Consensus = sentir
donc de l’ordre du corps ou matérialisme
de l’ordre du sentiment,
soit L’OPINION

Consensus ou principe de l’actuel régime républicain.
Consensus ou faire partie de la Paroisse.
Consensus ou endoctrinement religieux et
d’éducation nationale par manipulation de la jeunesse.

 

 

RAPPEL : sans le consensus (manipulation) demandé par les cancéreux du pouvoir aux peuples, il n’y aurait ni société de consommation, ni toute la production d’abondance dont nous disposons, ni toute la folie technologie qui remplit nos maisons et l’étatisme, fruit de la recherche et de la production robotisée industrielle en série et à grande échelle, mondialisme oblige. Si l’Église de Rome manipulait les gens du temps de la Monarchie, C’EST PIRE DEPUIS 1789 car la « démocratie » ou la Super Carotte « pouvoir du peuple » demande encore plus de manipulations qu’avec l’Église de Rome et le roi. LA MANIPULATION EN PRIVÉ S’APPELLE LA PSYCHANALYSE ; elle se passe allongé sur un lit, alors que celle de l’Église se passait au moins verticalement dans le confessionnal. C’était plus humain, moins clinique et pasteurisé !
MANIPULATION : les médias transmettent aux masses, de façon uniforme et uniformisante, des informations de sources gouvernementales nationales, mondiales, provenant d’agences de presse ploutocratiques, comme Reuters ou Ansa, ou l’empire médiatique Bertelsmann.
La démocratie consiste non pas en un gouvernement qui fait ce que la majorité veut, mais en un gouvernement qui convainc les masses à accepter ce que le gouvernement et ses amis financiers veulent. Ainsi, DÉMOCRATIE = TRIOMPHE DES MENEURS.

 

LE CONSENSUS ACTUEL : ACCEPTER QUE LA CORRUPTION, L’INACCEPTABLE, L’INÉGALITÉ, DEVIENNENT NORMALITÉ !

Obtenir ou posséder du consensus, mais, pour qui ? Qui « achète » du consensus ? si ce n’est de nos jours de républicanisme ce régime républicain !
CONSENSUS : passer un accord, UN CONTRAT, entre deux personnes, et monter un Empire (cas de deux Anglais), ou  monter une banque ou une industrie de l’entertainment (cas de deux Juifs) ! Le consensus entre dans le thème du GRÉGARISME, qui n’a rien à voir avec la phrase de Saint Paul : « Les dons sont divers, mais c’est le même Esprit ».
Les informateurs, surtout avec le web, individuels, ou « collectif par social et ses réseaux », SONT TOUS DES CONVERTISSEURS, ou les PROSÉLYTES (les Païens se convertissent au judaïsme ou au christianisme, ou autre religion). Donc c’est accepter d’être converti, d’ÊTRE BOUFFÉ, DIGÉRÉ, ASSIMILÉ (pour les « migrants » le pouvoir parle bien « d’assimilation », comme à la laïcité avec obligation de ne pas porter de signes distinctifs de croyance à une religion ; bien sûr ce n’est pas valable pour les Juifs puisqu’ils sont « élus » et ont tous les passe-droits).
Comme écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, il est désormais temps de comprendre que la liberté ne peut venir qu’à la lumière de L’ENDROIT DES CHOSES, LE SENS PUR DIRECTEMENT ACQUI PAR CHACUN, SANS PASSER PAR L’ARTIFICE D’UN ENSEIGNEMENT OU PROPAGANDE TOUJOURS TROMPEUR PAR QUELQUE CÔTÉ. C’est l’équivalent de la Réalisation du Soi : voir la globalité du sens, « chacun recevra de ce soleil gnostique le rayon qui conviendra à son individualité. Il le verra plus lumineux que les autres mais non pas isolé. « Les dons sont divers, mais c’est le même Esprit », cite Coulonval.
Il ajoute : « Entre ces accentuations indéfiniment variées des différentes facettes du sens, il ne pourra jamais y avoir contradiction, toutes viendront du Sens des Sens, de l’unique Sens = Dieu. Il n’y aura plus d’opinions, toujours contradictoires et en conflit de par leur structure même ».

CONSENSUS = OPINION POLITIQUE : croire à un homme, à une opinion ou idéologie, c’est décider d’une constante, lui attribuer une « valeur » malgré l’expérience la plus criante, dans la paranoïa individuelle et collective, qui est la définition de l’opinion politique. C’EST UNE VÉRITABLE LITURGIE. « Dieu, s’il n’est pas la lumière qui transfigure, devient le masque qui déguise », de Gustave Thibon, cité par Coulonval.

La mode, suivre la mode, est du thème du grégarisme (le consensus du plus grand nombre de suiveurs), idem pour l'uniforme. Il en est de même en régime politique républicain où le roi n’est plus là, comme « intermédiaire » entre Dieu et les humains, pour réunir les gens lorsque le consensus se faisait naturellement depuis des millénaires ; évidemment c’était encore mieux sans chefferie !

« La Langue d’Ésope » résume bien l’opinion politique, le consensus, et le terrifiant dilemme multi-millénaires individualisme-collectivisme, toujours non résolu à ce jour :
« Ésope, était un esclave phrygien (la Phrygie est actuellement la Turquie) bossu, bègue et boiteux et probablement l’inventeur de la fable comme genre littéraire.
Le maître d’Ésope lui demande d’aller acheter, pour un banquet, la meilleure des nourritures et rien d’autre. Ésope ne ramène que des langues ! Entrée, plat, dessert, que des langues ! Les invités au début se régalent puis sont vite dégoûtés.
- Pourquoi n’as tu acheté que ça ?
- Mais la langue est la meilleure des choses. C’est le lien de la vie civile, la clef des sciences, avec elle on instruit, on persuade, on règne dans les assemblées...
- Eh bien achète moi pour demain la pire des choses, je veux de la variété et les mêmes invités seront là. Ésope achète encore des langues, disant que c’est la pire des choses, la mère de tout les débats, la nourrice des procès, la source des guerres, de la calomnie et du mensonge ».

Autre exemple : un mort doit traverser un fleuve, le Léthé (oubli), ainsi sur l’autre rive IL EST OUBLIÉ (on oublie vite les morts). Et en grec la vérité se dit aléthéia (privation d’oubli, ou plutôt la Gloire). Il paraît que certain « élus » ou privilégiés, héros, etc., étaient « rappelés » sur l’autre rive, AFIN DE RACONTER DES HISTOIRES, on entrait alors dans l’évolutionnisme.
Donc l’aléthéia était la star de nos jours, celui qui est connu, celui qui réalise le consensus : voyez la mode internet avec sur certains sites « sociaux » ou d’opinions les icônes duelles en pouce levé pour approbation, ou en pouce vers le bas pour exécution sans pitié. La star pour obtenir du consensus doit avoir la cote (to be popular), comme en politique, comme dans un sondage, bref, comme dans ce monde de la religion de l’argent.
To be popular = triomphe de l’ego ou dualité winner-loser, soit la super inégalité, qui va engendrer des violences.
Bref, il est évident que la vérité ne peut pas être le résultat d’un consensus, ni d’un vote du plus grand nombre, ni d’un égrégore toujours hyper dangereux. La vérité ne peut pas sortir du quantitatif. Là encore on retrouve le terrible dilemme individualisme-collectivisme, si chacun n’est pas un Réalisé !!!

Le vérité ne vient pas du plus grand nombre mais du JE SUIS CELUI QUI SUIS, donc du QUI SUIS-JE ? On procède de l’intérieur pour aller vers l’extérieur, et pas l’inverse comme maintenant ! On fait société avec soi-même avant de faire société avec les autres.
Ainsi, de nos jours, il n’existe peut-être qu’un seul Terrien qui s’approche de la Vraie Vérité, et le reste de l’humanité sera prêt à le tuer ! D’où d’ailleurs l’expression antique : « Ne laissez jamais entrer dans le Laboratoire une seule mouche pendant les moments délicats ! » (Fermez les “bouches”).
La mode des sondages bien dans le régime républicain actuel n’apportera jamais rien de positif, car on reste dans le consensus, donc dans l’opinion politique, le quantitatif ou majorité, donc encore et toujours la tyrannie de l’opinion, et jamais de la vérité.

QUANTITATIF-GRANDE ÉCHELLE = GLOIRE - SUPER GRÉGARISME - DIPLÔME - EXACERBATION DE L’EGO.

CONSENSUS = CONDITIONNEMENT SOCIAL : les fameuses « valeurs morales », le bien et le mal, ne sont qu’OPINIONS ACQUISES à travers un système de conditionnement social, surtout durant les premières années de la vie du petit humain ; ou à des actions ou expériences entrainant des réactions parentales, ou d’autres personnes, ce qui entraîne le système de la carotte et du bâton ou les bons points et les mauvais points, comme le jeu sado-maso, ce qui procure à l’enfant des états de bien-être ou confort, ou de malaise. Les cancéreux du pouvoir agissent toujours pour le bien de ceux qui sont soumis à leur pouvoir, SELON LE MODÈLE PARENTS-ENFANTS ; c’est ce qui leur confère autorité et légalité. On a là une attitude sado-maso.
« En exerçant leur pouvoir, elles [les autorités] respectent et font respecter les règles. Elles sont, par nature, intéressées au respect des règles et désirent, par nature, punir ceux qui les enfreignent. En outre, leurs actions visent à augmenter l’égalité sociale, jamais à accroître les inégalités sociales (les avantages en termes de pouvoir et d’instruments technologiques) à leur avantage ! Elles ne visent notamment jamais à cacher la vérité, ou des informations, ou a en donner de fausses à la nation ! Penser qu’il en est ainsi équivaut à mal penser de nos propres parents, à penser que notre père veut nous voler et que notre mère ne l’a épousé que pour son argent ; en conséquence, on devrait avoir honte de telles pensées et nous taire, rester à l’écart, comme ferait celui qui a des parents comme ça », écrivent M. Della Luna et P. Cioni dans : Neuro-Esclaves.

Certains milieux des cancéreux du pouvoir conditionnent, robotisent des jeunes enfants afin de leur confier une fois adultes des missions discrètes, comme tuer quelqu’un. De cette façon de conditionnement et de répétitions en répétitions à coups de récompenses-punitions se développent de nouvelles géométries de neurones qui distinguent le « bien » du « mal », ou quelles parties du corps et quelles émotions sont suffisamment « décentes » à montrer publiquement. Ceci pour montrer que la « morale » n’est qu’opinion et sentiments, et qu’elle varie en plus selon les pays et les cultures ; ELLE N’A PAS DE VALEUR OBJECTIVE, TOUT COMME LE CONSENSUS.
« En somme, la propagande est une gestion finalisée de l’irrationalité, des biases (inclinations subconscientes), de la désinformation et de l’erreur systématique des électeurs et des consommateurs sur de larges et importants secteurs de la vie collective, politique, économique. Il s’agit de les guider, à l’intérieur d’une fausse représentation de la réalité qu’on peut construire avec l’aide des médias, de manière à les porter [les électeurs, ceux à qui on demande du consensus] où l’on veut », écrivent Marco Della Luna et Paolo Cioni dans : Neuro-Esclaves - techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse.
CONSENSUS VA AVEC POLITIQUE : CONCERNE LES HABITANTS DES CITÉS, DONC LES CITOYENS : gestion des politai ou citoyens, « politikè techne », qui vient de « polites », « citoyens ».

Se libérer du consensus c’est se connaître soi-même par soi-même et donc être au-delà de la quincaillerie du transhumanisme obligatoirement lié à la finance, et dans la logique de l’évolutionnisme et de la Super Carotte de la « fin des temps » (Demain On Rase Gratis, le DORG). Il y a déjà des millénaires que l’humain rêve de liberté, et donc d’immortalité ou « d’augmentation » comme disent les transhumanistes. Augmentation : de l’espérance de vie, suite à une meilleure hygiène, soit le renforcement de l’ego (ce qui ne veut pas dire qu’il ne faille se laver un minimum !). Augmentation ou progrès, croissance à l’infini ou folie totale et disparition de l’espèce humaine (robotisés ou primitive ensemble). Augmentation bien dans cette civilisation du socialisme et de son QUANTITATIF-AUGMENTATION, et dehors le qualitatif. La Vraie Liberté ne peut venir que de l’individu lui-même, et jamais par un truc extérieur genre « augmentation » de force ou de muscle, ou de neurones, ou de ceci ou de cela, ou de capacité mental qui ne concerneront que le corps, et jamais le spirituel. Avec les transhumanistes on risque de tomber dans « le meilleur des mondes », soit, LE PIRE !
Seuls les DIMINUÉS INNOVENT, et certainement pas les augmentés ! Il y a maints exemples passés en sciences, en arts, en musique, en gastronomie, etc. Jésus-Christ a bien précisé que pour être reçus dans le Royaume des Cieux, il nous faudrait redevenir comme de petits enfants, donc sans ego, sans le ‘je’, donc DEVENIR DES DIMINUÉS.

TRANSHUMANISME = RELIGION DE L’ARGENT ET QUANTITATIF ET POLLUTION ET IMBÉCILITÉ.