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Qu’est-ce qu’on appelle Conscience ? Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 09-02-2024 18:54

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Qu’est-ce qu’on appelle Conscience ?
Mais, la Vraie Conscience : Celle où
l’on pense sans penser : on pense
alors en ignorant totalement son corps
physique (son mental).
 
 
« Il n’y a qu’une seule conscience qui subsiste dans les trois états de veille, de rêve et de sommeil profond. Dans le sommeil profond, il n’y a pas de ‘je’ [l’ego]. La pensée ‘je’ s’élève au moment de l’éveil, et alors le monde apparaît [c’est le monde du ”consommateur”]. Où était ce ‘je’ pendant le sommeil ? Existait-il ou n’existait-il pas ? Il devait bien exister, mais pas de la façon dont vous le ressentez maintenant. Le ‘je’ de l’état de veille n’est que la pensée ‘je’, alors que celui du sommeil profond est le vrai ‘Je’ qui ne cesse pas d’exister. C’est la Conscience. Si vous la connaissez, vous verrez qu’elle est au-delà de toute pensée.
- Q. : Pouvons-nous penser sans le mental ?
- M. : Les pensées sont semblables à toutes les autres activités et ne troublent en rien la Conscience suprême.

(Ramana Maharshi, entretien 43 du 28-3-1935).
Tout est dit par le Maharshi de l’état du monde actuel dans cet entretien 43.

Comme l’exprime le Maharshi ou Sage à l’entretien 66 du 15-7-1935, le Vrai Soi ou Seul Réel est là DEPUIS TOUJOURS (sans attendre un Big Bang ou un « atome primitif » et sans attendre que l’homo sapiens ait une ”conscience suffisamment développée”, dans le cas du système de l’évolutionnisme). Le Vrai Soi ou Seul Réel n’attend pas le causisme du Big Bang pour fabriquer le temps-mouvement-espace, comme s’il fallait un Dieu pour créer une poule : « Une jeune cousine, élevée par les bonnes sœurs, me disait un jour : « Pour avoir un œuf il faut une poule et pour avoir un monde il faut un Dieu ». À quoi je répondais : « Pour avoir une poule il faut aussi un œuf. Tu t’enfermes dans une chaîne de causes et effets [dualité sujet-objet] dont les deux bouts ne se rejoignent pas, que tu peux allonger à l’infini, sans que ton raisonnement soit valable ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, lettre du 7 février 1972 à Aimé Michel).

« On dit que la création a une origine. Comment cela ? C’est comme la graine dont l’arbre est sorti. Mais comment la graine a-t-elle été produite ? Par un arbre similaire. Y a-t-il une fin à une telle série de questions ? Il faut donc d’abord connaître son Soi avant de connaître le monde ». (Ramana Maharshi, entretien 548 du 15-10-1938).

Pour la création d’une poule il faut un oeuf et un Dieu, QUI CRÉÉ CE DIEU ? et en quoi est-il Dieu ?

« Si Dieu est la cause des mondes,
Dites-moi donc ce que Dieu es [pour vous] !
Les [grands] éléments ? Dans ce cas,
À quoi bon se fatiguer pour un nom seulement ?
[…]
Pourquoi [Dieu] ne crée-t-il pas constamment
Puisqu’il ne dépend de rien d’autre [que de Lui-même] ?
S’il n’est rien qu’Il n’ait créé,
De quoi dépendrait-il ?
(Shântideva, Bodhicaryâvatâra - La Marche vers l’Éveil, ch.9, 118 et 121)

- M. : Les pensées ne sont que des vâsanâ (prédispositions), accumulées au cours d’innombrables vies antérieures. Le but est de les annihiler. L’état libre de vâsanâ est l’état originel et de pureté éternelle.
- Q. : Ce n’est pas encore clair.
- M. : Chacun est conscient du Soi éternel. L’homme, bien qu’il voie tant de gens mourir, continue à se croire éternel. Parce que c’est la Vérité. Étant naturelle, la Vérité s’affirme d’elle-même, involontairement. L’homme s’illusionne à cause de la confusion du Soi conscient avec le corps inconscient. Cette illusion doit cesser.
- Q. : Comment prendra-t-elle fin ?
- M. : Ce qui est né doit mourir. L’illusion est concomitante à l’ego qui s’élève et disparaît. Mais la Réalité ne se lève ni ne disparaît jamais. Elle demeure éternelle. Le Maître qui l’a réalisée dit ainsi ; le disciple écoute, réfléchit sur ses mots et réalise le Soi. Il y a deux façons d’envisager cela.
Le Soi toujours présent ne nécessite aucun effort pour être réalisé, la Réalisation est déjà là. Il suffit de faire disparaître l’illusion. Certains disent que la parole venant de la bouche du Maître la fait disparaître instantanément. D’autres disent que la méditation et autres pratiques sont nécessaires pour arriver à la Réalisation. Les uns et les autres ont raison ; seuls leurs points de vue diffèrent.
(Entretien 80 du 3-10-1935).


