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Destruction de la Russie - Pièges juif Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 22-04-2009 00:57

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Publié dans : Nouvelles Spéciales, Russie

Tags : Argent, Banques, Bolcheviks, Business, Cosaques du Don, Dictateurs, Destruction de la Russie, Israël, Juifs, Pouvoir, Révolution, Russie, Sionisme, Terreur, Terroristes, Tortures


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Destruction de la Russie - suite 7
La fin du sionisme est en route


Camps de concentration, non pas pour Juifs, mais pour Russes.
L’œuvre des Jewish Communists, et à leur tête : le démiurge Joseph Staline

Le « Petit père des peuples » Joseph Staline, voulait purifier socialement
son pays - normal, c’était un spécialiste des purges...
 
 
Comment les Juifs communistes et sionistes ont inventés l’horreur du camp de concentration.

Le camp de concentration mérite une mention spéciale parce que c'est une nouveauté, que son nom est trompeur et qu'il englobe des centaines de milliers de bagnards. Ce n'est ni plus ni moins que le bagne, mais un bagne ouvert indifféremment aux voleurs, aux assassins, aux prostituées, aux saboteurs et aux détenus politiques. Cette mixité entre détenus politiques et détenus de droit commun, propre aux goulags, est de fait instituée.
 
" Le camp de concentration est d'origine relativement récente. Comme le nombre des emprisonnés s'accroissait formidablement, il devenait non seulement impossible de les loger dans les prisons, mais même de les nourrir sans conduire l'Etat à la faillite ; alors l'imaginatif Guépéou (GPU ou police politique) inventa le bagne-entreprise commerciale dénommé camp de concentration ". Il inventa un nouvel esclavage plus sordide que celui de l’ancien temps.

" Réunis par groupes de plusieurs dizaines de mille au milieu de marais à assécher ou de forêts à défricher, ou sur l'emplacement de canaux à creuser, les bagnards sont parqués dans des baraques " Adrian ", sous la garde de troupes du Guépéou ".
" On travaille à la tâche et on touche, selon son travail, 600, 400, 200 grammes, ou pas du tout, de pain par jour; la tâche à effectuer est importante parce que ceux qui espèrent obtenir une remise de peine font du zèle. Les " costauds " s'en tirent, les autres s'épuisent ; d'autant plus que le moindre déficit dans la productivité amenant une réduction de la ration, la faiblesse engendre automatiquement une productivité réduite, et ainsi de suite ".
 
 
 
Alexandre Tchaïanov (ou Tchayanov) (1888 - 1937) victime de la dictature juive-communiste. Un exemple de la pensée unique, ou « religion », comme le communisme et le capitalisme ; le communisme étant une tentative de réalisation, à l’envers, de la Royauté effective du Christ, et sous la direction du démiurge Staline, un dictateur à l’état pur dont les sujets ne sont que des objets a pétrir, à fabriquer.

Alexandre Tchaïanov fut célèbre en tant qu’économiste-agronome. Son œuvre littéraire, à base de fantastique (Diableries Moscovites) est liée à son travail d’économiste, mais elle n’était pas essentielle à ses yeux. Il possédait une vaste culture et parlait plusieurs langues européennes. Il entreprit des fouilles archéologiques dans les environs de Moscou, et rédige un guide de navigation sur la partie de la Moskova qui traverse la ville, il a aussi fait des recherches sur les lieux qui passent pour hantés.
Durant les première années du régime soviétique, Tchaïanov est loyal envers un système qui parvient encore à cacher son essence antidémocratique, il est nommé directeur de l’institut de recherche en économie agricole. Il voyage à l’étranger : Londres, l’Allemagne, la France, et il lui serait même possible de rester à l’étranger et d’y trouver un emploi bien rémunéré, car il est alors un économiste réputé. Il a manqué cette chance, voir la suite.

L’étau stalinien se resserre, la collectivisation massive entraîne un volte-face dans la politique agricole du gouvernement, et le 21 juin 1930, Tchaïanov est arrêté, victime de la vague de répressions qui frappe l’Académie d’agronomie et ses enseignants. Il est bien-sûr accusé d’avoir cherché a rétablir le régime du Tsar en provocant une famine générale, rien que ça ! Condamné comme « ennemi du peuple » (phrase passe-partout facile pour envoyer dans les camps de travail). Il passe donc cinq ans dans la prison de Iaroslav, puis est envoyé en relégation à Alma-Ata au Kazakhstan, où il parvient à trouver un poste de professeur d’agronomie. Hélas le NKVD, successeur du GPU, est omniprésent et continue à le harceler. La police politique lui tend un piège : après lui avoir proposé de prendre la parole au cours d’un meeting, les policiers lui reprochent de ne pas « s’être repenti de ses péchés ». Il est fusillé le 3 octobre 1937 dans la cour de la prison d’Alma-Ata.
Tchaïanov à tenté sa chance dans le cinéma en écrivant un scénario : Albidum 0604, film qui fut tourné, projeté, mais la censure s’est révélée la plus forte et la pellicule fut confisquée et détruite.
En Union Soviétique lorsqu’un artiste est « réprimé », les autorités s’arrangent pour que son nom ne soit plus mentionné nulle part. Pourtant, suite au changement de régime, en 1992, son nom a été donné à une rue de Moscou !




Suite des extraits du « Journal de Kolia » : Avant le départ pour Chypre.

Rappel : il s’agit ici d’extraits du journal de mon père : Kolia, diminutif de Nicolas. Suite à la Révolution Bolcheviks, l’école des Cadets de Novotcherkassk Новочеркасск (capitale des Cosaques du Don ), école pour officiers où se trouvait mon père, elle a été évacué avec tous ses jeunes élèves pour essayer de gagner l’étranger, car l’avance des Rouges devenait trop dangereuse. Les jeunes élèves officier devaient être rapatriés en Angleterre, mais c’est finalement en Égypte qu’ils se sont installés. Kolia continu de recevoir quelques nouvelles toujours tragiques de la Russie en pleine guerre civile, période la plus meurtrière. Sa vie et celles de ses frères de l’école des Cadets s’organise tant bien que mal. Ils seront resté en Égypte deux ans.



Les rares lettres que recevait Kolia de sa Maman n’apportaient que de mauvaises nouvelles, aussi les jours continuèrent à passer, tristes et monotones. La seule note de gaieté fut la période des fêtes de Noël, où Il y avait des réunions musicales et qui éveillaient un peu l’enthousiasme chez les garçons. Le Printemps arriva assez rapidement ainsi que la chaleur, et les garçons pouvaient profiter des baignades.
Puis brusquement, les nouvelles se propagèrent concernant la dissolution du Corps des Cadets. Cela se révéla exacte. Au début du mois de mai, la Direction de l’école reçut les instructions pour mettre en oeuvre les procédures de dissolution. Ceci avait été une décision prise à la suite de l’évolution politique et militaire, que tous les réfugiés russes, y compris le Corps des cadets seraient dorénavant pris sous la protection de la Ligue des Nations à Genève, organisme récemment créé. De cette dissolution, il avait été décidé que les garçons les plus âgés seraient désignés pour aller s’installer soit en Europe, soit en Bulgarie, soit en Yougoslavie et dans d’autres pays.
Les garçons de 12 à 16 ans devaient retourner à Constantinople pour êtres placés dans un collège Anglo-russe, lequel avait été créé à cet effet, et installé dans les locaux de la résidence d’été de l’Ambassade Russe.
Cela était un grand évènement dans la vie de tous les Cadets, surtout sur le plan moral, d’autant plus que les nouvelles arrivant de leur pays étaient assez nettes concernant leur sort, et qu’il n’y avait plus l’espoir, du moins pour le moment, de revenir en Russie, car elle avait été entièrement conquise par les bolcheviques. La plupart des garçons n’avaient pas de nouvelles de leurs parents, d’autres en avaient indirectement par des militaires de l’armée Blanche réfugiée en Egypte. Ils apprirent que leurs Pères ou Frères avaient été emprisonnés ou fusillés. De tels faits émotionnels avaient habitué les Cadets à réfléchir. Kolia avait reçu des nouvelles de sa Maman et de son Grand-Père qui lui donnait de bons conseils d’encouragement, et de tenir jusqu’au prochain retour à la maison, mais malheureusement cela ne pouvait être dans un avenir immédiat.

À la fin du mois de mai 1922, la dissolution du Corps des Cadets avait été par les autorités Anglaises et le départ fut fixé pour le 27 au matin.
Cette nouvelle provoqua une réaction chez les garçons, car quelques-uns désiraient rester en Egypte, mais ceci ne fut accordé que pour deux garçons de 21 ans accompagnés d’une autorisation spéciale accordée par le commandement Anglais. À la suite de ce fait, l’ordre du Directeur des Cadets, contresigné par le chef des Armées Anglaises, fut placardé dans le camp et disait :
- Le devoir des garçons est de continuer leurs études en pensant à leur patrie en détresse, laquelle un jour aura besoin d’eux et de leurs services pour la relever de ses ruines.

Et ce fut ainsi que s’acheva le séjour des Cadets du Don en Egypte après deux ans.
Les préparatifs de départ furent commencés presque aussitôt. D’abord les Cadets avaient fait leur paquetage, puis plié les tentes, il ne restait que les baraques qui étaient réservées pour l’église, les classes, le réfectoire et l’économat.
Le 27 mai 1922 à 11h, tous, y compris le Directeur, avaient assisté à la messe, puis ce fut le déjeuner. Pendant ce temps, les camions Anglais étaient là sur place pour le chargement du matériel appartenant à l’école, telle que les livres, les objets sanitaires, l’habillement. Tout cela fut chargé par les Arabes et ensuite porté à la gare. À 14h après le déjeuner, tous les Cadets se mirent en rang, la musique militaire en tête et ils s’éloignèrent au pas cadencé. En pénétrant dans la ville d’Ismaïlia, les habitants et les curieux se mirent à applaudir en leur souhaitant un bon voyage. À la gare, quatre wagons de voyageurs étaient réservés pour les Cadets et le personnel ainsi que le matériel à destination de Port-Saïd.
Vers 16h, le train s’ébranla lentement, pendant que sur le quai de la gare se jouaient les hymnes Anglais et Russe, et les gardes d’honneur Anglais présentaient les armes.
C’est avec nostalgie et grande tristesse que les Cadets quittèrent Ismaïlia.
Ils passèrent une partie de la nuit dans le train en mangeant des conserves, et ils arrivèrent à Port-Saïd à 4h du matin. Les wagons où dormaient les Cadets furent acheminés jusqu’au quai d’embarquement où était ancré un bateau Anglais du nom de
City of Oxford, qui avait un aspect sale et peu confortable. L’embarquement s’effectua assez rapidement, et vers 13h, le bateau leva l’ancre en emportant dans ses cales le Corps des Cadets du Don en direction de l’île de Chypre.

M. Roudakoff
 

Dernière mise à jour : 10-06-2009 17:58

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