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La Libération ou SILENCE des non-nés Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 14-06-2018 23:43

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Publié dans : Elementals Yôkai, Élémentals, Divinités, Yôkai

Tags : Accident, Alchimie, Allégeance, Banques, Bouche, Capitalisme, Catastrophe, Chan, Chimère, Christ, Circoncision, Confort, Corps, Démiurge, Démocratie, Diable, Dieux, Dragon, Dualité, Eau, Ego, Fétiche, Gordiasade, Gratuit, Grégaire, Guerre, Humain, Information, Innocence, Instant, Intelligence, Intérêt, Japon, Jardin, Juif, Klan, Lait, Langage, Langue, Liberté, Lucifer, Matrice, Maux, Méditation, Mental, Morale, Mort, Mot, Nature, Occident, Opinion, Orient, Panique, Paradis, Phallus, Pierre, Porte, Puce, République, Réseaux, Rêve, Rien, Sagesse, Simple, Social, Soi, Souffrance, Spiritualité, TAO, Temps, Vérité, Vide, Vieux, Viscères, washingtonisme, Yokaï

 
 
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La Libération ou SILENCE des non-nés
Mais,
si l’arrêt du mouvement du prâna
ou énergie vitale est Libération,
alors la mort est Libération !
Et tout le monde connaît la Libération à la Mort !
Notez que peut-être pas chez les égoïstes
transhumanistes qui veulent vivre éternellement,
ici-bas, et qui donc ne connaitrons pas la Libération !
NON-NÉS (1)

La mort n’est pas Libération car comparable
à la fausse libération provoquée par des
drogues, la morphine, le chloroforme, etc.
qui vont IMITER la libération, car la
CONSCIENCE ÉVEILLÉE EN EST ABSENTE (réf. R.M. entr. 191)
Ainsi, dans le film : LUCY, Lucy Miller est
UNE FAUSSE LIBÉRÉE À LA FAÇON TRANSHUMANISTE.
Lucy Miller = narcisse-narcose de droguée,
qui va droguer le monde entier : « Je suis partout »,
pouvant correspondre au Super Égrégore actuel…
 
 
Page sur le prâna et donc sur la Vraie Libération qui est du Thème de la Gorge-Gargantua ou Gosier-Gloser ! Matthieu 15, 11 : « Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme, mais ce qui sort de sa bouche, voilà ce qui souille l’homme ». Certains ont effectivement une « grande gueule », dans tous les sens du terme afférent à l’ego… et nombreux se gourent !…
 
Sûr que la langue, certains ne l’ont pas dans leur poche et ont « mauvaise langue » ! Surtout dans les milieux du politisme où la langue est leur principal outil en bois ! Pour les Bambaras, la langue est, avec la jambe, le nez et le sexe, un des quatre organes dont dépend la bonne marche du corps social ; d’où son extrême importance. Pluie, sang, sperme, salive forment le Thème du Verbe ou Prâna.
Pour les Bambaras comme pour d’autres, TENIR SA LANGUE (chose impossible pour les politicards du régime républicain) signifie atteindre la sagesse, soit être maître de son mental et accéder à la Connaissance. Car la Connaissance ou Conscience infini ne peut que se « situer » au-delà de la parole donc au-delà du mental.
Certes, la langue TRANCHE comme une épée telle que l’énonce Matthieu cité plus haut.
La Bouche contenant la langue est la même arme qui ravage ce monde, aussi bien en parole que nourriture ! Bouche = thermodynamique ! (Le Dragon crache le feu : le FLOT et la FLOTTE, et Agni Créateur-Destructeur ou Involution-Évolution). Bouche qui dessine les deux courbes de l’Œuf Primordial : monde d’en haut (palais) et monde d’en bas (mâchoire inférieure)…

Les Réalisés vivants sont continûment en contemplation totale (Samadhi). « La cause de cette apparence du monde et de cet asservissement est assurément le mental [surtout celui des travailleurs du chapeau, le ”peuple élu”] », explique Vasistha au Prince Râma, dans le Yoga Vasistha. Samadhi et pratique fervente et assidue de l’arrêt du mouvement du prâna, ou bien la cessation des pensées, amène la Libération. « Telle est l’essence de tous les textes sacrés traitant de la Libération », dit Vasistha.

