Accueil arrow News arrow Dernières news arrow Cadeau (de fin d’année)
Cadeau (de fin d’année) Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 27-12-2017 00:43

Pages vues : 6448    

Favoris : 86

Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Appareil, Banques, Brighton, Cadeau, Capitalisme, Champignon, Chimère, Chrétien, Christ, Civilisation, Diable, Dragon, Dualité, Eau, Égalité, Ego, Empire, Épine, Estragon, Évolution, Fractale, Gentil, Goulag, Gratuit, Guerres, Histoire, Huile, Instant, Japon, Juif, Laïcité, Langage, Liberté, Loi, Loser, Lucifer, Lumières, Maçon, Mahométan, Médecine, Mental, Microbes, Multiculturalisme, Musiques, Opinion, Orgie, Ouvrier, Païens, Paix, Pierre, Peste, Porc, Porte, Radicalisme, Raison, Réalité, Religions, République, Réseaux, Sacrifice, Satan, Seuil, Simple, Socialisme, Société, Sommeil, Spiritualité, TAO, Technique, Templiers, Terrorisme, Thermodynamique, Train, Transhumanisme, Universel, Valeur, Vaisseau, Vérité, Vide, Vin, Winner

 
 
frise_contr_complem12.jpg
 
 
Cadeau (de fin d’année)
Monde des Cadeaux, Monde anti-Nature
Monde inharmonique ou thermodynamité.
 
 
CADEAU : étymologie de Chef, donc bien dans le capital-capitalisme et le Caput, la TÊTE, la RAISON ou MENTAL, le CORPS, c’est kif-kif.
Sens de 1656 : divertissement offert à une dame. 1669 : objet offert à quelqu’un (don, présent, étrenne).
CADEAU : paradoxe de ce monde où à cause de l’ego, du corps, n’existe AUCUNE gratuité. C’est chacun pour soi et tout payant, c’est peut-être gratuit pour celui qui reçoit le cadeau, mais payant pour celui qui l’achète pour le donner dans ce système donnant-donnant ! Fausse image de la trinité judéo-maçonnique spéculative : « fraternité-liberté-égalité ».
 
CADEAU : ACHETER QUELQU’UN PAR CE CADEAU. DEPUIS LE TROC CHEZ LES « SAUVAGES » ILS APPELLENT ÇA « ÉCHANGE » (de « bon voisinage », ou pour avoir la paix). Vrai qu’il y eut des sauvages puants… et puants d’intéressement façon miroir aux alouettes, ou plutôt miroir aux sauvages…
Effectivement Wall Street commence avec le TROC, donc l’intéressement, donc le CORPS ou MENTAL.
L’actuelle culture du narcissisme c’est celle du troc, celle de l’intérêt-intéressement. De cette inversion du ÊTRE devenu AVOIR (commission, rendement, taux, cause ou avantage). On parle souvent « d’intérêt capital », donc de « cadeau » ! On parle plus souvent de « prêt à intérêt » en cette civilisation du tout virtuel où l’argent n’a même plus d’odeur : une carte bancaire ça sent rien ! Sauf si vous la laissez tomber dans la merde… On parle d’intérêts de placement, etc. Tout ça entre dans la division winner-loser, ou le oui-non du binaire informatique, de l’utilité (utilitaire informatique…).

