomie et ce libéralisme aboutissent à l’INFLATION, mot anglais (1919) probablement issu de la capitale mondiale du fric : la City de Londres, inflation illustrée superbement par l’Ouroboros : la course au salaire des esclaves et de leurs patrons.

Mais ma brave Madame Roland, la liberté s’achète depuis votre exécution. Pour être autonome, non seulement il faut acheter une auto-mobile, mais aussi un « permis de conduire ». C’est du même ordre que l’invention post 1789 de la « propriété intellectuelle » et du « droit d’auteur ».
Depuis 1789, que des mensonges, car la liberté n’est pas un DROIT, comme le prétendaient ces révolutionnaires et autres Stephan Hessel avec leur Déclaration des ‘droits’ de l’homme, mais un acte d’achat : vous êtes un USAGER de ce droit, comme un paquet de lessive, vous devez l’achetez, comme votre gaz et votre électricité ou votre essence pour votre bagnole, ou votre future retraite, ou votre mort 'sécurisée' et confortable, sans douleur... Un comble dans ce monde si douloureux !


La liberté c’est le MOUVEMENT, la FLUIDITÉ, la FIXATION CAVALANTE.


L’horreur de ce monde actuelle se révèle ainsi par la non communication, un comble diabolique ! avec toutes ces autonomies jusqu’au summum avec le téléphone portable, que l’on cajole amoureusement comme l’antique nounours de son enfance ; et jusqu’à l’internet bien-sûr. Ainsi on ne communique absolument pas, car nous sommes tombé dans le FAUX, le VIRTUEL. Le téléphone portable est une prothèse humaine, je me souviens d’une caricature ou deux personnes se parlent par téléphones portables alors qu’ils sont à trois mètres l’un de l’autre. C’est une prothèse ! pour le confort... J’irais même dire que la mode de la tablette tactile c’est la même chose : les Couilles en or ont créés un besoin ! Par ici les bonnes taxes. Toujours cette liberté déguisée en autonomie découlant du 1789 coupeur de têtes. Tout se résume au FRIC.

Bloquer, tout est bloqué, les médias financés par les Couilles en or NE COMMUNIQUENT PAS, ce qu’ils projettent comme lavage de cerveaux sont « la même soupe pour tout le monde ». Il n’y a absolument pas fluidité ni à la radio, ni à la télé, ni dans les journaux papier, il n’y a pas D’ÉCHANGES. On empile des mots/maux vident de sens, des chiffres eux aussi vident, des banalités, des conventions, des OPINIONS.
Pour étayer sa petite vérité, l’être humain y exerce ses fameux « droits », et autres « propriétés intellectuelles », il censure : sang et sûr, comme dit faussement le proverbe : bon sang ne saurait mentir. Mais il y a aussi « se faire du mauvais sang »... Bonjour le killer Louis Pasteur et Big Pharma... Comme pour les microbes, le sécuritaire, on enlève, on nettoie au Karcher comme la fripouille Sarkozy. Avec la censure, l’Inquisition, on enlève, on efface du disque dur, on empoisonne, pardon, emprisonne, chez les écoliers on rature, dans les grandes surfaces on remplace le périmé.
Et si la censure ne marche pas, on vous colle le dogme de l’opinion au cul : « Tu sais bien que... » ou « Tout le monde sait... », ou « Dans une éprouvette fut versé... ». Bref, on veut bouffer l’autre, comme le système communiste : le fameux « bien commun ».


Rappel :
communiquer ça veut dire partager, mettre en commun, et c’est ce que ne veut pas le pouvoir, puisqu’il veut contrôler l’Internet.
La compagne, le compagnon, le copain, sont ceux avec qui on partage des moments, des instants de sa vie, avec qui on partage aussi la nourriture précieuse. Ami veut dire : A du A privatif, et mi : pas de moitié, donc un ami est un tout. D’ailleurs dans compagnon, il y a compas, l’instrument des bâtisseurs des cathédrales, repris en emblème par les franc-maçons, compas qui évoque le cercle contenant une société (le club, le cercle littéraire, politique...).

Les plus criminels avec les Couilles en or sont bien-sûr les politiques. Pour faire de son gagne-pain la politique, à notre époque il ne faut aucune vertu, aucune morale, aucune connaissance de Soi, aucune honnêteté, mais uniquement manier l’arme du mensonge.
Ainsi le mot/maux discriminer : diviser, distinguer. Alors pourquoi ces couillons de politiciens utilisent-ils : la discrimination positive ? Ces politiciens se comportent exactement comme des simoniaques : ils s’approprient, ils volent même, le sens de l’origine du mot discriminer ; origine qui ne leur appartient pas. Discriminer c’est séparer, distinguer, il peut y avoir une séparation positive (entre deux combattants), et une séparation négative (entre deux amoureux), bien que les nuances peuvent-être encore poussées beaucoup plus loin, mais discriminer c’est discriminer, et ça n’a pas à être positif ou négatif.

