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Ecrit par Sechy, le 10-05-2011 23:59

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Amour, Anarchie, Argent, Banques, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Église, Esprit, Europe, Inquisition, Justice, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Monarchie, Mondialisme, Mort, Nature, Opinion, Politique, Pouvoir, Prisons, Pyramides, Religions, République, Révolution, Russie, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Supplices, Synarchie, Tao, Temps, Terreur

 
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Monde Papier puis Monde Radio

La lumière et le son, et leur vitesse respective

Pensée lointaine et pensée proche


Les politiciens fukushimatisés (FKSA) contre le « Monde victime »
 
 
 
Depuis le support écorce, puis argile, puis pierre, puis papyrus, puis parchemin, puis papier avec l’invention de l’imprimerie, nous sommes passés d’une observation directe puis d’une pensée sur les choses, qui perdura de longs siècles en se transmettant de générations en générations, à une pensée sur les REPRÉSENTATIONS DES CHOSES, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée. Notre conception moderne du monde et de nous-même est un sous-produit de « l’invention du monde sur le papier » (et maintenant dans le virtuel de l’informatique et des médias).
 
 
RADIO - RADIOACTIVITÉ
On ne peut pas rapprocher l’idée de « Feu » il y a un millénaire, et l’idée actuelle de « radioactivité » ; je pense que l’on ne peut avancer qu’en respectant la Tradition, et en ne mélangeant pas des concepts lointains avec des concepts actuels. Même si RADIO peut s’entendre dans le sens de RAYON [RAI] [RAIE] : rayon de lumière, et aussi [RAIZ] [RAIS] : racine, souche. L’étincelle fait penser au Cerveau et à un germe, à une IDÉE : la MISE AU POINT.
Feu et rayon radioactif rongent tous les deux.
La lumière, l’idée, le germe, évoquent l’ESPRIT. Qui a inventé ce concept ? Les Grecques évidemment ! Probablement vers Homère et son Illiade et Odyssée, et vers l’époque des philosophes grecs Socrate, Platon, Aristote...
Pour les amateurs de l’œil de Big Brother, celui du billet de un dollar, NOOS (ancien nom d’un fournisseur d’accès à Internet) vient du verbe voir en grec, et il est attribué à la poitrine, lieu censée renfermer les sens. La PSYCHÉ, improprement traduit pas ‘esprit’ évoque la vie. Un guerrier mort perd sa ‘psyché’ qui s’écoule par sa blessure, ou par la maladie : quand on tousse...


Deux cas de faux récents et bien visibles et même radioactifs :
- « si vous pouvez laisser de la buée sur une vitre, vous pouvez obtenir un prêt immobilier », c’est ce que racontaient les agents immobiliers de Floride ; donc il n’y a que les morts qui ne sont pas affectés par le fric !!!

- La « guerre humanitaire », comme celle récente en Libye, s’accompagne d’un argument à la Novlangue selon laquelle l’OTAN agirait au nom des victimes qui bien-sûr ne peuvent pas agir. Bref, c’est toujours le système maffieux du « donne-moi du fric et je protège ta baraque des voleurs dont je suis le chef ». La Novlangue est dans la famille de l’informatique et du BINAIRE ! Voir aussi Dichotomie qui est typique du mental et de l’analyse ! « J’affirme », « Je promet », « J’ordonne », sont toutes des intentions binaires dirigistes dignes du business !
Depuis 1945 il n’a échappé à personne qu’il s’est installé un dogme de la souffrance avec la Shoah et autres populations martyrisées ; c’est bien pratique pour gommer les « réalités historiques » que nous ne risquons pas de connaître...

Dans ces deux simples exemples, si j’emploi le terme « maffia », c’est parce qu’il s’agit TOUJOURS DE VIOLENCE. Comme tout ce que fait notre civilisation, elle le fait À L’ENVERS, en dépit du bon sens, à contre-courant énergétique, ce que dénonçait déjà dans ses recherches Viktor Schauberger. Comme le dit un très intéressant article du réseau Voltaire : « l’image de la victime est unificatrice », c’est le danger des « larmes (armes) de crocodiles » pour faire pleurer dans les chaumières. On prend les gens par le sentiment, c’est redoutable et totalement TROMPEUR ; ce que dénonçait déjà Jean Coulonval dans son livre : Synthèse et Temps Nouveaux. Quand on ne prend pas les gens par le sentiment on les prend par le FRIC, voir le SEXE.

On réduit les victimes à des muets, car le crocodile bouffe les gens. C’est exactement dans la mode du sécuritaire ou entre le thème du terrorisme, alors il faut « protéger » les victimes des terroristes. Le système est simple et d’autant plus efficace !!! Il boucle sur lui-même emprisonnant la civilisation dans une guerre permanente, ce qui est tout bénéfice pour les fabricants d’armes et de matériels militaires de toutes sortes, et toutes les industries qui tournent autour.

Hélas en poussant plus loin :
Qui dit victimes, comme la Shoah, mais aussi les victimes des révolutions de 1789 en Vendée, puis en Russie de 1917 à 1953 à la mort de Staline, ferme la porte à toute contestation. Ah ils sont victimes, alors par respect pour les familles des morts et par respect pour leurs familles, on a pas le droit de contester la « réalité » des faits ; qui comme toutes « réalités » est totalement trompeuse... car on peut lui faire dire n’importe quoi, notamment avec des bidouillages de chiffres. Staline et son armée de ‘camarades’ dans l’industrie du Goulag était l’empereur du bidouillage des chiffres.

Donc comme le crocodile est un animal dangereux pour l’Homme, la symbolique « l’arme de crocodile » est extrêmement dangereuse et conduit à tous les excès. La symbolique du crocodile renvoie à la duplicité et à l’hypocrisie ; on le voit bien avec l’association des mots : guerre et humanitaire ; c’est du même tabac qu’associer démocratie et universelle ; république et valeur ; guerre et sainte. Comment un guerre peut-elle être sainte, ou humanitaire ? c’est absurde !!! On tombe effectivement dans la Novlangue avec par exemple l’association de crime et de sexe : Crimesex (plaisir sexuel sans but de reproduction). Mais plus moderne, le mot ANTISÉMITE : censé désigner (selon les tribunaux) toute personne critiquant une personne pratiquant la foi de Moïse. Ainsi on pratique à la base une division, car critiquer des personnes professant la foi de l’Islam est bien moins visé par les lois de certains pays, comme la France. Donc c’est l’idéologie dominante qui impose sa dictature à l’ensemble.
Cela me fait penser à cette idiotie ‘analytique’ digne de notre époque :
« Dans le Grand Nord, où il y a de la neige, tous les ours sont blancs.
Nicolas Sarkozy est déporté dans le Grand Nord et il y a toujours de la neige.
De quelle couleur y sont les ours ? » (David R. Olson, L’univers de l’écrit)

En Chine le crocodile invente le tambour et le chant, et avec le Cambodge il a un rapport avec les éclairs et donc les larmes et l’eau de pluie. En Égypte le crocodile représente les ténèbres et la mort, il est lié au monde des morts, aux mondes souterrains dans de nombreux pays.
Il est de symbole LUNAIRE (comme tout ce qui est EAU). En Égypte ancienne le crocodile Sobek est le DÉVOREUR : il engloutit les âmes qui n’auront pu se justifier et qui ne seront plus que merde dans ses intestins.
La position du crocodile à la fois sur terre et dans l’eau en fond un symbole des contradictions fondamentales. Quand il s’agite dans la vase, d’où sort une végétation luxuriante : alors il devient symbole de fécondité. Mais il dévore et détruit en sortant des eaux, il en devient donc le symbole de la méchanceté, de la nature vicieuse. Fécondité, cruauté, il est l’image de la mort et joue un rôle de psychopompe (en rapport avec les âmes) : les défunts étaient parfois présentés en Égypte sous forme de crocodiles. Comme les dragons des légendes, le crocodile est le maître des mystères de la vie et de la mort, le grand initiateur, le symbole des connaissances occultes, la lumière alternativement éclipsée et foudroyante (d’après le dictionnaire des symboles, de J. Chevalier et A. Gheerbrant)

Donc la VICTIME est devenu un prétexte au renforcement de l’État qui en devient stalinien, donc renforcement des lois, à condition que la ‘victime’ soit un ensemble de personnes, et surtout médiatisée.

