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Objets Mystérieux Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-02-2011 00:39

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Dictature, Dieu, Église, Espace, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Monarchie, Mondialisme, Morale, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Science, Sexe, Supplices, Synarchie, Temps, Terreur, Tortures, Travail

 
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Objets Mystérieux

dont les assiettes volantes (Fly saucers)
 
 
 
« Pour Terence McKenna, une divulgation de la vérité entrainerait un immense chaos dans nos sociétés : « J’ai abordé cet aspect avec une des entités et elle m’a répondu : ‘Nous avons préféré que vous pensiez à une invasion aliène, parce que les populations seraient paniquées si nous leur laissions découvrir ce qui se passe vraiment !’ »
« Je dois aussi mentionner la possibilité que ces engins volants ne soient pas des vaisseaux mais des capsules temporelles. Dans ce cas nous serions probablement fascinés de contempler nos très lointains descendants, venus nous porter le message d’un évènement majeur. »
(Source et lire la suite)

Il est possible que dans 1000 ans ou plus, l’être humain devienne pur esprit ou forme très éthérée, et revienne facilement à notre époque ; et que ceux des actuels humains qui pratiquent une concentration ou méditation particulière parviennent à voir : « nous dans le futur ».
Comme tout est cyclique, nous serions pur esprit avant la ou les chutes du « Paradis » dans un autre univers (avant celui que nous croyons connaître). Puis pour quelques problèmes, nous nous matérialisons à nouveau, puis nous retournons à un état éthérique ; et ainsi de suite...
 
 
OBJETS

Question : Comment peut-on connaître et réaliser le Soi ?
Maharshi : Dépassez le plan présent de la relativité. Un être séparé (le Soi) paraît connaître quelque chose (le non-Soi) qui est distinct de lui-même. Autrement dit, le sujet est conscient de l’objet. Le sujet percevant est dénommé drik, l’objet perçu drishya.
Entre les deux éléments doit exister un lien fondamental qui se manifeste comme « ego ». Cet ego est de la nature de chit (conscience). L’achit (l’objet non conscient) n’est que la génération de chit.
Par conséquent, l’essence fondamentale est apparentée au sujet et non à l’objet. En cherchant le drik, jusqu’à ce que tout drishya disparaisse, le drik deviendra de plus en plus subtile jusqu’à ce que seul le drik absolu subsiste. Ce processus est appelé drishya-vilaya (la disparition du monde objectif).
Question : Pourquoi les objets (drishya) doivent-ils être éliminés ? La Vérité ne peut-elle être réalisée en laissant les objets tels qu’ils sont ?
Maharshi : Non. L’élimination de drishya signifie l’élimination des identités séparées du dujet et de l’objet. L’objet est irréel. Tout drishya, y compris l’ego, constitue l’objet. Lorsqu’on élimine l’irréel, la Réalité subsiste. Quand une corde est prise par erreur pour un serpent, il suffit de détruire la fausse perception du serpent pour que se révèle la vérité. Sans élimination des fausses perceptions, la vérité n’apparaît pas.
Question : Mais quand et comment la disparition du monde objectif (dirshya-vilaya) peut-elle être effectuée ? Maharshi : Elle est accomplie lorsque le sujet relatif, c’est-à-dire le mental, est éliminé. Le mental est le créateur du sujet et de l’objet et la cause de la conception dualiste. C’est donc lui qui provoque la fausse notion d’un soi limité et de toute la souffrance qui en découle.

Question : Qu’est-ce que le mental ?
Maharshi : Le mental est l’une des formes sous lesquelles la vie se manifeste. Un morceau de bois ou une machine compliquée ne sont pas appelés mental. La force vitale se manifeste comme activité de vie et également comme phénomène conscient, nommé mental.
Question : Quelle est la relation entre le mental et l’objet ? Est-ce que le mental entre en contact avec quelque chose distinct de lui-même, c’est-à-dire le monde ?
Maharshi : Le monde est appréhendé par les sens dans les états de veille et de rêve ; il est l’objet de perceptions et de pensées, les deux étant des activités mentales. Si l’activité mentale du rêve et de l’état de veille n’existait pas, il n’y aurait pas de perception du monde ni la conclusion qu’il existe bien. Dans le sommeil profond, cette activité est absente ; donc les objets et le monde n’existent pas pour nous dans cet état. En conséquence, la « réalité du monde » ne peut être créée que par l’ego, par son émergence du sommeil ; et cette réalité est engloutie ou disparaît lorsque l’âme reprend sa propre nature dans le sommeil profond. L’apparition et la disparition du monde sont comparable à l’araignée qui tisse sa toile et  puis la résorbe. Dans cet exemple, l’araignée est sous-jacente aux trois états, ceux de veille, de rêve et de sommeil profond. Une telle araignée en l’homme est  appelée âtman (le Soi), tandis que la même en rapport avec le monde (considéré comme issu du Soleil) est appelée brahman (l’Esprit suprême). « Celui qui est dans l’homme est le même que Celui qui est dans le Soleil (C’est le même [être] qui, ici-bas, est dans l’homme et qui, là-haut, est dans le soleil).

