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Dieu, la Raison et les Socialistes Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-02-2013 00:59

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Dieu, la Raison et les Socialistes

MIROIR, mon beau MIROIR ma belle introspection !
(quel vilain mot employé par Paul Diel !)
Alors que le mondialisme veut une élite introspectant chacun !
 
 
 
Rien dans le Tout et Tout dans le Rien ; il n’existe que le Vide (et le plein) ; même le mot « éternité » n’est qu’un symbole mythique (sauf dans le cas des Expériences de Mort Imminente EMI). « Dieu créa l’homme ; et l’homme créa Dieu. Ils sont tous deux les créateurs des noms et des formes. Mais en réalité, ni Dieu ni l’homme n’ont été créés ». (Ramana Maharshi, entretien 264).
 
Paul Diel, dans Le symbolisme de la Bible, écrit que la raison humaine devrait essayer de déchiffrer l’énigme du langage symbolique (chose non résolu à ce jour), afin de dissoudre la confusion entre Dieu-Mystère et Dieu-Image, pour, toujours selon Diel, parvenir à renforcer l’émotion devant le mystère (il tient à ce mot émotion). Émotion, mot casse-gueule, uniquement dans le sens de Mouvement (tout est ÉCHANGES), pour le côté positif ; pour le côté négatif l’émotion c’est la passion, l’affectif, l’excitation du pouvoir, la peur, la jalousie... Simplement dès que l’on met un « mot » sur Dieu il devient terrestre, on le tue ! Ainsi, les textes bibliques présentent « Dieu » tantôt sous la forme d’un pur esprit, tantôt sous la forme d’un esprit doté d’un corps, les deux formant une symbolique.
En dehors de la symbolique, comment un pur esprit se matérialiserait : dans les airs, dans un corps ; Dieu aurait-il réellement parlé aux prophètes en hébreu, etc. ???
Nommé c’est donner corps, alors nommer Dieu c’est le corporifier, chose abominable pour la culture hébraïque : Jérusalem sera détruite, comme toute culture, lorsque le « Nom de Dieu » sera pris pour le Dieu vivant. Effectivement, ce sera mettre Dieu hors de l’Instant, dans le monde spatio-temporel vulgaire en supprimant tout mystère.
Même chose pour le Tao en Chine que l’on ne peut pas nommer. Et les commandement hébraïques sont tout autant universels : « Tu ne prononceras pas le « Nom de Dieu » en vain ». Même chose en Égypte de Pharaon : le signifiant était lié au signifié, le mot à l'être ou à la chose qu'il signifie. Écrire le nom d'une personne ou d'une chose, c'était susciter cette personne ou cette chose.

Approche du Soi vu par Paul Diel :
« Je suis celui qui suis ». Expression symbolique qui signifie : « Ne doute pas de mon innommable existence car je suis plus qu’existant [le Tout est plus que la somme des parties...]. Vie et existence ne sont que des formes sous lesquelles je me révèle à l’entendement humain. Elles sont mon apparition manifeste ; que je sois manifeste en toi aussi durant ta vie et par ta vie [équivalent de l’Instant ou Soi puisque Dieu fait partie du Soi]. Éprouve-moi de l’insondable mystère de ton existence. Mais soi aussi rassuré. Aucun mal ne t’arrive que celui que tu provoques en m’oubliant [là je ne suis pas d’accord on retombe dans le POUVOIR et sa diablerie, on retombe su Terre]. Fais-moi vivre en toi et j’existe pour toi, tout impénétrable mystère que je sois ».


Pour Paul Diel, le symbole métaphysique « Dieu-Créateur » est inséparablement lié au symbole morale « Dieu-Juge ». Alors nous aurions d’un côté un symbolisme en forme de « Comme si » (comme si j’existait, chose invérifiable bien-sûr, et forme de négation, mais quoi que l'on fasse, on existe) : « Ce n’est que comme si » mais ce n’est point ainsi [on est dans un paradoxe], le « comme si » moral concerne une réalité dans le spatio-temporel : possibilité d’harmonie dans le mental en le maîtrisant pour retrouver le Soi. Un « comme si » moral sous la lumière « scientifique » exigeant des preuves de sa réalité.

