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Le Pont d’Avignon Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 03-12-2023 10:05

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Pont, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
pont_avignon460.jpg
 
 
Le Pont d’Avignon
ou état de veille :
la PERTE, l’INITIATION, car
PONT = PASSAGE, GATE GATE
DE LA TERRE AU CIEL (1).
PONT = Svetashvatara Upanishad 6, 20 :
« Seulement lorsque les hommes seront capables
d’enrouler le Ciel comme un parchemin,
verra-t-on alors la fin de leurs misères sans
qu’ils aient besoin de réaliser la Divinité ».


Page dédiée à l’EMPEREUR JULIEN (salopé par les Chrétiens qui l’appelèrent ”Julien l’apostat”, parce qu’il RENONÇAIT au dogme-opinion judéo-chrétien déjà du politisme, du moralisme, et du socialisme-république qui vendra aussi sa « morale », ses « valeurs » (4)).
 
 
Le voyage initiatique dans des sociétés secrètes
chinoises se fait sur le passage d’un pont :
il fait passer le pont (ou le Gate gate synonyme
d’Éveil), soit un PO(I)NT D’OR (en Chine) figuré
par une BANDE D’ÉTOFFE BLANCHE figurant le BLANC
DE L’INSTANT, soit le ’pont de fer/cuivre’ en
souvenir de l’Alchimie tout aussi et plus hautement
initiatrice (cuivre = rouge/feu, fer = noir/eau [prim]

Gate gate, Pont et Arc-en-Ciel sont le même THÈME.
(ARC-EN-CIEL = LE PONT VERTICAL)

LE PONT, LE FLÉAU (entre les deux plateaux
de la Balance…).
FLÉAU, parce que trop de traditions donnent
au Point, au FLÉAU donc, un sens politique,
moraliste, rituel (surtout chez les judéo-maçons),
spéculatifs et religieux.
PONT COMME SEUIL ONT UN DRAGON-GARDIEN !…
Dompter le Dragon = CHOISIR, PUTRÉFACTION,
RENONCEMENT ou NUIT OBSCURE.
Ce choix le sauve, ou le damne, c’est-à-dire que
l’Enfer ou le Paradis, on se le fabrique avec
une aisance incroyable, telle une
énergie comme :


Rudra ou l’objet sacré quel qu’il soit est investi d’une force prodigieuse, tel le mana des Polynésiens. Autant icelle peut être bénéfique dans son versant Divin, autant et proportionnellement elle peut d’une seconde à l’autre devenir mortelle, CORRESPONDANT À L’AMBIVALENCE FONDAMENTALE DE LA NATURE HUMAINE, À L’ORIGINE DE LA CONSCIENCE DE L’HUMAIN ÉMERGEANT DE L’INCONSCIENT ANIMAL DANS LE SPATIO-TEMPOREL DE L’HOMO RELIGIOSUS…

En fait sur ce Pont (d’Avignon), il convient DE RÉFRÉNER LES PENSÉES qui pareilles à la musique de la danse construisent et le Pont, et le mental foyer individuel intellectuel : le ‘Je’ et le ‘je’. Les pensées (samskâra, tendance innée, impressions ; vâsâna : impression, passion formées dans le passé qui détermine nos pensées et actions) sont comme la musique jouée sur le Pont, elles se précipitent dans le mental de tous les danseurs, et personnes n’y fait attention.
Un diction se propage sur le Pont : « Telle pensée, telle destinée », donc « Deviens ce que tu es ! », c’est-à-dire que tu fais en croyant être ce que tu t’imagines être. Souvent on entend alors : « Mais que vais-je devenir ? ». L’Inde et Ramana Maharshi pourraient répondre : « Dieu, si tu contemples Dieu, corps ou poussière si tu contemple le corps ». Le Yoga Vasistha à YV IV 11, 30-31, dit : « Dans l’océan une petite vague qui, de pas sa nature, pense : ”Je suis petite”, se réduit à cette dimension, tandis qu’une longue vague qui, de par sa nature, pense : ”Je suis longue”, se destine à l’être ». Alors celui qui pense être de nature infinie élargit son âme jusqu’à l’immensité.
« Le jugement erroné qui a vu le jour affirmant que ”Je suis fini et misérable” est à dissiper par la conviction (positive) que ”JE suis infini et doué de suprématie” » (YV IV 35, 38. Forme de QUI SUIS-JE ? transformée en puissance créatrice du Centrum Centri qui confère à l’humain sa base ontologique. Voir la Bhagavad-Gîtâ chapitre XVII, Verset 3 : « Le foi de tout homme prend la forme que lui donne la substance de son être, ô Bhârata. Ce purusha [l’homme, l’Être], cette âme en l’homme, est, peut-on dire, fait de foi et volonté et quelles que soient en lui cette volonté, cette foi ou cette croyance fondamentale, il est cela, et cela est lui ».