Un autre exemple est la truc de Sarkozy : la fameuse « tolérance zéro », qu’il a d’ailleurs rappelé sous une variante déguisée dans ses « vœux » pour 2011, ce qui continuera d’ajouter de l’huile sur le feu. Cette fameuse tolérance zéro, qui la aussi se monnaye, puisque ça fait « du chiffre » dans les commissariats, faut bien rentabiliser les fonctionnaires ma brave Madame Roland. Tolérance zéro va bien-sûr avec le terroriste, le délinquant qui télécharge et partage sur Internet. La encore les politiciens, et en premier leur chef satanique : Sarkozy, sont des simoniaques, car tolérer c’est tolérer ; alors si un crétin comme Sarkozy se permet comme un dieu d’y accoler le zéro, ça veut dire : aucune tolérance. Or le mot tolérance est de tolérer, permettre, être indulgent, parce que nous sommes tous unique, tous différence, et que nous nous nous tolérons. Sinon ça devient du racisme, du délit de sale gueule, et le monde devient invivable.
Le mot correcte pour interdire, c’est interdire ! ce qui correspondra à : aucune indulgence (aucune remise de peine).
Mais le plus proche pour interdire une chose serait d’écrire : intolérance, dans le sens de : in (privé de) et tolérance, comme in-visible : privé de visible. Ainsi « Intolérance garantie » remplace le n’importe quoi de la ‘tolérance zéro’.

D’autres grands n’importe quoi destinés au mensonge : transformer le packaging pour mieux vendre la sauce. (Hadopi et Loppsi en font partie)
Les départements français étiquetés, par exemple : Charente inférieure, devient Charente maritime ; Loire inférieure devient Loire Atlantique ; et tout ça depuis encore 1789.
Les pays sous-développés deviennent des « pays en voie de développement », puis des « pays émergeants ».
Les nains deviennent des « personnes de petites tailles » ; ou bien les infirmes deviennent des « personnes à mobilité réduite » ; les aveugles deviennent des « non-voyants ».
La mélancolie est devenue dépression nerveuse, puis psychose maniaco-dépressive, puis ‘trouble bipolaire’, etc. Que des trucs conventionnels tournant dans la zone de ce qu’on nomme : « psychiatrie ».
Les femmes de ménage deviennent des « techniciennes de surfaces » ; et les concierges deviennent des « gardiennes d’immeubles ».
Les clochards de naguère deviennent des SDF ou Sans Domicile Fixe.
Les vieux sont devenus « le troisième âge ». Que doit-être alors le quatrième âge ? et le cinquième ?
Un chômeur est un « demandeur d’emploi », parce que les Couilles en or réduisent leurs dépenses et l’ont ‘foutu à la porte’.
La putain et le gigolo sont devenus des ‘travailleurs sexuels’.
Un nègre s’appel désormais un noir ! Negro veut dire noir en portugais. Certainement que cela date des conquistadors si meurtriers. Mais les jeunes noirs préfèrent employer le maux ‘black’ pour se désigner. Noir vient de NIGER, aussi on dit dénigrer une personne : noircir sa réputation...
La vidéosurveillance devient la vidéoprotection, en vertu du sécuritaire, mais plus surement de la mode de la prévention, et toujours pour faire passer la pilule.
Le Nouvelle Ordre Mondial (NOM) devient la Gouvernance mondiale.
En Occident, un militaire pour s’autoriser ses crimes parlera de « frappe chirurgicale », de « nettoyage », de « dégâts collatéraux ». Mais c’est la même chose chez un politique !

Gloire à la sainte autonomie avec la bagnole, chantée par Georgius (1938), qui chanta le célèbre : « Lycée Papillon ». Discographie de Georgius.

« Ce sont des signes dénués de signification, reliés à des sons qui n’en ont pas davantage qui donnent sa forme et son sens à l’homme occidental ». McLuhan, 1962, p. 106, ‘Galaxie Gutenberg’, cité par David R. Olson dans L’univers de l’écrit.
« Nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée. Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes est, pourrait-on dire, un sous-produit de l’invention du monde sur le papier », L’univers de l’écrit, de D. R. Olson. Ainsi cela fait plusieurs siècles que nous sommes dans le FAUX.

Alors il faudrait bien admettre, y compris les « scientifiques », les sceptiques, que la conscience a accès à des niveaux de vérités ou de réalités qui sont contraires à celles qui sont « à la mode » du moment, et donc admises, CONVENUES. Haut et Bas comme Nord et Sud sont aussi des conventions, ainsi les Chinois appellent une boussole : « l’aiguille qui pointe vers le Sud » (en Chine c’est le contraire de l’Occident, le Sud indique le Nord).


 
« Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous les deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, fin de l’enseignement 264, du 20 octobre 1936).
 
 
M. R.


 
IMAGES trompeuses : les paysans aux super-marchés, où les saisons n’existent pas, ou seule existe l’idée de l’idée de la chose. Voir aussi la faim de la société de consommation. Fast food ! comment la nourriture peut être rapide ? Réponse : le temps c’est de l’argent...
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 05-01-2011 18:49

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