LE MENTAL NE SERT À RIEN

« Quand le mental est éclairé, il est conscient du monde. Quand il n’est pas éclairé, il n’est pas conscient du monde. Si le mental est tourné vers l’intérieur, vers la source de lumière, la connaissance objective cesse et seul le Soi resplendit en tant que Coeur.
La lune luit grâce à la lumière réfléchie du soleil. Lorsque le soleil se couche, la lune devient utile pour révéler l’existence des objets. Lorsque le soleil se lève, personne n’a plus besoin de la lune, bien que son disque pâle reste encore visible dans le ciel.
Il en va de même pour le mental et le Coeur. Le mental est utile en raison de la lumière qui s’y réfléchit, ce qui permet de voir les objets. Lorsqu’il est tourné vers l’intérieur, la source de son illumination resplendit par elle-même et le mental pâlit et ne sert plus à rien, comme la lune en plein jour ». (Ramana Maharshi, entretien 98 du 19-11-1935).

« …seul celui qui médite sur le Coeur peut rester conscient lorsque le mental cesse toute activité et reste paisible ; alors que ceux qui méditent sur d’autres centres ne peuvent pas rester conscients ; c’est seulement lorsque le mental est redevenu actif qu’ils déduisent que celui-ci avait été paisible ». (Ramana Maharshi, entretien 131 du 6-1-1936).

« Comme il se sentait heureux avant que ne s’éveille l’ego ! L’éveil de l’ego est la seule cause de tous les ennuis. Que l’homme remonte jusqu’à la source de son ego et il atteindra cet état indifférencié de bonheur, qui est le « sommeil sans sommeil ». Le Soi reste toujours le même, ici et maintenant. Il n’y a rien d’autre à obtenir. C’est parce que les limitations ont été faussement acceptées [Commandements, démocratie, relativisme], qu’il devient nécessaire de les dépasser. Cela rappelle l’histoire des dix insensés qui, après avoir traversé une rivière et atteint l’autre berge, se comptèrent et ne se trouvèrent plus que neuf. Ils devinrent inquiets et se mirent à pleurer sur la perte du dixième sans savoir qui c’était. Un passant, après avoir demandé la cause de leur chagrin, les compta et en trouva dix. Chacun des dix avait compté les autres et oublié de se compter soi-même [telle que le procède la racine du mal(1)]. Le passant donna alors à chacun un soufflet
en leur demandant de tous les compter. Ils comptèrent dix et furent satisfaits. La morale de cette histoire, c’est que le dixième homme n’avait pas réapparu. Il avait toujours été là ; c’est l’ignorance qui avait été la cause de l’affliction des autres ». (Ramana Maharshi, entretien 63 du 6-7-1935).

Dans le sommeil, notre ego est immergé et les organes des sens sont inactifs. L’ego du jnani [le Réalisé, le Libéré] est mort et il ne fait rien de son plein gré ou avec le concept qu’il est celui qui agit (2). En ce sens, il est dans un état de sommeil. En même temps, il n’est pas inconscient comme dans le sommeil profond, mais pleinement éveillé dans le Soi ; il est donc dans un état sans sommeil [le scribe de cette page souligne]. Cet état de sommeil sans sommeil, ou de sommeil éveillé, appelez-le comme vous voulez, est l’état de turiya, le quatrième état du Soi. Sur Lui se déroulent comme sur un écran, les trois états de veille, rêve et sommeil profond, laissant l’écran non affecté ».
Le Maharshi [sage] fait remarquer que Nous cherchons ce qui n’existe pas au lieu de Nous en tenir à ce qui existe. Nous nous préoccupons du futur et du passé [surtout les Juifs et réparateurs de la ”Chute” et ceux qui parlent de « Big Bang »] et ne sommes pas conscients de la Vérité du Présent [l’Instant, Ici et Maintenant]. Nous ne connaissons ni le début ni la fin, mais Nous connaissons le milieu. Si Nous trouvons la vérité de Cela, Nous saurons ce qu’est le début et la fin [« Je suis le Soi qui siège dans le Cœur de tous les Êtres ; je suis leur début, leur milieu et leur fin », Bhagavad-Gîtâ X,20].
(Ramana Maharshi au jour le jour, 21-11-1945 après-midi).