Ainsi l’être humain est plutôt le fils de son imagination avant que d’être le fils de ses œuvres. L’imagination qui construit et forge l’humain mentalement dans ce qu’il a de plus intime et qui sera sa prochaine personnalité, ce qui constitue le véritable principe d’individuation ou Moi-Individuel. À LA VÉRITÉ : NUL N’ÉCHAPPE À L’INCOMMENSURABLE CRÉATIVITÉ DE L’IMAGERIE MENTALE AVEC L’ÉMOTION QUI LA SOUS-TEND.

Ici en Occident il n’est pas bon de rêver et de délirer, ça conduit immanquablement en hôpital psychiatrique, alors qu’en Inde les expériences visionnaires sont accueillies comme autant d’événements vécus par l’âme.
RAPPEL : Il n’existe pas de distinction entre expérience visionnaire et « hallucination » (qui sera prise en Occident pour une « pathologie » genre « bouffée délirante », schizophrénie…). La différence entre les deux sera d’ordre culturel. Hallucination = imagerie visuelle, auditive vécue par un sujet qui n’en reconnaît pas le caractère illusoire, alors que dans les communautés traditionnelle, la même imagerie, si tout de même elle est conforme aux codes de croyances spirituelles en vigueur, sera tenue pour objective ou positive. De la même manière il est impossible de distinguer un « état psychique » d’un « état spirituel », car il est impossible de déterminer où finirait l’un et où commencerait l’autre, même à coups de béhaviorisme… (Rejoint le domaine de l’histoire et de la ”dialectique” (2)).

LA MORT : de l’autre côté du pont, avant ou après peu importe ; tout se passe comme un RÉVEIL DONT PARTICIPE LE RÊVE : « Même la mort n’est pas différente du rêve (qui se poursuit dans le principe de conscience même après la mort), attendu que l’intellect ne saurait périr en dépit d’une certaine de morts du corps, car qui a jamais entendu parler de la mort de l’âme de quiconque ? » (YV VIb 137, 39).

On danse, on reste sur le Pont d’Avignon parce qu’on a peur de cet Ailleurs ; on a peur de l’invisibilité du avant et du après le Pont, là où personne ne passe un pont pour la bonne raison qu’il n’a plus besoin de Pontife puisque l’ignorance n’existe pas, l’opinion n’a jamais existé, il n’existe que des Instant ! Voilà pourquoi entre autres nul ne revient sur le Pont depuis cet avant et cet après.
 
LE PONT : ENTRE SIONISME ET JUDAÏSME = LA PERTE DU NOM DIVIN, mais politisée, et nullement la perte ou l’oubli du Soi la Conscience infinie.

