La France sous domination des États-Unis donc devenant un état fasciste ou sur la pente d’un mini totalitarisme (je pèse mes mots). Voir la vidéo sur la police qui tire sur un
jeune de 14 ans à Bastia, mais surtout regardez comment certains médias mentent ! mais ce n’est pas nouveau ! Et puis il y a
l’affaire du site Alter Info, ou dès qu’on se déclare antisioniste on est traité de tous les noms et bien-sûr de raciste. En France on n’aime pas ceux qui dérangent ! Cela me rappel un habitant de Bordeaux qu’on avait menacé s’il ne se taisait pas :
« un accident est si vite arrivé » (je l’ai entendu personnellement en 1971). Et il y a aussi l’affaire
Julien Coupat où il n’y a pas de preuves matériel de sabotage (appelé maintenant terrorisme).
Mais le plus grave en France c’est que les policiers semblent intouchables, au-dessus des lois, on se demande si nous ne sommes pas, déjà, dans un état fasciste, voir par exemple
l’article sur Agoravox. Cela veut donc dire qu’il n’y a pas égalité, ni justice, puisque en voyant les témoignages, les policiers peuvent faire n’importe quoi sans être inquiété, et la moindre protestation se verra qualifiée de « rébellion ». Au lieu des conneries HADOPI et du fric qui va avec, parce que les « droits d’auteurs » sont un peu bancals, comme le préconise Amnesty International, il vaudrait mieux créer un organisme indépendant chargé du défenses des droits, car effectivement dans l’état actuel des choses, si on est noir, il vaut mieux entrer dans la police ou un service de sécurité quelconque, comme on peut le voir à l’entrée de certaines grandes surface, là au moins ils ne risquent rien !
En guise de sophisme extraordinaire, mieux que les Jésuites, voici les sophismes des forces de l’ordre à défaut d’être souvent celle du désordre.
Comme nous sommes à fond la caisse encore dans une société de consommation, les policiers doivent « faire du chiffre », aussi sont-ils amenés a provoquer pour que le contrevenant le devienne et tombe.
Amnesty International constate l’accentuation manifeste d’un phénomène inquiétant : les personnes qui protestent ou tentent d’intervenir lorsqu’elles sont témoins de mauvais traitements infligés par des responsables de l’application des lois sont elles-mêmes accusées d'outrage (insulte envers une personne dépositaire de l'autorité publique) ou de rébellion (résistance avec violence envers un représentant de l’autorité). Dans d’autres cas, des personnes qui se sont plaintes d’avoir subi des mauvais traitements sont accusées de diffamation par les agents concernés. Amnesty International pense que ces pratiques peuvent exercer une dissuasion très forte sur les personnes qui essaient d’obtenir justice après avoir été témoins ou victimes de violations des droits humains ; elles risquent donc d’aggraver encore le climat d’impunité actuel.
Je met ici le poème venant de l’article du
site Alter Info :
- Quand ils sont venus chercher les communistes...
- Quand ils sont venus chercher les communistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
- Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
- Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
- Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n’ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
- Et lorsqu’ils sont venus me chercher, il n’y avait plus personne pour protester.
(Martin NIEMÖLLER, Dachau)
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