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Ferme-aime-mentation Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 26-02-2024 20:01

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Tags : Administrateur, Aiguille, Amour, Anarchie, Archange Michel, Bolchevik, Carotte, Celtes, Conformité, Dragon, Banques, Consommateur, Dehorscratie, Dragon, Eau, Ego, Fascisme, Gate gate, Gaulois, Homéopathie, Horticulture, Humain, Hiéroglyphe, Histoire, Intelligence artificielle, Judéo-maçonnerie, Laïcité, Libération, Limite, Logibriquet, Logiquopinion, Marxengelsisme, Miviludisation, Nation, Noël, Or, Paix, Penser, Pierre, Pont, Ptah, Racine du mal, Raison, Réel, République, Robot, Saisie, Simplicité, Temple, Temps, Transparent, Trou, Utotalitarisme, Vacuité, Valeur, Vierge, Washingtonisme, Westminsterisme, Winner, Woke, World Economic Forum, Xalemme

 
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Ferme-aime-mentation
D’où viennent les vers dans
un camembert un peu ”dépassé”
par Louis Pasteur et l’industrie
capitaliste de Lactalis ?


Page dédiée à Antoine Béchamp.
 
 
FERME-AIME-MENTATION (fermentation) : LEVAIN (Enzymes, Fèces)
AGENT/FERMENT : le fruit où ce qui va grandir, mûrir. Chauffage naturel, fièvre….
Ce sont les Enzymes(les Gate-Gate) qui donnent le mouvement/agitation à la Matière.
MOISISSURE : sorte de Champignon qui attaque l’Organique.
Symboliquement : Mûrissement de la Matière.
C’est bien une PORTE, UN PASSAGE VÉRITABLE. Car la Fermentation change les corps de nature, alors que dans la Putréfaction : le corps échange ses vêtements.
Le Mercure Uni-ver-sel c’est :
1) FERMENTATION – Feu acide et froid
2) PUTRÉFACTION – Feu alcalin et chaud (matière Vase et Fourneau puisque le Feu introduit est le Feu Naturel qui cuit la Matière).
Le Mercure Universel dissout et fixe en même temps, car il provient de l’union de deux feux en contraire l’un de l’autre, MAIS DE MÊME ORIGINE.

La formule du destructeur de l’Alchimie, Lavoisier, qui en eut la tête coupée par la républicaine Guillotine : « Tout se transforme, rien ne se créé », est dans le parfait conventionnel de l’inconscient collectif de C.G. Jung, puisque « rien ne se crée » ; la formule au sens du mot ”Constante” à la mode ”Vitesse de la lumière” et ”Circulez ya plus rien à voir !”.
Lavoisier a oublié le Soi, le Gate Gate ou FERMENTATION le FERME-AIME-MENTATION. Tout meurt : le corps, mais pas le Soi, pas l’Ainsité :
Iti désigne l’ainsité (ainsi), le Soi, la Seule Réalité, le « JE-SUIS », tathata en sanskrit, shinyo en japonais (‘Je’ et ‘je’) et devient ku : au-delà de l’ego et de ses différences sur-mortelles par leur vulgaire loi de succion et du C(T)OUCHER.

AINSITÉ : ni s’enfuir, ni s’approcher. Le Centre est nulle part et la Circonférence est partout.
Ni apparaître, ni disparaître, seulement « Je suis ce JE-SUIS » ou immortalité, éternité du ‘Je’. Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux : « Il m’arrive encore de désirer le retour au Néant, l’anéantissement du ‘Je’. Mais, écrivant cela, je m’aperçois que c’est impossible. Retour au Néant ? Mais on ne peut retourner « à quelque chose » qui, par définition, ne peut être le Néant, le Rien. L’anéantissement du ‘Je’ ? Mais ce ‘Je’ est la fine pointe de mon âme, par laquelle je suis une « personne », selon la définition qu’en donne Olivier Clément, par laquelle je touche Dieu, je suis Dieu. Pouvoir tuer mon ‘Je’, ce serait pouvoir tuer Dieu. Idiot, stupide ! Le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source ».

L’œil ne peut fonctionner qu’en utilisant la lumière émanée du soleil, sans cela l’œil est inutile. De même, le jiva ou individu ne peut fonctionner qu’en utilisant la Conscience [le Sel…] qui émane du Soi. Également, de même que l’œil ne peut fonctionner que dans la lumière réfléchie du monde des  Essences. S’il l’œil se tourne pour regarder le Soi, il sera entièrement effacé et se fondra dans le Soi avec lequel il ne fera plus qu’un, comme le fleuve qui va à la mer ne peut supprimer sa source. C’est le EST, le « Je suis ce JE-SUIS ».

Une Variation du Thème du Soi, de l’Ainsité, pourrait être ce qu’Antoine Béchamp appelle ”Microzyma”, ce MOUVEMENT selon le principe des ouvertures des portes sans fin : les Gate Gate du « Gate gate pâragate pârasamgate bodhi svâhâ » du Soûtra du Diamant (Allé, allé, allé au-delà, allé complètement au-delà, l’Éveil, ainsi) ; et sa Variation selon la devise alchimique : Aller vers l’obscur et l’inconnu par ce qui est plus Obscur et Inconnu encore.
Évidemment le système de Louis Pasteur s’inscrit dans l’inverse du Gate Gate : IL FIXE, IL COAGULE, IL TUE !

Alors que tous les noms-les-formes ou toutes les formes de vie ne vivent qu’en GATE GATE : ce « milieu » en RIEN DANS LE TOUT ET TOUT DANS LE RIEN : LA VIERGE NOIRE ET SON ENFANT, une ISIS-NEPHTYS les deux Pleureuses (Fermentation-Putréfaction) de la suite Osiris sur l’Arbre de Vie qui se termine par après STETH : L’HORUS LE FAUCON-HORIZON : L’ŒIL QUI VOIT TOUT, L’ENFANT PROTÉGÉ PAR SA MÈRE LA VIERGE NOIRE. Dans le récit irlandais des aventures de Tuan Mac Cairill, le Faucon est un des états successifs, des Gate Gate, de cette forme de vie primordiale. Faucon qui correspond à l’Aigle dans un conte gallois sur les Anciens Mondes. La Faucon encapuchonné est déjà une dégénérescence marquant la préférence au POUR-VOIR, au WINNRISME DE LA LUMIÈRE-WINNER SUR L’OMBRE-LOSER comme ce ”isme” se reflète tant à nostre époque du siècle des loupiotes qui a en horreur tout ce qui est INNOMMABLE, DONC TOUT CE QUI EST CACHÉ, INSAISISSABLE, NON-IDENTIFIABLE OU NON-FIABLE (pas étonnant qu’il y ait en France un ”ministère de la vérité” : la Miviludes dépendante du même ministère de l’intérieur et extérieur….).

LES GATE GATE ou ouvrir les Portes des Portes sans fin, sinon, c’est la mort effective, c’est la Pasteurisation, c’est la miviludisation des cerveaux dans la norme du monothéisme unilatéral républicain matriarcat du désordre publique !!!
ntoine Béchamp s’inscrit dans le Thème du Dhyâna : CONTEMPLATION(1), là où n’existe aucune coagulation, aucune fixation permanente, elle ne sont que temporaires dans le BALANCIER-FLÉAU de Coagulation-Volatil.
CONTEMPLATION, DHYÂNA = LE GATE GATE DU ”LAISSER UN ON NE SAIT QUOI VENIR D’UN ON NE SAIT OÙ”, qui est le propre du FERME-AIME-MENTATION (fermentation) : LEVAIN, évidemment incompatible avec de monde actuel de la POSSESSION, de la SAISIE EN POUR-VOIR, EN ”CONSTANTES”, EN DOGMES ET LOIS PÉPÈRES TOUT CONFORT POUR CEUX QUI LES FABRIQUENT. Car toutes formulations, tous calculs, toutes pasteurisations Nous enferment DANS UN CORPS-IDENTITÉ-LOCALISATION et donc espace-temps.

GATE GATE = LE RENONCEMENT-FERMENTATION et PUTRÉFACTION : l’annulation permanente de toute impression, de tout sentiment-possession au fur et à mesure qu’ils se présentent pour PARASITER, cela constitue l’ÉTAT CONTEMPLATIF ou DHYÂNA : discrimination sans discrimination. Mais si jamais il reste des FÈCES, DES GERMES, ILS VONT TUER LES MICROZYMAS, LES GATE GATE, SOIT FERMEZ LES PORTES, FABRIQUER LES BÉQUILLES TOUT CONFORT, OU CONSTRUIRE L'INDUSTRIE, LE FOYER, LA MAISON, PUIS LA CITÉ, LES LOIS POUR ADMINISTRER LES INÉVITABLES COMMERCES ET CONFLITS.
QUI S’ARRÊTE, QUI SE CONFORTE, QUI S’INSTALLE QUI COAGULE SE TROMPE.

Qu’il y ait un ciel bleu ou un monde, avec plein de formes de vie dedans, cela ne Nous concerne pas, c’est l’affaire de ce monde. Contempler = délaisser les a-faires de ce monde. La Grande Affaire du Contemplatif est le NON-AGIR ou Wou-wei ou Wuwéi : le "non-agir", ou plus vulgairement : le "lâcher-prise". Tout ce qui se fait spontanément est supérieur à ce qui se fait volontairement. Faire le vide pour faire le plein ! Le Wuwéi est l'état de celui qui a atteint l'Union mystique (comparable au Nirvâna bouddhiste de l’outre-souffrance).
DEMEURER SANS FIN DANS LE GATE GATE LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE. AUCUNE INSTALLATION TOUT CONFORT POSSIBLE POUR SE TIXER DANS UN TOMBEAU ARRIVISTE À GRANDE VITESSE.

NOUS VENONS NUS AU MONDE DU SPATIO-TEMPOREL, NOUS REPARTONS NUS DU SPATIO-TEMPOREL. MAIS CERTAINS S’EVERTUENT ÉGOÏSTEMENT À « FAIRE DES ENFANTS » POUR SE PERPÉTUER, COMME POUR « LAISSER UN SOUVENIR », UNE CROTTE, UNE HISTOIRE D’EUX-MÊMES !!! ILS APPELLENT ÇA « LES GÉNÉRATIONS » (’Que laisserons-nous à nos enfants ?’).


Après le Faucon-Œil Horus, vient Anubis l’Embaumeur et la Douat : le Monde des Morts : La Terre ou spatio-temporel gouverne tous les humains : Horus-Fils-Père, dans son aspect de la Renaissance d’Osiris-Christ-Ptah. Dans la Douat Ptah en est le Maître, pendant la Nuit, Vie DES MICROZYMAS, VIE DES GATE GATE, VIE DES ARTISTES-ARTISANS : ÉTANT DE LA FAMILLE DE PTAH : ILS ANNONCENT L’AUBE ; RIEN DE PLUS SIMPLE COMME CRÉATION QUE S’EN EST À PLEURER : OUROBOROS : ON BOUCLE AVEC LE PTAH CRÉATEUR (solaire) ; aucun Big Bang !
GATE GATE : ON COMMENCE SEULEMENT À AIMER, AMOUR : du A privatif, et de mort : privation de mort = les Gate Gate ou Microzymas : on peut alors COMMUNIER, mais pas analyser, AIMER, mais sans dualité sujet-objet comme actuellement.
La connaissance actuelle repose sur la QUANTITÉ, qui va s’appeler chez les utilitaristes Anglo-américains : ”intelligence artificielle”. Nous, la Vraie Connaissance est en GATE GATE, ou en MYCROZYMA : DEMEURER SANS FIN NI BUT PAR LA NON-DEMEURE, LA VRAIE DEMEURE DU SANS DEMEURE, LA VOIE DE DHYÂNA OU CONTEMPLATION (1) : LE FLÉAU OU DESTRUCTION, GRANDE EXTINCTION SANS RESTE ET EN CONSÉQUENCE SANS MANQUE.

GATE GATE, MYCROZYMA = LE CENTRE EST NULLE PART, MAIS SANS LUI IL N’Y AURAIT PAS DE CIRCONFÉRENCE PARTOUT : TEL EST LE SENS DE LA POINTE, DE LA PIQUE, LE SENS DE L’HOMÉOPATHIE, LE SENS DU « NEST PAS X », DE l’ACUPUNCTURE ET LES PETIOTES CHOUSES de Cyprian Piccolpassi Durantoys : « Grandes vertus gisant es chouses petiotes créées par Dieu », dit une note de bas de page du livre : Les trois Livres de l’Art du Potier (l’ARGILE ADN comme catalyseur pour les processus de combinaison des acides nucléiques : ADN, ARN… L’ARGILE ADN…).
La vie survient à la POINTE DU JOUR (par exemple Oreste ”se tient debout sur une montagne”, c’est l’AUBE, équivalence du christianisme et des trois religions abrahamistes du DÉSERT, partir du vide de ce désert…) :
Les POINTES ou AIGUILLE (Isis, la Chaise) rejoignent l’HOMÉOPATHIE, l’ACUPUNCTURE ET LES PETIOTES CHOUSES, le SPIKE (évidemment pas celui de l’industrie capitaliste de Big Pharma !).
Antoine Béchamp dit la même chose que Piccolpassi : « Or, depuis 1868, nous nous efforçons, M. Estor et moi, de démontrer que le seul élément de l'organisation dont la vie persiste après la mort est le microzyma, de même que, pendant la vie, c est lui qui apparaît le premier lorsqu'une cellule ou un tissu doit naître ». (Page 4 : Sur les Microzymas et les Bactéries - À propos d’une remarque de M. Balard).

L’Homéopathie utilise les petiotes chouses : les pointes ou HAUTES DILUTIONS, à tel point qu’il n’existe plus de matière de molécule présente dans une préparation, mais SEULEMENT SON « ESPRIT » (voir la MÉMOIRE DE L’EAU du médecin homéopathe Jacques Benveniste), comme le FEU est un ESPRIT ou : « un vent de Dieu tournoyait sur les eaux » comme l’illustre la Genèse 1, 2.

Le UN POINT C’EST TOUT : LE BINDU des deux Triangles opposés par le sommet figurant Shiva et sa Shakti (énergie, Mère divine personnifiant le pouvoir latent de Shiva, aussi la Conscience). POINT = NON-DUALITÉ.
Quant à la FLÈCHE de Rudra, elle signifie les conditions le dépassement du conventionnel, elle signifie la disparition de la loi de succion : absence d’attraction ou absence de distance et de pesanteur.
Flèche = intuition fulgurante : perce-voir, comme l’éclair de lumière.

UN POINT C’EST TOUT, LE SURFEU ou FEU PHILOSOPHIQUE.
POINT : TIRER SON ÉPINGLE DU JEU ET DU ‘JE’, CE N’EST PAS ”SOCIAL” MAIS FAIRE ”CAVALIER SEUL” : CHEVALIER (au sens de Sainte Thérèse ci-dessous, et au sens de spiritualiser un combat vers le ”Haut”, combat vers la Réalisation ; Perce-Val ou la Queste du Saint Graal, donc le ”Haut manger ou la céleste Nourriture”, le Vrai Feu. Le Vrai Chevalier s’introduit dans la Vraie Demeure et se nourrit lui-même de l’Hostie : le Centrum Centri)
Chez Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus : Acte d’offrande à l’Amour miséricordieux du bon Dieu : « Afin de vivre dans un acte de parfait Amour, je m’offre comme Victime d’holocauste à Votre Amour miséricordieux, vous suppliant de me consumer sans cesse, laissant déborder en mon âme, les flots de tendresse infinie qui sont renfermés en Vous, et qu’ainsi je devienne martyre de Votre Amour, ô mon Dieu !… ».
Le FEU PHILOSOPHIQUE EST PAR ESSENCE ANTI-SOCIAL, DONC LE CONTRAIRE DU FEU VULGAIRE QUI RASSEMBLE AUTOUR DE LUI. Le Saint se met en marge du social : IL TRANSGRESSE, VERS LE CENTRUM CENTRI, LA BARRIÈRE OU LE MASQUE DU CERCLE PROFANE. ON LE VERRA DÈS LORS TENIR LE RÔLE DE RAYONNEMENT PROTECTEUR, MAIS AUSSI DE PERSÉCUTÉ ET PARFOIS DEVENIR MARTYR.


QU’EST-CE LA FLÈCHE DE RUDRA ?

C’est PANique, ou le ”Mysterium tremendum” du mystère qui fait frissonner ou vibrer le corps entier, comme l’extase ou les convulsions ”sauvages” des ”possédés” et des maniaques ; il peut aussi se dégrader dans l’horreur et la répulsion du domaine halluciné. C’est PANique (deima panicon en grec) ; c’est LA FRAYEUR DE DIEU que le Vrai Jéhovah envoie tel Rudra envoyant sa Flèche, sa POINTE, pour paralyser l’humain. C’EST LA TERREUR SACRÉE, dont ”la peur des Esprits” n’est qu’une dégradation. De cette PANique va se développer le concept de SINISTRE, et à partir de là l’origine des Démons et des Dieux. Avec justesse les Anciens Grecs voyaient la maladie mentale comme SACRÉE : envoyé par les Dieux ; transe et extase spirituelle étaient à l’origine de toute folie. LA TERREUR NUMINEUSE (PAVOR SACER) EST À L’ORIGINE DE TOUTE SPIRITUALITÉ PRIMITIVE, LE VRAI FEU, LE SURFEU.

FLÈCHE DE RUDRA OU LA MASTURBATION : LE NATUREL FROTTEMENT : le Vrai Feu est découvert naturellement bien avant la plus petiote Flèche de Zeus telle la foudre arrachée au Ciel pour devenir de nos jours « l’électricité ». FROTTEMENT = FEU PHILOSOPHIQUE OU FEU DE ROUE (au sens vibratoire ou d’alternance, de RYTHME COMME LE FROTTEMENT OU LA MASTURBATION). La ROUE si importante : de celle du chariot au rotor bobiné d’un moteur tournant jusqu’aux engrenages d’une pendule et aux pneus d’une automobile. Daniel (cité par le Pseudo Denys l’Aréopagite dans Hiérarchie céleste, ch.15,8,9) décrit sa vision de l’Ancien et du Fils de l’Homme :
Son trône était flamme de feu
au roues de feu ardent.
Un fleuve de feu coulait… (7, 9-11)
(Voir aussi les Roues des Chérubins chez Ézéchiel).

FEU DE ROUE = Je suis ce JE-SUIS.
Par contre, du point de vue ”politique”, lorsqu’il s’agissait de tirer le Soleil (tribus d’Israël) levant de sa captivité, c’est Élohim qui parle à Moïse et non Jéhovah, ou plutôt le Vrai Jéhovah au sein du BUISSON ARDENT lorsqu’Il se définit Lui-même : « Éheiéh ashèr Eheiéh » (Je serai celui qui sera), ce que la version des Septante transforme en ”Je suis celui qui suis” ou ”Je suis ce JE SUIS”. CAR FIXER L’ICI ET MAINTENANT EST L’EXACTE MÊME IMPOSSIBILITÉ DE ”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR « L’AMÉLIORER », ET DONC « S’AMÉLIORER SOI-MÊME », C’EST-À-DIRE JOUER AU COMPLEXE DE PROMÉTHÉE !