Tant que le Soi ou l’Esprit suprême est non manifesté et sans activité, il n’y a pas de couples d’opposés, comme par exemple sujet et objet ou drik et drishya. Si l’on pousse la recherche jusqu’à la cause ultime de la manifestation du mental, l’on s’apercevra que le mental n’est pas autre chose que la manifestation de la Réalité qui est appelée âtman ou brahman.
Le mental est nommé sûkshma-sharîra ou « corps des pensées », et le jîva [être vivant], c’est l’âme individuelle. Le jîva est l’essence qui permet la croissance de l’individualité. On l’appel encore personnalité. La pensée, ou le mental, est considérée comme une phrase ou une des formes dans lesquelles le jîva se manifeste, la phase antérieure de cette manifestation étant la vie végétative. le mental se manifeste toujours en rapport avec - ou agissant sur - quelque chose qui est non mental ou matière ; il ne se manifeste jamais seul. Par conséquent, mental et matière coexistent.
(Extrait de l’enseignement 25 de Ramana Maharshi, 4 février 1935)


Question : Le Ribhu-gîtâ parle de l’irréalité des objets, en ajoutant finalement qu’ils sont tous le brahman et qu’ainsi ils sont tous réels.
Maharshi : C’est bien cela. Quand vous voyez les objets comme étant multiples ils sont asat, c’est-à-dire irréels. Mais quand vous les voyez comme étant le brahman, alors ils sont réels, parc e qu’ils détiennent leur réalité de leur substrat, le brahman.
Question : Pourquoi alors est-il mentionné dans l’Upadesha-sâram que le corps, les sens, etc. sont jada, c’est-à-dire non conscients ?
Maharshi : Cela est valable si on considère que le corps, les sens, etc. sont séparés du Soi. Mais une fois le Soi trouvé, on se rend compte que ce corps, ces sens, etc. sont tous en Lui. A ce stade, personne ne posera plus la question et personne ne dira qu’ils sont jada [inanimé].
Question : On dit que viveka [discrimination] est la discrimination entre le Soi et le non-Soi.  Qu’est-ce que le non-Soi ?
Maharshi : En fait, il n’y a pas de non-Soi. Le non-Soi se trouve dans le Soi [le Centrum Centri]. C’est le Soi qui parle du non-Soi, parce qu’il s’est oublié lui-même [la Source se coupe d’elle-même]. S’étant oublié, il conçoit les objets comme étant le non-Soi, lequel n’est en fait rien d’autre que lui-même.
(Extrait de l’enseignement 310, du 1er janvier 1937)

« Le monde du rêve n’a pas d’existence objective. Comment, alors, est-il crée ? On doit supposer l’existence d’impressions mentales, appelées vâsanâ [latence du mental]. Comment ces vâsanâ se trouvent-elles dans le mental ? Parce qu’elle sont subtiles. De même que l’arbre est contenu, à l’état potentiel, dans la graine, ainsi le monde est contenu dans le mental.
...
Laissez-moi trouver ‘moi-même’ de manière à ce que je connaisse la relation entre le monde et celui qui voit. Mais quand je cherche le Soi et demeure comme le Soi, il n’y a plus de monde à voir. Quelle est alors la Réalité ? Seul celui qui voit est réel, et certainement pas le monde.
Ceci est la vérité, l’homme n’en continue pas moins de discuter en se basant sur la réalité du monde. Qui donc lui a demandé de plaider la cause du monde ? »
(Extrait de l’enseignement 442, du 8 janvier 1938, sur une explication des stances d’un hymne composé par Ramana Maharshi)

Maharshi : Un personnage apparaît sur un écran de cinéma observant le monde entier. Quelle est la réalité du sujet et de l’objet dans le même film ? Un être illusoire observe un monde illusoire.
Question : Pourtant, je suis le témoin du film.
Maharshi : Vous l’êtes, bien entendu. Vous et le monde êtes aussi réels que le personnage du film et le monde du film.
(Fin de l’enseignement 443, du 8 janvier 1938)

« L’Univers n’est qu’un objet créé par le mental et qui a son existence dans le mental. Il ne peut être mesuré comme le serait une entité extérieure. Il faut atteindre le Soi, pour atteindre l’Univers.
...
Un mental sans pensée est comparable à deux miroirs clairs, l’un en face de l’autre, n’échangeant entre eux aucun reflet ». [Ce qui peut correspondre au Point Focal, mais aussi au trou noir et au trou de ver]. (D’après l’enseignement 485, du 30 avril 1938)
 
 

Dernière mise à jour : 22-02-2011 01:11

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