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Les Nazionistes d'Europe occupent la France Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 05-01-2014 17:09

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Anarchie, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Merde, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Opinion, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Révolution, Rire, Robot, Royauté, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Yokaï

 
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Les Nazionistes d'Europe occupent la France
L’Allemagne sioniste d’Adolf Hitler
Adolf qui facilita la création d’Israhell
 
 
En ces temps d’attaques nazionistes et fascistes du pouvoir français avec sa véritable haine imbécile, notamment celle du fasciste Manuel Valls, contre l’humoriste Dieudonné, il est bon de s’adonner à quelques « devoirs de mémoire ».


NAZIONISTE : les grands inquisiteurs qui interdisent de critiquer leur contrée si(o)nistre parce qu’ils utilisent leur outil inquisitorial nommé « antisémitisme » (c'est à la mode).
Pourquoi le terme « Nazioniste » ? Parce que les sionistes devraient un peu se connaître eux-mêmes quand on parle du parti National-Socialiste allemand, car ce sont bien les sionistes qui ont fait ami-ami avec le totalitarisme hitlérien. Évidemment pour le fric !
 
Ici je fais référence à une traduction anglaise par Djazaïri d’après Klaus Polkehn (parties de texte entre guillemets).

La censure des Juifs commence le 30 janvier 1933. Au printemps 1933 commence une coopération discrète  entre les sionistes et le régime allemand, afin d’accroître le flux de capitaux et d’émigrants juifs vers la Palestine ; et ceci alors que de nombreuses organisations juives exigeaient un boycott de l’Allemagne nazie. Les sionistes ont tenu le secret jusqu’aux début des années 1960.
Selon les statistiques, 503.000 Juifs vivaient en Allemagne en 1933, soit 0,76% de la population totale. Les Juifs allemands étaient dans leur très grande majorité non sionistes ou anti-sionistes, et avant 1937, l’union sionistes pour l’Allemagne avait beaucoup de mal à se faire entendre. Bref, à l’arrivée d’Hitler, les sionistes étaient une petite minorité insignifiante et pue influente.

Fascistes et sionistes croyaient aux pseudo théories raciales. Les uns comme les autres partageaient la croyance dans une mystique « nationaliste » mêlée de la « race » : autant l’un que l’autre étaient chauvins et ne juraient que par la « race » : « Le programme sioniste conçoit la communauté juive comme étant homogène et indivisible, sur une base nationale. Le critère qui définit la communauté juive n’est pas la confession ou la religion, mais un sentiment global d’appartenance à une communauté raciale que réunissent des liens de sang [part la mère juive]et historiques et qui est déterminée à préserver son individualité nationale ».
Donc c’est le même langage qu’employait les fascistes. Ainsi les nazis allemands voyaient d’un bonne œil les opinions sionistes, tel Alfred Rosenberg, principal idéologue du parti National-Socialiste :

« Le sionisme doit être soutenu vigoureusement de sorte à ce qu’un certain nombre de Juifs allemands partent chaque année en Palestine ou que, du moins, on leur fasse quitter le pays ». Considérant une déclaration de ce genre, Hans Lamm écrira plus tard : « ...il est incontestable que dans les premières étapes de leur politique juive, les nationaux socialistes pensaient qu’il convenait d’adopter une attitude pro sioniste ».

Hitler arrangeait les affaires des sionistes, car ils pensaient que cela pousserait les Juifs allemands anti-sionistes dans leur camp. Seuls, les sionistes voyaient des avantages dans le fait que le parti National-Socialiste enlevait aux Juifs leur citoyenneté et leur interdisait de travailler dans la fonction publique, et expulsion des Juifs immigrés en Allemagne après août 1914. L’historien britannique en non anti-sioniste, est d’opinion que « les dirigeants sionistes étaient déterminés dès le tout début du désastre nazi à retirer un avantage politique de la tragédie ».
« La première expression publique de cela fut l’œuvre du Dr Joachim Prinz, un rabbin berlinois qui était un sioniste convaincu et qui immédiatement après le 30 janvier 1933 décrivit la prise de pouvoir par Hitler comme étant le « début du retour des juifs à leur judaïsme ».
Évoquant le terrorisme fasciste contre les Juifs allemands, le rabbin Prinz écrivait : « Nous n’avons plus nulle part où nous cacher. Au lieu de l’assimilation, nous souhaitons la reconnaissance de la nation juive et de la race juive ». Cette opinion n’était pas isolée.