Effectivement un « Dieu-Juge » ne peut que concerner la morale et on tombe alors dans le mental et le spatio-temporel, ce que Diel façon psychanalyse appelle « auto-jugement de l’angoisse coupable » essayant d’harmoniser ce qui fait avancer dans la vie.
Pour Diel « l’abomination » dont parle l’Ancien Testament ne concerne pas que l’idolâtrie métaphysique ou spéculation métaphysique, mais aussi sa conséquence détruisant le sens de conduite morale (éthique). Pour les Chrétiens, « Le Royaume des Cieux est en Vous », autre définition du Soi ; et curieusement et contrairement à Ramana Maharshi, Paul Diel met dans le Soi ou Instant à nouveau la dualité : il y place aussi Satan et l’Enfer. Or Ramana Maharshi précise bien qu’il ne peut pas y avoir de dualité dans le Soi !!! C'est l'Unité.
Pour Diel ce qui « en nous », c’est encore la dualité : les intentions discordantes cachées dans le subconscient modèle Freudisme, et les intentions harmonisantes dans ce qu’il nomme « surconscience ». Il précise d’ailleurs que les mots « surconscient, subconscient », et « en nous », et « comme si » sont des mots... du mental, donc du corporel, de la matière. (Surconscient : amour de la vérité ; subconscient : angoisse devant la vérité).

Je conclus à cette partie que l’Ancien Testament est l’inventeur du BINAIRE avant celui de notre époque : le Bien et le Mal qui donneront le zéro et le un de l’informatique. Le binaire du Taiji est totalement différent car vibrant en perpétuel mouvement et prenant naissance l'un dans l'autre tels Soufre et Mercure. Paul Diel d’ailleurs parle de spéculation métaphysique avec le « comme si » symboliquement profond transformé en vulgaire opinion duelle et binaire : « c’est ainsi » ou « ce n’est pas ainsi ». Ainsi on aboutit au croyant et à l’incroyant, ou au théisme et à l’athéisme. Pour Diel le théiste resterait dans son camp en affirmant que Dieu est le Créateur du monde... « c’est ainsi » ; et l’athée affirme : « Ce n’est pas ainsi ». Bref, guerre d’opinions ! Et aucun des deux ne daigne reconnaître l’aspect mystérieux de la Nature, de leur Nature. Chacun s’efforce d’expliquer son opinion en faisant de la Nature, et donc d’eux-mêmes, un automatisme, un robot.

Paul Diel écrit que seule l’imagination mythique, par sa symbolique « Comme si », est en droit de transcender le mystère des origines, lié au Soi ou Instant qu’il traduit par : « immense aspect mystérieux de tout ce qui existe, l’homme inclus ».

Je suis très heureux que Paul Diel aborde 1789 et ce qui en découlera, le socialisme ou communisme.
En vue de sauvegarder les valeurs morales, le philosophe à l’aide de son opinion rejette la théologie du passé et ses mythes devenus suspects. Au lieu de parler de croyance et de divinités, le philosophiste invente ses règles et compas, son opinion de base en une « substance absolue » qui deviendra en 1789 « l’Être suprême », et par ailleurs le GADLU de l’époque (Grand Architecte De L’Univers d’une certaine franc-maçonnerie ou démiurge anthropomorphisé sans réelle valeur), il entrera dans ce qu’il appelle « la raison ». Ainsi il ne faut pas s’étonner que la « substance » sera remplacée par l’opinion de la pré-existence d’une substance matérielle.
Comme tout est cycles, l’être humain aboutit comme le serpent se mordant la queue (Ouroboros) à une « critique de la connaissance », donc une opinion de soi-disant « amoureux de la vérité » ! Avec l’époque de la Renaissance, on a effectivement aboutit à une autocritique ou hypertrophie du mental du genre à la Descartes : « Je pense donc je suis ». C’est cette voie qui a donné naissance au socialisme ou communisme : une nouvelle croyance en une « Matière absolue », donc à l’envers de « l’Esprit absolu ». Cette voie est une impasse totalement fermée, car la connaissance par l’humain de sa nature humaine ne sera jamais une science puisque toute science naît d’un dialogue entre sujet et objet étudié ; et qu’en plus l’être humain étant en ses essences, le résumé de l’Être et de l’existant, il est de ce fait dans l’impossibilité de se poser comme sujet étudiant d’un « Univers » qui lui serait extérieur. C’est géométriquement impossible. C’est pure illusions satanique fondée sur le renversement des rôles entre essences et accidents ou matière.

Pour le socialisme ou communisme, essentiellement représentation du monde, de tout l’existant, et donc de l’être humain, « dans le principe était la matière » et non le Verbe ou Esprit, ce qui entraîne tout une dogmatique auquel doit se référer toute action individuelle et sociale, avec pour fin des temps selon le modèle évolutionniste judéo-franc-maçonnique où l’être humain sera régénéré dans la pureté de son être.
République ou socialisme sont le règne de la tyrannie de l’opinion prenant le masque de l’universel, sous la forme par exemple des « droits de l’homme », en renversant les rôles : Ce sont les accidents (monde spatio-temporel) qui engendrent les essences, ce qui est la marque du Diable. Le socialisme est une catholicité en creux, à l’envers.

