RAPPEL : la civilisation actuelle avec ses Super-héros du Grand Orient de France et autres philosophistes et « scientifiques » se prennent pour des Dieux et fabriquent la religion de l’homme en un Adam dévoyé. Adam symbolise le mental et son drame et l’usage idiot de la libre pensée ou volonté qui éloigne de l’Instant, et donc rend prisonnier (à l’envers). Or le fleuve qui va à la mer ne peut pas couper sa source ! Comme le refus de toute soumission envers le Créateur ou Instant, ou Soi, ne peut conduire qu’à la mort, puisque comme le fleuve a besoin de sa source l’Instant, le Soi, est la condition même de la vie. Dans toutes les traditions, l’humain qui se prend pour Dieu, tels quelques Super-héros, seront punis d’une sanction foudroyante.
Curieusement on dit « taisons la vérité », ou « toute vérité n’est pas bonne a dire », et les francs-maçons se cachent comme s’ils détenaient la vérité puisqu’ils doivent se taire...
Et MENSONGES = ÉTATS, il ne peut en être autrement en « démocratie » et sa « libre pensée », qui en triomphant signait son arrêt de mort puisqu’il est évidemment impossible de gouverner en reconnaissant à chacun le droit de ne pas être d’accord.
Club des Jacobins : sorte de loge centrale à Paris, avec ses loges de province fédérées en 280 villes.
Pourquoi « Jacobins » ou « Jacobites » ? Découle de Saint Jacques avec l’hospice de Saint-Jacques-de-Compostelle (ordre dominicain) : le club politique partisan d’un Étatisme dont les Lénine Staline s’inspireront probablement, qui s’établie dans un ancien couvent de jacobins. Les bolcheviks s’en inspireront parce que aussi bien en 1789 qu’en 1917 le mot
SUSPECT deviendra aussi à la mode que chez nous le mot SÉCURITÉ.
L’étatisme laïque typique c’est de permuter le « la maçonnerie en danger » en « la patrie en danger ».
Les jacobins n’avaient pas de drapeau rouge comme les communistes, mais portaient un bonnet rouge : le bonnet phrygien (dessin ci-dessous) issue du mithraïsme et évidemment de la franc-maçonnerie comme l’explique très bien
C.W. Leadbeater, franc-maçon du trente troisième degré, dans son livre :
Rites Mystiques Antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie.
Les jacobins introduisirent une nouvelle religion, une nouvelle opinion. Il n’y avait donc là aucune spontanéité de la part du peuple se révoltant contre le roi ! La spontanéité est ce qui est le plus proche de l’Instant, or la franc-maçonnerie en est totalement éloignée, puisque travaillant constamment du chapeau ou du mental ! De plus avec la distanciation de cause (cachée) à effet en pleine lumière... « Dans la Révolution, presque toute journée révolutionnaire, s’explique ainsi par une permanente conjuration des Loges, où rien n’est aussi complètement absent que la spontanéité, et où les deux moyens de machination, selon les prescriptions exactes de
Weishaupt [totalement dans le principe religieux communiste soviétique et l’
existentialisme à la Jean-Paul Sartre], ne cessent jamais d’être, un seul instant, la trahison la plus prodigieusement répandue, et la plus sauvage violence », écrit justement Maurice Talmeyr.
Même chose en ce qui concerne « la prise de la Bastille », ce fut le peuple qui fut le premier surpris ! Le peuple commença a parler de « terroristes », pardon, de brigands, comme on disait à l’époque. On parlait aussi d’Anglais, de Savoyards, d’Allemands, etc. Dans les campagnes du royaume les paysans affolés prennent des armes, des faux et des fourches. Partout, les Français sont affolés. Le déclenchement de la prise de la Bastille fera le premier martyr de 1789 :
Joseph François Foullon. Martyr, à 74 ans (vivre jusqu'à cette époque c’est exceptionnel), quand on lit le sort qui lui réserva la bêtise humaine de la foule, aussi bien avant qu’après son assassina.
Il ne faut pas oublier que s’il n’y avait pas de téléphone en ce temps là, le téléphone était le RÉSEAUX franc-maçonnique très structuré depuis 1717 ; le
télégraphe Chappe n’arrivera qu’en 1794. Mais le réseaux, comme d’ailleurs maintenant nos médias, rien de tel pour manipuler l’opinion et fabriquer la peur et fabriquer « l’insurrection ». En 1789 rien n’était dû au hasard ou à la spontanéité du peuple.
