- Question : Mais quand et comment la disparition du monde objectif (
drishya-vilaya) peut-elle être effectuée ?
- Maharshi : Elle est accomplie lorsque le sujet relatif, c’est-à-dire le mental, est éliminé. Le mental est le créateur du sujet et de l’objet et la cause de la conception dualiste [voir vidéo en bas d’article]. C’est donc lui qui provoque la fausse notion d’un soi limité et de toute la souffrance qui en découle.
- Question : Qu’est-ce que le mental ?
- Maharshi : Le mental est une des formes sous lesquelles la vie se manifeste. Un morceau de bois ou une machine compliquée ne sont pas appelés mental. La force vitale se manifeste comme activité de vie et également comme phénomène conscient, nommé mental.
- Question : Quelle est la relation entre le mental et l’objet ? Est-ce que le mental entre en contact avec quelque chose distinct de lui-même, c’est-à-dire le monde ?
- Maharshi : Le monde est appréhendé par les sens dans les états de veille et de rêve ; il est l’objet des perceptions et de pensées, les deux étant des activités mentales. Si l’activité mentale du rêve et de l’état de veille n’existait pas, il n’y aurait pas de perception du monde ni la conclusion qu’il existe. Dans le sommeil profond, cette activité est absente ; donc les objets et le monde n’existent pas pour nous dans cet état. En conséquence, la « réalité du monde » ne peut être créée que par l’ego, par son émergence du sommeil ; et cette réalité est engloutie ou disparaît lorsque l’âme reprend sa propre nature dans le sommeil profond. L’apparition et la disparition du monde sont comparables à l’araignée qui tisse sa toile et puis la résorbe. Dans cet exemple, l’araignée est sous-jacente aux trois états, ceux de veille, de rêve et de sommeil profond. Une telle araignée en l’homme est appelée âtman (le Soi), tandis que la même en rapport avec le monde (considéré comme issu du Soleil) est appelée
brahman (l’Esprit suprême). « Celui qui est dans l’homme est le même que Celui qui est dans le Soleil ».
Tant que le Soi ou l’Esprit suprême est non manifesté et sans activité, il n’y a pas de couples d’opposés, comme par exemple sujet et objet ou
drik et
drishya [voir vidéo en fin d’article]. Si l’on pousse la recherche jusqu’à la cause ultime de la manifestation du mental, l’on s’apercevra que le mental n’est pas autre chose que la manifestation de la Réalité qui est aussi appelée
âtman ou
brahman.
Le mental est nommé
sûkshma-sharira ou « corps des pensées » [Vase], et le
jiva [être vivant] c’est l’âme individuelle. Le
jiva est l’essence qui permet la croissance de l’individualité. On l’appelle encore personnalité [masque,
persona]. La pensée, ou le mental, est considérée comme une phase ou une des formes dans lesquelles le
jiva se manifeste, la phase antérieure de cette manifestation étant la vie végétative. Le mental se manifeste toujours en rapport avec - ou agissant sur - quelque chose qui est non mental ou matière ; il ne se manifeste jamais seul. par conséquent, mental et matière coexistent » (entretien 25).
Ainsi le drame de ce monde humain date surtout du choix de la thermodynamique :
DU FEU. Ensuite et seulement, viendra le drame de l’écriture brisant du même coup la Vraie Télépathie. Le conventionnel s’installe, car les signes ou alphabets ne se confondent pas avec les choses auxquelles ils renvoient et qui bien-sûr existent indépendamment d’eux (dans le mental).
Tout étant dans le mental ce sont nécessairement des conventions qui vont éloigner de plus en plus de la Réalité : plus on s’approche des formes alphabétiques d’écriture et plus le rapport entre ce qui est écrit et qui est texte, et qui prétend dire quelque chose est conventionnel. D’ailleurs, Convention et Propagande sont du même thème…
Donc l’écriture et ses conventions ont fait que nous sommes passés d’une pensée sur les choses à une pensée sur la représentations ou illusion, convention, des choses, c’est-à-dire à une pensée sur la pensée. Notre conception du monde « moderne » et donc de nous-mêmes est, une illusion d’illusion ou sous-produit de l’invention du monde par un alphabet ou des signes gravés sur un support, puis imprimée sur parchemin, puis sur papier, et de nos jours virtualisée électroniquement en binaire composé uniquement de zéro et de un. L’illusion hypnotise ce monde comme naguère le FEU devait hypnotiser les humains qui le découvraient POUR LA PREMIÈRE FOIS !