Dans ces millénaires du Néolithique de plus en plus matérialistes, l’oubli du Soi, l’oubli du Vrai Jehovah (3), donc l’oubli du Seigneur au sens d’Ibn’Arabi, et au sens du mot ADONAÏ (Mon Seigneur), le mot récent JEHOVAH utilise les consonnes J H V H et y intercale les voyelles du mot ADONAÏ. La tradition judaïque attend et nécessairement messianique attend L’ÈRE FUTURE où les conditions seront réunie pour re-trouver, ou rétablir, l’authentique SONORITÉ, ou PLUTÔT RAYONNEMENT, VIBRATION, du Soi, l’humain rejoignant ainsi LES EAUX PRIMORDIALES, ”DIEU”, DONT IL EST ISSU, et ainsi il se trouvera en présence du ZÉRO INDIEN, l’infini, le sans limite, pour JONGLER ou HARMONISER les forces latentes ou Zéro Indien qui est EN LUI, DANS SON Soi.

LE PROBLÈME EST QU’IL Y A BIEN DEUX JEHOVAH : le faux fait la partie du SIONISME : LA PERTE DU NOM DIVIN, soit le retour à l’origine de la tradition judaïque, après la « récréation » talmudique rabbinique !
L’ISRAËL DE CET APRÈS 1945 EST BIEN DANS LA TRADITION DE LA PERTE DU NOM DIVIN.
ISRAËL = LA RECONSTRUCTION DU TEMPLE ET ÉVIDEMMENT SA SPIRITUALISATION, au sens de la Réalisation du Soi ou de la ”Perfection divine” (un non sens, une dualité pur-impur) ; et TEMPLE au sens des CORRESPONDANCES ET RÉSEAUX (DE NEURONES), SOIT UNE COPIE DE A COSMOGONIE DES PYRAMIDES D’ÉGYPTE. C’est-à-dire que les Hébreux copièrent la symbolique des pyramides pour la transférer dans leur Temple (de Salomon). Transmission qui, selon un judéo-maçon spéculatif du 33è degré : C.W. Leadbeater, se poursuit dans « les loges secrètes de la Franc-Maçonnerie » (Rites Mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie p.114).

NOUS SOMMES BIEN DÉTRUIT PAR CETTE MAGIE QUI FONCTIONNE DEPUIS QUELQUE MILLÉNAIRE : LA MAGIE DU TEMPS QUI COULE, L’HISTOIRE, LA FICTION DONT LES HÉBREUX SONT LES MAÎTRES (voir de nos jours qui possède nombre de médias dans le monde et d’entreprises d’entertainment à Hollywood)
LE FAUX JEHOVAH EST UNE ENTREPRISE MAGICO-POLITIQUE DESTINÉ À DÉTRUIRE NOMBRE D’HUMAINS POUR LES REMPLACER PAR…. COMME EN CE MOMENT ISRAËL CHERCHE À REMPLACER LES PALESTINIENS PAR… ET DANS LE MONDE REMPLACER LES HUMAINS ENCORE NATURELS PAR DES HUMAINS PROGRAMMÉS, TRANSHUMANISTÉS PAR LES GOOGLE ET LEURS INDUSTRIES DU CAPITAL.

Le sionisme est une entreprise, L’AVANT TEMPLE OU SON VESTIBULE (prostyle) MAGICO-POLITIQUE ET BIEN-SÛR MILITAIRE. L’Ancien Testament de même que les « Commandements » qui donneront les « droits de l’homme » sont des MANUELS POLITICO-MILITAIRE.
Et, QUAND UNE MAGIE PARLE, TOUTES LES MAGIES PARLENT, ET QUAND UNE SE TAIT, TOUTES SE TAISENT, D’AUTANT PLUS SI ELLES SONT TRÈS ANCIENNES TELLES LES DEUX MAGIES :
- La reconstruction du Temple.
- La Perte du Nom Divin.