« Le
duc de la Rochefoucauld, évidemment abusé, comme tous les grands seigneurs de cette époque, sur ce que les Loges se réservaient de faire dans leurs « arrière-secrets », s’opposa, avec le plus rare courage, dès 1791, à tous les crimes qui suivirent les premières violences de 1789. On sait comment il fut massacré en province, après avoir donné sa démission de l’Assemblée.
Il mourut, évidemment victime de ces mêmes Loges dont il avait fait partie, et qui frappaient, en lui, l’adepte qui avait refusé de les suivre jusqu’au bout. Lire
les Gentilshommes démocrates, par le marquis de Castellane. Paris, Plon-Nourrit », note de bas de page de
Maurice Talmeyr, dans son livre :
La franc-maçonnerie et la Révolution française.
Maurice Talmeyr écrit qu’il existait un « Club de la propagande » destiné à propager les idées de 1789 dans l’Europe, afin de renverser tous les rois. D’une certaine façon ça continue de nos jours avec ce qu’il se passe en Syrie, etc., et avec le mondialisme.
Voici le réseaux de l’époque de Paris à l’Amérique dont beaucoup de frères expérimentèrent la Guillotine :
le duc de la Rochefoucauld, le duc d’Aumont, Lafayette, Mirabeau,
Adrien Duport,
Garat, Condorcet,
Clavières,
Barnave,
Le Chapelier (et sa loi interdisant le droit de grève et les syndicats et les corporations, le tout aux profits des Couilles en Or), Pétion, les
frères Lameth,
Héraut de Séchelles, Robespierre, Fournier l’Américain, Boyle l’Irlandais, de Saint-Severanda l’Espagnol, Verne le Suisse, l’abbé Grégoire, Barrère, l’abbé Fauchet, Germain, beau-frère de Necker...
Autre symbole franc-maçonnique de 1789 : Louis 16 fut enfermé dans le château du Temple (peinture en haut de page), construit par les Templiers en 1240, pendant le règne de Saint Louis dont j’ai déjà parlé à propos du démarrage du mondialisme.
À cette époque, selon ce qu’en rapporte
Barruel dans ses mémoires, cité par Talmeyr, la France devenait communiste, pardon, franc-maçonne, ce que ne manqueront pas de faire les bolcheviks des Lénine Staline en rêvant le monde converti à la religion communiste, ou mondialiste, ce qui revient au même !
Résumé : l’emprisonnement de Louis 16 est décidé par un pouvoir qui n’a jamais été Législatif, et sa mort est également décidée par un pouvoir qui n’a jamais été la Convention, et contrairement au vote de la Convention ! Et quel est ce pouvoir s’interroge Talmeyr ? Il nous explique que c’est le municipal Goret, qui déclare en toutes lettres dans une relation écrite : « Qui avait fait prendre toutes ces précautions ? Je l’ignore, je ne les ai pas entendu délibérer dans le Conseil, et j’ai toujours pensé qu’un parti occulte et puissant mettait la main à tout cela, à l’insu de ce Conseil, et même du maire qui le présidait » (G. Lenôtre,
Marie-Antoinette - Relation du municipal Goret, Paris, Perrin, cité par Talmeyr en note de bas de page).
Talmeyr a d’ailleurs raison de préciser que dans les Loges ont faisait déjà tomber symboliquement la tête d’un mannequin de Philippe le Bel ! Il faut se reporter au livre de C.W. Leadbeater mentionné plus haut, qui a une haine étonnante pour un maçon du 33è degré envers Philippe le Bel.
L’ordre du Temple fut abolit le 22 novembre 1312, date que la franc-maçonnerie commémore toujours « d’une façon frappante [sic] dans les rituels de nos grades supérieurs », écrit Leadbeater, qui ajoute : bien que les accusations n’étaient pas fondées. Il poursuit : « Les richesses du Temple durent être transférées à l’ordre de Saint Jean de Jérusalem, mais il est sûr que la part de la France se retrouva dans les coffres du roi Philippe. Le dernier acte de cette incroyable tragédie, et le plus brutal, advint le 14 mars 1314, lorsque Jacques de Moley, le vénérable Grand maître du temple, et Geoffroy de Charney, Précepteur de Normandie, furent tous deux publiquement brûlés vifs en tant qu’hérétiques relapses, devant la cathédrale Notre-Dame-de-Paris. Tandis que les flammes l’encerclaient, le Grand Maître cita le Roi et le pape à comparaître dans l’année devant le trône de Dieu, et le Pape et le Roi moururent dans les douze mois qui suivirent ».
Ensuite Leadbeater s’appuis sur la tradition qui veux qu’un petit groupe de templiers trouvèrent refuge en Écosse chez leurs frères Templiers, et se mélangèrent à leurs rites pour donner le «
rite écossais ».
La révolution française de 1789 découle de cette haine de plusieurs siècles envers la monarchie et l’Église, comme le laisse entrevoir cette phrase de Leadbeater envers Philippe le bel, Leadbeater qui considérait les Templiers comme innocents. Était-il naïf, ou bien membre de la loge du Diable ??
« L’étude des témoignages et des dépositions montre la parfaite innocence des Templiers [sic] et l’ingénuité diabolique [politique] des proches du Saint Offoce, qui les maintiennent isolés, sans qu’ils puissent être défendus correctement [comme maintenant...] et firent circuler parmi eux des fausses rumeurs [comme maintenant] selon lesquelles le Grand Maître avait reconnu devant le Pape que le mal existait au sein de l’Ordre. Les frères furent cajolés, soudoyés et torturés [comme maintenant et sous Staline] pour qu’ils confessent des crimes qu’ils n’avaient pas commis et furent traités avec la cruauté la plus extrême. Voilà quelle était la « justice » de ceux qui portèrent le nom du Seigneur de l’Amour au Moyen-Âge ; voilà quelle fut la compassion témoignée à ses fidèles serviteur, dont le seul crime était leur richesse [enfin Leadbeater parle du principal], légalement acquise [?] au nom de l’Ordre, et jamais pour eux-mêmes [? Faut pas pousser tout de même !]. Philippe le Bel obtint les fonds qu’il voulait, mais quel karma serait jamais à la hauteur d’un tel ignoble scélérat, même mille vies de souffrances ? Sans aucun doute, l’Église catholique avait-elle à son actif de nombreuses actions bénéfiques ; mais celles-ci réunies pouvaient-elles jamais effacer une cruauté aussi incroyable que celle-là ? »
Quel fanatisme religieux, quelle haine de la part d’un maçon du 33è degré, qui ne pond que ses opinions en forme de haine la plus grande. J’en suis même stupéfait ! Les frères doivent se monter le bourrichon les uns les autres puisqu’ils travaillent du chapeau, et semblent si rancuniers pour des humains soi-disant éveillés et libérés, en tous cas loin d’être libérés de la haine ! Il y a là un étrange problème tournant autour du temps, c’est le cas de l’écrire...
Donc ici il ne faut pas assimiler la révolution de 1789 avec une « évolution » ou progression ou progrès à la Darwin, mais un INTÉRÊT dans tous les sens du terme. On retrouve là encore le mental et la volonté qui éloignent de l’Instant.
INTÉRÊT : 1251, du latin
interest : il importe. Puis en 1462 ça possède le sens de l’argent : dommage puis intérêt ; somme qui rémunère un créancier pour l’usage de son argent par un débiteur pendant une période déterminée. Comme déjà écrit, Saint Louis était passé par là et les Templiers aussi !
Rien n’est innocent et honnête en ce qui concerne l’argent, d’autant plus que les sommes sont élevées. Leadbeater est naïf ou de mauvaise foi. Les attaques contre le christianisme continuent de nos jours, notamment avec la singerie du « mariage gay », même si ça doit se faire « laïque » à la mairie façon république !
Note.
1. L’Homme Archétype, l’Humanité ; « l’Homme Céleste » qui n’est pas tombé dans le péché. Les Cabalistes le rattachent aux Dix Sephiroth [
Arbre de Vie] sur le plan de la perception humaine (
W.Wynn Westcott). Dans la Cabale, Adam Kadmon est le Logos manifesté correspondant à notre Troisième Logos : le filon-Manifesté étant l’Homme idéal, premier paradigme, symbolisant l’Univers
in abscondito ou dans sa « privation » au sens aristotélicien. Le Premier Logos est la « Lumière du Monde », le Second et le Troisième – ses ombres qui s’approfondissent par degrés. (
Glossaire Théosophique, de H.P. Blavatsky).
Osiris entre dans le thème Adam Kadmon, puisque Osiris est surtout le prototype du Christ des chrétiens.
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