RAPPEL : c’est à l’époque de la Renaissance, notamment à cause de l’imprimerie, de Galilée, et des génocides envers les Peuples du Soleil (Mayas, Incas, etc.) que le conventionnel, on pourrait même dire que le MONDIALISME et NOUVEL ORDRE MONDIAL S’INSTALLE VÉRITABLEMENT ET DURABLEMENT. L’OPINION S’INSTALLE ET SE VEUT « SCIENCE » : LE VISIBLE, LE MESURABLE ET LE DÉJÀ BIG BROTHER ÉGALITARISTE S’INSTALLE ET DEVIENT UN DÉLUGE D’ÉTIQUETTES OU « DÉNOMINATION DU VISIBLE » (voyez les délires des perruques poudrées et de leur Encyclopédie (Diderot) et de ses gravures se voulant le Graal de leur civilisation.
NOUS SOMMES BIEN PRIS-AU-NIER (prisonnier), alors inutile de pester contre l’oligarchie dominante du monde : les anglo-américains, TOUTE LA BASE DE L’HUMAIN EST À REVOIR, donc la seule libération possible ne peut maintenant passer que par la Réalisation ou Retour au Soi.
COMMENT TUER LE SOI OU ÉTERNITÉ : PAR LA CONVENTION.
CONVENTION = LOI (genre Moïse et noachisme). Ainsi, une fois qu’un alphabet, puis un écrit, ont été adopté par le plus grand nombre, il devient un MODÈLE, une NORME, un fait d’ÉDUCATION. Alors on en devient PRIS-AU-NIER : il est extraordinairement difficile de s’en distancier et d’imaginer comment celui qui ne le partage pas peut percevoir le monde en une autre langage !!! Ou dans le SILENCE. De là d’ailleurs vient LA PEUR DES EXTRATERRESTRES ET SURTOUT QU’ILS AIENT UN AUTRE PRINCIPE TECHNOLOGIQUE QUE LA THERMODYNAMIQUE !!!
Nous sommes tellement pris-au-nier qu’il nous devient impossible d’imaginer que notre modèle d’écrit, et maintenant virtuel en inform-atique, N’EST QU’UN MODÈLE PARMI UNE INFINITÉS D’AUTRES. Ainsi les structures représentées par ce modèle finissent par être considérées comme des « faits objectifs » (la fameuse « raison » devenant vérité), qu’il s’agisse des mots, des syllabes, du son des lettres ou d’un sens littéral. Un fois le moulinage de la convention passé, on a tendance comme de nos jours de tyrannie de l’opinion, à penser que ces structures existent dans le texte (voyez la justice humaine), et que ceux qui ne parviennent pas à les y voir sont atteints d’une imbécilité, ou ils sont comme des « terroristes », ils sont des « sauvages », ils sont des « mauvaises herbes » à brûler comme autrefois le pouvoir brûlait les sorcières…
CONVENTION - CRÉDIT-CREDO-CROYANCE - A-DORER - POUVOIR, ce qui arrange si bien cette nouvelle religion de l’argent ! Ainsi, il n’y a pas de raison que s’arrête cette fontaine de jouvence à fric que veulent quasiment « éternelle » les transhumanistes des Google et leur « Royaume de Dieu (juif) sur Terre ».
RIEN NE CHANGE PLUS VITE QUE LES CROYANCES. Elles sont comme le vent.
Comme la fée électricité qui va amener la télévision, puis l’informatique, tout cela est dans le thème thermodynamique : LE FEU.
RAPPEL : l’Alchimie se nomme aussi la
Philosophie du Feu. La thermodynamique repose UNIQUEMENT sur le feu vulgaire ou élémentaire, celui qui fait cuire les aliments et chauffe l’eau, à défaut de brûler autrefois sur un bûcher ceux qui n’étaient pas de la même opinion que la convention ou POUVOIR !
Seulement UN CERTAIN ÊTRE HUMAIN en découvrant le Feu n’a pas su ce qu’était ce Feu, ni comment il pouvait le « piloter ». D’où le mot A-dorer, A-doration : du A privatif et dorer : priver de Soleil ; et étymologie de
oraison (langage, surtout parlé, et de style prière).
Donc A-dorer c’est se priver du Soleil, ce que se sont empressés de faire quelques uns de nos ancêtres qui jusqu’à nous ont foutu la merde thermodynamique AU LIEU DE REMERCIER CE SOLEIL.