Dans le SEUL RÉEL, on sera, on a été, on n’est POINT : POINT FOCAL, CENTRUM CENTRI, LE VRAI INSAISISSABLE (pas celui des Schwab-Harari…).
INSAISISSABLE AUTANT QU’IMPOSSIBLE DE ”SORTIR” DE L’UNIVERS POUR LE VOIR !
ÉLOHIM veut dire ”la puissance du jour” (mais derrière l’AURORE et son « OR ROSE »…), l’Or, le Jaune du ”Xanthos”, le jaune du fauve ou du blond. Le nom JÉHOVAH se compose de deux rythmes du verbe ÊTRE (ou vivre) en hébreu : ”Éheiéh”, il vivra ; et ”havah” : il a vécu. Quand au MARIAGE ou SYNCHRONISME entre les deux rythmes tel les Points noir et blanc ou deux Pôles du Taiji, il reste LATENT, sous entendu tel le Soi, tel L’OR ROSE, LA PETIOTE CHOUSE….
Bref, le jaune de l’Or métal et du Soleil feu tout aussi vulgaire sera ADORÉ au lieu d’être SIMPLEMENT honoré !!!
Nous subissons jusqu’à ce hui les conséquences de la découverte du feu vulgaire, de son adoration et de sa thermodynamique dangereuse, et au moins pire : ridicule…

Note.
1. Le terme dhyâna, dans son sens habituel, signifie méditation sur un objet quelconque, alors que le terme nididhyâsana est utilisé pour désigner la recherche du Soi. Les triades [sujet, objet, et la relation entre les deux ; le connaisseur, le connu et la connaissance, etc.] persistent jusqu’à la réalisation du Soi. Pour le débutant dhyâna et nididhyâsana sont semblables, parce que tous deux impliquent la triade et sont synonymes de bhakti [dévotion].
- Q. : Comment doit-on pratiquer le dhyâna ?
- M. : Le dhyâna sert à concentrer le mental. L’idée prédominante écarte toutes les autres. Le dhyâna varie selon les individus. Ce peut être une concentration sur un aspect de Dieu, sur un mantra ou sur le Soi, etc. (Ramana Maharshi, entretien 52 du 9-6-1935).


« Je posai au Maharshi une question au sujet de la contemplation. Voici comment il m’instruisit ».
- M. : Lorsqu’un homme meurt, on prépare le bûcher funéraire et on y dépose son corps. Puis on allume le feu. La peau est brûlée, puis la chair, les os, jusqu’à ce que le corps entier soit réduit en cendres. Que reste-t-il après ? Le mental. La question se pose : « Combien y a-t-il de personnes dans ce corps, une ou deux ? » S’il y en a deux, pourquoi dit-on ‘je’ et non pas « nous » ? Il n’y en a donc qu’une seule. D’où naît-elle ? Quelle est son essence (svarûpa, sa Nature réelle) ? Lorsqu’on poursuit cette enquête le mental disparaît lui aussi. Ce qui reste alors est perçu comme étant ‘Je’. Puis, s’élève la question :
« Qui suis-je ? » Le Soi seul. C’est cela la contemplation. C’est ainsi que j’ai procédé. En suivant cette méthode, l’attachement au corps (deha-vâsanâ) est détruit. L’ego s’évanouit. Seul brille le Soi.
Une autre méthode pour obtenir la dissolution du mental (manolaya) consiste à se tenir en la compagnie des grands – ceux qui ont atteint le yoga (yogârûdha). Ils ont une parfaite expérience du samādhi (contemplation). La réalisation du Soi a été pour eux chose aisée, naturelle, et ils y demeurent perpétuellement. Ceux qui vivent en étroit contact avec eux et en affinité s’imprègnent peu à peu de leur habitude du samâdhi ». (Ramana Maharshi, entretien 34 : YOGI RAMIAH RELATE SES EXPÉRIENCES).

Nididhyāsana (contemplation ininterrompue, profonde).

- Q. : Shrī Krishna m’est apparu il y a trois mois et m’a dit : « Pourquoi me demandes-tu la nirâkara-upâsanâ [contemplation du sans-forme] ? Il n’y a que sarvabhûtesu châtmânam sarvabhûtâni châtmani [BhG VI.29] (le Soi est en tout et tout est dans le Soi) ».
- M. : Cette phrase contient toute la vérité. Mais, même cela n’est qu’aupachârika (indirect). Il n’existe, en fait, rien que l’âtman [le Soi] et soi). Le monde n’est qu’une projection du mental. Le mental provient de l’ātman. Ainsi l’âtman est l’Être unique.
- Q. : Tout cela est difficile à réaliser.
- M. : Il n’y a rien à réaliser. C’est l’état de nitya shuddha buddha mukta (éternel, pur, éveillé et libéré). Il est naturel et éternel. Il n’y a rien de nouveau à gagner ; on ne doit que perdre son ignorance. C’est tout.
Pour ce faire, il faut remonter jusqu’à la source de cette ignorance. À qui appartient cette ignorance ? De quoi est-on ignorant ? Il y a le sujet et l’objet. Une telle dualité est caractéristique du mental. Le mental provient de l’âtman.
(Ramana Maharshi, entretien 104 du 28-11-1935).

La contemplation est un processus mental volontaire, tandis que le samādhi est au-delà de tout effort. (Entretien 187).

Sommeil Kevala Sahaja
Mental vivant Mental vivant Mental mort
Mental plongé dans l’oubli Plongé dans la Lumière Fondu sans le Soi
  Tel un seau attaché à une corde et immergé dans l’eau d’un puits Telle une rivière se déversant dans l’océan et perdant son identité
  Le seau peut être remonté par la corde La rivière ne peut pas refluer de l’océan.  Le Fleuve qui va à la Mer ne peut supprimer sa Source

« Tant que les samskâra [tendances innées, impressions] subsistent, il y aura toujours doute (sandeha) et confusion (viparīta). Tous les efforts tendent à la destruction du doute et de la confusion. Pour y parvenir, leurs racines doivent être coupées. Leurs racines sont les samskâra.
Elles deviennent inopérantes par la pratique prescrite par le guru. Celui-ci laisse au chercheur le soin de faire les efforts nécessaires pour découvrir lui-même qu’il n’y a pas d’ignorance. Cette vérité est enseignée au stade de l’audition de la Vérité (shravana) mais là elle n’est pas encore dridha (stable). Pour la rendre inébranlable on doit pratiquer la réflexion (manana) et la contemplation profonde (nididhyâsana). Ces deux processus détruisent les germes des vâsanâ [tendance, prédisposition latente du mental, impression formée dans le passé qui détermine nos pensées et nos actions], de sorte qu’elles deviennent inopérantes.
Quelques personnes extraordinairement douées obtiennent le dridhâ-jnâna (la connaissance inébranlable) en entendant une seule fois la Vérité (sakrichchra-vana-mâtrena). C’est parce qu’elles sont des kritopāsaka (des chercheurs avancés). Tandis que les akritopâsaka (les débutants) prennent plus de temps pour obtenir le dridha-jnâna. Certaines personnes demandent comment l’ignorance (avidyâ) a pu prendre naissance. Nous leur répondons que l’ignorance n’a jamais pris naissance, qu’elle n’a pas d’existence réelle. Ce qui est n’est que vidyâ (connaissance).
- Q. : Alors pourquoi je ne la réalise pas ?
- M. : À cause des samskâra. Toutefois, cherchez qui ne réalise pas et ce qu’il ne réalise pas.
Alors il vous sera évident que l’avidyā (l’ignorance) n’existe pas.
(Ramana Maharshi, entretien 289 du 30-11-1936).
Ne pas confondre le sens actuel de connaissance qui est seulement la récolte un peu partout d’informations, lesquelles peuvent ainsi former une « intelligence artificielle » en vu d’une UTILISATION, d’un faire/fer, soit LE CONTRAIRE DU SENS DU MOT CONNAISSANCE ! La Vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peut partout. Le TOUT est autre chose et plus que le total des parties.

[En haut de page : une Pyrite de Fer et ses 10 triangles flottants et premières figures fermées. Un Guru à elle toute seule…….].
 
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Dernière mise à jour : 26-02-2024 21:11

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