Accueil arrow Peindre à l'aquarelle
Pleasantry 3 Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-06-2016 22:31

Pages vues : 6587    

Favoris : 36

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : ADN, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Behaviorisme, Bourgeois, Cacapitalistes, Chefferie, Communisme, Conte, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragon, Dualité, Égrégore, Égypte, Esprit, État, Étatisme, Europe, Famille, Génocide, Histoire, Humain, Illusion, Image, Inquisition, Instant, Islam, Jardin, Judaïsme, Labyrinthe, Laïcité, Légende, Libéralisme, Liberté, Lucifer, Lumière, Manipulation, Matrice, Médecine, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Oligarchie, Opinion, Or, Ovni, Païen, Paix, Ptah, Paysan, Père, Peur, Philosophie, Pierre, Politique, Porte, Pouvoir, Prisons, Raison, Religions, République, Révolution, Royauté, Russie, Sagesse, Saint, Satan, Science, Sécurité, Serpent, Sexe, Silence, Spirale, Stargate, Tao, Télépathie, Temps, Ténèbres, Terreur, Terriens, Tradition, Transformation, Transhumanisme, Tyrannie, Vide, Volonté, Yokaï

 
serres_laeken.jpg
 
 
Pleasantry 3
Suite dans ce monde moderne dans
le Super Grégarisme ou Matrice :
la lumière de la conscience ou
inconscient collectif,
soit L’ILLUSION
la PLEASANTRY
la FUMISTERIE.
 
 
Début de Pleasantry 1
Pleasantry 2
Pleasantry 4
Pleasantry 5
Pleasantry 6
Pleasantry 7

Suite d’un projet de long métrage où il est question du ‘je’ ou « Jeu » (le masque de la per-sonne) ; ce Jeu ou Pleasantry étant l’inversion du IL (de la non-dualité) ou du L (EL ou AL le Divin). Ne pas confondre le Jeu, Pleasantry, avec le Ieu Divin (d’I-venu) : Dieu ou D’I-EU comme le sanskrit Lila (Le I est là… ).

En précédente partie, Vladimir Oblakoff, Marilyn Guérram et Christophe Biello après avoir été prisonniers une nuit d’une sanisette sont délivrés par un employé du nettoyage.

Dans l’entreprise où travaille Vladimir à San Francisco. Dans le couloir Vladimir attend l’ascenseur. Un autre employé est à côté. Ils entrent tous les 2 dans la cabine, et Vladimir voit des chiffres bizarres s’afficher sur le cadran de l’ascenseur.
- VLADIMIR (à son voisin) : L’ascenseur est encore détraqué, quelqu’un a changé l’affichage ?
- L’AUTRE EMPLOYÉ : Non, ça marche, regardez on est au 10e, c’est là que je descends ; bonne journée !
Vladimir descend au 15è. mais le panneau d’affichage indique une lettre Phénicienne ! De retour dans son coin bureau, Vladimir commence son boulot installé devant l’ordinateur qui lui sert d’outil moderne.
Au bout d’un instant Vladimir est pris de vomissements en regardant l’écran, qui à pourtant l’air d’afficher sa routine habituelle. Il sort pour se diriger vers les toilettes. Ses voisins de bureaux ont les mêmes symptômes et une queue commence à se former devant les toilettes !
 
Dans les toilettes de l’entreprise Vladimir se mouille la figure penché devant un lavabo. Quand il se relève, c’est pour voir un des sbires de Seka, et celui-ci est armé !
Le séjour d’une maison individuelle de San Francisco. Christophe organise une party dans la location qu’il a acquise pour quelques mois. Il y a déjà 5 personnes (2 femmes, 3 hommes) dont Marilyn et Marc (un copain de Christophe). Christophe présente son copain :
- CHRISTOPHE : Marilyn, Marc Remej, mon vieux copain du Canada.
Puis il les laisse tous les deux.
- MARC : Enchanté.
- MARILYN : Moi de même.
- MARC : Je suis bibliophile et au lieu de faire du sport, je m’enferme dans les bibliothèques. Je possède un ancien livre sur la magie, est ce que cela vous intéresserait de le consulter ?
MARILYN : C’est gentil à vous. La magie actuelle pour moi c’est du charlatanisme, mais chez les peuples anciens ça devait être différent.