Cette A-doration se traduit maintenant par la religion de l’argent en passant par de nombreux millénaires par l’Or métal FOLIE HUMAINE qui fait croire aux humains qu’ils possèdent le Soleil. Alors aujourd’hui plus que jamais ils adorent l’Or digitalisé et sa société de consommation-consumée.
Abattre des arbres entre totalement dans le thème thermodynamique. Mais si les Chasseurs-Cueilleurs n’avaient pas dévié vers la voie de l’Agriculture aussi thème thermodynamique, ils pouvaient se contenter et se régaler des fruits de ces arbres ; et si au lieu de tuer la bête pour la manger et lui voler sa fourrure, ils s’étaient contentés de frugales repas ainsi que cette nature le lui avait offert gratuitement, certains de nos ancêtres n’auraient pas connu la catastrophe qui les guettaient et les besoins de toutes sortes qui se faisaient sentir au fur et à mesure de la progression dans cette voie de l’Agriculture.
L’être humain coupent des arbres (il défriche qu’il dit, d’ailleurs même problème avec ce qu’il appelle « mauvaises herbes »), mais la forêt, la brousse ou la broussaille veulent reconquérir leur Soi, et les animaux veulent retrouver leurs forêts (leur Soi).
La Chute, c’est en grande partie quand l’humain a commencé à détruire tout ce qu’il touchait, tout ce qui l’environnait. Incontestablement il est le plus grand prédateur de la planète Terre. Et après ça il parle de « terroriste » !!!
Les animaux voyant que ces humains détruisaient leurs maisons et espaces de vie, leur Paradis, ont dû fuirent ces humains prédateurs. Désormais, ils se méfient de l’humain, et ils ont dû se rapprocher de ces mêmes humains car ils ne retrouvaient plus leur nourriture. Ainsi il est naturel que le Loup ravit des moutons, que le Sanglier laboure les cultures, que le Renard visite les basses-cours, que les Corbeaux pillent les ensemencements, que les Lapins détruisent les récoltes et rongent les arbres fruitiers, que les Serpents se sentant menacés et empoisonnent, et que des bêtes « féroces » attaquent des humains qui font reculer les forêts de siècle en siècle, et de nos jours avec la technologie ça devient véritablement catastrophique.
Les animaux doivent maintenant abandonner leur Soi (lieu de naissance) pour traquer leur nourriture. Idem pour les humains qui doivent aussi abandonner leur Soi ou « lieu de naissance » pour traquer des animaux en des régions sauvages et malsaines, s’ils veulent se nourrir et se vêtir.
Par sa Chute, l’humain est condamné à connaître l’angoisse, la faim et la soif, les souffrances, les intempéries, selon la loi de cause-effet qu’il a lui-même inventé ! LA NATURE SE VENGE…
Alors l’être humain inventa le travail (la sueur de son front et le salaire : le Sel-air, le Sal-air ou Sal-R, et le Sel ça brûle… ). C’est pour cela que les animaux commencèrent à éviter les êtres humains, car ils comprenaient ce qui les attendaient s’ils TOMBAIENT DANS LE FAIRE/FER, ce terrible âge du Fer/faire. Alors l’humain pour survivre est contraint de traquer les animaux, de batailler avec les plus gros pour les manger ou se protéger.
Bref, uniquement par sa faute l’être humain CHUTA. DEPUIS IL EST EN DÉPRESSION, EN THERMODYNAMIQUE, EN MALADIE, EN GUERRES PERMANENTES CONTRE TOUT, CONTRE LE SOI.
C’est probablement cet état de Chute qui fabriqua le SOCIAL : se rapprocher les uns des autres comme fonder une famille, une « maisonnée » ou un CLAN ; puis par contraire s’il l’harmonie ou les échanges sont rompus arrivent les batailles puis les guerres.
Après la Chute l’humain devient cruel, et les animaux le sentent et s’éloignent, ou attaquent l’humain. Les oiseaux narguaient l’humain, jusqu’aux jours où ils se font tuer par absorption à travers leurs gros engins volants empoisonnant l’air.
LA CHUTE : partout où régnait l’harmonie, l’être humain n’a apporté que le désordre, son chaos humain, par disputes avec les animaux, et par fabrication d’objets divers dont il n’aurait jamais dû avoir besoin. Fabrication d’objets qui ne peuvent que commencer à partir du choix de la voie de l’Agriculture il y a 10.000 ans environ.
LA CHUTE : plus l’être humain avance en technologie, et plus il devient tourmenté, souffrant, méchant et cruel, jaloux et désireux, haineux, chaotique et passionné, parce que plus instruit, ou plutôt bourré de « cultures » (artifices) évidemment qui sont devenues aseptisées ! Pas de « mauvaises herbes » dans le jardin de l’humain, pas de « terroristes » !!!
AVEC CE MONDE ACTUEL, SI RIEN NE CHANGE DANS LA BASE HUMAINE, SA CONNAISSANCE, TOUT VA DEVENIR ARTIFICIEL, AHRIMANIEN (modèle transhumaniste). NOUS SOMMES PRIS-AU-NIER : toute évolution vers la Libération sera interrompue et il sera procréé une ÉVOLUTION STATIQUE (prise-au-nier), artificielle, dans le Minéral, Végétal, et Animal ou Humain. Ce sera le choix de la voie Ahrimanienne détruisant la voie divine (Originelle), et alors la dualité bien-mal ne voudra plus rien dire (aussi bien dans une voie que dans l’autre), sauf que pour de longs siècles l’artificiel ou tout ce qui est à l’envers régnera. Lucifer censé être le contraire d’Ahriman semble être un ami par intermittence. Mais il faut s’avoir s’en détacher.
Encore une fois, l’être humain ne connaissant pas la signification du Feu se l’ai approprié et a foncé dans sa thermodynamique. Il n’a pas compris que lorsque la forêt brûlait parce que la foudre avait embrasé un grand arbre la puissance de cette énergie. Il n’a évidemment pas compris que la foudre en tombant du ciel était UN SIGNAL, une SYNCHRONICITÉ le mettant en garde contre ce POUVOIR DU FEU.
L’humain a capturé le feu, feu-pouvoir qui peut détruire comme il peut CONFORTER potentiellement. Avec ça il commença à se diriger curieusement vers le Nord, donc vers le froid, vers le pôle ! peut-être pour y chercher une ouverture afin de pénétrer dans la planète et s’y réchauffer… Ce pôle étant si bien défendu, l’humain fut condamné à tuer pour se vêtir et manger, même ses semblables quand il connaissait la famine, alors que cet ignorant devait se retourner pour se diriger vers l’équateur afin de retrouver la chaleur, une vie confortable naturellement, et de la nourriture ; il pouvait même se passer d’habitation et de vêtements, comme au « Paradis » ! Mais non, l’humain de ce temps perdait la tête, ou quelque chose la lui faisait perdre. Et plus il se dirigeait vers le Nord et moins les arbres ne portaient de fruits comestibles, quand ils en portaient, et plus il faisait froid, et plus il mourait de faim. Tout lui commandait d’aller vers l’équateur.
Posséder le feu est le mythe de Prométhée : c’est de ce feu vulgaire que sont nés les fourneaux, la fusion et le labour métallique, donc l’INDUSTRIE et tous les problèmes qu’y s’y greffent. La civilisation actuelle marche sur la tête par son choix du feu et donc de la thermodynamique. HÉLAS, par ce feu vulgaire, combien de misères, de guerres et de souffrances à commencer par la fièvre de l’Or métal. Depuis cette Chute, les humains doivent trimer, gagner leur sale-air, cultiver une terre dont le rendement n’est pas en rapport avec la sueur versée ; calculer sans cesse recette et dépense, amender, engraisser et doper comme les humains se dopent eux-mêmes avec l’industrie de Big Pharma. Ces humains comme de nos jours s’efforcent d’obtenir un salaire, soit un résultat. La thermodynamique obtenant de si piètres résultats obligent les humains à ne compter que sur la sueur de leur corps, et celle de leur mental, et d’inventer l’argent et ce qui va avec : armée, police, justice. Cet argent qui est élevé au rang de LA RELIGION UNIVERSELLE. Résultat : Enfer, les uns se ruent et se tuent au travail, et les autres, en très petit nombre, cueillent sans suer les bénéfices de la sueur du plus grand nombre.
Tout démontre dans notre « civilisation » actuelle que le choix de l’utilisation du feu sans en comprendre le sens pour en faire ce qu’on appelle la thermodynamique n’a mené qu’à une catastrophe dont nous sommes seulement au début d’en entrevoir les conséquences.