Le mot ‘guerre’ est devenu tabou depuis 1945, on sait que les « alliés américano-anglo-saxons » nous offrent gracieusement une « paix permanente », alors on associe le mot guerre à froid, chaud, humanitaire, terroristes, sainte, etc. Seuls les États-Unis en bon impérialisme de la planète se permettent d’associer guerre et terroristes, comme le faisaient les Croisés au Moyen-Âge : guerre contre les infidèles ; mais les nouveaux infidèles sont désormais les ‘terroristes’ (arabes), et bien-sûr les fascistes (ceux qui n’adhère pas à la pensée unique : le FRIC)

Naturellement, le mot VICTIME humaine ne s’attache à aucune nationalité, c’est GÉNÉRAL (et non universel puisque physique). Évidemment en politique du monde démocratique qui se prétend libre il y a victimes et victimes, comme écrit plus haut à propos de Juifs et islamistes.
Comme tout s’est inversé, la dictature passe par ceux qui veulent imposer leur démocratie au soi-disant tyrans : « un nouveau réel, celui de la mise en place d’un nouvel ordre international, non plus structuré par des oppositions et des conflits d’intérêts, mais par l’amour envers les peuples victimes des tyrans », écrit l’article du Réseau Voltaire.

Humanitaire est devenu un nouveau mot de la Novlangue, comme le mot démocratie, car on y fourre n’importe quoi, au nom de « l’universalité ». Vous pensez bien, humanitaire c’est universel !... Humanitaire comme le communisme soviétique : activité principale des forces armées des pays de l’Union européenne au-delà de leurs frontières.
Et « Actions humanitaires » : médiatisation de la tentative d’imposer les valeurs occidentales à des populations plus ou moins rétives ; on dit aussi « faire de l’humanitaire », car il s’agit souvent d’un véritable métier pour certains fils de « bonnes familles ». C’est donc du colonialisme.


La Shoah fait des petits.
Les victimes demandent justice au Petit Père des peuples.


Et que je te donne des conseils de « démocratie » aux pauvres pays dirigés par des méchants. Et que je te donne mes recettes de cuisine de « valeurs fondatrices » de la France de 1789, pardon, de l’Union (soviétique) européenne : la ZONE DES USA.
Nous voyons bien que s’installe un terriblement pervers Nouvel Ordre Mondial qui ne dira jamais son N.O.M. : et la « guerre contre le terrorisme » résume parfaitement le N.O.M.
« La mise en avant de la victime dans la lutte anti-terroriste s’inscrit dans une mutation globale du droit. L’ensemble de l’ordre juridique est réorganisé autour de cette image. La nécessité supposée de venger la victime renverse la fonction du droit qui était d’établir des gardes fous à la violence », écrit l’article du Réseau Voltaire.
Avec la mode du sécuritaire la victime devient un dogme, un système bien pratique mis en place pendant la seconde guerre mondiale, et mis en marketing promotionnel le 11 septembre 2001.
Donc pour faire court, la justice à la papa est progressivement remplacé par l’exécutif de l’État. Avec cela vient le produit industriel parfait, censé être le « zéro défaut » : le fameux principe de précaution, tout ça évidemment dans le thème SÉCURITÉ. On est moderne ou on ne l’est pas !

« Nous sommes entraînés dans un processus infini de punition et de victimisation. La victime ne peut non plus faire son deuil. Elle est un état permanent, une essence qui dénie le rôle normalement pacificateur du droit. La victime devient l’inscription iconique attestant de la protection et de l’amour du pouvoir à notre égard », écrit le Réseau Voltaire. Ainsi la responsabilité de l’acte se transforme comme tout ce qui est dans ce bas monde : EN FRIC : la réparation des dommages, comme s’il fallait reconstruire la maison avec l’argent des assurances. « Elle procède ainsi à un renversement d’un système de droit, organisé autour des droits et devoirs du citoyen vis-à-vis de la communauté, en une pratique juridique centrée sur l’individu et les valeurs ».
Donc comme la maffia, l’État est le plus grand pourvoyeur de DROGUE de cette planète : IL CRÉE UN BESOIN, et après on ne peu plus s’en passer.

Les l’armes de crocodile : la victime crie ses souffrances, alors l’ÉTAT, pardon, l’Union soviétique européenne (zone des USA) crie elle aussi au criminel, « qui tuent et causent d’énormes souffrances »... Mais QUE FAIT DONC BIG PHARMA ET SES POTIONS MAGIQUES démocratiques. Les larmes noient le poisson, on n’entend plus que le cri !
La VIOLENCE SE TRANSFORME EN UNIVERSALITÉ humaine autour de laquelle s’organise toute la civilisation.
« De même, la violence terroriste existerait pour elle-même, elle n’aurait pas de sens. En l’absence de sens, le langage régresse. Ce qui est dit donne simplement à voir, à entendre. Le langage devient bruit, cri, signifiant pur. Il est construction d’une image unificatrice et englobante : la voix de la victime. Celle-ci opère une fusion entre le spectateur et l’horreur exhibée. La représentation devient impossible. L’affect se substitue à l’analyse et à la raison ». C’est encore ce que dénonçait Jean Coulonval en parlait de sentiments et de bas-ventre. Effectivement on ne sait pas vraiment le pourquoi des attentats du 11 septembre 2001.

« Les incriminations punissant le terrorisme opèrent un deuxième déplacement. Ce n’est plus seulement au nom d’une quelconque victime que la lutte contre le terrorisme s’organise. Le pouvoir est non seulement le représentant de la victime, mais il occupe la place de celle-ci. En effet, ce qui spécifie un acte comme terroriste, n’est pas tant l’action elle-même que le fait qu’elle est accomplie avec l’intention de faire pression sur un gouvernement. L’incrimination du terrorisme permet au pouvoir de se poser lui-même en tant que victime ».

Et de fil en aiguille nous arrivons à la fameuse phrase de Saint-Just : « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ». Chez Staline c’était « les ennemis du peuple ». Bien-sûr, puisque les « ennemis du peuple » ce sont les terroristes (1), alors ils sont automatiquement contre l’Union soviétique européenne, contre l’Amérique, voir contre l’humanité entière pendant que nous y sommes ! Alors, vous, moi, papa, maman, ma concierge, nous sommes tous des victimes ‘potentielles’ des méchants terroristes. Alors, QUE FAIT LA POLICE ??? Et c’est justement là que s’installe une société sous l’œil de Big Brother, puisque c’est pour mieux nous protéger des méchants. Ainsi le mot guerre est fusionné en ‘lutte contre le terrorisme’ ou ‘la criminalité’, il faut ratisser large (il n’y a plus de guerre depuis 1945...). Et de ce fait il n’y a plus de distinction entre intérieur, extérieur, nation, c’est mondialisé, puisque le mot terrorisme est devenu « universel », un criminel est universel puisque c’est partout dans le monde.
Donc la surveillance est mondialisé, alors qu’autrefois on ne surveillait que quelques personnes susceptibles de renverser le pouvoir d’un pays. Comme déjà écris, l’état de guerre est permanent depuis 1945. Nous sommes tous potentiellement des « ennemis de la liberté » à la Saint-Just, un ennemi indéfini aux multiples visages, car les USA peuvent poursuivre toute personne simplement désignée comme terroriste, à savoir nommée comme « ennemi combattant illégal » par le pouvoir exécutif. REFRAIN : Donc comme la maffia, l’État est le plus grand pourvoyeur de DROGUE de cette planète : IL CRÉE UN BESOIN, et après on peu plus s’en passer. Quelle perversion l’état et les politiciens fukushimatisés...

On atteint donc la trinité moderne : État, terrorisme, victime. Alors effectivement on crie : QUE FAIT LA POLICE ? pour demander un renforcement des protections : le sécuritaire. maintenant on nous protège en même temps de l’autre et de nous-même, donc on nous châtre. Cette structure politique maternelle, ou plutôt paternelle à la Staline supprime toute séparation entre l’État et le citoyen. Le communisme à la soviétique est en train de gagner son vieux rêve de 1917. La loi française LOPPSI 2, en transformant la vidéo-surveillance en vidéo-protection, opère une mutation sémantique (Novlangue) caractéristique de l’attention que nous porte Big Mother.
L’État maternelle devenu stalinien se retrouve dans l’exemple récent du « soin psychiatrique ou autre sans notre consentement », comme si on avait « perdu la raison » ou plus grave si nous étions « ennemi du peuple » en troublant l’ordre public ; surtout ne jamais troubler le « Circulez ya rien à voir ». Avant tout, vaudrait peut-être mieux comprendre pourquoi l’être humain « perd sa raison ! », et en devient une « victime » ; alors l’État sécuritaire entre en piste et chie de nouvelles lois : « Vous comprenez, il faut enfermer les « méchants fous », ces « ennemis du peuple »... Alors, comme dit l’autre : vaut mieux se fondre dans la masse... TRAGIQUE !!!

C’est véritablement le renouveau du communisme, car : « En parlant au nom et en se positionnant comme victime, le pouvoir entre dans le sacré. Il fusionne ordre politique et ordre symbolique. Comme l’a déjà exprimé Georges W. Bush, dans sa guerre du Bien contre le Mal, le pouvoir occupe directement la place de l’ordre symbolique. Fondant sa légitimité sur l’icône de la victime, il nous place dans une violence sans fin. La lutte anti-terroriste nous inscrit ainsi dans le tragique, tel qu’il a été mis en scène par la tragédie grecque. Elle nous place dans une violence infinie, toujours renouvelée, car il n’y a plus de principe protecteur de la vie, d’ordre symbolique articulé au pouvoir politique. La psychanalyse nous apprend que c’est justement ce phantasme de l’unification à la mère imaginaire, ici à l’État comme mère symbolique, qui est à la base de cette violence sans limite, soit disant sans objet, que la lutte anti-terroriste prétend combattre ».

Rappel :
Le mot GUERRE a pour fin la destruction du mal, des puissances démoniaques. Mais le vrai conquérant est celui de la Paix du Cœur. La Paix sera l’extinction du Feu. La guerre est le combat entre la lumière et les ténèbres. Mais elle peut aussi se résumer par un mouvement entre le noir et le blanc, etc... d’ailleurs principe du jeu d’échecs.
Le mot GUERRE c’est encore combattre pour la Vérité !!! Ce qui est une absurdité totale, car la Vérité n’a pas besoin d’être défendu, tout comme Dieu... Elle Il Est.
Le vrai sens du mot GUERRE doit se comprendre INTÉRIEUREMENT, et non extérieurement et négatif comme l’entreprennent les « grands de ce monde ». « Armée de lumière » est une expression employée par Saint Paul. Encore une fois le terme « guerre sainte » appliqué aux Croisades est une monstruosité, une imbécilité totale. Les « armes de guerre » ne peuvent-être qu’intérieur, ainsi on peut en arriver à l’OPINION.
« Le sort normal d’un guerrier, c’est d’offrir des victimes aux dieux, puis de tomber lui-même sur la pierre à sacrifices. Il devient alors dans les cieux un compagnon du Soleil ». (Dictionnaire des symboles, citation d’après Jacques Soustelle : La pensée cosmologique des anciens Mexicains)


Note.
1. Faire prisonnier : (C) pour capture, (K) pour kill ou tuer.


(Affiche du haut : на оборону [la défense], synonyme de sécurité ; et montage avec le logo de la radio de Moscou de l’époque soviétique, toujours à base de l’étoile à cinq branches. L’étoile symbolise l’étoile Polaire, le centre absolu autour duquel pivote le firmament, ce que voulait construire le dogme communiste soviétique. Dans certaines religions primitives, l’étoile est le siège de l’Être divin à qui sont attribués la création, la conservation et le gouvernement de l’univers)
 
 

Dernière mise à jour : 11-05-2011 00:52

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