Comme l’écrit Paul Diel, le problème est de savoir pourquoi et de quelle façon le dogme en exaltation du mental « Je pense donc je suis » (exaltation du soi avec un s minuscule en amplification du sujet-objet, voir la symbolique de la MÉDUSE illustrant l’image déformée du soi ou ego) fut finalement renversé en une contre-proposition résumée par : « Je suis matière » (par exemple l’existentialisme, l’humanisme...), donc j’existe comme une mécanique, donc soumis aux lois aux règles et au compas (franc-maçonnique ou autres). Le but de ce renversement est une totale préparation au règne du matérialisme et de son mondialisme ou Nouvel Ordre Mondial. Un futur monde de ROBOTS. Un seul exemple, la sociologie déclare l’individu de toutes pièces « visses et boulons » ou boyaux déterminé par la situation matérielle et par l’influence du milieu social, et familiale.

Dans ce monde actuel totalement matérialiste, tout tourne autour du social, rien n’est fait et ne laisse place à la Réalisation du Soi, à la fois introspection et action ici et maintenant, dans l’Instant. Ce monde actuel a la phobie de l’introspection ! « Connais-toi toi-même » est une introspection (vilain mot) ou Réalisation du Soi qu’il ne faut pas confondre avec les mots/maux de la psychiatrie moderne : excès d’amour-propre, égocentrisme, vanité, psychopathie, etc. Vanité rejoins le mot VIDE et ses variations : BIDE, VENTRE, ÉCHEC, BIDON, MEN - SONGE ! UN / TOUT ou ZÉRO du « IL N’Y A POINT » ou : c’est pas du BIDON ! Cela rejoint le VENT :
Vain [VAI] / Vide / Vanité / Vague / Venin / Vulgaire / Vase ou Vaisseau. Le Vent qui apporte la LUEUR / INSPIRATION / MOUVEMENT.
Le Vent souffle quand bon lui semble ! Ce Souffle toujours latent.
Le VAN : ce qui se manifeste, ce qui apporte la lueur, le signal. Ainsi nous avons du V comme Vie :
Vif / Vigueur / Voir / Vérité / Voie / Vertu / Viser / Vision / Vitre / Voler / [VOLOIR] / VOLONTÉ.
VANITÉ est ennemi du TRANSPARENT. VANITÉ est comparable au Prince de ce monde : le Diable. Enfin Vanité est encore du domaine de l’ego et ne se trouve qu’EN DEHORS du Soi déjà dans la matière. De plus la Méduse avec ses serpents sur la tête fait de cet animal, comme dans l’Ancien Testament, un être négatif symbolisant carrément la Vanité-Diable et toute la cuisine qui s’en suit avec les combats de héros tuant par ci par là, alors qu’eux-mêmes devaient se vaincre, et par la même ils n’auraient été inquiété par aucun « vilain » serpent ou dragon, qui ne sont ni bons ni mauvais mais justes, car toujours en attitude en fonction de l’état de celui qui les aborde. Dragons, Serpents et Héros sont UN dans la mesure où le Dragon ou le Serpent sont l’ÉNERGIE VITALE dont le Héros ne peut se passer...
Décidément, je n’ai jamais adhéré à la mythologie grecque ! Nous sommes tous des héros en réalisant le Soi et retrouvant notre état originel naturel.
Comme déjà écrit, le Serpent comme le Dragon jouent le Gardien du Seuil. Les serpents sur la tête de la méduse trahissent la symbolique du POUVOIR et trop de choses du binaire...

Sauter dans le Trou du zéro pour aller ailleurs (Stargate) !
Le Vide ou la « Douceur malléable », 5ème trait négatif du Koua 14, le Grand Avoir du Yi-King, est à la place d’honneur et représente celui de qui descendent toutes les positivités, les choses viennent à lui d’où : le Grand Avoir. Les qualités de ce Koua ou Hexagramme permettent une liberté absolue. (Traduction P.L.F. Philastre)

Le prophète Isaïe (65, 25) dit qu’un jour : « Le loup et l’agnelet paîtront ensemble. Le lion comme le bœuf mangeront de la paille, et le serpent se nourrira de poussière ». Pourquoi de poussière ? C’est encore un rabaissement du Serpent !
De toute façon, L’HORTICULTURE est plus ancienne que l’AGRICULTURE : disposer deux ou plusieurs cailloux, apporter de la terre, piquer, ou mieux planter des fleurs au centre, c’est déjà donner naissance à un Jardin symbolique...


[En haut de page : photo officielle du criminel et dictateur Lénine, instaurateur de l’institution du Goulag. Ce type, Staline et beaucoup d’autres, devrait être condamné de manière posthume pour crime contre l’humanité]
 
 

Dernière mise à jour : 16-02-2013 01:45

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