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Ecrit par Sechy, le 23-10-2010 16:30

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Demon, Diable, Dieu

 
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Demon
 
 
 
>>>>>>>>>> EN VRAC

Demon est deus inversus - Le diable est dieu sans dessus dessous. Il n’y a ni mal ni bien, mais les forces qui créent l’un créent l’autre selon la nature des matériaux à leur disposition. (Glossaire Théosophique de H.P. Blavatsky).
 
 
1. Une croyance : « Tout absolument tout peut se voir attribuer une valeur marchande »
2. Un objectif unique : « Prendre l’argent partout où il se trouve quelqu’en soit le prix »
3. Une arme imparable : La Mondialisation
4. Une stratégie : « Contrôler la planète par le biais d’une pensée unique »


La guerre totale

En général, les guerres sont déclenchées pour s’approprier des ressources convoitées que possède le voisin :
. Expansion territoriale (Ex : Israël > Palestine)
. Appropriation des ressources naturelles (Ex : USA > Irak)

Partout où l’on peut définir une valeur marchande, la finance fait tout pour s’approprier cette dernière et sauf accident, sa puissance et son appétit se renforcent sans cesse.

La finance mène donc une guerre totale pour s’approprier les ressources :
- des citoyens
- des entreprises
- des états

Les médias mainstream contrôlés par une poignée de grands groupes liés à la finance nous matraquent ad nauseam avec les mêmes formules clés :
« Si la la bourse augmente c’est bon pour l’emploi »
« Une inflation trop forte, c’est pas bon ! »
« Il faut redonner confiance aux marchés »
etc.

Méthode de Clausewitz
Pour contrôler les états, la finance utilise le principe d’escalade des moyens offensifs héritée des techniques établies par Carl Von Clausewitz.
Les armes utilisée par la finance pour la prise de contrôle des états sont les suivantes :
- contrôle du monde politique par l’argent
- arme des taux d’intérêts
- FMI

Les armes de contrôle globales : les banques centrales.
La finance possède avec les banques centrales des armes de contrôles globales qui échappent à toute autorité des états.
Les plus connues sont la FED aux USA et la BCE en Europe qui déterminent la valeur des taux d’intérêts dits taux directeurs pour ces régions.
Ces taux servent à accélérer ou ralentir le crédit interbancaire, la politique décidée par les banques centrales sans aucun contrôle des peuples n’a qu’un objectif : contrôler l’inflation et assurer les taux les plus élevés possibles.

En cas de crise majeure, les banques centrales peuvent aussi se transformer en usines à billets en effectuant des prêts massifs aux grandes banques agréées qui sont en déroute.
Ces prêts à taux symboliques servent alors à refaire en cascade de nouveaux prêts de la part de ces même banques à des taux très supérieurs, par exemple ceux liés aux appréciations des agences de notation sur certains états très endettés.
Dans le cas de la Grèce, les banques se financent auprès de la BCE à des taux inférieurs à 1% pour lui prêter à leur tour à des taux compris entre 6 et 15% !
Grace à ce mécanisme, les banques refont leurs marges et renflouent leurs déficits dus à leurs erreurs passées et à des prises de risques trop importantes.

Le grand jeu de casino mondial
Recommencer comme avant signifie reprendre le grand jeu mondial de la finance sur les marchés en faisant porter les risques sur le dos des états et donc des populations.
C’est pour ce jeu que l’on a inventé le concept d’innovation financière !

L’innovation financière
L’ innovation financière est une expression logomachique inventée par les spéculateurs pour jouer entre eux à la roulette mondiale en faisant prendre les risques par les autres.
Les produits financiers correspondants sont des objets souvent basés sur des concepts mathématiques très sophistiqués et qui ne servent strictement à rien sinon à créer des bulles financières qui finissent toujours par exploser.
Qui plus est l’introduction et l’utilisation de ces produits est complètement libre et incontrôlée.
L’innovation financière est donc l’art et la manière de gagner (et perdre) de l’argent entre 2 crises sans travailler !


CONCLUSION
 
Une concentration des richesses telle que celle à laquelle nous assistons est sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
La finance est une bête féroce et affamée qui ne sera repue que lorsqu’elle aura avalé la planète entière.
Dès lors où elle aura tout détruit, elle se retrouvera à la tête d’un empire en ruine, car comme le cancer, la finance tue à petit feu l’organisme qu’elle parasite.
Comme en 1939, les états sont tétanisés par la puissance déployée en face d’eux, depuis 20 ans la dérégulation systématique a conduit le système financier dans un contexte de non droit total, une véritable anarchie financière.
Une bête féroce ne comprend qu’un seul langage : la force.
 
En 2007, l’animal était blessé à la suite du krach des subprimes et il fallait en profiter pour le museler.
C’est le contraire qui fut réalisé puisque les états ont soigné ses plaies.
 
Il est aujourd’hui beaucoup plus difficile de reprendre son contrôle car la bête a pour un temps repris des forces.
Il ne faut toutefois en aucun cas baisser les bras et poursuivre la lutte en imposant à travers la vox populi à nos représentants de prendre les armes contre cette maladie maligne qui s’est développée dans notre société.
 
Les mesures de contrôle à prendre contre la finance sont identifiées, Il reste à les imposer à cette dernière au besoin par la force sans avoir aucune crainte car...

...après tout, la finance combien de divisions ?

Source des extraits ci-dessus : R-sistons à l’intolérable.

 
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La plus grosse farce depuis l’Homme de Néandertal :
 
« Le roi serait souverain, et le peuple serait roi... », ce qui donne : une République ! une démocratie !

Comme souvent cité ici, je remet la comparaison avec l’Étoile de la mort de la saga Star Wars, car nous fonçons droit vers l’abandon de la Nature, c’est-à-dire de notre propre Nature, ce qui est très bien illustré par la série des romans de science-fiction : FONDATION, d’Isaac Asimov, où des êtres humains vivent sur une planète qui n’est pas la Terre et qui en recherche désespérément la trace.
De toutes façons, grèves, guerres, etc. si TOUS les êtres humains ne se prennent pas en mains et inversent la vapeur, la Nature se chargera de rééquilibrer l’ensemble !

Ainsi nous nous éloignons de l’Origine, de la Source, et nous allons oublier qui nous sommes et ce qui nous relie les uns aux autres et à notre planète : la Terre. Cette impression de séparation, de rupture comme d’un cordon ombilical nécessaire nous privera de « nourriture » et nous entrainera dans le chaos et des guerres sans fin ; comme à chaque fin de CYCLES. Le Soi divin est toujours là mais on arrive plus à en « détecter » l’émission.



APPEL À LA DÉSOBÉISSANCE CIVILE, AU NON-AGIR, DIRE NON À LA CULTURE DU RÉSULTAT, DE LA COMPÉTITION.

Les « gens se réveillent », mais :
« Nous avons les moyens de vous faire parler »
« Nous avons les moyens de vous faire oublier »

Et puis la vidéo se résume à ce qui était dénoncé : « Le roi serait souverain, et le peuple serait roi... »
 
 
 
 

Dernière mise à jour : 23-10-2010 16:48

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