Concernant la Libération assimilée à la mort (égalité pour tous, sauf pour les transhumanistes qui ont de l'argent), Vasistha explique : « Ô Râma, quand le prâna est sur le point de quitter le corps, il entre déjà en contact avec ces éléments avec lesquels le prochain corps sera façonné. Ces éléments sont en effet la cristallisation des vasanas (2) du jiva [âme individuelle], la raison pour laquelle le jiva s’accroche à ces éléments. Quand le prâna quitte le corps, il emporte avec lui tous les vasanas du jiva.
Et le mental ne deviendra vraiment non-mental qu’une fois que ces vasanas auront été détruites. Le mental n’abandonne la force vitale que lorsque se lève la connaissance de soi. Par la connaissance de soi les vasanas sont détruits, et le mental par la même occasion ; c’est alors que le prâna ne bouge plus. Cela est assurément la Paix suprême. C’est par la connaissance de soi qu’on prend conscience de l’irréalité des concepts concernant les objets du monde. Cela met un terme aux vasanas et au lien entre le mental et la force vitale [remarque très importante concernant la NOURRITURE PRÂNIQUE ou RESPIRIANISME]. Les vasanas constituent le mental. Le mental est l’agrégat [grégarisme, sac de nœuds] des vasanas et rien d’autres ; si ces derniers cessent, cet arrêt même est l’état suprême. La Connaissance est la connaissance de la Réalité. L’investigation elle-même [”Qui suis-je ?”] ou vicara [questionnement, examen mental, investigation sur la nature de sa propre réalité] est Connaissance” (YV VI, 1-69).
Le dévouement total envers une chose, la maîtrise du prâna et la cessation du mental - si l’un des trois est amené à la perfection, on accède à l’état suprême. La force vitale [prâna] et le mental sont aussi intimement associés qu’une fleur et son parfum, ou qu’une graine de sésame et l’huile. Donc, si le mouvement de la pensée cesse dans le mental, le mouvement du prâna cesse également. Si le mental est tout entier pointé vers une unique vérité, le mouvement du mental (et par conséquent de la force vitale) cesse. La meilleure méthode consiste à s’enquérir de la nature du Soi, lequel est Infini. Ton mental sera complètement absorbé et alors cesseront le mental de même que l’investigation », explique Vasistha au Prince Râma.

« Quand le mental n’aspire plus systématiquement au plaisir, il est absorbé dans le Soi en même temps que la force vitale. L’ignorance est non-existence, la connaissance de soi est l’état suprême ! [Évidemment à ne pas confondre avec l’actuelle culture du narcissisme ou exacerbation du mental, qu’il y ait culture ou inculture crasse]. Seul le mental est ignorance quand il semble être une réalité ; la réalisation de sa non-existence est l’état suprême. Si le mental demeure absorbé ne serais-ce qu’un quart d’heure, il subit un changement complet [ce quart d’heure véritable travail d’Hercule…], car il goûte l’état suprême de la connaissance de soi qu’il n’abandonnera pas. Non, même si le mental y a goûté l’espace d’une seconde, il ne retournera pas à cet état mondain. Les graines même du samsara [cycle des naissances et des morts, monde phénoménal des noms-les-formes] sont frites. Avec elles, l’ignorance est dissipées et les vasanas sont vraiment pacifiées ; qui parvient à cela est enraciné en sattva (vérité). Il contemple la lumière intérieur et repose dans la Paix suprême », dit Vasistha.

LIBÉRATION (moksha)(1) : moment où l’ignorance cesse grâce à l’investigation sur le Soi, où le jiva devient instantanément non-jiva [PAN : Connaissance qui ne peut que se faire DANS L’INSTANT, et non par temporalité ou idéation en bagage culturel], et où le mental devient non-mental. « Puisque le sentiment de l’ego, etc., n’a pas plus de réalité que l’eau du mirage, il cesse dès qu’on braque sur lui la lumière de l’investigation », dit Vasistha.
« Tant qu’il reste un objet séparé du sujet [donc la dualité sujet-objet ou cause-effet], il y a place pour le kâma (le désir). Quand il n’y a plus d’objet, il ne peut y avoir de désir. L’état sans désir, c’est le moksha (Libération). Dans le sommeil profond, il n’y a ni dualité ni désir. Alors que dans l’état de veille, il y a dualité et désir. C’est à cause de la dualité que le désir apparaît pour posséder l’objet. Le mental dirigé vers l’extérieur est le siège de la dualité et du désir [comme dans cette actuelle culture du narcissisme]. Si on sait que la Félicité n’est autre que le Soi, le mental se tourne vers l’intérieur [je dirais ”vers le Tore”…]. Quand le Soi est atteint, tous les désirs sont exaucés. C’est apta-kâma [qui a atteint l’objet de son désir, cause des causes], atma-kâmah [qui ne désire que l’âtman (le Soi)], akâmash ca [la satisfaction des désirs]. C’est le moksha » (R. Maharshi, entretien 502).


