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Serial Killer Aristote Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 16-06-2010 02:11

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Argent, Banques, Politique, Religion


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Serial Killer Aristote

Aristote sataniste

Nous avons été assez longtemps dans la tête d'Aristote.
Maintenant, ça suffit !
Le "Siècle des lumières" ça suffit !
Il est temps de revenir à l'Humain : "Je suis".
 
 
Les constructeurs de systèmes intellectuels, de "ismes", comme Aristote et ses suiveurs sont des satanistes, ils ont bouffé la pomme. Quand on choisit un système philosophique on est obligé de condamner les autres...
 
La logique et l'analyse ne sont que spéculation destinée à COMBLER LE VIDE. Rien n'existe que le directe, comme le représente la déesse Maât : l'ouvrier manuel, opératif, vit la soudure des essences et des accidents de façon directe, immédiate : son travail loupé, et il ne passe pas à la paye ; alors que le spéculatif peut passer sa vie à construire des systèmes philosophiques qui satisferont son appétit de "vérité possédée", passer sa vie d'universitaire à enseigner des conneries sans s'en porter plus mal, au moins financièrement. Selon la mode et l'air du temps, il écrit un bouquin, fait fortune en imaginant un nouveau philosophisme, qui sera remplacé par un autre, au gré des appétits du "savoir" (du A privatif : privation de voir)
 
Dans cette série de pages dénonçant les méfaits de la révolution de 1789 et des conséquences de la République actuelle : production et consommation de la société devenu une mécanique à rendement ; je citais Aristote sans donner quelques indications sur ce sinistre personnage. Voici quelques arguments pour le renvoyer chez Sa Sinistre Obscurité.
La république actuelle des pays occidentaux et toutes leurs institutions ne sont que des caricatures d'une Trinité qui a été démoli : autorité religieuse, autorité politique, autorité économique. Comme Jean Coulonval le désirait, ces trois corps devraient n'en constituer qu'un seul. Je suis bien d'accord avec lui, car les institutions actuelles ne favorisent et légitiment que les plus forts, en gueule, ou en comptes en banques.
- Aristote et sa théorie de la valeur influença la philosophie de l'économie, de Karl Marx, et sa théorie de l'action (praxis) et de la prudence (phronèsis) marqua la philosophie politique.
- On le considère comme "l'inventeur" de la logique (inventeur un bien grand mot car tout est cyclique et il n'y a rien de nouveau sous le Soleil), il explore donc l'analogie et en fait un système (l'analogie est très casse-gueule).
En ce qui concerne l'action, et donc l'expérience, seul compte ce qui est naturel, éternel, et n'entre pas dans le domaine de l'expérience. Ce qui est né doit mourir, ce qui est acquis doit être perdu (involution et évolution).

Aristote
- Il coince dans la prison du raisonnement et de la logique, ou art de figer la vérité. Aussi on peut se poser des questions sur le mot : vraiment ! Vrai et ment...
- Il est surtout en partie responsable du système prison empêchant la compréhension de ce qu'on nomme temps, et en fait la linéarité de la ligne droite suivante : Passé, Présent, Futur ; une pure vue de l'esprit humain transformée en vérité et qui nous fout dans la merde depuis...
- La révolution de 1789 est devenu la religion politique de l'opinion, et le communisme et sa terreur en est la maturation historique en se bombardant des prédicats de l'absolu, de l'universel, ce qui en fait bien une religion à l'envers.
- Le pape Jean-Paul 2 souligne en 1998 l'importance de la philosophie d'Aristote (une prison de plus) dans la transmission du savoir (du A privatif ou privé de voir !). Pape ou pas, ce n'est pas une référence, tout le monde peut se tromper...

On peut dire que j'exagère, mais d'Aristote et de John Locke, et ses suiveurs dont Karl Marx, un des résultats est le libéralisme qui aboutit à l'imbécile propriété intellectuelle ou l'idée, ou l'invisible : ainsi l'invisible est en train de devenir plus important que la matière, un peu normal dans un monde déjà virtualisé par les banques et les cartes à puce.
Nous n'avons pas évolué d'un millimètre par rapport au 19è siècle industriel : déjà en 1859 à Lyon on brevette le rouge fuchsine, si bien que d’autres essayent de trouver diverses combinaisons et de les vendre sous un autre nom. Comme maintenant, les procès pour contrefaçon commencent. Donc c’est bien le chimiste August Hofmann qui trouve l’origine du rouge d’aniline dans le pourpre ; mais en 1863, des juges imbéciles, surement aux ordres des banques, octroient un monopole à deux lyonnais pour leur fuchsine, mais uniquement à cause de l’industrialisation de leur fabrication. Ainsi cette jurisprudence idiote et capitale permet aux brevets eux aussi tueurs, une main-mise sur le produit lui-même, la fameuse propriété, mais ici non intellectuelle car il ne s’agit pas du procédé ou de l’idée de départ. Cette jurisprudence idiote signa l’arrêt des industries des colorants synthétiques en France, lesquelles allèrent s’installer en Suisse et en Allemagne. En 1870, il ne resta en France que sept des vingt et une fabriques créées en 1862.

Je tiens pour responsable de la dictature démocratique (conspiration démocratique mondialiste menée par le dieu dollar) que nous vivons : Aristote et John Locke, et ceux qui se réclamèrent du "siècle des lumières". Responsables aussi sont les franc-maçons abusant de pouvoir pour le pouvoir : grave erreur, et s'il ne devait y avoir qu'une erreur au monde, ce serait celle-ci. Les franc-maçons responsables de la révolution de 1789 sont des spéculatifs, découlant d'Aristote. Ce genre de franc-maçonnerie est une singerie de la maçonnerie opérative, et cette maçonnerie spéculative ne construira jamais de cathédrale sociale. Elle ne fait que des H.L.M., de l'individualisme poussé à la façon communisme ou camps de concentration. Elle ne fait que numéroter les individus, elle dépersonnalise.

Avec Aristote nous restons prisonnier du temps, de la géométrie euclidienne, toutes ces choses qui ne peuvent se comprendre qu’en échappant au temps grâce aux PARABOLES, aux PETITES HISTOIRES, et c’est justement là que l’Alchimie est championne.
Aristote et compagnie, tout comme Lavoisier et sa suite croyaient que METTRE EN LUMIÈRE devenait « clair » et donc logique et compréhensible, mais c’est le contraire qui se produit. LES TÉNÈBRES sont bien la Lumière abstraite ou absolue.
Ce sont eux qui sont la racine de la Lumière. Sans Ténèbres pas de Lumière ! C’est bien dans les caves, les grottes sombres que l’on trouve les "Trésors" ! Tout comme l'eau aime les endroits frais et sombres... Cependant ne pas associer, ou faire d’amalgame comme on dit actuellement entre ténèbres et satanisme ! C’est la chrétienté qui a donné un sens mauvais au mot ténèbres.

Aristote à été "professeur" d'Alexandre, celui qu'on ose encore appeler "le grand". Ce n'est guère étonnant vu la manière dont il trancha le Nœud en faisant l'inverse de son maître : sans se "casser la tête", il préféra casser le nœud au lieu de le défaire. Il a donc fait le contraire de ce que lui enseigna Aristote ! La patience c'est usant...

M. R.
 
 

Dernière mise à jour : 16-06-2010 03:31

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