Deux Jéhovah :
- Celui des AUTHENTIQUES GATE GATE ou AUTHENTIQUES ÉVEILLÉS, qu’avait entrevue L’EMPEREUR JULIEN, surtout à travers sa définition de la symbolique du MOIS DE DÉCEMBRE, et Nous y sommes à l’écriture de cette page : le mois consacré à Apollon était Décembre, que les Grecs appelaient ”Dios” ; et le  nom Apollon veut dire CLOTURE DU JOUR, tel Décembre clôturant un cycle.
Mois de décembre ont certains en ont fait le MOIS DE LA NAISSANCE DU CHRIST-JÉSUS ET DEPUIS QUELQUE TEMPS LE MOIS DU COMMERCE DES CADEAUX DE FIN D’ANNÉE…

Chez Homère, Apollon-Phœbus est un DIEU DOUBLE, comme JEHOVAH-ÉLOHIM de l’Ancien Testament. Pris ensemble, ILS RESSEMBLENT au Soi, mais des humains vont en faire de l’UTILITARISME, tels que les cadeaux de Noël, et l’un des Dieux va METTRE EN VALEUR LE TEMPS : PASSÉ, ET FUTUR (en oubliant l’Instant, qui de toute façon est INSAISISSABLE, IL EST LE FLÉAU, LE SOLEA DE JULIEN, voir plus bas et la note 4).
L’Instant, le Centre qui est partout EST INSAISISSABLE, d’où aussi ce nom de FLÉAU. Élohim veut dire ”Puissance du Jour”. IL « PEUT » CORRESPONDRE À L’HONNEUR-SYMBOLE DU SOLEIL, LE JAUNE, xanthos, ET AINSI TOMBER DANS CE QUI DEVIENDRA L’A-DORATION DU SOLEIL, LA THERMODYNAMIQUE ACTUELLE AVEC LA DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE ET SA DOMESTICATION QUI DONNERA LA MÉTALLURGIE, LES MONNAIES, LES ARMES, BOMBES ET GUERRES.
Le mot JEHOVAH se compose du verbe Être, et Vivre (une ressemblance à SPIRITUEL-TEMPOREL), en hébreu : Éheiéh (il vivra) et havah (il a vécu). Quand au point de jonction entre les deux PLATEAUX (de la Balance), IL EST LE FLÉAU, INSAISISSABLE, CAR SOUS-ENTENDU, TEL QUE QUE L’AVAIT COMPRIS L’EMPEREUR JULIEN DANS SON ÉPIGRAPHE AU SOLEIL (4), ou ”Discours en l’Honneur du Soleil-Roi adressé à Salluste” ou Soleil le Dieu unique, et déjà présence du MONOTHÉISME UNIVERSEL, le UN : « La Grandeur de Celui qui est invisible », écrit Julien.
(Solea : Il est établi qu’Apollon jouit d’une triple puissance, « Soleil » dans le monde supérieur, « Liber » pater sur terre, « Apollon » dans le monde inférieur ». La Trinité universelle).
IL Y A DONC UN PARASITISME QUI S’EST PRODUIT DANS LE MOT JEHOVAH : « L’IDENTITÉ DE DIEU » OU SON NOM PERDU, CAR COPMME LA CARTE DE L’EMPIRE SE CONFOND AVEC L’EMPIRE, LE NOM OU IDENTITÉ DE DIEU SE CONFOND AVEC « L’ENTITÉ DIEU », SUPER TAUTOLOGIE OBLIGE !

JEHOVAH, TOUT SYMBOLE EST DOUBLE, JAMAIS FIXE (tels LES Univers en Cycle….), TEL SHIVA en fonction de dissolution et destruction et de transformation. Le prostyle du Temple que constitue le sionisme l’après 1948 tente de jouer mondialement ce rôle de transformation (voir plus bas le résumé).