Le Sommeil sans Sommeil chez Jean de la Croix, Le nuit obscure, chapitre 9, identique à la fin du chapitre 8 : « NOUS N’AVONS RIEN ET NOUS POSSÉDONS TOUT » (II Cor. 6,10).
« Une fois qu’elle [l’âme] est ainsi dénuée de tout, elle est vraiment pauvre d’esprit et dépouillée du vieil homme [le ”Vieil Adam”] ; elle peut vivre de cette nouvelle et bienheureuse vie que lui a procuré la nuit obscure ; c’est alors l’état de l’union à Dieu [ou au Soi] ».

Le graphique en haut de page, extrait de La Chimie occulte, renvoie à la philosophie holistique : partout dans la Nature, à tout niveau et à n’importe quelle échelle, on trouve des TOUT faits de parties, qui sont elles-mêmes des TOUT à un niveau inférieur. Ce modèle organisationnel peut être représenté par le graphique en haut de page. Gustave Thibon dans Diagnostics, page 36, évoque cette FRATERNITÉ HOLISTIQUE en forme de ”barrières sociales” qui favorisent très souvent l’harmonie et communion humaine :
« Au début du siècle dernier [vers 1800-1830], dans nos villages provençaux non encore travaillés par la fièvre républicaine, une extrême familiarité régnait entre le seigneur du lieu et les paysans : on jouait aux boules ensemble après les vêpres [office catholique dit autrefois le soir : vespera = soir], les demoiselles nobles dansaient avec les jeunes gens du village, etc. De tels courants de sympathie effective n’étaient possibles que dans la mesure où chaque classe restait liée à sa position, en dehors de toute contestation et de toute envie [la guerre de classes n’était pas encore effective]. Dans ces milieux, où les différences sociales étaient acceptées et vécues comme d’indiscutables nécessités, la familiarité pouvait grandir, d’une classe à l’autre, sans danger de promiscuité [de cette actuelle société qui devient de plus en plus par son ”tout connecté” technologique une SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE] : une fraternité profonde naissait de l’acceptation de l’inégalité.

Le messianisme égalitaire engendre au contraire, dans le peuple, la révolte et la méfiance à l’égard des chefs [l’oligarchie], chez les chefs, le souci de garder la distance à l’égard du peuple [très visible de nos jours en France avec le Macron-Rothschild] : d’une part un réflexe d’agression et de l’autre un réflexe de défense, la guerre au lieu de la communion. « Car - quelle que soit l’habitude que la Révolution française nous ait donnée de voir accouplée ces deux mots - la fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité [l’inclusivisme, etc., dans une société formatée, robotisée et ANTI-RÊVE, DONC À COMBLER PAR L’ÉCONOMIE MONDIALES DES DROGUES dans la racine du mal(1)] ».
Un exemple de Vraie Fraternité qui rejoint complètement ceux donnés par Hyacinthe Dubreuil tout au long de son dernier et émouvant livre : J’ai fini ma journée.

Dans la figure en haut de page, les TORES OUVERTS les plus petits représentent par exemple, les quarks à l’intérieur de protons, eux-mêmes à l’intérieur de noyaux atomiques, eux-mêmes à l’intérieur d’atomes, eux-même à l’intérieur de molécules, elles-mêmes à l’intérieur de cristaux.
Ou bien par exemple, les petits tores ouverts peuvent représenter des petits organes dans des cellules, et le reste du graphique devient : cellules dans des tissus, tissus dans des organes, organes dans des organismes, organismes dans des sociétés d’organismes, sociétés d’organismes dans des éco-systèmes.
Ou encore : planètes dans le système solaire ou d’un autre astre dans des galaxies dans des amas galactiques. On a la même figure en haut de page dans le langage : les phonèmes dans les syllabes, les syllabes dans les mots, les mots dans les propositions, les propositions dans des phrases.
C’est le CIRCULUS formé par des HIÉRARCHIES IMBRIQUÉES.