LIBÉRATION = TRANSCENDANCE DU COLLECTIF ET DE L’INDIVIDUEL :
Le ‘toi’ et ‘moi’ sont transcendés dans le ‘Je’ qui les unifie par triangulation :

      Je
Moi      Toi

« C’est dans le ‘Je’ que se réalise ce que l’Église appelle la Communion des Saints » [reprise des Anciennes Vraies Civilisations disparues]. Ce qu’exprime le Christ en disant : « Je suis le cep (Je) et vous êtes les sarments (Moi-Toi - Nous-Vous) », écrit Jean Coulonval dans Synthèse et Temps Nouveaux, lettre 34. Il écrit qu’alors il n’y a plus de dualité puisque plus de différenciation, c’est la non-pluralité, la disparition de l’ego.
Seule la Réalisation du Soi, donc du ‘Je’ permettra la Vraie Paix sur Terre. Car seul un total peut connaître un Total ; et le mondialisme ne connaît absolument pas un total, malgré les apparences qui éclatent en pleine gueule ! « Or, le ‘moi’ ne peut être un total, une globalité, un in-fini, puisqu’il se définit par rapport à un ‘toi’, qu’il est donc limité par ce qui le différencie de ce ‘toi’ [problème du sens du mot « liberté » décrit dans « les droits de l’homme », ce truc yahvistes où les ”devoirs” semblent interdits…]. C’est ce que la théologie exprime en disant qu’il ne peut y avoir qu’un seul Dieu car, s’il y en avait deux, chacun serait limité par ce qui le différencie de l’autre et ne serait donc pas in-fini. Il en est ainsi du ‘moi’ de chaque individu qui ne peut être un in-fini, un tout.
Par contre, le ‘Je’ vécu dans la plénitude du sentiment océanique n’est pas une partiellité [un fragment] à côté d’autres. Il n’est pas non plus perception d’une collectivité, d’une multitude. Il est au-delà des accidents et de la quantité cosmique. Il est Essence pure », écrit Coulonval dans la même lettre.

Le ‘je’ du narcissisme est le ‘je’ marchand, celui du faire valoir, celui de la guerre de tous contre tous, ou du « exploitez-vous les uns les autres » ; il y a le social actuel qui par essence est devenu pathologique, car tout être humain doit faire société avec lui-même au plus profond de son être avant de se lancer à faire société avec les autres. Le « tout connecté » de ce social malade produit « l’autre » comme faire-valoir (Thème de l’invention de la valeur chosifiée et par là même de la dualité winner-loser coupée du Tout).

Hébreux-Juifs = chosification, marchandage et ignorance de la vie éternelle. Il leur faudra attendre le contact avec les Perses pour le découvrir… (Voir la fin de la vidéo de Francis Cousin : ”La Genèse n’existe pas”). Le judaïsme n’étant pas une religion mais une POLITIQUE (le pouvoir au sein du communauté atteint par ce pouvoir, et le Yavhé était un pouvoir à lui tout seul !!!).
Mircea Eliade écrit dans : Histoire des croyances et des idées religieuses, chapitre : La religion d’Israël : « Les prophètes n’arrêtaient de le prédire [le futur] afin de pouvoir modifier le présent, en transformant intérieurement les fidèles. Leur intérêt passionné pour la politique contemporaine était d’ordre religieux (sens de socialiser, rassembler). En effet, la marche des événements était susceptible de forcer la conversion sincère de la nation et, partant, son « salut », seule possibilité de survivance d’Israël dans l’histoire [HOTC Histoire-Opinions-Temps qui coule]. La réalisation des prédictions prononcées par les prophètes confirmait leur message, et précisément, que les événements historique étaient l’œuvre de Yahvé », M. Eliade donnait là une bonne preuve du matérialisme du judaïsme, et de la chosification, idolâtrie de leur Dieu ! Cela va même se reporter jusqu’à nos jours où un Juif bien droit dans son corps et député du parti atteint de pouvoir a déclaré que : « la «race juive» était la plus intelligente du monde et possédait le capital humain le plus élevé… ». S’ils l’ont pas dans la gorge-gueule ou dans le zizi, ils l’ont à fond dans le mental aussi dur que leur mur des pleurnicheries !… Alors eux, ILS SONT BIEN NÉS ! DONC MORTEL !!! C’est pourquoi leurs transhumanistes veulent vivre « éternellement ».

À suivre…

[Voyage en cette dimension en compagnie de Vasistha (ou Vasishtha), un des grands Sages de l’ère du manvantara. Énorme merci à son traducteur le Swami Venkatesananda (1921-1982). Hymnes composés par Vasishtha dédiés à Agni (Igné-Inné…)]


Notes.
1. « La Conscience n’est jamais née ; elle reste éternelle. Mais l’ego prend naissance, de même que toutes les pensées. Ils ne peuvent exister qu’en étant associés à la Conscience absolue ; pas autrement. Le moksha consiste à savoir que vous n’êtes jamais né. « Reste tranquille et sache que je suis Dieu ». ”Rester tranquille” veut dire NE PAS PENSER. Ce qu’il faut, c’est SAVOIR et non pas PENSER [donc être un SACHANT et non plus un CROYANT] », explique Ramana Maharshi à l’entretien 131.

2. Vasanas : tendances, prédispositions latente du mental ; impressions formées dans le passé qui déterminent nos pensées et nos actions.
 
 

Dernière mise à jour : 16-06-2018 23:29

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