- Celui du matérialisme biblique et militaire appelé « Ancien Testament ». Dans le mythe du Buisson ardent, C’EST LE FAUX JEHOVAH qui ”parle” à Moïse, donc la FLAMME : « Je serai Celui qui sera » ; IL Y A ALORS LE CONCEPT DE MISE EN VALEUR DU TEMPS : « Je serais » (Éheiéh ashèr Eheiéh), et non « Je suis ». L’Instant ne peut exister dans les langues originelles, car comme disaient les Anciens Chinois de l’école du Dhyana (chan, méditation, contemplation) : « Dès que l’encre est sèche [langage écrit, établissement de lois, de concepts ou d’organisation, d’administration], nos formules sont fausses », parce que le temps qui coule détruisait l’Instant, TOUT, PAN.
L’Instant, le Centre qui est partout EST INSAISISSABLE ; LE CHRIST QUI EST PARTOUT EST INSAISISSABLE. LE « OINT », OU FROTTÉ D’HUILE (comme l'étaient les Initiés), A PASSÉ LE PONT, IL N’EST SOUMIS À PERSONNE, IL EST APPELÉ « CHRIST », TELLE QUE LA DÉFINITION : « LE ROYAUME DES CIEUX EST EN VOUS », GRATUIT OU SANS CONDITION ET POUR TOUS.

EN RÉSUMÉ : les Juifs sionistes actuels AVEC LEUR ISRAËL rêvent d’imiter les Anciens Égyptiens : édifier leur « temple du roi Salomon » à l’imitation de la Grande Pyramide et de son Sphinx (un peu une mouture latente d’I.A.), soit COMME LE TRANSHUMANISME : RE-PRODUIRE DES PROCESSUS DE CONSTRUCTION À L’ŒUVRE DANS LA NATURE (5). VOILÀ LA SIGNIFICATION DE « TEMPLE » ET DE « PYRAMIDE », ET LE SIONISME N’EN EST QUE LE PROSTYLE, LE VESTIBULE : ILS SONT DES ATHANOR ALCHIMIQUE, pas de s car correspond au Soi, à l’Unité, au Christ. Évidemment tel que c’est parti avec le sens de la POSSESSION OU DE L’IDENTIFICATION ACTUELLE, C’EST LE TOTALITARISME ASSURÉ QUI SE MET EN CONSTRUCTION PLUS QUE JAMAIS AUPARAVANT dans l’histoire humaine : TOTALITARISME TELLE LA MARCHE DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN, avec ses transitions ceci, transitions cela…. de leur ”civilisation“ en transition vers le totalitarisme.
Le mot MAGIQUE TRANSITION fait la partie du PROSTYLE SIONISTE, LA FAÇADE ANTÉRIEURE DU TEMPLE, TEMPLE AU SENS DE PYRAMIDES CONSTRUITES IL Y A TRÈS LONGTEMPS UN PEU PARTOUT SUR LA PLANÈTE : RE-FABRIQUER LE PANPSYCHISME (6) SI ÉVIDENT DANS LES CONSTRUCTIONS PARASYSMIQUES CYCLOPÉENNES, ET AVEC LA TECHNOLOGIE DU CAPITAL, CELA DEVIENDRA UN PARFAIT TOTALITARISME : D’O-MINER = PANPSYCHISME TRANSHUMANISTE NUMÉRISÉ….

GAZA est ce PONT, cet ARC-EN CIEL que l’entité sioniste veut détruire pour établir son TEMPLE. GAZA EST COMPARABLE AUX CANANÉENS QUI FURENT ENVAHIS PAR LES HÉBREUX QUI DÉCLENCHÈRENT LA GUERRE CONTRE LES PAÏENS (sous prétexte d’idolâtrie de la part des Païens et de leur culte à la Mère Divine, le Matriarcat, que les Hébreux vont transmuter en Patriarcat). À CE HUI NOUS SOMMES RENDUS AU MÊME POINT !
 
Notes.
1. LA VRAIE CARACTÉRISTIQUE OU VRAIE COAGULATION NE VA PAS SANS SON CONTRAIRE : LE VOLATIL, LE GATE GATE, c’est-à-dire sur L’ABSENCE DE COAGULATION OU ABSENCE D’ADHÉSION, ABSENCE DE CONTRAT, ABSENCE D’IDENTIFICATION PUREMENT OPINION OU IMAGINAIRE À LA CARACTÉRISTIQUE FORCÉMENT DÉPENDANTE.

2. HISTOIRE : L’historien des événements politiques ou religieux, l’ethnologue, le sociologue, le psychologue, l’archéologue, ne sont pas des entités qui opèrent en dehors du temps qui coule dans le spatio-temporel. Ce ne sont que des humains engagés, d’une part, dans une situation « concrète », et d’autre part, dans une logique déterminée par la mode et opinion du moment, suivant une évolution (histoire), dont ils prétendent rendre compte. Ainsi cette « logique » n’est pas autonome, elle n’est pas un étalon, un dogme, mais une opinion, soit elle ne représente qu’une superstructure qui recouvre, dans le mental de l’observateur, tout une idéation caché, où des mythes nouveaux ont été substitués par la culture, par l’opinion de l’enseignement universitaire, associé à des opinions de mythes anciens !

L’histoire ou le mot-à-dire : en Occident la « pensée moderne » est une pensée CONDITIONNÉE, et plus que jamais avec l’Empire anglo-saxon et judéo-maçonnique spéculatif (née à Londres en 1717). En Occident, le mythe de la « raison » qui, lui-même, a été élaboré à partir d’éléments irrationnels multiples qui donneront des « évidences » sur lesquelles reposeront les « principes d’intelligibilité » (raison) que finalement, personne ne saurait expliquer ni définir de façon rationnelle.
Le mot Hébreux signifie en gros : HISTOIRE (les descendants d’Adam, puis d’Abraham qui était celui « désigné par Dieu ». Nous sommes bien l’Histoire où un « Dieu » intervient sans arrêt dans l’Histoire (à travers batailles, sièges, invasions, etc.). Ainsi les faits « historiques » deviennent des faits devant « Dieu » et en deviennent une valeur religieuse que rien avant ne pouvait assurer à ces croyants comme les Hébreux. Ce sont les Hébreux qui inventent l’Histoire comme épiphanie de Dieu… De cette façon ils renforcèrent leur ego !

HÉBREU : ”Qui parle avec Dieu”. Nous avons alors H (Homme), E (homme de terre ou d’argile), Br (parole, qui parle, E, de la terre), U (vers l’air ou vers le ciel), etc. « La Parole de Dieu c’est son écriture »… Ou « Dieu créa l’homme et l’homme créa Dieu… Mais en réalité ni Dieu ni l’homme n’ont été créés » (entretien 264 de R. Maharshi).

« Le domaine de l’histoire n’est pas le domaine des « faits » ni, encore moins, celui des « phénomènes ». Il est celui de la reconstitution de l’événement, d’une « re-composition » de ce qui a été « dé-composé » par le temps. L’histoire « re-créé » une durée intellectuelle, un enchaînement logique (raison) entre des moments abolis en tant que tels, elle « re-fait » les faits et les déforme d’autant. Il y a des faits proprement dits et scientifiquement observables dans la seule mesure où ces faits peuvent être reproduits dans les mêmes conditions. Le « fait religieux   et le « fait magique » n’existent pas en tant que « phénomènes observables » [POUR-VOIR] car, dans les sciences humaines, l’observateur est lui-même engagé dans le système qu’il observe et il y apporte tant d’éléments d’incertitudes que l’on ne saurait accorder quelque crédit à une méthode qui, prétendant décrire « objectivement » les faits historiques, prouve ainsi qu’elle méconnaît et la notion de fait et la notion d’objectivité ».
(En référence à René Alleau : Aspects de l’Alchimie Traditionnelle, qui donne une bonne définition du sens « moderne » de l’histoire).

Lien sur le mot Hébreu

3. FONDAMENTAL : « Le Soi est connu de chacun, mais pas clairement. Vous existez toujours. Le fait d’être est le Soi. « Je suis » est le nom de Dieu. De toutes les définitions de Dieu, nulle n’est mieux exprimée que celle de la Bible (Exode, 3) : « Je suis ce JE SUIS ». Il y a d’autres déclarations, telles que brahmaivâham, aham brahmâsmi et so ’ham. Mais aucune n’est aussi directe que le nom de Jehovah = JE SUIS. L’Être absolu est ce qui est. C’est le Soi. C’est Dieu. En connaissant le Soi, on connaît Dieu. En fait, Dieu n’est rien d’autre que le Soi ». (Ramana Maharshi, entretien 106 du 29-11-1935).

4. Le Soi est déjà présent chez Julien : « Ce n'est pas ce dont il s'agit au moment présent, où nous nous occupons d'abord de la philosophie, soit qu'on l'envisage comme l'art des arts, la science des sciences, ou comme le moyen d'approcher des dieux, le plus près possible, ou enfin, d'après l'oracle d'Apollon Pythien , comme la voie la plus sure, pour arriver à la connaissance de soi-même.
Car, il importe peu, à laquelle de ces dénominations on s'arrête, puisque toutes s'accordent à exprimer l'objet.
Nous commencerons, cependant, par celle qui nous vient de l'oracle divin : « Apprends à te connaître toi-même ». Car, quiconque se connaît lui-même, sait d'abord ce qu'est son âme, puis ce qu'est son corps.
Il ne se contentera pas de savoir, que l'homme est une âme vivante, qui dispose d'un corps. Il examinera, en outre, quelle est la nature de cette âme, et quelles sont ses facultés ; et après toutes ces recherches, il voudra savoir encore, s'il n'existe pas, en nous, quelque chose de plus élevé ou de plus divin que l'âme même, quelque chose de surnaturel, que nous sentons en nous, sans que personne nous en ait averti, et que nous croyons tous résider dans le ciel. De là, il passera à l'examen des élémens de son corps, pour savoir s'ils sont simples ou composés.
Et ensuite, par quelle harmonie cet ensemble se gouverne, de quelles forces, de quelles modifications ou ressources, il a besoin, pour sa conservation.
Enfin, il jetera un coup-d'oeil sur les principes des arts, qui ont pour but de conserver le corps, sur la médecine, par exemple, l'agriculture, et autres arts utiles ». (Sixième Discours de Julien - Contre les cyniques ignorans. Œuvres complètes de l’Empereur Julien, vol.2, traduction du grec en français et notes par R. Tourlet, Paris, 1821)

Et au Discours trois de Julien : « L'être qui préexiste à tous les êtres, et qui comprend tout en lui seul, est nécessairement un. Pourquoi s'en étonner ? le monde dans son ensemble, est-il autre chose qu'un seul être animé, formé tout entier d'âme et d'intelligence, et parfait de la perfection de ses parties ? Mais de cette double perfection dans l'unité, je veux dire de cette union par laquelle l'être intelligent comprend tout dans l'unité, et de cette autre union qui assemble le monde en une seule et même nature parfaite, la perfection, unique du soleil roi, est le seul moyen conciliateur, opérant dans les dieux intelligibles ».

Et au même Discours cette allusion au BLANC DE L’INSTANT : « Puisqu 'il n'existe, en effet, qu'un seul principe, cause efficiente et universelle de tout, et que cependant nous voyons plusieurs autres dieux agissans et organisateurs dans le ciel, il est naturel de penser que la vertu du soleil leur sert de milieu [le Blanc], pour exercer sur ce monde leur activité bienfaisante. Remarquons, en outre, que non-seulement la force féconde de la vie réside, en toute sa plénitude, dans l'être intelligent, mais que ce monde visible [l’état de veille] est également rempli de ce principe vital et fécond. Il s'ensuit donc que la puissance vitale fécondante du soleil roi tient le milieu [le Blanc] entre les deux forces ou principes, et c'est ce que nous montrent des phénomènes constans ».

Pour le scribe de cette page, il est impossible que l’Empereur Julien au moment de mourir d’une lance transperçant sa poitrine, ait put prononcer : « Tu as vaincu, Galiléen ! » (Vicisti, Galilæe), annonçant ainsi le WINNERISME DE LA FAUSSE CHRÉTIENTÉ FAISANT DU CHRIST-JÉSUS UN CHRIST DEHORS DONC UN CHRIST INCARNATIONNISTE, QUI ALLAIT DONNER NAISSANCE À L’IMPÉRIALISME CHRISTIQUE-OBJET ET AVANT TOUT : POLITIQUE ET MORALOPINION, ET ENSUITE ENTRAINER RÉCEMMENT À L’IMPÉRIALISME COMMERCIAL DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN.
L’Empereur Julien détestait cette première mouture du christianisme PARCE QU’IL PRENAIT DÉJÀ LA FORME FIXISTE DU DEHORS, IMPÉRIALISTE OU POLITIQUE, DE LA RACINE DU MAL : LE DEHORS OPPOSÉ AU DEDANS, LE TEMPOREL OPPOSÉ AU SPIRITUEL :

- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors, lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)

5. REFRAIN : AU CHOIX :
- Ou bien l’actuel monde du capitalisme, du sionisme, de la mise en valeur du temps, et du ”temple-pyramide” de Salomon, ce qui sera la victoire de ce monde du Jehovah républicain et commerçant, où toute évolution vers les Mondes Libres sera COAGULÉE, NORMALISÉE, et il sera créé à la place une évolution fixée, artificielle, dans les trois Règnes : Minéral, Végétal, Animal et Humain. Le monde du Jehovah du Buisson Ardent, de la Flamme et de la CUISSON EN THERMODYNAMIQUE, le « Je serai celui qui sera » : L'ÉVOLUTIONNISME.
- Ou bien l’Ouroboros signifiant l’Éternel Retour ou la Réalisation du Soi, le Monde Originel, le Monde de l’Unité Originelle celle des EAUX PRIMORDIALES. Le Jehovah du « Je suis ce JE SUIS », le Jehovah de l’Instant, du Ici et Maintenant.

6. PANPSYCHISME : un Caillou est ANIMÉ parce qu’il porte en lui, comme pour les autres règnes, l’Animation Universelle de toutes choses, mais ce n’est pas « mobile » par sa forme parce qu’inconscient de cette forme, l’Univers vit en ce Caillou, mais le Caillou étant en parfait sommeil profond, il n’est pas conscient de cette vie, du moins pour un petit caillou, il n’en est pas de même pour un gros Caillou… à cause de ses mailles…
Par conséquence un Pierre A UN MENTAL (les Cristaux qui servent à « stocker » des informations : j’en ai fais l’expérience en sculpture sur pierre : si mes intentions n’étaient pas claires, la pierre de calcaire se durcissait anormalement et me renvoyait de dangereux éclats dans la figure… elle « protestait »).
Pourquoi un bloc de calcaire de 10 kilos n’aurait-il pas une âme, et que dire d’un bloc de plusieurs tonnes ?…

BIEN PLUS : le « Je suis ce JE SUIS » s’applique aussi de l’Étoile au grain de poussière un après-midi d’été. En d’autres mots : toute chose tend à persévérer dans son Être, donc dans son « Je suis ce JE SUIS ». Toute chose tend à son état naturel : ÊTRE. Le ÊTRE qu’exprime Ramana Maharshi à l’entretien 244 : « Il n’y a pas d’état supérieur ou inférieur. Que ce soit en sommeil profond, en rêve ou en état de veille, vous êtes exactement le même. Le sommeil est un état de bonheur dans lequel il n’y a pas de souffrance. Le sentiment de manque, de douleur, etc., ne se manifeste que pendant l’état de veille ».
De la même manière, DANS LA CHUTE, de l’étoile au grain de poussière il doit bien y avoir le même état de veille : le ‘je’ quand l’ego ou mental se manifeste : la pensée ‘je’ qui s’élève de la Conscience ou Ici et Maintenant. « Si l’on demeure en elle, on est toujours heureux ».

[En haut de page : Pont d’Avignon, aquarelle de M. Roudakoff]
 
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Dernière mise à jour : 03-12-2023 11:01

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