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Évolutionnisme inversé et bloqué Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 13-01-2013 19:29

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
 
Évolutionnisme inversé et bloqué
 
 
Les Juifs ont perdu le Temps !
Mais ils n’ont pas perdu l’argent !
Le Temps n’a jamais été perdu
Puisque c’est le Soi l’Instant,
ici et maintenant.
 
 
Trinité orwellienne et actuelle :
La guerre c’est la paix
La liberté c’est l’esclavage
L’Ignorance c’est l’énergie


Tout cela avec compas et équerres franc-maçonnique.
Où tout est mesuré et équilibré. Dans ce binaire informatique déjà en place dans le 1984 d’Orwell, il s’agit pour le pouvoir de construire une DOUBLE PENSÉE où deux termes apparemment contraires sont tenues pour vraies tous les deux. Voici un exemple actuel : guerre ou lutte pour la paix !
Un mot typique pouvant sortir de 1984 : « véritmensonge », mot a employer selon la circonstance du moment ! Ainsi un mensonge peut devenir une vérité, selon le principe d’ailleurs mis en place par les Jésuites et les suiveurs de Weishaupt : ce sont les chefs qui décident ce que les profanes doivent croire. Si le chef qui se prend pour Dieu décrète que la neige est noire, la masse doit le croire et la neige sera effectivement noire !
 
Voici ce qu’Orwell apporte en précision : il ne suffit pas d’employer la doublepensée, mais il faut la vivre (être dans l'Instant). Car par l’utilisation du mot, on en reconnaît la falsification implicite. En réitérant la doublepensée, on supprime en soi la connaissance même de cette falsification. Et dès lors indéfiniment, le mensonge prend toujours le pas sur la vérité.

Évolutionnisme juif mondialisme :
La tradition judaïque « attend avec impatience l’ère future où les conditions seront réunies pour rétablir l’authentique méthode de prononciation [Jéhovah ou Nom propre de Dieu !], l’homme rejoignant ainsi le Dieu dont il est issu, et pouvant prononcer le Mot dans toute sa puissance pour commander aux forces latentes dans sa propre divinité », écrit C.W. Leadbeater dans Rites et Mystiques Antiques : une brève histoire de la Franc-Maçonnerie.

Bref, on en revient naturellement et sans passer PAR CE BUT à l’Instant le Soi. Pour les Juifs il y a perte du Nom divin, donc perte de l’Instant, du Soi, alors qu'icelui n'a jamais été perdu.
Leadbeater précise bien que « Les Mystères judaïques sont aux origines de notre tradition actuelle [franc-maçonnique], les trois degrés corporatifs ayant toujours constitué la base de tout le système de l’initiation maçonnique, parce qu’ils sauvegardent les vestiges des Petits [premiers degrés maçonniques] et des Grands Mystères d’Égypte - les seuls à pouvoir être, dans leur forme originelle, dénommés des degrés [hiérarchie] ».

Dans la Novlangue utilisée dans le roman d’Orwell : 1984, il s’agit toujours de la méthode des initiés dirigeant les profanes, et Orwell a n’en pas douter a étudié l’Égypte ancienne, car dans les Hiéroglyphes, comme dans touts symboles puisque tout est double, il y a une lecture exotérique et ésotérique. Même chose dans l’argot : une corporation utilisera son propre argot pour éviter d’être entendu par le profane ou non initié. C’est casse-gueule et frustrant parce que même Leadbeater essaye de justifier naïvement cette division en écrivant : « Les prêtres, pour leur part, ne cherchaient pas à tromper les gens ; ils voulaient simplement instruire leurs auditeurs en fonction des besoins ce ceux-ci, et protéger des secrets importants de ceux qui n’étaient pas prêts à les recevoir ». En un sens il a raison quand on voit la bêtise de certaines personnes ! Mais dans ce cas là il ne faut laisser suspecter un secret, car les gens même incultes s’en trouveront frustrés. Et on tombe aussi dans la CENSURE et l’Inquisition lorsque Leadbeater écrit en forme d’excès ceci : « N’aurions-nous pas intérêt à concevoir aujourd’hui des moyens réservant l’usage des nouvelles découvertes des sciences (utilisées aujourd’hui pour blesser et détruire) à ceux-là seuls qui seraient sûrs de s’en servir pour le bien public ? »

Mots/maux : effectivement, avec la Novlangue ou sans, les mots/maux sont tous piégés, parce que depuis l’invention de l’imprimerie et du langage écrit, on s’enfonce dans un monde de plus en plus FAUX, de plus en plus ILLUSOIRE et EYES CANDY.
Nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur les représentations des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée, comme les poupées russes s’emboîtant les unes dans les autres de la plus grande à la plus petite ; et c’est le système des « ismes ». Notre conception moderne du monde et de nous-mêmes, est, un genre de sous-produit de l’invention du monde sur le papier (référence à L’univers de l’écrit, de David R. Olson).
Ainsi, au Moyen-Âge on parlait de « merveilles » et non de « merveilleux », prenant ainsi en compte l’événement plutôt que l’écriture. la terre qui s’ouvre, un animal qui parle, une lance qui saigne toujours, un bloc de pierre qui flotte sur l’eau sont autant de « merveilles ». On disait « se merveiller » (au sens de s’étonner).

Olson écrit que la caractéristique essentielle de la pensée [occidentale] dans une société de l’écrit est qu’elle porte sur les représentations [société de l’image], les formules, les équations, les cartes et les schémas [la raison], et non sur le monde lui-même. Le premier problème à résoudre si l’on doit se servir de ces représentations pour penser, c’est de parvenir à une distinction précise et catégorique entre la représentation et la chose dont elle est la représentation. Ce qui permet de comprendre clairement que toute chose [tout est symbole] peut être utilisé pour représenter tout autre chose, la géométrie [et les nombres] pour représenter le mouvement, ou les mots pour représenter, et non pour simplement nommer, les choses.

Aussi les symboliques « droits de l’homme » des Juifs rabbiniques aux lois noachides, avec : « Tous les hommes naissent libres et égaux », que faut-il entendre par « tous les hommes » ? S’agit-il de tous les hommes, ou seulement des hommes vraiment libres (et spirituellement et physiquement), à l’exclusion des autres non libérés et toujours esclaves (du travail, des manipulations des politiques, des médias, etc.) ??? D’autre part, faut-il comprendre « les hommes » comme n’incluant que les hommes, ou faut-il comprendre qu’il s’agit de tous les hommes ET de toutes les femmes ? Le problème est de savoir si une représentation doit être comprise littéralement ou métaphoriquement, comme une affirmation factuelle ou comme un modèle relationnel, comme une cause ou comme un effet, comme une revendication ou comme une preuve à l’appui d’une revendication. Comment déterminer la manière dont un énoncé ou une expression doivent être compris ? Est-ce que la capacité à le faire constitue un mode de pensée ?

Ne pas oublier que jusqu’à aujourd’hui la psychologie occidentale est fondée sur l’opinion d’Aristote selon lequel la logique est le modèle des inférences pertinentes. « Le syllogisme est une forme logique dans laquelle la véracité d’une déduction découle de la véracité des prémisses. Les progrès de la pensée, au sein des cultures ou chez l’enfant, pourraient être décrites en termes de maîtrise des règles de la logique. C’est cette conception qui a donné naissance à la notion de pensée prélogique ou de pensée primitive », écrit Olson. Il ajoute cette importance : « La recherche sur le raisonnement humain, qui s’est développée à une époque récente, a montré que la logique peut, au mieux, fournir un modèle idéal du raisonnement, mais non de ce qui se passe effectivement lorsque l’on pense ». Un chercheur (M. Henle) à montré que même les adultes instruits ont tendance à ne suivre les règles de la logique que dans la mesure où elles aboutissent à des conclusions qu’ils approuvent ! D’autres chercheurs ont montré que si les sujets font preuve d’une certaine compréhension des règles logiques, ils respectent ces mêmes règles dans certains contextes mais les trahissent dans d’autres contextes.
Ainsi, les déductions ne sont pas (et ne peuvent peut-être pas être) tirées des formulaires elles-mêmes, mais d’une façon particulière de les « comprendre ».

Pour tout le Moyen-Age, Aristote constitue le philosophe par excellence ! Pour nombre de gens de cette période Aristote constitue la vérité ! Étrangement et paradoxalement le Moyen-Age est l’époque du MERVEILLEUX (fées, nains et Élémentaux, légendes, magiciens, maléfices, forêts enchantées, châteaux mystérieux). L’aristotélisme ou système est propre à l’Occident, et d’abord à l’Espagne musulmane. En terre d’Islam, l’aristotélisme est absorbé par la synthèse d’Avicenne, dont on commente désormais les œuvres, plutôt que celles d’Aristote.

À partir du 15è siècle les Juifs traduisent (à partir du latin) et commentent les textes d’Aristote.
À partir d’Abélard, la logique entre en théologie non plus comme formulaire docile, mais comme véritable outil d’analyse, donc uniquement le touillage du mental et de la chronologie de l’idéation (pensée en séquences). Au 12è siècle, période où la « science » fait un bond, le plaisir de lire s’installe chez ceux qui peuvent se procurer des livres, les écoles de logique pullulent, les factions s’affrontent. Il commence donc à s’installer une certaine laïcisation. Le mouvement est amplifié avec l’apparition au 13è siècle des universités. Logique et pédagogie se fondent mutuellement. Ainsi dès les années 1230 naît une culture universitaire avec rituel académique et hiérarchie d’épreuves. On pénètre les deux pieds dans la rationalité. Oxford en Angleterre sera champion de l’organisation universitaire dès les années 1230, avec au 14è siècle les discussions sur le parvis (à l’extérieur des écoles et en l’absence du maître). Le Moyen-Âge a eu ses logiciens de métiers, auteurs de manuels (Petites sommes de logique), traités élémentaires et scolaires.

Avant l’arrivé d’une certaine laïcité, la théorie rhétorique médiévale considérait les textes comme des puits profonds dont on pouvait extraire un nombre infini de signification. C’est l’arrivée de la Réforme qui imposa une nouvelle manière et une base de penser les textes. L’interprétation devenait une technique, et cette technique consistait en « science » de penser.


RELIGIONS DU LIVRE, ÉTATISME ET DICTATURE DE L’ÉCRIT.

Si un individu peut avoir les compétences requises pour participer à n’importe quelle communauté textuelle, nous devons aussi reconnaître le fait que toute société est organisée autour d’un ensemble de croyances [surtout envers celles des banques], parfois exprimées sous forme textuelle, dont l’accès est source de pouvoir et de prestige. Dans une société bureaucratique, les problèmes de la loi, de la religion, de la politique, de la science et de la littérature constituent ces domaines privilégiés, et l’accès (et la participation) à ces domaines définit une forme particulière de culture écrite. C’est celle dont les institutions publiques, en particulier celles qui s’occupent de l’éducation, se préoccupent. Dans cette perspective, la maîtrise de l’écrit est la compétence qui permet de participer à ces domaines privilégiés.
...
Un ensemble d’activités n’est jamais fonctionnel pour tout le monde, et l’on commence seulement à envisager l’extrême diversité des usages et des manières de créer des textes.
...
Nous commençons seulement à reconnaître l’énorme variété des usages de l’écriture, pour des objectifs extrêmement divers dans les cultures les plus éloignées les unes des autres, mais aussi dans différents secteurs d’une même culture ».
(David R. Olson : L’univers de l’écrit - Comment la culture écrite donne forme à la pensée).
Ainsi le mondialisme et sa pensée unique judéo-franc-maçonnique, s’il prend corps, ne durera qu’une courte saison !

 
 

Dernière mise à jour : 13-01-2013 20:47

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