Christophe arrive un peu inquiet et regarde sa montre.
- CHRISTOPHE : Comment se fait-il que Vladimir ne soit toujours pas là, ses ordinateurs l’ont avalé ?!
Il rigole puis reprend :
- CHRISTOPHE : Je vous demande votre attention, j’ai une question à vous posez. Quelle est la profondeur de la Terre ?
Les gens se regardent entre eux inquiet, et ne semblent pas connaître la réponse.
- CHRISTOPHE : Réponse : j’avais un aïeul, il est mort il y a maintenant 60 ans, on l’a mis en terre, et bien, il n’est pas encore revenu ; il faut donc croire qu’elle est profonde !
Et il éclate de rire ; pris au jeu Marc renchérit :
- MARC : J’en ai dégoté de biens bonnes moi aussi. Où sera tout le monde dimanche à midi ?
- UN INVITÉ : Mais entre samedi et lundi.
- MARC : Non, entre les 2 semaines.
Cela fait rire uniquement Christophe.
- MARC : Attendez, et celle-là : pourquoi les oiseaux ne peuvent-ils pas écrire ?
- MARILYN : Non je ne vois pas.
Et les autres invités s’interrogent ?
- MARC : Parce Qu’ils ont trop de plumes, ils ne savent laquelle prendre !
Tout le monde rigole. Marc continue.
- MARC : Pourquoi est-ce qu’on met plutôt un coq sur le clocher qu’une poule ?
(La réponse compréhensible sera donnée par Marc par la suite !).
Personne ne connaît la réponse.

- MARC : PAQUI SE VA ON DVA, IL FOLLOW ME. KTO DVA.
Et Christophe répond :
- CHRISTOPHE : JET NOU COMPENDES PU NIER (je ni comprends plus rien !).
- MARILYN : QU’O SI PASKVO ? (qu’est ce qu’il se passe ?).
Christophe s’approche de l’oreille de Marilyn et lui glisse :
- CHRISTOPHE : KAC PAGI VA ATLANTE ! (c’est un coup des Atlantes).
Et Christophe essaye par la suite de « parler par gestes » :
- CHRISTOPHE : DU CLAM PLARON RAP GTESE (du calme parlons par gestes).
Et les 6 personnes se dirigent dehors pour aller voir les voisins de Christophe.

Suite sur la page Pleasantry

Reprise de la suite dans le mélange des langues.
Dans une rue de San Francisco 10 personnes suivent l’asiatique brandissant son boulier. Christophe, Marc et Marilyn suivent le cortège eux aussi.
Ils arrivent en vue d’un quartier où il y a beaucoup de magasins asiatiques.
Une file d’une quinzaine de personnes attendent devant l’un de ces magasins.
Plusieurs personnes ressortent avec des sacs, certains ouvrent leur sac et examinent leur boulier, ils sont satisfaits de leur achat. L’asiatique laisse Marilyn, Christophe et ses collègues de travail dans la file d’attente et il s’en va.
- MARILYN : Et Vladimir ?
Christophe hausse les épaules pour exprimer qu’il ne sait pas ce qu’il est devenu.
Malheureusement au bout d’un moment un des vendeurs du magasin sort sur le trottoir, et s’adresse à la file d’attente :
- VENDEUR : CLOSE, FINISH, VACUM, VIDE, KONIETS.
La file d’attente se rompt dans un charabias de personnes en colères de ne pas avoir été servit.
- FOULE : KAK TI PIPI… KAK TU CACA… DÈ STRON DCHET… DÈ STRON DCHET… NOU COMPENDES… DU CLAM… DU CLAM.
Marc propose d’aller à l’une des bibliothèques de San Francisco, comme de toute façon personne n’arrive à se comprendre.
- MARC : VIENI, ZDIESSE LIBRARY.
Il fait signe de venir.

Éclairage naturel dans une salle hypostyle d’un temple de l’Égypte ancienne. Sur des piliers sont gravés des hiéroglyphes, des alphabets phénicien, et sont sculptées des têtes de femmes. Seka est devant son grenat coincé entre 2 éclateurs de pierre et se met à rire à en pleurer !
Puis il se frotte les mains, et a sur le visage un aspect des plus inquiétants.

De jour dans une prison de San Francisco. La caméra parcours un couloir vide vers une cellule, dans laquelle se trouve Vladimir. Il a une barbe de 3 jours ! Il est assis et a l’air sombre. Puis rapidement il se lève, se met à tourner en rond, et au bout d’un moment, rageusement donne un coup de pied dans la grille de la porte qui s’entrouvre en grinçant !
Étonné, Vladimir pousse la grille, il ne comprend pas. Il ne voit personne dans le couloir et se décide de voir ce qu’il se passe.
Cette partie de la prison semble vide. Vladimir en profite pour sortir et est éblouit par la lumière solaire.