« S’imaginer que le mûlâdhâra [centre d’énergie subtile (chakra)] est en bas, le Coeur au centre, la tête en haut ou au-dessus de tout cela, est faux. En un mot, penser n’est pas votre vraie nature ». (Ramana Maharshi, entretien 184 du 13-3-1936). Ce qui permet le CIRCULUS.

CIRCULUS encore : « Le concept de la tête s’élève-t-il après l’apparition du ‘je’ ou le ‘je’ s’élève-t-il de la tête ?
S’il est dans la tête, pourquoi celle-ci tombe-t-elle quand vous succombez au sommeil ? Le ‘Je’, ou le Soi, est toujours constant. Son siège doit donc aussi l’être. Si la tête tombe à un moment et se redresse à un autre, comment peut-elle être son siège ? Votre tête repose à plat quand vous dormez, elle se redresse quand vous vous réveillez. Peut-elle être le ‘Je’ ?
- Q. : Quel est-il alors ?
- M. : Le ‘je’ vient de l’intérieur de vous-même. Quand vous dormez, il n’y a pas de ‘je’. Juste avant le réveil, la pensée ‘je’ apparaît.
(Entretien 336 du 22-1-1937).

CIRCULUS = LE TRIANGLE, première figure fermée :
1° L'Espace. Je peux concevoir l'espace, le vide, le néant où rien n'existe, pas même le temps et qui, donc, n'est précédé d'aucun autre concept.
2° Le Temps, nécessaire pour me transporter en pensée d'un point à un autre, et donc pour penser la ligne droite.
3° Le Mouvement, pour établir la triangulation, la première figure fermée, le circulus. (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux).
CIRCULUS = LA SPIRATION ÉVOLUTION-INVOLUTION. Le circulus Trinitaire conférant l'unité à toutes choses.
1° Longueur = surface sphérique réalisée par rotation du circulus Espace- Temps-Mouvement.
2° Largeur = sphère intérieurement plénifiée par l'énergie.
3° Hauteur = projection d'énergie extérieurement à la sphère, d'où génération de sphères (ou corpuscules). Pour qu'il y ait volume euclidien, matière spatialement constituée, il faut qu'il y ait au moins circulus entre trois sphères.
Tout désordre dans les concepts religieux, politiques, scientifiques, est un trouble de l'ordre Trinitaire normal (explique Jean Coulonval et le psychiatre A. Stocker, souvent évoqué dans le site).

Dans le Circulus, le TORE OUVERT, à chaque niveau le TOUT est davantage que la somme des parties, car pourvu de propriétés qui ne peuvent pas être déduites de l’étude des parties isolées. Connaître le nombre de parties n’est pas suffisant ; la structure du TOUT dépend de la façon dont elles sont combinés ensemble pour former une harmonie, et des relations entre les élÉments.
Arthur Koestler, qui correspondit avec Jean Coulonval, proposa le nom de HOLON pour désigner des TOUT faits d’éléments qui sont eux-mêmes des TOUT. Chaque Holon est un peu comme un ”Je suis ce JE-SUIS”, une totale autonomie, qui fonctionne comme une partie intégrée dans une totalité plus vaste, comme le montre le graphisme en haut de page. Koestler pouvait alors parler de ”holarchies”.

RAPPEL : La révolution mécaniste des 17 et 18è siècles européens comme on peut la voir étalée dans les gravures dans l’Encyclopédie des Diderot et Cie, représente l’ORGUEIL HUMAIN QUI CROIT POSSÉDER LA CAUSE DE TOUT : fins, buts, objectifs et causes finales. Tout doit être expliqué mécaniquement par un mouvement résultant d’un événement passé comme dans la physique des boules de billard, ou par une force agissant en permanence telle la gravitation. Cette vieille doctrine fait toujours fureur de nos jours, amplifiée par le quantisme à la mode ; on l’observe facilement parce que les physiciens ou « scientifiques » (donc les techniciens) ne cessent de réinventer des fins et des buts sous des formes déguisées dans le style : « Plus ça change et plus c’est la même chose ». L’opinion mécanique a aboli les causes finales et la Nature est vide de but en ”Circulez ya plus rien à voir” par la chaîne sans fin de causes et effets.
Nous en sommes à la civilisation de la POSSESSION (l’organisation, l’administration) : LA RACINE DU MAL qui se retrouve dans la dualité Dedans-Dehors jusque dans la « science » où il est encore employé un jargon de possession en forme du sujet face à l’objet essayant d’évacuer l’ego comme singeant une neutralité ou fausse objectivité donc une objectivité tout court. Au lieu de dire : ”j’ai utilisé une éprouvette”, les dualistes disent : ”Une éprouvette a été utilisé”. Au lieu de dire : ”J’ai observé que…”, ils disent : ”Il a été observé que…”. Au lieu de dire ce qu’ils pensent des résultats, ils disent : ”Il a été considéré que…”. Ils procèdent comme s’ils voulaient sortir de l’Univers, s’exclure du temps, et déguiser leur opinion pour faire croire qu’ils dominent et maîtrisent leur ego : devenir des « pros ».