CADEAU : k-d’O-rigine, soit la FÉLICITÉ, que représente le mot K’d’O-rigine, étymologie de Chef, puisqu’issu de caput : tête, donc on retrouve paradoxalement la raison ou mental. Croire au mental ou raison comme le firent les perruques poudrées de leur « siècle des lumières » c’est encore une croyance, une opinion ; pire pour ces perruqués, c’est également une façon d’avoir la foi, qu’ils voulaient bazarder de toutes leurs forces à cause de l'Église.
Cadeau totalement singé, car principalement on achète quelqu’un à travers un cadeau, ne serais-ce que pour trouver « la paix ». L’offrande est très différente, on parle de don, de présent, ce qui évoquera le ici et maintenant et évoque le spirituel…
Cadeau = échange, c’est le troc et déjà Wall Street comme déjà écrit.
Avant la guerre de 1914-18, les parents n’achetaient pas de cadeaux, ILS LES FABRIQUAIENT, puis les offraient à leurs enfants, ou bien les enfants eux-mêmes se fabriquaient leur propre cadeau ; on était loin de cette société de consommation, consumation ou thermodynamique !
Dans la même période où l'on savait ce que voulait dire un Cadeau, en voici une description par Hyacinthe Dubreuil, dans : J’ai fini ma journée, page 12 :
Souffler la chandelle ou souffler la lampe à huile, qui se souvient encore de ces termes ?
« En ce temps là les ombres sur les parois permettaient d'évoquer toutes sortes d'images qui constituaient une sorte d'exercice d'imagination, que les nouvelles inventions ont supprimé. On s'amusait à en composer avec ses mains. Est-ce qu’on n’a pas perdu quelque chose par la disparition de ces exercices, qui sont d’ailleurs devenus impossibles avec notre lumière intense et diffuse. Aujourd’hui, on ne compose plus ces ombres qu’on appelait « chinoises » [du moins il n’existe plus ce genre de spectacle en Occident]. On va voir les images « préfabriquées » et mécaniques du cinéma, qui laissent un esprit passif. On pourrait dire la même chose au sujet de la multiplication des jouets mécaniques [et de nos jours informatiques]. Autrefois les enfants qui n’avaient rien inventaient leurs jouets, dans lesquels leur imagination voyait des merveilles ».

De nos jours dans certains pays asiatiques on pratiquent encore les spectacles d'ombres chinoises avec de savantes formes en papier ou en minces tôles découpées. Mais aujourd'hui l'imagination est fabriquée par l'industrie (Hollywood).
La guerre de 1914-1918 a détruit une grande caractéristique du passé bien plus que la révolution de 1789 : l'achèvement du passage à la civilisation industrielle et mécaniste, et on commençait à installer "la fée électricité" dans les chaumières, il arrivait le gaz de ville produit par le charbon... Je ne dis pas que « c’était mieux avant », parce que la logique, manière de vivre et de pensée et l’intellect de cette époque est non critiquable ou comparable en quoi que ce soit par un intellect actuel, mais il est certain que cet évolutionnisme galopant ne peut que nous conduire tous vers la mort, le rêve du mondialisme capitalo-socialiste, dont le transhumanisme qui y adhère totalement.


Caput, Caputalisme = évolutionnisme JUSQU’À CE QUE MORT S’EN SUIVE. C’est simple ! Et « gauche » (en système politique français) ce sont les paroissiens du Caputalisme.
Quant au « libéralisme », qui est du Thème Capitalisme, c’est simplement la culture du narcissisme : posséder sa petite vérité à soi, qui là aussi peut être sans limite, mais en illusion, car situé dans l’ego ou corps, dans le mental, c’est kif-kif. En d’autres mots, le libéralisme est l’EFFET MIROIR : le Pour-Voir : je me mire dans le miroir et icelui me renvoie mon image comme le marchand me renvoie ma marchandise achetée ; on est alors en plein ÉCHANGE, sorte de DONNANT-DONNANT, bref : du marchandage, du Troc.

NARCISSE = INDIVIDU CALCULATEUR, TRAVAILLEUR DU CHAPEAU, MARCHANDAGE PAR LE TROC. Et ça ne peut marcher que pour la génération opérationnelle, actuelle, pas pour celle à naître.
Cela rejoint le fait que DÉMOCRATIE = DÉPENDANCE À L’AUTONOMIE, PUISQUE CULTURE DU NARCISSISME ; dépendance à vivre en un ensemble de multiples séparatifs ou unités allant cahin-caha prisonnier de leur dualité, de leur corps. De plus les masses sont prisonnières du système idéologique économique de la finance juive internationale (même si l’oligarchie financière n’est pas toute juive). Le capitalisme déshumanise les êtres humains, comme le montre l’exemple de Hyacinthe Dubreuil cité plus haut, et dans ce même livre il donne nombre d’autres exemples de cette déshumanisation. Tout ce qui sera perçue comme vivant par le capitalisme, donc utilitaire, sera ressource financière pour lui, ainsi nous sommes nous-mêmes des marchandises, des « produits rentables », qui ne le sont plus quand on entre dans la vieillesse (sauf les vieux riches au fort « pouvoir d’achat » et de « services à la personne », nouveau nom de la domesticité). Normalement le vieux pauvre non rentable ne doit plus qu’arroser ses salades et aller à la pêche en attendant la mort…

CADEAU = ÉCHANGE DONC MOBILITÉ : balance « offre-demande ». Alors on supprime les frontière pour que les « échanges circulent », l’argent n’ayant pas d’odeur, donc de frontière puisqu’il est « bien » partout. C’est le « monde hôtel » de Jacques Attali : l’argent n’est que de « passage », comme le client d’un hôtel, le voyageur, la chambre qui passe de « main en main » ou plutôt de nuit en nuit avec un client différent chaque nuit.

LOGIQUE CAPITALISTE : CONSTRUIRE L’UNIVERSEL EN DÉTRUISANT LE PARTICULIER, DONC EN SIMPLEMENT DÉTRUISANT LE SOI. C’est-à-dire que dans ce système l’être humain est condamné, FIXÉ : toute évolution vers les Monde Libres sera fixée, interrompue, il n’existera plus qu’une « évolution statique », totalement artificielle (transhumanisme), et dans les trois Règnes : Minéral, Végétal, Animal et Humain. Ce mondialisme fixiste en « fin des temps » est déjà apparent dans le slogan de l’Union européenne : « Unité dans la diversité », l’Unité étant ce qu’il y a à détruire (à fixer), ceux qui ne suivent pas le troupeau seront abattus : Vous devez « compter » pour le système, c’est-à-dire vous devez faire partie du troupeau, vous devez être inséré pour exister, sinon vous n’exister pas dans le « corps social ». Voir l’exemple qu’en donne Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, avec la pièce de Ionesco : Rhinocéros, donc les « clients de l’hôtel » de J. Attali ! C’est-à-dire que « compter » dans le corps social ne doit plus pouvoir exister, cette prison doit disparaître et Coulonval écrit à Jean Charon en 1972 que « ce n’est pas pour demain ».

Le système des droits de l’homme est du thème de la culture du narcissisme : LA DÉMOCRATIE = DÉPENDANCE À L’AUTONOMIE, SOIT AU MONDE HÔTEL, OU « BOUGISME » OU NOMADISME COMMERCIAL. Les droits de l’homme permettent l’exercice du libéralisme et de son culte de manière non contestable, sous peine d’hérésie tant c’est la religion, la Bible ou dogme du régime républicain.

Jésus-Christ invente le socialisme, ou plutôt le REMET AU GOÛT DE DEUX MILLÉNAIRES. Si le FAUX socialisme est mondialement mort depuis la chute de l’URSS, le Vrai Socialisme est toujours en attente, comme aussi le constate Jean Coulonval qui, pour lui, ne peut passer que par Jésus-Christ, donc par le Soi, et sans chefferie.

Avez-vous remarqué ? Il n’y a plus de prisonnier, mais des « DÉTENUS », ce qui traduit extraordinairement cette culture du narcissisme et du capitalisme, du « Moi Je, J’ai, Je fais, Je suis ceci ou cela ». Des « détenus » comme nombre de gens possèdent, détiennent : une voiture, un compte en banque et une carte bancaire, une femme, un numéro de sécurité sociale et de tétéphone, un député, une assurance, un chien, un médecin, une savonnette, un aspirateur, etc., la liste est très longue en société de consommation et de cadeaux !
DÉTENU : étymologie de Tenir.
PRISONNIER : personne tombée aux mains d’un ennemi, qui alors le « possède » comme on possède une boîte de petits pois dans son placard de cuisine.
Dans les deux noms il y a PRISE, POSSESSION… Mais le mot « détenu » est plus sournois, plus virtuel, comme tout ce qui se fait désormais dans cette démocratie du régime républicain et capitalo-socialiste. Ainsi, le détenu serait moins prisonnier… Normal, on est branché sur le dogme des droits de l’homme… Cadeau de 1789 et des judéo-maçons spéculum…
 
 

Dernière mise à jour : 27-12-2017 01:13

Citer cer article dans votre site Favoured Print Envoyer à un ami Articles associés

Commentaires utilisateurs  Fil RSS des commentaires
 

Evaluation utilisateurs

 

Aucun commentaire posté



mXcomment 1.0.8 © 2007-2024 - visualclinic.fr
License Creative Commons - Some rights reserved
< Précédent   Suivant >