Certains de nos ancêtres ne se doutaient pas de ce qu’il sortirait de deux ou trois pierres de leur foyer sortiraient un jour des hauts fourneaux et de la fonte en fusion, de l’acier ; puis du fer forgé sortira pointes de flèches et épées, haches et piques, casques et boucliers ; puis tanks obus et avions. Et après aujourd’hui certains s’étonnent de raz-de-marées et autres « dérèglements climatiques »…
Le Sahara par la Chute des humains est devenu un désert, seulement fertile pour certains pour une Réalisation du Soi.
Réaliser le Soi se retrouve même dans l’expression :
« Chacun cherche sa place au Soleil », ce qui veut dire dans le sens positif ne pas utiliser le feu vulgaire de la Thermodynamique !!! Le mot « place » est évidemment à entendre comme
Centrum Centri, et non pas une place égoïste ou le triomphe du ‘je’ comme de nos jours. « La place au Soleil » ce n’est pas comme maintenant le « Exploitez-vous les uns les autres » ou la lutte de tous contre tous !
Avec tous leurs milliards, et par la faute de leurs ancêtres qui ont chutés, qu’attendent les Couilles en Or pour faire des régions chaudes et désertiques maintenant pour en refaire LE JARDIN DE LA TERRE, LA VRAIE, pas le « Royaume du Dieu juif sur Terre » autre tirade désignant le capitalisme inventé par ces mêmes Juifs (voir Jacques Attali et son livre :
Les Juifs, le monde et l’argent - Histoire économique du peuple juif).
Il est révoltant que pour le plaisir et confort de quelqu’uns, de grandes étendues de terre puissent, sous les rayons du Soleil, demeurer stériles, alors que tout nous permet d’entrevoir qu’il y va de l’avenir de l’humanité, plutôt que de se tourner à coups de milliards vers le néant stérile que représente le délire du transhumanisme !
La sécurité est la plus grande ennemie des mortels.
(Hécate dans Macbeth)
Avec l’invention de l’alphabet commence l’invention de mesurer le temps, et donc commence le contrôle des humains par eux-mêmes, avec dérives vers le pouvoir de certains par rapport à d’autres.
Enfin, ne pas oublier que l’écriture repose sur le langage parlé (le son comme l’entend la Langue des Oiseaux), car l’écriture et sa compréhension ne survie que grâce à ses traces orales, et avant elles la base télépathique. Ne pas oublier que la vie vient de l’Eau, l’arrivée de l’Oxygène fut probablement la PREMIÈRE CHUTE. Ainsi en parallèle de la Vraie Télépathique il existait le CHANT, que l’on retrouve chez les Baleines et dans le mythe des Sirènes… Comme l’exprime en maints entretiens Ramana Maharshi, LE SEUL VRAI LANGAGE EST LE SILENCE (Mauna) : « Le Silence veut dire éloquence » (entretien 20) ; « L’inactivité [le non-agir] est activité constante » (entretien 60) ; « Le Silence est un discours sans fin. La parole émise fait obstacle à la parole silencieuse » (entretien 68). De nos jours tout n’est que bruits et speed ! Ramana Maharshi dit encore que le Silence est l’état qui se manifeste spontanément après l’annihilation de l’ego. « Cet état est au-delà de la lumière et de l’obscurité, mais est encore appelé lumière parce que aucun autre mot approprié n’a pu être trouvé ».
Oui, la Conscience vient de l’EAU. Mais quelle Eau, et par contraire, quelle Feu ??
Aussi ne vous préoccupez pas de « terrorisme » ou « État islamique ». Où sont ces deux modes du moment, si ce n’est dans votre mental, et surtout dans celui des cancéreux du pouvoir ? Réaliser votre Soi et alors tout est réalisé, c’est la Félicité (pour faire référence à l’entretient 20 de R. Maharshi).
À ce hui, ce n’est pas l’humain qui devient autonome mais ses voitures (ses robots). J’appelle ça de l’évolutionnisme À L’ENVERS, comme un cuivre repoussé, un masque (persona) inversé. Bref, c’est encore et toujours de la thermodynamique !
« Les Grecs ont été torturés par une surabondance de questions ; l’homme moderne, lui, sera soumis bien moins au tourment des questions qu’à celui d’être ensorcelé dans ses préjugés, d’avoir à côté de lui un second corps contenant ses opinions toutes faites ». (Rudolf Steiner, L’homme entre Lucifer et Ahriman).
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