Rue de San Francisco. Vladimir erre parmi les gens hagards dans un silence étrange. Plus personnes n’osent parler ! Vladimir croise un passant qui tousse, et cela lui donne l’idée d’accélérer le pas en direction d’une pharmacie. Il se retrouve devant la pharmacie et herboristerie dont la devanture possède ce miroir convexe. Il repense à To-Tjenen. Le petit miroir attaché au poteau en face n’est plus là. Il se dirige alors vers un magasin où l’on trouve de tout.
Vladimir se présente devant la caissière avec une dizaine de petits miroirs à la main.
- CAISSIÈRE : KAK YOU MADE WITH THIS ZERKALA ? (Qu’est ce que vous allez faire de ces miroirs ?).
Elle comptabilise la somme sur son boulier. Vladimir paie et s’en va, mais fait brusquement un bond de côté pour se cacher derrière une colonne, car le sbire de Seka avec son oreillette, celui que Vladimir a croisé dans les toilettes, se pointe dans l’entrée du magasin. Vladimir contourne la colonne de manière à ne pas être vu et se sauve dehors.

SÉQUENCE 7.
De jour, rue de San Francisco. Vladimir court dans la rue et un petit moment après se fait aborder par un type en face de lui, qui l’attrape fermement par le bras.
- LE TYPE : Les mauvais Atlantes vous connaissez ?
- VLADIMIR (surpris) : Tiens, vous parlez correctement. (Il s’étonne encore plus). Et moi aussi, je parle nor-ma-le-ment.
Le type le tire par le bras vers une voiture.
- LE TYPE : Venez vite ils arrivent.
Car arrive au loin l’un des sbires de Seka. Ils montent tous les deux à l’arrière de la voiture et le chauffeur démarre en trombe.

Dans la voiture. Le chauffeur est une femme avec des cheveux épais et mal coiffés. Elle porte des lunettes vertes. Aucune voiture ne les suit.
- CHAUFFEUR (femme avec une voix grave) : C’est bien d’avoir acheté tous ces miroirs, je n’en avais plus !
- VLADIMIR : Vous aussi vous arrivez à parler. Et comment vous savez que j’ai acheté des miroirs ?!
- CHAUFFEUR : Voyons Vladimir, tu ne m’as pas reconnu ?
- VLADIMIR : Vous Monsieur To-Tjenen ? Mais je vous ai vu réduit en tas de cendres.
- TO-TJENEN : Allons Vladimir, tu sais bien que moi aussi je joue avec la Matière, alors la mienne, c’est un jeu d’enfant. Et comme toi, je me mets en colère quelquefois, et alors là plus rien ne marche ! C’est ce qu’il s’est passé sur la plage. En achetant ces miroirs, tu avais bien ta petite idée ?
- VLADIMIR : Oui, je voulais retourner sur cette plage.
- TO-TJENEN : Tu vois, je t’es écouté, j’ai un nouveau corps, et le même visage.
Il se retourne tout en conduisant d’une main et de l’autre enlève sa perruque et ses lunettes ! Un instant après, la voiture arrive devant une grande serre un peu ancienne.
- TO-TJENEN : Nous sommes arrivé.

Devant une ancienne serre comme celle de la photo en haut de page, et comparable à la Grande Serre du Jardin des Plantes à Paris. To-Tjenen, Vladimir et l’autre personne descendent et entrent dans la serre.
- VLADIMIR : Pourquoi vous m’avez conduit ici ?
To-Tjenen de sa main invite Vladimir à entrer.
À l’intérieur il y a encore pas mal de plantes plus ou moins exotiques, des ficus, des cactées, quelques orangés, des oliviers.
Au milieu d’un grand espace circulaire recouvert de sable, se trouve un long bâton posé sur socle de bois sculpté.
- TO-TJENEN : Ici nous sommes protégés par le verre et les nombreux croisements de l’armature de fer. Seka et Quesen ne peuvent nous voir que d’une manière brouillée. (Il montre le bâton à Vladimir). Voilà ton bâton-ouser, ou bâton des patriarches, ou bâton de puissance. Tu dois apprendre à t’en servir contre Seka et les autres Atlantes.