Le 13 juin 1933 dans l’organe officiel de la ZVFD, le Jüdische Rundschau :
« Le sionisme reconnaît l’existence d’une question juive et veut la résoudre d’une manière généreuse et constructive. A cette fin, il veut s’attirer le soutien de tous les peuples ; ceux qui ont de la sympathie pour les juifs tout comme ceux qui leur sont hostiles, dans la mesure où, du point de vue sioniste, ce n’est pas une question sentimentale mais un véritable problème à traiter à la solution duquel tous les peuples sont intéressés ».
En recourant à cette argumentation, le sionisme adoptait la même ligne politique que les fascistes ».

L’assemblage des mots/maux « lien de sang et de race » est donc à la fois sioniste et fasciste, au sens de l’Allemagne de Hitler, qui lui postulait une « âme spécifique » pour les Juifs. Les sionistes affirmaient ainsi: « Pour le Juif aussi, l’origine, la religion, la destinée commune et la conscience de soi doivent avoir une signification décisive dans sa façon de vivre. Ce qui nécessite de surmonter l’individualisme égoïste qui s’est répandu à l’époque libérale, et devrait être réalisé à travers l’acquisition d’un sentiment commun d’unité et en assumant avec joie notre responsabilité ».
Les fascistes récompensaient les sionistes pour leur « retenue » et permirent au ZVFD de poursuivre sans entraves ses activités. En même temps les fascistes mettaient moult obstacles sur les organisations non sionistes, parce qu’ils y voyaient leurs principaux opposants juifs.
Les fascistes souhaitaient que les Juifs se convertissent au sionisme.
Les sionistes pouvaient publier sans entrave, et dans l’Allemagne nazi furent publiés en toute légalité des textes de Chaim Weizmann, David Ben Gourion et Arthur Ruppin.

Les premiers jours de la domination nazie en Allemagne virent aussi le début d’une collaboration économique entre les fascistes et les sionistes. La compagnie de plantation de citronnier « Hanotea » achetait les marchandises allemandes dont elle avait besoin, les payant avec des comptes bancaires en Allemagne d’émigrants Juifs ! Les émigrants quittaient l’Allemagne et recevaient l’équivalent en immobilier de ce qui avait été prélevé sur leurs comptes bancaires. Au yeux des sionistes cela semblait une réussite, alors des négociations furent entreprises à l’été 1933 entre les sionistes et le ministère allemand de l’économie, d’où la signature de l’Accord Haavara (nom d’une compagnie à Tel Aviv jumelée avec sa sœur à Berlin, la compagnie Paltreu).

« La procédure se déroulait de la manière suivante : l’émigrant Juif payait avec son argent (la somme minimale était d’un millier de livres sterling) sur le compte en Allemagne de la Haavara (à la banque Wassermann Bank de Berlin ou à la banque Warburg de Hambourg). Avec cet argent, les importateurs Juifs pouvaient acheter des marchandises allemandes pour les exporter en Palestine tout en virant une somme équivalente en livres palestiniennes dans le compte de la Haavara à l’Anglo-Palestine Bank en Palestine. Quand l’émigrant arrivait, il trouvait dans son compte une somme équivalente à celle qu’il avait versée en Allemagne (c’est là que Ball-Kaduri observe : « après avoir déduit des frais assez élevés »). Ainsi les sionistes fondèrent la compagnie maritime : Shipping Company, qui acheta le bateau allemand de transport de passagers « Hohenstein » qu’ils rebaptisèrent en « Tel Aviv ». Au début le drapeau portait à la poupe son nouveau nom en caractères hébraïques, tandis que le Swastika lévogyre flottait sur son mat !!! Le capitaine du navire était d’ailleurs un adhérent du parti National-Socialiste !

L’internationale sioniste, tout comme le socialisme de Lénine, n’échappe pas au capitalisme, les sionistes voulaient que les immigrants Juifs d’Allemagne arrivent dans un pays pour le faire devenir pays capitaliste. L’argent n’ayant pas d’odeur et étant bien venu partout, les sionistes n’avaient aucun scrupule à s’associer avec des antisémites ! Avant même la création d’Israël, l’accord de transfert donna une forte impulsion à l’économie sioniste en Palestine. Des sources sionistes parlent d’une somme de 139,6 millions de Reichsmarks (une somme énorme à l’époque) transférée d’Allemagne en Palestine.


Le fric, toujours le fric :
« Une autre source situe le montant transféré à 8 millions de livres sterling. Ce n’est pas une simple coïncidence si les projets les plus importants en Israël ont été créés ou dirigés par des émigrants partis d’Allemagne. La plus grande fonderie de Palestine et l’industrie du ciment par celui qui fut à une époque directeur de la compagnie des eux et d’électricité de Berlin, le Dr Karl Landau. Le Dr Arnold Barth de Berlin, le Dr Siegfried Sahlheine de Hambourg et Herbert Förder de Breslau furent les premiers organisateurs de la banque Leumi. Fritz Naphtals de Berlin et George Josephthal de Nuremberg transformèrent en entreprise géante l’insignifiante « Arbeiterbank ». Certains des plus importantes firmes israéliennes furent fondées par Yekutiel er Sam Federmann de Chemnitz (Karl-Marx-Stadt à l’époque communiste) ; l’entré de Yekutiel dans le Who’s Who en Israël (1962) le présente comme un « fondateur » de ‘l’Israel Miami Group’ (Dan Hotel) ; le partenaire israélien du cimentier ‘Isasbest’ ; le fondateur et associé de ‘Israel Oil Prospectors Corp Ltd ‘ qui procéda au premier forage pétrolier ‘Mazal 1’ et présida de nombreuses autres entreprises... »

L’économie sioniste et du troisième Reich marchait la main dans la main. C’est seulement après la révolte arabe de 1936 que les divergences d’opinion commencèrent dans les diverses institutions nazis, sur la nécessité de poursuivre l’accord de la Haavara, car les inconvénients arrivent et sont beaucoup plus important que les avantages !
On peut probablement considérer que l’actuel Israël a bénéficié de tout le savoir faire technologique de l’Allemagne d’Hitler ! Celui-ci d’ailleurs décida en janvier 1938 que l’accord de la Haavara devait continuer. Hitler favorisa ainsi une immigration de masse en Palestine, et par tous les moyens possibles.
 

Les sionistes, ou nazionistes collaborent avec les services de renseignement nazis.


Dés les premiers jours de la domination nazis sur l’Allemagne, les sionistes avaient un contact directe avec l’appareil de répression nazis, donc coopération informelle entre la direction sioniste et l’organisation de terreur du troisième Reich : la Gestapo, les SS, etc. « Dès avant 1933, le dirigeant sioniste Leo Plaut « avait une connexion » avec la police politique et avec un cadre de la police, l’Oberregierungsrat Rudolf Diels (supposé être un camarade de classe de Plaut). « En fait, Plaut avait même le numéro de la ligne secrète de Diels et pouvait l’appeler à tout moment ». On peut seulement spéculer sur les détails de leurs contacts, parce que les documents à ce sujet sont enfermés à double tour aux archives de Yad-Vashem à Jérusalem ».
Les contacts sionistes et services de renseignements nazis étaient secret mais il existe des preuves concernant la collaboration sionistes et SS et son service de sécurité : la SD organisation de commandement politique et de formation des cadres pour la police totalitariste... La SD avait bien-sûr un réseau d’espionnage en Palestine, et dirigé par Otto von Bodelschwingh, agent SD et agent commercial à Haïfa. Tous ces gens travaillent à ce que les Juifs furent majoritaires par rapport aux Arabes. À cette fin des gens travaillaient avec les services secrets anglais et français, et voulaient coopérer avec l’Allemagne d’Hitler. Les sionistes voulaient envoyer un maximum de Juifs en Palestine, et seulement dans ce pays. En cela ils étaient aidés par l’Allemagne et sa Gestapo.

La colonisation par les sionistes :

« L’État sioniste doit être établi par tous les moyens aussi vite que possible afin qu’il attire un flux d’émigrants Juifs vers la Palestine. Quand l’État juif sera établi dans le cadre propositions actuelles de la Commission Peel, et dans la ligne des promesses partielles de l’Angleterre, alors les frontières pourraient être repoussées plus loin conformément à sa volonté [de l’Etat juif] ».
« Fin 1937, quelques mois après le voyage d’Adolf Eichmann, des envoyés du Mossad prenaient leurs fonctions dans les locaux de la Reichsvereinigung [Union des Juifs du Reich] au 10 Meineckestrasse à Berlin-Charlottenburg, avec la permission des autorités fascistes de Berlin ».

La tendance majoritaire sioniste, la tendance travailliste (Ben Gourion, etc.), et les sionistes « généralistes » (Weizmann, etc.) camouflaient leurs contacts avec les nazis en s’exprimant publiquement contre eux ! Pendant ce temps là, l’extrême droite du sionisme (ancêtre de l’organisation terroriste Irgun Zvai Leoumi, et ensuite le parti Herout en Israël) avait maintes fois exprimé avant 1933 son admiration pour les Mussolini et Hitler.