Le monde mécanique de l’Encyclopédie des Diderot et Cie se retrouve dans cette civilisation de la consommation, celle de la civilisation de la laïcité (surtout à la française). « Circulez ya rien à voir, consommez ! ». UN FAUX GATE GATE, UN SOMMEIL DE ZOMBIS !!!
Monde actuel de la possession-opinion = monde de l’orgueil-ego mortifère.

LE MONDE EN CIRCULUS, EN OUROBOROS DES ANCIENS.

Partout sur la planète se trouve des constructions parasismiques, et pourtant les constructeurs ne devaient pas parler la même langue et leur mode de vie devait être différent.
Où se trouve l’âme, en laquelle cette « préconstruction » du plan des pyramides et mieux, des édifices parasismiques ? Où chaque ouvrier se procure-t-il la partie du schéma général qui le concerne ?
De nos jours de tôles-boulons-acier-verre-béton, tout est inversé, mais pendant des millénaires, les Anciens construisaient de la même façon selon leur PLAN PARASISMIQUE PROTECTEUR FORCÉMENT HÉRITAGE D’UNE ANCIENNE CIVILISATION UNIVERSELLE GENRE « ATLANTIDE », QUI NE POUVAIT QUE S’ÉCROULER SUITE À L’EMPLOI DE TECHNOLOGIE TOUCHANT À L’UNIVERS LUI-MÊME, DONC TOUCHANT LES ATLANTES EUX-MÊMES (cependant il est impossible que tous les Atlantes aient disparu, un petit nombre sont probablement encore de nos jours, en vie, mais sous forme de CONSCIENCE, ce sont des Sages et Protecteurs de toutes formes de vie…. ATLANTES = CONSCIENCE). Ainsi par précaution, il fallait depuis pour les Anciens construisent en PLAN DE PYRAMIDE et en AGENCEMENT DE PIERRES PARASISMIQUES QUE LES TECHNOLOGIES ACTUELLES SONT INCAPABLES DE REFAIRE, NI D’EXPLIQUER…
Le même schéma de construction suivant une ONDE GÉNÉRALE DE CONSCIENCE (âme-groupe) SYMBOLISÉE PAR L’OUROBOROS se retrouve chez les TERMITES (par exemple si on place une tôle métallique et qu’on pratique une brèche de chaque côté, les termites y construiront encore des structures identiques. Le CIRCULUS est donc aussi chez les termites. (Voir les expériences menées dans les années 1920 par le naturaliste Sud-Africain, Eugene Marais, sur la façon dont les ouvriers de l’espèce des Eutermes réparaient les larges brèches qu’il pratiquait dans leurs termitières ; les ouvriers commençaient à réparer la brèche de tous les côtés à la fois chacune transportant un grain de terre qu’il enrobait de salive collante et mettant en place cette ”brique”. Les ouvriers situés en des points différents de la brèche n’entraient pas en contact les uns avec les autres puisqu’ils ne pouvaient se voir étant aveugles (voir plus haut l’exemple de classes en harmonie les unes les autres décrit par Gustave Thibon). Au final les structures construites à partir de différents côtés s’ajustaient parfaitement. Bref, l’activité d’ENSEMBLE de la réparation semblait avoir une structure organisatrice, que Marais attribuait à l’âme du groupe, et que Rupert Sheldrake appel : ”Champ morphique”, qui peut correspondre au CIRCULUS TRINITAIRE évoqué tout au long de Synthèse et Temps Nouveaux par Jean Coulonval.
Ce CIRCULUS, ce CHAMP MORPHIQUE se retrouve parfaitement dans toutes les pyramides et toutes les constructions parasismiques antiques.
Et le coup commencé au 11-9-2001 augmenté du COVID-19 et des injections ARN messagers est une TENTATIVE DE CONSTRUIRE UN NOUVEAU CIRCULUS FAVORABLE À CE MONDE DU MERCANTILISME ET DE LA POSSESSION INVERSÉE : AUGMENTATION DE L’EGO, AUGMENTATION DU MOI-INDIVIDUEL ABOUTISSANT À CETTE SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE DU TOUS CONNECTÉS PAR DES TECHNOLOGIES DÉPENDANTES DES INDUSTRIES DU CAPITALISME FORMANT CETTE NOUVELLE RELIGION DU MONOTHÉISME UNILATÉRAL RÉPUBLICAIN.
(Ne pas confondre le CIRCULUS ou le Champs Morphique avec l’égrégore (4)).


Ce monde actuel procède en sens inverse : il court à toute vitesse vers le DE-HORS, jamais vers le DE-DANS. IL SE PERD aussi a-t-il recourt à de plus en plus de pensées de ceci de cela, et de bidules en tous genres qui enrichissent un petit groupe seulement. Ce monde ne fait que fabriquer des assistés dépendants du même petit groupe qui se prend pour Dieu, pour le Créateur. Tout est à l’envers.

- Dans le cas du monde actuel, il y a recyclage (qui transparait dans l’actuel emploi du mot ”transition”). Ce monde cherche son chemin alors qu’il est DÉJÀ DANS LE CHEMIN (3).
- Dans le cas du monde éternel ou originel, il y a immortalité (jamais il n’y eut de ”big bang”, seulement UNE « RESPIRATION D’UNIVERS » comme Je-Suis respire en cet Instant).

Notes.
1. LA VALEUR D’ÉCHANGE ENTRE DEDANS ET DEHORS.
- Quelle est donc la racine du mal ?
- La « saisie » [loi de succion vulgaire à distinguer de la Vraie Loi de succion ou Eucharistie, mais ne pas tomber dans la gloutonnerie spirituelle qui existe aussi, c’est-à-dire ne pas tomber dans LA FIXATION OU COAGULATION D’UNE SPIRITUALITÉ COMME FIN EN SOI OU COMME « FIN DES TEMPS » !].
- La saisie de quoi ?
- La saisie du triple monde [de la Forme, du Désir, du Sans-Forme ; le connaisseur, la connaissance et le connu. ”Les triades ne sont que des apparences dans le temps et l’espace, tandis que la Réalité s’étend au-delà et derrière elles. Elles sont comme un mirage qui cache la Réalité. Elles proviennent de l’illusion [elle proviennent du ”Comme si”]” (Ramana Maharshi, entr. 28, 4-2-1935) ; jusqu’à la gloutonnerie spirituelle].
- Comment arrêter cette saisie ?
- En recourant à l’introuvable, car dans
l’introuvable il n’y a pas de saisie.
- Qu’est-ce que l’introuvable ?
- La fin du dualisme.
- Qu’est-ce que le dualisme ?
- La vision d’un dedans et d’un dehors,
lesquels sont introuvables.
(Soûtra de la Liberté inconcevable, chapitre V, 14)
L’INTROUVABLE DONC L’INNOMMABLE, LE TERRORISTE, L’EXCRÉMENT COMME DIEU SONT CACHÉS.

2. Sans erreur, ”zéro défaut”, c’est cela actuellement que veulent singer à la manière capitaliste qui est le Principe même de la POSSESSION, les Schwab-Harari avec leur « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». Comme le Satam ou Grand Administrateur, le capitalisme et son régime de l’État ne libère pas MAIS POSSÈDE. La « vérité » n’existera alors que pour celui qui décide de ce qui devra être vécu et senti uniformément par les masses humaines, c’est donc la liberté du Satam qui ne cherche pas à libérer mais à posséder les masses et c’est dans ce sens la signification de la singerie des Schwab-Harari avec leur « non-possession », avec leur « insaisissable », surgissant dans un Occident prétendu de « civilisation chrétienne » aux droits de l’homme juif depuis 1789, puisque copie des Commandements modèle Moïse !…..