To-Tjenen remet son bonnet de laine bleu clair sur sa tête.
- VLADIMIR : Pourquoi vous m’avez choisi ! Je n’y connais rien en arts martiaux ! Avec toi, il y a plein de surprises. En sortant de chez toi, on est resté toute une nuit coincé dans des toilettes.
- TO-TJENEN : Mais oui Vladimir, on est mal parti, et moi-même, je ne puis pas combattre seul contre les bâtons de puissance et la torche lumineuse de Seka. Deux contre quatre c’est déjà mieux ! Viens, je vais te montrer.
Et To-Tjenen s’incline devant le bâton, il le prend des 2 mains et le tend à Vladimir. Alors commence une sorte de ballet, un peu comique par moments à cause des petits pas de To-Tjenen, et à cause des colères ou des bouderies de Vladimir, et aussi de ses chutes, car To-Tjenen lui fait souvent des crocs en jambes pour lui apprendre à tomber.
De temps en temps des décharges électriques bleutées s’échappent de la canne et du bâton de To-Tjenen et de Vladimir. Cela crée des profonds sillons dans le sol de sable. A un moment donné Vladimir envoie une étincelle dans le haut de la serre, ce qui casse une vitre et cisaille un bout de ferraille.

À suivre… Si le temps le permet…


DISTRIBUTION (CAST) pour les séquences ci-dessus :

TO-TJENEN : Dieu chtonien primordial, assimilé ou uni à Ptah
VLADIMIR OBLAKOFF (nuage) : (40 ans) programmeur en informatique
MARILYN GUÉRRAM (géranium) : (30 ans) géologue
CHRISTOPHE BIELLO : (35 ans) météorologiste
SEKA (labour) : chef des mauvais Atlantes
MARC REMEJ (pleurer) : (40 ans) bibliophile
UN EMPLOYÉ
UN ASIATIQUE
CAISSIÈRE
UN TYPE
UN VENDEUR
UN INVITÉ
PLUSIEURS PERSONNES


À mort la physiocratie et autres ismes !

PHYSIOCRATIE : doctrine de certains économistes du siècle des perruques poudrées fondée sur l’opinion des « lois naturelles » (une opinion de plus ou possession de l’ego en accord avec la voie de l’Agriculture qui serait censée être opposée à celle du mercantilisme, alors que les deux voies sont unis comme le capitalisme et le socialisme). Et ça ne pouvait que donner ensuite l’hyper matérialisme commençant au 19è siècle, avec entre autre le behaviorisme.
Récupérer, profiter, ces mots/maux de possession avec l’ego. De nos jours ces récupérations-profits profitent à un nombre toujours plus petit dans le monde ; et ces mêmes Couilles en Or osent appeler leur dogme « démocratie » ; il n’y a pas de meilleur diviseur guerrier winner-loser ou terroriste-gentil que ce système. Cette division ne peut qu’être le fait de l’étatisme galopant depuis Clovis en France et la Rome de l’Empire.

La physiocratie s’inscrit dans les étapes de la vie mentale de l’humanité ayant rapport avec des découvertes importantes : métallurgie et feu, agriculture, mesure du temps qui coule, etc. À chaque fois l’être humain s’intégrait à UN NOUVEAU SUPER GRÉGARISME. Pour l’Agriculture les « lois » se trouvaient dans l’analogie de la Terre à la femme, à la pluie, à la fécondité, à la naissance et la mort. Temps et rythme végétal prenant grande importance. Tout cela modifia totalement la structure mentale de l’humanité : l’agriculteur connu des « réalités » inaccessibles au nomade, il découvrit des lois et des symboles alors qu’avant en tant que nomade il n’en avait aucune idée. La même modification se produisit avec la découverte de ce qu’on pouvait faire avec un métal ; métal considéré comme vivant.
La Chute essentielle arriva quand dès la Renaissance le Cosmos se retrouva assimilé à une vulgaire machine, une mécanique : L’Occident tomba dans une CONNAISSANCE AUSSI MORTE QUE SA MATIÈRE MORTE ET MÉCANISÉE. Ainsi une gigantesque quantité d’expériences devinrent inaccessibles et tout un symbolisme se fit hermétique.
À la Renaissance, l’humain tomba dans LA MALADIE (Mal-à-Dit, du Dit ou D.I.T déité) : INTRUSION DE FORCES NON CORRESPONDANTES, bref, parasitisme tout azimut. LA CORRESPONDANCE RÉGIE LE MONDE : EN HAUT COMME EN BAS, ET L’INVERSE. C’est pourquoi il ne peut pas exister de « laïcité », laquelle ne sera qu’une chose isolée, une religion de l’homme, avec ses « droits », donc la parfaite TYRANNIE DE L’OPINION. Une religion de l’homme et du senti-ment, possessions du mental, avec ses morales.



[Photo en haut de page : Serres royales de Laeken, photo de Jean-Pol GRANDMONT]
 
 

Dernière mise à jour : 07-06-2016 22:09

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >