Accueil arrow Peindre à l'aquarelle
Rudra-Shiva-Dionysos l’INNÉ-IGNÉ Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 04-10-2023 11:07

Pages vues : 587    

Favoris : 75

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Celtes, Conformité, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Marxengelsisme, Nation, Or, Penser, Racine du mal, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vice, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke

 
bouteille_tube_rudra_moderne.jpg
 
 
Rudra-Shiva-Dionysos l’INNÉ-IGNÉ
CONTRE cette civilisation uniquement préoccupée
de l’Homo-machine, la palanquée des derniers ”prix
nobel”
2023
le prouve et même TOUS les machins
du prix de ce dynamiteur, au détriment de
l’HOMO RELIGIOSUS ou Réalisé naturellement,
parce que l’Homo Religiosus est avant tout un
HOMO POETICUS échappant aux calculs de la raison.
Ce prix du dynamiteur prouve depuis plus de 100 ans
que cette ”civilisation” EST AU BORD DE L’IMPLOSION,
comme le confi(o)rme ces citoyenisés ou consommateurs
errant cahin-caha en un multiple séparatif nommé
”république” dans leur racine du mal le
Dedans-Dehors.
Et pourquoi le Dedans-Dehors ?


Page consacrée à l’AMPOULE DE RUDRA.
 
Parce que l’implosion fait que la personne humaine
ne parvient pas à réaliser en elle, individu ou
communauté, cellule ou organisme, l’antique et
originelle Coïncidentia oppositorum (mariage
des contraires) autre nom de la Réalisation du Soi
QUI EST LA SEULE ISSUE POSSIBLE POUR
L’HUMAIN AUSSI BIEN AU NIVEAU SPIRITUEL DIALECTIQUE
QU’AU MATÉRIALISME DIALECTIQUE.

Non plus la triade classique de Hegel : thèse,
antithèse, synthèse, parfait piège de l’évolutionnisme,
mais : thèse, antithèse, union des contraires, ou
union conflictuelle ACCEPTÉE (1) et donc CONSTRUCTIF
des contraires.

Non plus le winnerisme de la dictature du prolétariat
sur la dictature de Wall Street et de la City de Londres,
mais L’UNION DES CONTRAIRES PAR LE RE-TOUR AUX
EAUX PRIMORDIALES, À RUDRA-SHIVA-DIONYSOS FLEUR NOIRE,
À PAN, SEUL UNIQUE PHARE DES TEMPS NOUVEAUX
EN GESTATION DEPUIS AU MINIMUM 10.000 ANS.


RUDRA-SHIVA-DIONYSOS FLEUR NOIRE = LA PUTRÉFACTION OU RENONCEMENT QUI SEULE PERMET LE MARIAGE DES CONTRAIRES ou Réalisation du Soi : Le Cosmos naît du Centrum Centri, le Feu ou GERME DU TOUT, et lorsqu’il arrive à l’apogée de son évolution, Il retourne à son élément premier d’où sortira un nouvel Univers, et ainsi de suite, suivant la Musique Thème et Variation où le Thème devenu Variation devient à son tour le Thème, et ainsi de suite.

L’OCCIDENT A PEUR.
Ceux qui méritent le fouet
ce n’est pas la Russie de Poutine
mais l’Occident du monde du WINNER
anglo-saxon qui depuis plusieurs siècles
colonise la planète en CROYANT qu’ils
possèdent le ”Bien” qu’ils appellent
”démocratie”, ”État de droit” ou pire :
”république”.

LE MONDE ANGLO-SAXON OCCIDENTAL A PEUR.


Il a peur a cause de son amplification de l’ego de chaque citoyenisé qui veut préserver son existence séparée, devant la puissance apparemment négative de la mort, son transhumanisme anglo-américain le prouve clairement, et son utilitarisme crasse aussi en évolutionnant dans des explications d’ordres morales-politiques, allant pour le protestantisme US jusqu’à une « justice divine  » qui punirait les méchants Russes, les méchants Païens qui n’idolâtrent pas la sainte démocratie.

Et effectivement la pompe du fidèle à sa démocratie a tendance à vouloir détourner la puissance menaçante de la Divinité ou d’autres choses vers d’autres humains, vers ceux qui ne sont pas du « camp du Bien », qui sont naturellement toujours ceux du DEHORS : LES AUTRES, LES DÉVERGONDÉS HORS DES GONDS DU DOGME OCCIDENTAL ANGLO-AMÉRICAIN.

LE MONDE ANGLO-SAXON OCCIDENTAL DEVRAIT AVOIR PEUR DE L’ENFANT DE LA VIERGE NOIRE : LA FLEUR NOIRE : L’INNÉ-IGNÉ DES DÉFOULEMENTS NATURELS ISSU DE LA FÉLICITÉ PRIMORDIALE, SANS LE CONCEPT DE DÉLIVRANCE QUI IMPLIQUE LE SENS DE LIBERTÉ ET QU’IL Y AURAIT UN MOYEN D’Y PARVENIR. C’est là le mystère ESSENTIELLE du mot PUTRÉFACTION qui résume à Lui seul la totalité du LABOUR ALCHIMIQUE ; mystère qui consiste à NE PAS TOMBER dans l’idée de porter à son comble quelque chose afin de la « délivrer », car ce serait tomber dans le tiqounisme ou réparation qui ne peut que déboucher sur un évolutionnisme matérialiste.

DIONYSOS est l’UTILITARISME DOUBLE, comme tout symbole : permettre le spirituel, ou permettre le matérialisme (et de nos jours c’est totalement le matérialisme qui est le winner, il y catastrophique déséquilibre).
DIONYSOS LA FLEUR NOIRE, L’ENFANT DE LA VIERGE NOIRE : LA BRAISE (à rapprocher du BUISSON ARDENT : au sens de l’ARBRE, ARBRISSEAU au sens des Celtes), la BRAISE enferme LE TRÉSOR, LE GOUFFRE, UN DIEU ARDENT INNÉ-IGNÉ : dans les textes liturgiques du Moyen-Âge, l’expression BUISSON ARDENT constituait la métaphore pour désigner la VIERGE MÈRE DE DIEU : l’Enfant de la Vierge Noire, la Braise-Enfant ou AMOUR-RÉVÉLATION (l’ampoule qui s’illumine ou la BOUTEILLE s’illumine : fondamental symbole de L’ARCHE ET DE SON RAYONNEMENT PAR LE RAMEAU : ELLE SYMBOLISE DONC LA VRAIE PAIX : CELLE DU SILENCE, Et la « Bouteille à la mer » : « Quel est cet élixir noir et mystérieux ? - Pécheur, c’est le Silence. C’est l’Élixir Divin que boivent les Esprits, Trésor de la pensée et de l’expérience »).

« Le corps causal, formé par l’ignorance, est caractérisé par le tamo-guna [qualité d’obscurité], défini par la lettre M et régenté par la divinité Rudra ». (Ramana Maharshi, entretien 617 du 21 au 28 janvier 1939). Lettre M et des mots bien terrestres : Mur, Mort, Mûr, Mat, Matériel, Mal, Marre, Maladie, Métal, Météore, Mental et Milieu, Menhir, Modèle, Mot, Moi, Mét-tro-pôle (évolutionnisme, trop, tentacule), etc., et Mer, Mère. Mais il y sonne surtout AIMER à l’impératif et marque l’acte d’AMOUR-GRATUITÉ : ÉMANCIPER, et plus important, la syllabe MR : en égyptien ancien désigne l’Amour et la Pyramide, « L’aimant de la Terre pour le Ciel et du Ciel pour la Terre » : la Mère-Veille du POINT-PONT-ARC-EN-CIEL.


BRAISE-DIAMANT OU CHARBON.

”Se dépouiller de toute possession est le
plus haut bonheur”
(Ramana Maharshi, entretien 225).
Évidemment pas la dépossession du Schwab-Harari
et son ”Vous ne posséderez rien et vous serez
heureux”
dans l’idéologie du ”décharbonnage de
la planète” pour chuter dans le ”tout électro-
machinerie”
et ses pollutions aux batteries.

Avec la ”transition de A à Z” Vous allez
effectivement vers l’insaisissable :
le décharbonnage du charbon = la formule
du DIAMANT et le CHARBON EST LE NOIR DE
LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT SYMBOLE DE
L’ÉNERGIE CACHÉE, LATENTE, INSAISISSABLE
AU SENS OU PERSONNE NE PEUT S’EN
EMPARER POUR EN FAIRE COMMERCE.


DIAMANT, COMME LE SOÛTRA DU DIAMANT ET
CHARBON sont la LUMIÈRE qui éclaire,
chauffe sans feu flamme ni explosion du
feu vulgaire, et image de la Réalisation
du Soi : l’ENFANÇON ou l’ENFANT DE LA
VIERGE NOIRE : ENFANÇON OU EMBRYON DU
Je suis ce JE SUIS, soit Enfançon signifie
que le charbon, le NOIR DE LA PUTRÉFACTION
a seulement besoin d’une ÉTINCELLE POUR
SE RÉALISER. Putréfaction = passage
du NOIR au ROUGE : LE SENS NE DEVIENT ÉNERGIE
QUE PAR LE NON-SENS (voir Nasr Eddin Hodja).
”L’être donne des possibilités,
c’est par le non-être qu’on les utilise”.

(Lao-tseu)

ROUGE, BRAISE, FLEUR, LIERRE = les gouffres insondables
où résident les TRÉSORS. ROUGE DU CINABRE (médecine
universelle en Chine et en Amérique des Peuples du
Soleil et liée à la résurrection).
Dionysos la Braise des l’Enfers permet la RÉSURRECTION :
ŒUVRE AU NOIR, AU BLANC, AU ROUGE (Rebis).
Œuvre au Rouge descente aux Enfers = Putréfaction ET
VOYAGE TEL L’ARBRE DE VIE EN UN CHRIST-DIONYSOS
RESSUSCITÉ.

NOIR (Melanosis), BLANC (Leukosis), puis ROUGE
(Iosis ou Pourpre ; en Alchimie occidentale
existe l’intermédiaire entre Blanc et Pourpre :
la Citrinité (XANTHOSIS, et voir
encadré à Xanthos”).
Chaque ”Voyage” du Noir au Blanc et des Enfers
au Ciel amplifie l’Osiris découpé et qui ressuscite
par ce que l’Alchimie nomme MULTIPLICATIONS.

Dio-N-Yos (Isis, Iosis, Iesus), Parisis :
PARIS C’EST LA VILLE D’YS ; DANS LE NOIR,
LA NUIT OBSCURE, COMME LE SILENCE ; Paris et Par
(pair) YS, PARISIS en proclamant que la fin de
la capitale PARIS SERA la re-découverte de la ville
engloutie d’YS… YS l’Eau Primordiale, TIAMAT,
les EAUX PRIMORDIALES, le SAINT CHAOS,
le NIRVANA…

Le DIAMANT du Soûtra dans lequel est contenu
le Gate gate dont la formule du N’EST PAS X (2)
dont les noms-les-formes n’ont pas de réalité
mais ne sont que de simple PIQUE-POINTAGE
(voir ci-dessous la différence entre
PIQUE et FEU vulgaire) et dépourvus d’opinions.

En ces temps ou le capitalisme si malade tente
de se refaire une santé vers le décharbonnage
et par là-même vers le ”dédiamant”, il est
révélateur une fois de plus que le messianisme
du régime de la City de Londres et de son
officine Wall Street ne veut aucunement
le bien des Terriens !!!

”La pensée « Je me réveillerai » [ou demain
je serai libre] précède toutes les autres.
Les pensées régissent la vie. Être libre de
pensées est notre vraie nature – la Félicité”.
(Entretien 248 du 15-9-1936).

LES PENSÉES NE PEUVENT ÊTRE LÀ QUE PARCE
QU’ON SE PREND POUR UN CORPS (entretien 251).

DIAMANT = TRANSPARENCE, SANS PENSÉE donc
SANS EGO OU SANS DEHORS.
DIAMANT = PIQUE-POINTE OU DIAMANT-FOUDRE.
C’est la FOUDRE, LA POINTE DE ZEUS-SHIVA.
Diamant et Foudre sont associés dans le bouddhisme
tantrique (Diamant+Foudre=vajra : l’inaltérable
de l’invincible Fontaine de Jouvence, la
TRANSPARENCE au sens d’Illumination, d’insaisissable,
au sens du Gate gate, au sens du CENTRUM CENTRI :
LE CENTRE EST NULLE PART ET LA CIRCONFÉRENCE
EST PARTOUT.
C’EST LA PIERRE.

LA POINTE DESTRUCTRICE DE ZEUS OU SHIVA.
(Shiva appelé le « Terrible » : Rudra,
Seigneur de la Mort).
Naissance, croissance et culmination puis
décroissance et dissolution sont les phases
inéluctables de tout ce qui est manifesté et
donc aussi du transhumanisme et d’une quelconque
”intelligence artificielle”, quelque soient les
cycles temporels imaginés par le mental.

Shiva-Rudra = EAU DE MORT-COLLE (par rapport
à l’EAU DE VIE chez les deux Pleureuses
Isis et Nephtys, passivité agissante et
passivité négative qui corrompt pour donner
la vie).

RUDRA TEL L’ARCHER TRANSPERCE TOUT DE
SON REGARD (comme le mentionne un texte
védique, Atharva-véda 11,2).
Tout ce qui naît meurt, et le trait de mort
est comparé à la FLÈCHE, la POINTE QUI TEINTE.
Rudra est appelé ”Le Grand Archer”.
La FOUDRE sera donc une des armes de Rudra,
ce qui es soudain, dans l’Instant et donc
imprévisible tel PANique.
”Que la foudre de Rudra nous évite ;
Que la grande fureur de l’impétueuse déité
nous lâche” (Rig-véda II,33,14)


Évidemment depuis la découverte du feu vulgaire c’est ce feu qui bouscule le Diamant et la Pointe de flèche de Rudra.

”Le corps causal, formé par l’ignorance, est caractérisé par le tamo-guna [qualité d’obscurité], défini par la lettre M et régenté par la divinité Rudra.
Le sommeil profond n’est rien d’autre que l’expérience du pur état d’être. Les trois états reçoivent différentes appellations, notamment celles des trois régions, des trois citadelles, des trois divinités, etc. L’Être demeure toujours dans le Coeur, comme il a été dit précédemment. Si, dans l’état de jâgrat [état de veille], le Coeur n’est pas abandonné, les activités mentales sont apaisées et seul le brahman est contemplé, c’est l’état de turîya.
Le turyâtâta est l’état dans lequel l’être individuel se fond dans le Suprême.
Le royaume végétal est toujours plongé en sushupti [sommeil profond] ; les animaux ont les deux, les états de sushupti et de svapna [rêve] ; les dieux (êtres célestes) sont toujours en jâgrat [état de veille] ; l’homme connaît les trois états ; le yogi à la claire vision ne demeure que dans l’état de turâya, et le yogi au stade le plus élevé demeure uniquement en turyâtâta.
Les trois premiers états alternent involontairement chez l’homme ordinaire. Le quatrième et le cinquième état (turâya et turyâtîta) sont le résultat d’une pratique spirituelle et constituent une aide efficace à la Libération. Chacun des premiers trois états (jâgrat, svapna et sushupti) est exclusif des deux autres et limité dans le temps et l’espace. Ils sont donc irréels.
Notre expérience des états de jâgrat et de svapna prouve que la Conscience, le Soi, est sous-jacente aux cinq états, qu’elle reste parfaite en chacun d’eux et qu’elle est le témoin de tous. En ce qui concerne la conscience similaire dans le sommeil profond, il est bien connu que tout le monde dit : « Je n’étais conscient de rien ; j’ai dormi profondément, comme un bienheureux ». Deux faits émergent de cette déclaration : la non-conscience de toutes choses d’une part, et le bonheur du sommeil profond d’autre part. Il faut que ces deux facteurs aient existé et aient été expérimentés dans le sommeil pour que la même personne puisse les exprimer à l’état de veille. Le raisonnement par déduction conduit aussi à cette conclusion. De même que les yeux voient l’obscurité qui recouvre tous les objets, ainsi le Soi voit l’obscurité de l’ignorance qui recouvre le monde phénoménal.
Cette obscurité est expérimentée quand le Soi émerge en points lumineux de félicité suprême, resplendissant un instant, puis disparaissant de manière imperceptible tels les rayons de la lune qui glissent à travers un feuillage mouvant. Cette expérience n’a cependant pas besoin d’intermédiaire (tel que les sens ou le mental), ce qui prouve que la conscience existe bien dans le sommeil profond.
La non-conscience dans cet état est fondée sur l’absence de connaissance relative, et le bonheur sur l’absence de pensées [le scribe de cette page souligne].
Si l’expérience de la félicité dans le sommeil profond est un fait, comment se fait-il qu’aucun être humain ne s’en souvienne ? Un plongeur qui a trouvé sous l’eau l’objet de sa recherche ne peut faire connaître sa découverte aux personnes qui l’attendent sur le rivage qu’une fois sorti de l’eau. De même le dormeur, privé de moyens d’expression, ne peut faire part de son expérience tant qu’il n’est pas réveillé par ses vâsanâ [tendances]. De toutes ces considérations, il résulte que le Soi est la lumière de sat, chit, ânanda”.

Vishva, taijasa et prâjna sont des termes désignant l’individu qui se trouve respectivement dans les états de veille, de rêve et de sommeil profond. Et le même individu est sous-jacent à chacun de ces états. Ceux-ci ne représentent donc pas le vrai Soi qui est le pur état de sat-chit-ânanda. Nous avons dit que l’expérience du sommeil profond est la félicité du brahman. Mais en fait, il s’agit seulement de l’aspect négatif de cette félicité, puisqu’elle est fondée sur l’absence de pensées. De plus, elle est transitoire. Une telle félicité n’est que l’âbhâsa (le reflet), une « contrefaçon » de la félicité suprême. Elle n’est pas différente du sentiment de félicité provoqué par les plaisirs sensuels.
Nous disions qu’en sommeil profond le prâjna est uni au Soi. L’individualité demeure donc à l’état potentiel dans cet état.
Le Soi est sous-jacent à toutes les expériences. Il est leur témoin ainsi que leur support. La Réalité est donc différente des trois états, veille, rêve et sommeil profond ».
(Ramana Maharshi, entretien 617 du 23 au 28-1-1939).

”Allumer le Feu” (telle une chanson de Johnny) = LE SOCIAL-SOCIALISME (le drapeau du socialisme ne peut qu’être rouge, ou pire : noir…).
On se réunit autour d’un feu (de camp, ou naguère avant la fée électricité : devant le feu dans la cheminée, et c’est là qu’on pouvait ”tisonner le feu” avec art bien-sûr).

Si bien que ce feu vulgaire, celui de la découverte du feu, est plutôt du domaine la RACINE DU MAL : LE DEDANS-DEHORS, LE FEU VULGAIRE ÉTANT DU DEHORS, DONC ANTI-NATUREL (ici je suis bien d’accord avec Gaston Bachelard et sa psychanalyse du feu, chapitre : Le Complexe de Prométhée).
G. Bachelard qui écrit que le feu relève d’un enseignement, parce que ce feu a besoin D’UNE PROTECTION ET DONC D’UN RÈGLEMENT ET PAR SUITE D’UN ENSEIGNEMENT AUX JEUNES.
Respect du feu, car si on laisse trop longtemps son doigt sur la flamme de la bougie, ça fait mal.

Le conventionnel des INTERDICTIONS SOCIALES ET DE SON ”SAVOIR VIVRE” COMMENCE AVEC LE FEU VULGAIRE ET LA DÉCOUVERTE DE LA SENSATION. Chez l’enfant, le risque de brûlure, c’est-à-dire l’inhibition instinctive, en associant les interdictions sociales et les confirmant, ne fait que donner aux yeux de l’enfant plus de valeur au savoir paternel. Ainsi naît le social chez l’enfant.

DIFFÉRENCE ENTRE CE FEU VULGAIRE ET LA POINTE OU FLÈCHE DE RUDRA-ZEUS.

Bizarrement la flèche ou la pointe ne représente pas, de nos jours, le social, la concorde, l’harmonie. Pourtant les flèches de Rudra TUENT. Mais au mental de l’humain de la voie de l’Agriculture depuis le Néolithique ne jure que par le social-feu, la Concorde du feu objet de crainte et de respect (autrefois on brûlait sur le bucher les contrevenants au social donc à la ”paix social” et du commerce).
Ainsi les interdiction sociales tournant autour des pointes (de FOUDRE) sont de nos jours beaucoup plus faibles que les interdictions concernant le feu vulgaire. Un judéo-maçon, vénérable de la loge ”Intellectuelle”, ”Les Neufs Sœurs” quand il était ambassadeur en France : Benjamin Franklin, va même inventer un outil contre la foudre : le paratonnerre.
LA FOUDRE NE SEMBLE PAS CONSTITUER UN SOCIAL ET SES INTERDICTIONS (telles les principales du social : l’inceste et l’anthropophagie).
Par contre, si l’enfant approche sa main vers le feu vulgaire, son père va lui donner un coup de règle sur les mollets. Le feu vulgaire frappe sans avoir besoin de faire cuire ! Au fourneau, à la lampe à huile, la vigilance des « autorités » (les parents) est requise. Le feu sera donc une INTERDICTION GÉNÉRALE : INTERDICTION SOCIALE ET PREMIÈRE CONNAISSANCE DU FEU   MAIS ON DIRAIT QUE LES TCHERNOBYL N’AVAIENT PAS PEUR DU FEU….
Pourtant, le phénomène naturel du feu vulgaire fabriquera bien le social, ses conventions complexes et chaotiques, QUI NE LAISSENT GUÈRE DE PLACE À LA VRAIE CONNAISSANCE, PURE.

Dès lors, les interdictions sociales (hormis celle de l’inceste et surtout celle de l’anthropophagie) favoriseront les INHIBITIONS SOCIALES, NOTAMMENT LA FOLIE : LE SOCIAL QUI REND FOU, LE DEHORS QUI REND ALIÉNÉ.
La ”désobéissance artistique” et social est la connaissance du VRAI FEU : le Soi, le CENTRUM CENTRI. Mais si l’enfant veut faire comme Prométhée, il dérobe des allumettes ou plus tard construit des Tchernobyl.
La ”désobéissance artistique” et social sera le DÉVERGONDÉ, DIONYSOS, L’ÉCOLE BUISSONNIÈRE. L’enfant urbanisé et bétonisé ne connaît pas le foyer qui fait cuire entre 6 pierres des petits gâteaux dans un semblant de four à feu de bois. Et C’EST EXTRA-ORDINAIRE, PARCE QU’À CE MOMENT LÀ LE « CUISINIER » NATUREL ÉCHAPPE AU COMPLEXE DE PROMÉTHÉE, ET COMPLEXE ACTUEL DES TRANSITIONS MACHINS TRUCS : le « ISME », LE SYSTÈME, LES PROTHÈSES, LE DEHORS, LES INJECTIONS.


FEU VULGAIRE ACTUEL = PRINCIPE SURTOUT ANGLO-AMÉRICAIN DE L’UTILITARISME, DOUBLÉ DU ”SAVOIR” DES ”LUMIÈRES” DU 18È SIÈCLE DES RICHES PERRUQUES POUDRÉES FRANÇAISES QUI N’ONT JAMAIS TENU UNE PIERRE OU UNE PELLE DANS LEUS MAINS PROPRES ET DOUCES.
COMPLEXE DE PROMÉTHÉE = ÉVOLUTIONNISME DES JUIFS : METTRE EN VALEUR LE TEMPS OU ÊTRE DIEU À LA PLACE DE DIEU, TEL LE MESSIANISME DU TRANSHUMANISME. Le transhumanisme est le complexe de Prométhée. Et comme l’écrit G. Bachelard, si l’intellectualisme pur est exceptionnel, il est aussi dans la trame de l’évolutionnisme transhumaniste : UNE SPÉCIFICITÉ DE L’HUMAIN DE L’APRÈS DÉCOUVERTE DU FEU VULGAIRE. « Le complexe de Prométhée est le complexe d’Œdipe de la vie intellectuelle », écrit si bien G. Bachelard dénonçant le criminel mental, la ”raison”.

FEU = SOCIAL ET MONDE : LE DEHORS DE LA RACINE DU MAL CONTENUE DANS LE « POIDS » OU ATTRACTION D’UNE CERVELLE.
”Le monde vient-il vous demander : « Pourquoi est-ce que j’existe ? Comment ai-je été créé ? » C’est vous qui posez cette question. Celui qui pose la question doit établir la relation entre le monde et lui-même. Il doit admettre que le monde est le fruit de sa propre imagination. Qui imagine tout cela ? Qu’il trouve le ‘je’ et ensuite le Soi”. (Ramana Maharshi, entretien 455 du 10-2-1938).
”Le monde vient-il vers vous pour vous dire « j’existe » ?”. (Ramana Maharshi, entretien 476 du 21-3-1938).

CUIVRE, EAU, POUDRE OU POUSSIÈRE (‘Eau) : POINTE (spike) et ISIS LA CHAISE.

Le UN POINT C’EST TOUT : LE BINDU des deux Triangles opposés par le sommet figurant Shiva et sa Shakti (énergie, Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva, aussi la Conscience). POINT = NON-DUALITÉ, POINT FOCAL du ”Un Point c’est Tout”.
Quant à la FLÈCHE de Rudra, elle signifie les conditions le dépassement du conventionnel, elle signifie la disparition de la loi de succion : absence d’attraction ou absence de distance et de pesanteur.
Flèche = intuition fulgurante : perce-voir, comme l’éclair de lumière.
FLÈCHE COMME LA FOUDRE QUI TRANSPERCE ET PANique parce qu’imprévisibilité et dans l’INSTANT, le temps est aboli.


UN POINT C’EST TOUT, LE SURFEU ou FEU PHILOSOPHIQUE.
POINT : TIRER SON ÉPINGLE DU JEU ET DU ‘JE’, CE N’EST PAS ”SOCIAL” MAIS FAIRE ”CAVALIER SEUL” : CHEVALIER (au sens de Sainte Thérèse ci-dessous, et au sens de spiritualiser un combat vers le ”Haut”, combat vers la Réalisation ; Perce-Val ou la Queste du Saint Graal, donc le ”Haut manger ou la céleste Nourriture”, le Vrai Feu. Le Vrai Chevalier s’introduit dans la Vraie Demeure et se nourrit lui-même de l’Hostie : le Centrum Centri)
Chez Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus : Acte d’offrande à l’Amour miséricordieux du bon Dieu : « Afin de vivre dans un acte de parfait Amour, je m’offre comme Victime d’holocauste à Votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme, les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en Vous, et qu’ainsi je devienne martyre de Votre Amour, ô mon Dieu !… ».
Le FEU PHILOSOPHIQUE EST PAR ESSENCE ANTI-SOCIAL, DONC LE CONTRAIRE DU FEU VULGAIRE QUI RASSEMBLE AUTOUR DE LUI. Le Saint se met en marge du social : IL TRANSGRESSE; VERS LE CENTRUM CENTRI, LA BARRIÈRE OU LE MASQUE DU CERCLE PROFANE. ON LE VERRA DÈS LORS TENIR LE RÔLE DE RAYONNEMENT PROTECTEUR, MAIS AUSSI DE PERSÉCUTÉ ET PARFOIS DEVENIR MARTYR.

QU’EST-CE LA FLÈCHE DE RUDRA ?
C’est PANique, ou le ”Mysterium tremendum” du mystère qui fait frissonner ou vibrer le corps entier, comme l’extase ou les convulsions ”sauvages” des ”possédés” et des maniaques ; il peut aussi se dégrader dans l’horreur et la répulsion du domaine halluciné. C’est PANique (deima panicon en grec) ; c’est LA FRAYEUR DE DIEU que le Vrai Jéhovah envoie tel Rudra envoyant sa Flèche, sa POINTE, pour paralyser l’humain. C’EST LA TERREUR SACRÉE, dont ”la peur des Esprits” n’est qu’une dégradation. De cette PANique va se développer le concept de SINISTRE, et à partir de là l’origine des Démons et des Dieux. Avec justesse les Anciens Grecs voyaient la maladie mentale comme SACRÉE : envoyé par les Dieux ; transe et extase spirituelle étaient à l’origine de toute folie. LA TERREUR NUMINEUSE (PAVOR SACER) EST À L’ORIGINE DE TOUTE SPIRITUALITÉ PRIMITIVE, LE VRAI FEU, LE SURFEU.

FLÈCHE DE RUDRA OU LA MASTURBATION : LE NATUREL FROTTEMENT : le Vrai Feu est découvert naturellement bien avant la plus petiote Flèche de Zeus telle la foudre arrachée au Ciel pour devenir de nos jours « l’électricité ». FROTTEMENT = FEU PHILOSOPHIQUE OU FEU DE ROUE (au sens vibratoire ou d’alternance, de RYTHME COMME LE FROTTEMENT OU LA MASTURBATION). La ROUE si importante : de celle du chariot au rotor bobiné d’un moteur tournant jusqu’aux engrenages d’une pendule et aux pneus d’une automobile. Daniel (cité par le Pseudo Denys l’Aréopagite dans Hiérarchie celeste, ch.15,8,9) décrit sa vision de l’Ancien et du Fils de l’Homme :
Son trône était flamme de feu
au roues de feu ardent.
Un fleuve de feu coulait… (7, 9-11)
(Voir aussi les Roues des Chérubins chez Ézéchiel).

FEU DE ROUE = Je suis ce JE SUIS.
Par contre, du point de vue ”politique”, lorsqu’il s’agissait de tirer le Soleil (tribus d’Israël) levant de sa captivité, c’est Élohim qui parle à Moïse et non Jéhovah, ou plutôt le Vrai Jéhovah au sein du BUISSON ARDENT lorsqu’Il se définit Lui-même : « Éheiéh ashèr Eheiéh » (Je serai celui qui sera), ce que la version des Septante transforme en ”Je suis celui qui suis” ou ”Je suis ce JE SUIS”. CAR FIXER L’ICI ET MAINTENANT EST L’EXACTE MÊME IMPOSSIBILITÉ DE ”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR « L’AMÉLIORER », ET DONC « S’AMÉLIORER SOI-MÊME », C’EST-À-DIRE JOUER AU COMPLEXE DE PROMÉTHÉE !

Dans le SEUL RÉEL, on sera, on a été, on n’est POINT : POINT FOCAL, CENTRUM CENTRI, LE VRAI INSAISISSABLE (pas celui des Schwab-Harari…).
INSAISISSABLE AUTANT QU’IMPOSSIBLE DE ”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR LE VOIR !
ÉLOHIM veut dire ”la puissance du jour” (mais derrière l’AURORE et son « OR ROSE »…), l’Or, le Jaune du Xanthos”, le jaune du fauve ou du blond. Le nom JÉHOVAH se compose de deux rythmes du verbe ÊTRE (ou vivre) en hébreu : ”Éheiéh”, il vivra ; et ”havah” : il a vécu. Quand au MARIAGE ou SYNCHRONISME entre les deux rythmes tel les Points noir et blanc ou deux Pôles du Taiji, il reste LATENT, sous entendu tel le Soi, tel L’OR ROSE….
Bref, le jaune de l’Or métal et du Soleil feu tout aussi vulgaire sera ADORÉ au lieu d’être SIMPLEMENT honoré !!!
Nous subissons jusqu’à ce hui les conséquences de la découverte du feu vulgaire, de son adoration et de sa thermodynamique dangereuse, et au moins pire : ridicule…


RUDRA LE GRAND ARCHER
”Celui qui a mille yeux et qui, depuis l’Orient,
transperce tout de son regard [d’où son
association avec l’involution], Rudra l’Archer,
plein de toutes les inspirations divines,
puissions-nous ne pas l’offenser par notre parole
alors qu’il s’avance impétueux”.
(Atharva-Veda 11,2)

Tu portes un arc jaune, un arc d’or
qui frappe mille, qui tue cent, ô Dieu chevelu.
Elle erre la flèche de Rudra, javelot des Dieux :
hommage à elle en toute région y compris icelle.
(Atharva-véda XI,2)
La PANique ou tremendum” du mystère qui fait
frissonner :
Hommage à ton courroux, ô Rudra,
hommage à ta flèche, hommage à ton arc,
à tes deux bras aussi, hommage !
(Maitrayani-samhitâ, II,8).
Flèche et Foudre les armes de Rudra représentent PAN.
Que la foudre de Rudra nous évite ; que la grande
fureur de l’impétueuse déité nous lâche !
(Rig-véda II, 33, 14).


RUDRA LE NUMINEUX.

Colère divine de Rudra comme les décharges électriques.
LA TERREUR NUMINEUSE (PAVOR SACER) de type répulsif identique au « mauvais » déconcerte totalement ceux qui ne jurent que par le « bon », le « meilleur », le « gentil », bref : la fameuse paix si COMMERCIALE, AU SENS DE SI SOCIALISANTE, SI FÉDÉRATIVE OU SI FAMILLE COMME UN FEU VULGAIRE : SOIT TOURNER SON MENTAL UNIQUEMENT VERS LE DEHORS, VERS LE ”MONDE” ou vers la fameuse ”DÉMOCRATIE” LE CAMP DU ”BIEN” et surtout des BIENS.

RUDRA-PTAH : Rudra est souvent comparé au Taureau (Celui qui engendre)
Vers le taureau roux et blanc
j’élève puissamment la louange puissante.
Incline ton hommage devant Rudra Flamboyant.
(Rig-véda X, 121, 7).
Agni le feu, LA SEMENCE, sera produit par le frottement de deux bouts de bois (MASTURBATION), les EAUX sont fécondées, la force de vie devient PRÂNA, le Souffle vital.
Agni est DERRIÈRE L’OR ROSE OU L’AUBE, LE PRINCIPE INVISIBLE OU INSAISISSABLE.
Flèche-Fouet de Rudra DÉTOURNÉ PAR L’EGO DE CERTAINS :
Ailleurs que sur nous secoue le rameau céleste !
Épargne-nous, ne sévis pas.
Puissions-nous ne pas nous heurter à toi !
Tourne ton arme ailleurs, ô Puissant,
et frappe la postérité des blasphémateurs !
(Atharva-véda 11,2)


Notes.
1. Les BARRIÈRES SOCIALES FAVORISENT LE PLUS SOUVENT LA FRATERNITÉ HUMAINE. Comme l’exprime si clairement Gustave Thibon dans Diagnostics, page 36 :
« Au début du siècle dernier [vers 1800-1830], dans nos villages provençaux non encore travaillés par la fièvre républicaine, une extrême familiarité régnait entre le seigneur du lieu et les paysans : on jouait aux boules ensemble après les vêpres [office catholique dit autrefois le soir : vespera = soir], les demoiselles nobles dansaient avec les jeunes gens du village, etc. De tels courants de sympathie effective n’étaient possibles que dans la mesure où chaque classe restait liée à sa position, en dehors de toute contestation et de toute envie. Dans ces milieux, où les différences sociales étaient acceptées et vécues comme d’indiscutables nécessités, la familiarité pouvait grandir, d’une classe à l’autre, sans danger de promiscuité [de cette actuelle société qui devient de plus en plus par son ”tout connecté” technologique une SOCIÉTÉ FOURMILIÈRE] : une fraternité profonde naissait de l’acceptation de l’inégalité.
Le messianisme égalitaire engendre au contraire, dans le peuple, la révolte et la méfiance à l’égard des chefs [l’oligarchie], chez les chefs, le souci de garder la distance à l’égard du peuple [très visible de nos jours en France avec le Macron-Rothschild] : d’une part un réflexe d’agression et de l’autre un réflexe de défense, la guerre au lieu de la communion. Car - quelle que soit l’habitude que la Révolution française nous ait donnée de voir accouplée ces deux mots - la fraternité n’a pas ici-bas de pire ennemi que l’égalité [l’inclusivisme, etc., dans une société formatée, obotisée et ANTI-RÊVE, DONC À COMBLER PAR L’ÉCONOMIE MONDIALES DES DROGUES] ».
Un exemple de Vraie Fraternité qui rejoint complètement ceux donnés par Hyacinthe Dubreuil tout au long de son dernier et émouvant livre : J’ai fini ma journée.

Ces exemples mettent en lumière LA DIFFÉRENCE ENTRE PROFANE ET SACRÉ, ENTRE RÊVE ET ”RÉALITÉ”, et de nos jours, PARADOXALEMENT, LA CHEFFERIE QUI VEUT UNIFORMISER LES PEUPLES, LES RENDRE PROFANES PAR LAÏCITÉ SURTOUT EN FRANCE, TEND À RESTER DANS L’OMBRE DONC À DIVISER DANS SON « SECRET-SACRÉ  » EN DUALITÉ INVISIBLE-VISIBLE OU PUR-IMPUR à l’exemple de grosses obédiences judéo-maçonniques spéculatives comme le Grand Orient de France, ou la Grande Loge de France, dont aucun média ne parle jamais….
Le mythe moderne de ”guerre de classes” tend à accompagner le jeu de l’oligarchie qui elle aussi veut UNIFORMISER en une société sans classe, « égalitaire »…..

2. ”Dans la question ”Qui suis-je ?”, le ‘je’
désigne l’ego. En essayant de suivre sa trace et
de trouver ainsi sa source, on s’aperçoit qu’il
n’a pas d’existence séparée mais qu’il se fond
dans le Vrai ‘Je’”.

”Quelque soit la voie que vous suivez, vous devez
vous perdre en l’UN. L’abandon [Putréfaction,
Renoncement] n’est complet que si vous arrivez au
stade où vous pouvez dire : ”Tu es Tout” et
”Que ta Volonté soit faite”.

”Dans la Réalité il n’y a ni dvaita [dualité]
ni advaita [non-dualité], mais CELA qui est, EST.
L’abandon de soi paraît facile parce que les
gens s’imaginent que, s’ils prononcent simplement
les mots ”Je m’abandonne” et remettent leur
fardeau au Seigneur, ils sont libres et peuvent
faire ce qu’ils veulent [façon ”libéralisme” du
protestantisme anglo-américain : le self].
Mais en réalité, une fois que vous vous êtes
abandonné, vous ne pouvez avoir ni préférences
ni aversions [donc délivré de l’opinion]. Votre
volonté doit disparaître, laissant la place à
celle du Seigneur.
Cette mort de l’ego n’est pas différente du jnâna
[celui qui a réalisé le Soi].
Ainsi, quelque soit la voie que vous empruntez,
vous devez arriver au jnâna, à l’Unité”.
(Ramana Maharshi 2-1-1946).

  ”Vous devez arriver au jnâna, à l’Unité”, c’est
aussi le rêve de tout système politique du
concept d’État voulant enrégimenter
tous les Terriens dans une même MATRICE
telle une ”gouvernance mondiale” !!!
C’est-à-dire que le ”arriver au jnâna” ne veut pas
dire être en possession de quoi que ce soit ou en
possession de quelque réalité de Libéré vivant dans
l’Éveil insurpassable, authentique et parfait.
Le ”vous devez arriver au jnâna” signifie que dans
cet état on ne peut concevoir la moindre réalité.
En conséquence, on ne fait, éventuellement, que de
parler d’Éveil insurpassable, authentique et parfait.
Cela correspond au Thème de la Carotte, ici la
SUPER CAROTTE, qui n’est évidemment pas une SUPER
CAROTTE, c’est pourquoi elle peut être ici l’objet
de sa mention.

SEUIL, PASSAGE : QUADRATURE ou TRANSPARENCE du Circulus et aussi définition de l’ÉVEIL INSURPASSABLE, AUTHENTIQUE ET PARFAIT.
Si bien que le Fruit de la Simplicité unique qu’on appelle ”Fruit de la Simplicité unique” (I), le Réalisé vivant dit que le Fruit de la Simplicité unique (II) N’EST PAS le Fruit de la Simplicité unique (III) ; et c’est bien pourquoi on l’appelle ”Fruit de la Simplicité unique” (IV).

Le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair ou sans tain] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938).
MIROIR SANS TAIN = le SOIS TRANQUILLE ET SACHE QUE JE SUIS DIEU : « La seule chose permanente est la Réalité ; et cela est le Soi. Vous dites : « Je suis », « Je suis en train de marcher », « Je suis en train de parler, de travailler, etc. ». Ajoutez un trait d’union à « Je suis » chaque fois, et cela devient « JE-SUIS ». Cela est la Réalité permanente et fondamentale. Cette vérité fut enseignée par Dieu à Moïse quand Il lui dit « Je suis ce JE-SUIS ». « Sois tranquille et sache que JE-SUIS Dieu ». Donc « JE-SUIS » est Dieu ». (Ramana Maharshi, entretien 503 du 17-8-1938). Oeil du cyclone ou FLÉAU…. Le Centre est nulle part. (Ce n’est pas pour autant le futur PANOPTIQUE INFORMATIQUE DE BIG BROTHER, un ”centre” nécessairement SAISISSABLE par l’humain qui le fabriquera).

[En haut de page : Bouteille ou Bout-œil du Vas-y voir aussi bien dans la Divine bouteille de l’Alcoolique qui VOIT LE SEUL RÉEL : AUCUNE DUALITÉ, malgré l’occasionnel dédoublement des images dans sa vision d’ivrogne qui ne sera qu’un effet de surface, et Bout-œil dans une des premières triodes avec son queusot, le rétrécissement au sommet du tube : une VT1 de Western Electric avec sa plaque ondulée pour éviter les vibrations intérieures perturbant le signal de sortie.
V.I.T.R.I.O.L. Visita Interiorem Terrae Rectificando Invenies Operae Lapidem [ou Occultum Lapidem] (Descends [ou explore] dans les entrailles de la terre [donc réalise le Soi, ou le « Connaître toi-même par toi-même »], en distillant [ou en rectifiant] tu trouveras la Pierre de l’Œuvre [le ”Je suis ce JE SUIS”])].
 
 

Dernière mise à jour : 04-10-2023 12:43

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >