Non, la Liberté ce n’est pas un truc extérieur genre une femme avec un drapeau rayé de bandes verticales bleu, blanche et rouge, propagande et singerie du Grand Œuvre en la Trinité Noir-Blanc-Rouge !
Et pour cause, les Gaulois y tenant tant, le nom du mot Liberté ne nous est pas connu. Par contre, le mot RIO, du gallois rhydd, du vieux cornouailles benen rid (femme libre), du vieux breton rid (librement), sont tous issus de riios (libre). Peut remonter à la racine priios (propre à soi), puis ami, homme libre, et mn (esprit), comparable à l’ossète lymœn (ami), de priio-menos (qui a l’esprit libre), etc. (Réf. Dic. Français-Gaulois, de J.P. Savignac).
LA FAUSSE LIBÉRATION ou CATASTROPHE.
IDEM POUR LA MODE DE L’IMMIGRATION EN DÉLIRE.
« Avez vous réfléchi aux conséquences fatales
qui résulteront d’un progrès illimité ? »
Déjà, à cause de la multiplicité des acquisitions
scientifiques, l’homme ne parvient à vivre qu’à
force d’énergie et d’endurance, dans une ambiance
d’activité trépidante, enfiévrée et malsaine. Il a
créé la machine qui a centuplé ses moyens et sa
puissance d’action, mais il en est devenu l’esclave
et la victime : esclave dans la paix, victime dans la
guerre. La distance n’est plus un obstacle pour lui ;
il se transporte avec rapidité d’un point du globe à
l’autre par les voies aérienne, maritime et
terrestre. Nous ne voyons pas cependant que ces
facilités de déplacement l’aient rendu meilleur ni
plus heureux.
(Fulcanelli, Les demeures philosophales).
Bref, l’être humain NE SAIT RIEN DE LUI-MÊME !
Il s’ingénie à détruire sa condition humaine,
celle de ses semblables, et celle de ses frères
et sœurs minérales et végétales.
Les jacobins et républicains, de 1789 et de nos jours, vous voulez « la LIBERTÉ », mais POUR QUOI FAIRE ? VOUS NE SAVEZ PAS LE SENS DE CE MOT.
CE QUE VOUS SEMBLEZ CONNAÎTRE DU MOT LIBERTÉ VOUS VOUS EN SERVEZ POUR ASSERVIR LES AUTRES PEUPLES QUI NE PENSENT PAS COMME VOUS, ET POUR GONFLER VOS COMPTES EN BANQUES. Votre conception de la « Liberté » nous a plongé dans le bourbier infernal que vous appelez « libéralisme », soit la religion universelle des banques et du mercantilisme associé à la folie technologie et à sa croissance infinie qui va vous couler : vous sciez la branche sur laquelle vous reposez. La Liberté, c’est PAN ET LA PANIQUE : LA DOULEUR ABSOLUE par déchaînement dans l’Instant à la fois de tous les instincts possibles et la totale absence d’impunité de quoi que ce soit, il n’existe plus aucune loi, y compris personnelle, avec l’ouverture du gouffre sans fond des tentations les plus invraisemblables, qui nouent la gorge de panique parce qu’elles deviennent immédiatement possibles ; vous pouvez désormais TOUT VOUS ACHETEZ, VOUS DEVENEZ PRIS(E) AU NIER, VOUS ÊTES FIXÉS PUISQUE TOUT DEVIENT POSSIBLE, DONC VOUS ÊTES PRIS(E) AU NIER.
Républicains et jacobins (étatisme), c’est grâce à vous et à votre « liberté » que nous sommes maintenant en esclavage de votre système digne de la pire des monarchies que vous vouliez renverser !
ALORS, COMMENT UTILISER CETTE LIBERTÉ ABSOLUE QUI SE TRANSFORME EN ENFER ???
Républicains et jacobins (étatisme) votre « liberté » poussée au mondialisme devient peu à peu mais surement un ENFER, dont personne ne reconnaît plus personne. Personne ne sait comment utiliser ce semblant, cette illusion de « liberté », ici, sur Terre ; alors que la Vraie Liberté ne peut être qu’intérieure, donc en totale maîtrise de son ego. Parce que la Vraie Liberté NE PEUT PAS DEVENIR UN ENFER, ELLE EST NOTRE ÉTAT NATUREL, en compagnie du DRAGON apprivoisé.
LA VRAIE LIBÉRATION.
Alors, où se situait le Pays de l’Âge d’Or ou Paradis ou Jardin ? Mais SUR LE TAPIS VOLANT : tout étant CYCLES, il n’existe que le « Tapis Volant » ou extrême « espace » en MOUVEMENT qui reste habitable en ses parties « terrestres », ou plutôt aquatiques… Donc ce Jardin peut se situer soit dans le début d’un cycle, soit dans le début d’un autre comme l’hémisphère boréal (Nord). Le Tapis Volant identique au Paradis ou au Jardin parce que tout bouge tout le temps, rien n’est fixe.
IL FAUT D’ABORD SAVOIR CE QUE SIGNIFIE LA LIBERTÉ :
- Question : Dites-moi quelque chose.
- Maharshi : Que voulez-vous savoir ?
- Question : Je ne sais rien, et je voudrais que vous me disiez quelque chose.
- Maharshi : Vous savez que vous ne savez rien. Découvrez ce qu’est cette connaissance. Cela est la Libération (mukti).
(Ramana Maharshi, entretien 12, du 15 mai 1935).
Ramana Maharshi dit à l’entretien 38 que « Le chemin sur lequel on est engagé conduit à la Libération ». C’est ce qui arriva à Saint Gilles de Rais, malgré toutes les horreurs qu’il a pu commettre à cause justement de cette Libération qui se transforma en Enfer, mais le fit tout de même conduire à la Vraie Libération ; contrairement à ce dit le vieux Jean de Craon, grand-père maternel de Gilles :
« Il a un goût inné de la trahison, la passion du défi, celle de détruire et de se détruire. D’où lui vient cette tare ?… Tout disparaîtra entre ses mains, tout sera défait, jusqu’à ce que lui-même retourne au néant… ».
Oui, Gilles de Rais avait une liberté incroyable que même les lois et le Roi n’y pouvaient rien… jusqu’à ce que l’Église de Rome y fourre son sexe ! Car Gilles de Rais appartenait à notre monde dont il se sentait exclu. Le crime qu’il brûlait d’accomplir sur un adolescent creuserait encore plus cette faille : la vie l’avait blessé, il blesserait la vie… Sa Vraie Vie serait ailleurs...
Pourquoi « Saint » Gilles de Rais, malgré ses crimes ? Parce qu’il a vécu l’Instant, tout simplement, et c’est assez rare comme sont assez rares les Saints non légion d’honneurisation par le Vatican ou Système. Comme tous les mystiques Gilles de Rais ne pouvait qu’être fasciné par l’INVISIBLE et par la dualité des CORRESPONDANCES ou COÏNCIDENCES qui fascinèrent également le psychiatre Carl Gustav Jung, et avant lui tous les authentiques Alchimistes et chercheurs du Jardin ou Tapis Volant. Pour ces gens comme pour Gilles tout se faisait par SYMPATHIE. Et Gilles était en attente d’une circonstance extraordinaire qui lui amènerait ce qu’il souhaite DANS L’INSTANT.
Oui, Gilles de Rais était sur le chemin de la Libération, mais par des détours… ATTENTION : la « libération » de Gilles lui était son ‘Je’ et ‘je’, cela veut dire qu’il ne faut point commettre des meurtres pour « se libérer » ! Symptôme d’un ego qui piège au combien puissamment : il ne savait pas apprivoiser son Dragon et fut tiraillé entre son désir inférieur et son désir naturel plus noble ! On ne peut pas comparer son époque et sa géométrie mentale avec la nôtre ! ou avec la « psychiatrie » et l'opinion d’aujourd’hui !!!
La « libération » personnelle de Gilles est comparable à l’oligarchie du républicanisme qui peut tout se permettre : elle fait les lois et se les met dans la poche, elle a l’argent à l’infini et ainsi peut tout se permettre, y compris comme Gilles faire enlever des enfants et en abuser et les tuer dans des jeux sexuels ; et peut importe les lois ; si vous êtes au sommet de la pyramide vous pouvez tuer sans être inquiété, mais si vous êtes à la base, vous passerez sur la chaise électrique ou dans le nœud d’une corde !!
Avec son immense fortune et ses titres de noblesse Gilles pouvait tout se permettre, comme par exemple avec l’aide de ses deux compères, Gilles de Sillé son cousin et Roger de Bricqueville, un gentilhomme normand, il se servait d’eux pour lui trouver des adolescents abandonnés à sacrifier sur l’autel de la « libération ». En fait, Gilles se plongeait de plus en plus DANS L’IGNORANCE. Et même un Libéré, ou Réalisé ou Adepte, peut retomber dans l’ignorance. Ignorance de :
- Son être pur.
- Le doute qui consiste à se demander si l’expérience fut celle de la Réalité ou celle de l’illusion (surtout si on tue !).
- La dualité qui consiste à penser « je suis le corps » (l’ego) et à croire que le monde est réel. (Réf. entretien 95).
Ne pas oublier que Gilles de Rais, même s’il se sentait exclu de la Vie, était un libéré de son vivant. Mais il l’ignorait et fut entouré de personnages encore plus ignorants que lui ! ÉTANT UN LIBÉRÉ DE SON VIVANT NOUS N’AVONS PAS À LE JUGER, celui qui juge participe de la dramatique dualité sujet-objet
« Qu’est-ce qui a poussé l’assassin a commettre le crime ? Le même pouvoir lui infligera également la punition. Que ce soit la société ou l’État, tous deux ne sont que des instruments entre les mains de ce pouvoir [ou ego]. Encore ne parlez-vous que de la suppression d’une seule vie. Que dire alors des millions de vies qui disparaissent durant les guerres ?
…
Pour un homme réalisé, celui qui demeure toujours dans le Soi, la perte d’une seule vie, de plusieurs vie ou de toutes les vies dans ce monde ou dans les trois monde ne présente aucune différence. Même s’il est amené à les détruire toutes, aucun péché ne pourra atteindre cette âme pure.
(Ramana Maharshi, entretien 17) Bhagavad-gita, chapitre 18, vers 17 : « Celui qui est délivré de la notion de l’ego, dont l’intellect n’est pas conditionné, celui-là, même s’il détruit tous les mondes, ne tue pas, pas plus qu’il n’est enchaîné par les conséquences de ses actes ».
Gilles était très proche, et dès son jeune âge, de s’approcher de la Réalisation du Soi ; en un sens ce n’est pas pour rien qu’il fut le compagnon d’arme de Jeanne d’Arc. Tous deux étaient des génies.
Et il ne pouvait qu’y avoir du pur chez Gilles de Rais, mais, encore une fois, sont entourage lui fut un poison mortel, évidemment dans la deuxième partie de sa vie, après la mort de Jeanne d’Arc.
Gilles ne pouvait qu’être libéré, comme nous tous : « Chacun sait « Je suis » ! Personne ne peut nier son propre être », dit le Maharshi à l’entretien 96, il ajoute : « La Vérité suprême est si simple. Ce n’est rien d’autre que d’être dans l’état originel [le Jardin]. Il n’y a rien de plus à dire [c’est-à-dire que les religions qui tentent de pondre leur vérité sont des catastrophes] ».
L’oligarchie actuelle, Gilles, nous, tous nous voulons la Libération : « Qui désire la Libération ? Tout le monde ne désire que le bonheur - le même bonheur qui se trouve aussi dans les jouissances sensorielles. Un guru, à qui fut posée cette question répondit : « C’est exact, ce bonheur qui résulte des jouissances des sens est le même que celui de la Libération. Et le désir de Libération est une des quatre conditions pour y parvenir. Il est commun à tout le monde. Et de ce fait tout le monde a droit à cette connaissance - la connaissance du Soi…
Chacun est le Soi de par sa propre expérience. Cependant, il n’en prend pas conscience. Il identifie le Soi au corps et se sent malheureux. Ceci est le plus grand de tous les mystères. On est le Soi [Instant]. Pourquoi ne pas rester dans le Soi et se débarrasser ainsi des souffrances ? » (Ramana Maharshi, entretien 192).
Où est tout le monde ? Il n’y a pas non plus de libération. Elle
pourrait exister seulement s’il y avait asservissement. Mais en réalité,
il n’y a pas d’asservissement et, par conséquent, pas de libération non
plus ».
(Ramana Maharshi, entretien 264, du 20 octobre 1936)
MAZU : Ce qui m’interroge à l’Instant présent constitue ton trésor.