« Ce furent finalement des membres de l’Irgoun qui, dans leur intention de collaborer avec le fascisme allemand un an et demi après le début de la deuxième guerre mondiale (à un moment où le massacre des Juifs dans la
Pologne occupée avait déjà commencé) allèrent jusqu’à faire aux autorités fascistes une offre incroyable de coopération. (L’Irgoun qui s’était séparée de la Haganah avant de la rallier à nouveau en 1948, a fait partie intégrante de l’État d’Israël depuis lors ; son vieux leader Menahem Begin a été premier ministre d’Israël de 1967 à 1970 et est actuellement à la tête du groupe parlementaire du Likoud au parlement israélien)  ».
 
Proposition de l’Irgoun d’un mémorandum du 11 janvier 1941 :
« Il est souvent dit dans les discours et les déclarations des plus importants responsables politiques de l’Allemagne Nationale Socialiste qu’un Ordre Nouveau en Europe a pour condition préalable la solution radicale de la question juive par l’évacuation. (« Judenreines Europa ») ».
Évacuer les masses juives d’Europe est une pré-condition pour résoudre la question juive ; mais elle ne peut être rendue possible et complète que par l’installation de ces masses dans la patrie du peuple juif, la Palestine, et par l’établissement d’un État juif dans ses frontières historiques ». [sic]

Bref, les sionistes, l’Irgoun, veulent, si besoin « conquérir la Palestine » par la force : instaurer un « Ordre Nouveau » aux yeux du monde entier (voyez ce qu’il se passe en ce moment en France avec Dieudonné et Alain Soral) :
« La participation indirecte du mouvement israélien de libération à l’instauration d’un Ordre Nouveau en Europe, déjà dans sa phase préparatoire, serait associée à une solution radicale et positive du problème juif en Europe en conformité avec les aspirations nationales susmentionnées du peuple juif.
Ce qui renforcerait de manière exceptionnelle la base morale de l’Ordre Nouveau aux yeux du monde entier »...

« Chaque fois que la coopération entre les sionistes et les fascistes est révélée, les auteurs sionistes recourent à l'excuse toute prête selon laquelle les contacts avec les nazis n'avaient été noués que dans le seul but de
sauver des Juifs. Alors même que certains faits mentionnés précédemment contredisent cette thèse, on peut poser les deux questions suivantes aux tenants de cette thèse : « N'y avait-il vraiment aucun autre moyen de
sauver les Juifs Européens ? » « Était-ce le véritable motif des sionistes pour pactiser avec le Diable ? ».
Le seul but des sionistes était d’augmenter le nombre de Juifs dans la population de la Palestine.

« Non seulement les chefs sionistes ne firent rien contre le fascisme, mais ils entreprirent des actions qui sabotèrent le front antifasciste (en empêchant un boycott économique avec leur accord Haavara). En pratique,
ils rejetèrent des tentatives pour sauver les Juifs Allemands dès lors qu'elles n'avaient pas pour but l'installation des Juifs en Palestine. L'exemple qui suit est celui de la conférence d’Évian : quand après 1933 la majorité des pays capitalistes refusa d'accueillir les réfugiés Juifs d'Allemagne, le président Américain Roosevelt appela à la réunion à Évian d'une conférence sur les réfugiés. Cette conférence se tint du 6 au 15 juin 1938 avec la participation de 32 pays capitalistes. La conférence échoua étant donné que les participants refusèrent d'accueillir les réfugiés Juifs. On aurait pu supposer que le mouvement sioniste, qui était aussi représenté à
Évian, aurait essayé de faire pression sur les gouvernements pour qu'ils lèvent leurs restrictions. Mais les sionistes déposèrent au contraire une motion dès le début de la conférence pour demander l'admission d’un
million et demi de Juifs en Palestine. Ils n'étaient pas intéressés par d'autres solutions... ».

Les dirigeants sionistes ont donc la lourde responsabilité de l’échec à secourir un plus grand nombre de Juifs européens.
Avec le sionisme, le Juif errant n’est plus errant, il est sédentarisé, mais pas partout, seulement en Israhell !
Non content de posséder moult banques, le Yahviste possède désormais une bout de la planète Terre,
My God ! Que de pièges infernaux tend l’EGO. Et les mutilés sexuels au huitième jour de leur naissance en savent quelque chose...


[En haut de page : milice du mouvement scout sioniste Betar en 1936. Ayant été Louveteau et Scout dans les paroisses du 17è arrondissement de Paris, importante précision : ne pas confondre avec les scouts de Baden-Powell, et surtout pas avec les Scouts de France des années 1950 qui étaient entièrement tournés vers le catholicisme, avec dans les années 1950-60 leur importante boutique (La Hutte) rue de la Pépinière à Paris 8ème, qui vendait tout l’arsenal nécessaire au scoutisme : sacs à dos, vêtements et uniformes, matériel de camping, librairie, etc.]

 
 

Dernière mise à jour : 05-01-2014 17:44

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