3. Illustré à propos de la « recherche du Soi » : « Vous parlez de chemin comme si vous étiez à un endroit et le Soi dans un autre et que vous deviez aller l’atteindre quelque part. Mais en fait le Soi est ici et maintenant [dans l’Instant] et vous l’êtes en permanence. C’est comme si, tout en étant ici [dans l’ashram de Ramana Maharshi : Ramanashramam], vous demandiez à des gens le chemin vers Ramanashramam, puis que vous vous plaigniez que chacun vous indique un chemin différent et que vous ne sachiez pas lequel emprunter ». (Ramana Maharshi au jour le jour, 3-7-1946).
 
4. GRÉGORES : sorte de « chefs des âmes qui sont les esprits d'énergie et d'action » (La Doctrine Secrète, H.P. Blavatsky).

Retour sur le mot ÉGRÉGORE tant il est lié au conformisme révolutionnaire actuel, à son N.O.M. et « Great Reset » et à son ordre établit dogmatisé, mondialisé par technologie : en plus d’opinion publique, égrégore signifie aussi : formes-pensées vibrant à un même rythme tendant à s’assembler pour constituer cet égrégore. Alors il y aura autant d’égrégore qu’il y a de familles, de classes, de communautés, de partis politiques, de philosophies, de sectes, de religions, bref d’opinions. Par exemple, les membres d’un parti ou mouvement politique liront les mêmes journaux et se nourriront mentalement de courant de pensée bien déterminé ; ils auront un langage propre et des expressions identiques dont ils useront et abuseront pour évangéliser, même s’ils en ignorent le plus souvent le sens véritable. Bref, ils se croiront « libres », alors que ce sont les premiers conditionnés par des « larves astrales » constituant leur égrégore, comme des vampires se nourrissant de leur sang, d’autant plus redoutable que nous ne pouvons pas nous en rendre compte lorsqu’ils nous ont atteint personnellement, le siège de son action de situant exclusivement dans notre inconscient. C’EST POURQUOI UN ÉGRÉGORE EST UNE FORME-PENSÉE COLLECTIVE INFINIMENT PLUS DANGEREUX QUE L’HOMME LE PLUS RICHE DE LA PLANÈTE ET DE WALL STREET RÉUNIS, CAR IL EST ENGENDRÉ PAR LE MENTAL CRÉATEUR D’UNE MULTITUDE D’ÊTRES ET S’ÉTALE SOUVENT SUR DES CENTAINES VOIR DES MILLIERS DE GÉNÉRATIONS.
L’égrégore est donc comme une PIEUVRE DONT LES TENTACULES SONT SES MEMBRES QUI SE CROIENT « LIBRES » MAIS QUI SERVENT À LEUR INSU UN MÊME MONSTRE IDENTIQUE : sous prétexte de création et d’organisation, LE POUVOIR DU DIABLE EST IDENTIQUE AU POUVOIR DU DIEU DÉMIURGE OU GRAND ARCHITECTE ORGANISATEUR DE L'UNIVERS.

Avec le mot ÉGRÉGORE il est essentiel de distinguer :
- Le socialisme qui prétend « servir les autres », et fait ainsi dans la dualité Dedans-Dehors comme s’il se mettait en DEHORS DE L’UNIVERS, ET PIRE : QUI PRÉTEND SE « SACRIFIER » POUR UNE CAUSE. Pour un judéo-maçon du 33è degré comme C.W. Leadbeater, il écrit page 28 dans Rites Mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, à propos du mystique : « il me semble perdre l’immense avantage de l’effort accompli par l’occultiste [au sens d’appartenance à une loge ou à un groupe], soutenu par l’aide si considérable des Êtres supérieurs [sic] dont il évoque la présence [?] ». Ici les « Êtres supérieurs » peuvent allègrement être confondu avec l’esprit de groupe ou une forme d’opinion publique. Leadbeater précise tout de même que les deux formes de chemin de vie mènent « vers Dieu ».
- Le mystique et la contemplation, dont évidemment Ramana Maharshi fait la partie. Et ici l’égrégore n’existe pas, du moins au départ, car ce sont les autres, le dehors, qui peut en faire, ou du bien, ou du mal, ET TOMBER DANS L’ORGANISATION, DANS LA CRÉATION, LE CONCEPT, LE BESOIN. 
 
 

Dernière mise à jour : 09-02-2024 19:51

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