Toutes choses sont parfaites en soi, rien ne manque. Utilise-les
spontanément, à quoi bon rechercher vers l’extérieur ? ». (Mazu, Dazhu
Huihai). L’éveil ne peut venir que de soi-même et par soi-même. La
moindre loi externe et interne ne sera que fixation et prison parce que non naturelle.
Donc, pas de loi ni à l’extérieur ni à l’intérieur puisque la perfection nous est naturelle.
Celui qui est libéré est, en effet, libre d’agir à sa guise et, quand il
quitte sa forme mortelle, il demeure dans un état de Libération et ne
revient plus à cette « naissance qui n’est que mort » (d’après Shri
Shankara cité par Ramana Maharshi à l’entretien 349).
La Libération ne s’obtient pas dans le futur. La Libération est toujours
là, dans l'Instant, ici et maintenant… C’est parce que l’homme croit qu’il y a
servitude qu’il cherche la Libération [l’opinion fait qu’il y a
servitude]. Mais en fait il n’y a pas de servitude, seule la Libération
existe. Pourquoi alors lui donner un nom et la rechercher ? » (Ramana
Maharshi, entretien 359).
Éliminer l’opinion qui est aussi ignorance, c’est tout ce qu’il y a à faire.
Ainsi Gilles de Rais était pris dans une terrible illusion : premièrement la guerre et ses horreurs et son sang, ensuite son instinct détraqué : un sadisme et un violeur, il fallait que celui qu’il voulait violer lui résiste : « S’ils en savent trop, ils finissent par me lasser… » disait-il à ses deux complices Sillé et Bricqueville. Ne pas oublier que Gilles était un chef de Guerre et Maréchal de France à seulement 24 ans, donc très doué pour beaucoup de choses. Il est important aussi de distinguer la noblesse d’épée, de celle de la noblesse de robe qui était un autre nom des bourgeois (la nouvelle judéo-maçonnerie spéculative née à Londres en 1717 est proche de cette noblesse de robe puisqu’elle ne construit plus rien mais spécule : elle travaille du chapeau ou mental ou de l’ego).
Gilles savait que depuis toujours son plaisir était lié à la souffrance de ses partenaires. Au début, il se contentait de leur infliger une sorte de dressage, comme de nos jours ce qu’on appelle dans le courant du sexe le plus banal sado-maso le « bondage », qui peut aussi comporter comme raffinements érotiques les insultes et les humiliations plus ou moins graves. Si celui qui partageait la nudité de Gilles refusait de jouer convenablement son rôle de masochiste gémissant, Gilles se mettait dans une colère incontrôlable qui explosait en coups violents et injures des plus grossières.
L’époque de Gilles de Rais est celle de la fin de la Guerre de Cent ans, ce qui veut dire qu’il y a beaucoup d’enfants ou adolescents orphelins de guerre qui vagabondaient sur les routes et par les forêts, en menant une vie sauvage, au risque d’être pris pour des routiers (soldats déserteurs, aventuriers, terroristes ou délinquants dirions-nous à ce jour, et qui firent les beaux jours des bagnes pour enfants lors de la monté en puissance des banques au 19è siècle). Évidemment aux premières gelées ce petit monde sortait de ses tanières, en petits mendiants hirsutes et déguenillés, la peau tannée, bronzé par le soleil et de rester tout le jour dehors. Ils quêtaient le plus souvent une miche de pain au portail des églises et des châteaux, dans lesquels ils demandaient du travail comme domestiques pour quelques jours.
Un enfant perdu, de parents inconnus, voilà le parfait gibier du Maréchal de France. Faites le rapprochement de nos jours avec les enfants qui disparaissent « mystérieusement » et les réseaux de pédophilie de la « haute politique et haute finance », et vous verrez que rien ne change, tout est cyclique, du moins dans un registre bien particulier ! Au moins chez Gilles de Rais, si je puis dire cela relevait d’un certain art ! Puisqu’il s’intéressait aussi à l’Art sacré : l’Alchimie. Je doute qu’un avocat, un financier, un chief executive officier de chez Unilever (1), ou un ministre de la culture s’intéresse à l’Alchimie et encore moins travaille au Laboratoire !
« Il m’en faut un ce soir ! » criait Gilles à Sillé. Ainsi, un des adolescents domestiques irait porter de l’eau dans la chambre du Maréchal, et qu’icelui quitterait la table plus tôt que d’habitude. Sillé serait dans la salle et monterait derrière les pas de la victime.
Il s’agissait d’un adolescent choisit pour sa blondeur, son teint pâle et ses traits délicats, avec une allure un peu craintive.
Dans sa chambre, Gilles attendait son cadeau comme un enfant pense au lendemain quand il découvrira son jouet de Noël. Bref, l’excitation était à son comble, car il ne s’agissait plus d’accueillir quelques amants dont les complaisances l’écœuraient. Non, il avait une PROIE ; et de nos jours, même s’il n’y a en principe plus de meurtre chez les gays, dans le quartier du Marais à Paris la nuit les gays sont EN CHASSE et chacun est une proie, UN PRODUIT DE CONSOMMATION.
Gilles allait tenir entre ses mains un être qui serait entièrement rebelle à son désir, et cela renforçait d’autant plus son affrontement. Gilles devenait un vulgaire et criminel violeur.
En présence de Sillé pour maintenir et entraver la victime, il viola l’adolescent, puis l’égorgea d’un coup de luxueuse dague. Ce soir là, le premier, tout se fit dans une improvisation, à cause de la panique et des cris du malheureux. Gilles ne pouvait plus se détacher de la vue du sang qui commençait à inonder le dallage de la chambre. Enfin, avec l’aide de Sillé, Gilles enroula le cadavre dans un drap, et quand tout le château fut endormi, Sillé le transporta dans une salle basse du donjon. Avec beaucoup d’efforts, tous deux ouvrirent une trappe qui donnait sur un caveau. Précipité dans le vide le cadavre ne pouvait que s’écraser sur un rocher en un bruit mat.
[Pour la partie Gilles de Rais, en référence à : Gilles de Rais ou la passion du défi, de Jacques Bressler]
Note. 1. Les dix entreprises de l’Empire régnant sur la principale société de consommation :
Kraft Foods, Nestlé, Procter & Gamble, Johnson & Johnson, Unilever, Mars Incorporated, Kellog’s, General Mills Inc., Pepsico, Coca-Cola.
L’anti connaître toi-même par toi-même : l’étatisme républicain ou jacobin qui est synonyme de violence ou manipulation tout azimut : plus il y a libéralisme, et plus il y a totalitarisme ou phénomène absolu de Big Brother, et il n’y a pas de fin à cela, c’est toujours la croissance dans le sécuritaire et par là-même la croissance infini avec l'outil transhumanisme. Très intéressante conférence de Nicolas Bourgoin et facilement compréhensible. L’étatisme devient le Petit-Père-des-Peuples : par exemple on n’agresse pas son voisin s’il y a un problème, on va porter plainte au Petit-Père… Oui, l’étatisme se mêle de toutes nos vies privées, comme chez les Incas ; le socialisme des Juifs bolcheviques de 1917 a gagné, pour le moment.
Oui, les gens du temps de Gilles de Rais et de la monarchie étaient nettement plus libre que nous en 2015 qui sommes tous des esclaves de l’étatisme et de sa manipulation PAR L’OPINION. Surtout parce que nous sommes CHOSIFIÉS. RENDUS COMME DES MARCHANDISES. Comme déjà écris de nombreuses fois, ça commença à la Renaissance, donc largement après la mort de Gilles, quand l’étatisme monarchique et centralisateur était cancérisé par le pouvoir. Aujourd’hui la soupe a prise, le jacobinisme est à son maximum, la dictature est effective, surtout avec le gôche et sa religion du Saint Fric : le capitalo-socialisme, plus capital que social !
Citation du jour
"La France n’est pas de tradition spirituelle chrétienne mais DE TRADITION DU PALÉOLITHIQUE : LE DOMAINE DES PAGANS : provinciaux des districts. Paganisme devrait bien signifier : ANCIENS CULTES DE DIVERS GROUPES DE POPULATION. Sa spiritualité sera celle du CULTE DE LA TERRE-MÈRE ou MÈRE DIVINE (Vierge Noire, Isis la Noire : l’Eau de Vie). Cette Tradition Paléolithique appartient au Christ-Soi".
La vérité tout entière ne peut consister en un puzzle de vérités partielles cueillies un peu partout. Le Tout est autre chose et plus que le total des parties.