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PRÉ-Machin, PRÉ-caution, PRO-jection Suggérer par mail
 

Ecrit par Sechy, le 07-03-2021 23:00

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Publié dans : Les News, Dernières news

Tags : Alchimie, Amour, Ampoule, Anarchie, Araignée, Argent, Banques, Bourgeois, Chaos, Communisme, Chronologie, Démocratie, Diable, Dictature, Dieu, Dragons, Eau, Église, Esprit, Europe, Feu, France, Gaule, Goulag, Gouvernement, Guerre, Homéopathie, Illusion, Inquisition, Internet, Jardin, Justice, Labyrinthe, Laïcité, Libéralisme, Liberté, Maffia, Magie, Médecine, Métaux, Monarchie, Mondialisme, Morale, Mort, Nature, Occident, Oligarchie, Opinion, Ouvrier, Pagan, Paradis, Peur, Pierre, Pieuvre, Politique, Pouvoir, Prisons, Ptah, Pyramides, Religions, République, Rire, Royauté, Sagesse, Satan, Science, Sécurité, Sexe, Silence, Tao, Télépathie, Temps, Terreur, Transformation, Vide, Volonté, Washingtonisme, Yokaï

 
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PRÉ-Machin, PRÉ-caution, PRO-jection,
PRÉ-voir.
 
Messianisme… et Justiciable ou PRÉ-sumé :
vous êtes en bonne santé, vous êtes donc
« asymptômatique », ou un malade ou un
justiciable qui s’ignore.
Toujours cette logique du « pour votre santé »
vous serez emprisonné, inclusivé, « sauvé ».
Toujours cette logique de FAIRE CROIRE QUE…
Mon Dieu, je vais TOMBER malade, tomber :
la fameuse chute des religions abrahamistes ;
la fameuse tyrannie de l’opinion.
TOUTE RELIGION EST UNE CROYANCE, UN SAUVETAGE :
FAIRE CROIRE À L’ACCÈS À UNE LIBERTÉ PROJETÉE,
SUPPOSÉE, DONC FABRIQUÉE.
TOUTE RELIGION EST UNE SOUMISSION À L’ATTENTE
(d’un messie qui ne doit jamais arriver comme
la carotter attachée à distance de la tête de
l’âne pour le faire avancer ne doit jamais
être croquée par l’âne).
Les religions ne demandent pas de SAVOIR,
mais de CROIRE : CONFIER EN PRÊT (et non
en directe, en Réel).


CROIRE-CRÉDIT-CRÉDO-CRÉANCE-CRÉDIBLE : du latin credere (confier en prêt), d’où se fier à un extérieur ou à une personne, comme se fier à son marchand de confiance : le banquier (qui s’appelait autrefois « Marchand de confiance »). « La famille conserve ces trois sens : la religion, avec croyant, croyance, mécréant, credo; la confiance, avec créance, crédule, crédibilité, accroire, crédence (de l'italien), crédit (et accréditer, discréditer), la finance reprenant l'acte concret de confier de l'argent, avec recréance, crédit dans son sens emprunté à l'italien (et créditer, créditeur), créance et créancier, accréditeur et accréditif, ducroire » (dic.; Le Robert).

« Je peux me faire du monde une idée fausse, sans que pour autant mon besoin d'absolu disparaisse, ce qui implique une liberté des rapports entre ma volonté et tout l'existant : je peux concevoir l'existant, non pas tel qu'il est en soi, mais selon ce que mes appétits désirent qu'il soit ». (Jean Coulonval, Synthèse et Temps Nouveaux, Lettre 5).
Au temps de ce socialisme de « monde inclusif » à la sociétique, pardon : soviétique, il CROIT, en agglomérant du discontinue culturo-scientifique, des « infos », créer du continu qui serait le « monde inclusif ».

« La perception intellectuelle immédiate du métaphysique est continue, contemplation indifférenciée. Mais, pour s'exprimer, elle doit se couler dans les mots, dans une géométrie syntaxique, c'est-à-dire dans du discontinu. La vision métaphysique continue n'est pas didactiquement communicable. Elle descend de l'indifférencié intellectuel dans le différencié verbal et grammatical. Inversement, la méthode didactique part du différencié verbal pour invoquer le sens au sein de l'indifférencié métaphysique. La Pensée est de l'ordre de l'indifférencié continu, l'Opinion de l'ordre du discontinu sensible à partir duquel on tend, par un besoin naturel mais par une voie aberrante, non plus à atteindre le lieu spirituel d'une pensée continue, mais à la forger soi-même par syncrèse, agglutination de conclusions tirées des expériences spatio-temporelles.

Cette distinction de l'intellect métaphysique continu et de l'intellect didactique discontinu est analogue à la distinction de l'anté-matière continue, non euclidienne, et de la matière euclidienne discontinue. Ce doit être cette distinction qu'avait perçue de Broglie en écrivant Continu et discontinu en physique quantique ». (Jean Coulonval, même lettre, adressée à Gaston Bardet à propos de son livre : Secret d’Israël, critiqué par Coulonval).

L’Église ne demande pas de comprendre, mais de CROIRE, principe de la carotte. Or le Christ, sens du Soi, est nécessairement le SACHANT, L’ABSOLU, LE PARTICIPANT À L’ABSOLU, L’ABSOLU LUI-MÊME. LE CHRIST N’EST PAS UN « ISME » OU UNE ÉGLISE (sens de social-socialisme, assemblée, convent). Le mot « catholicisme » est un monstre étymologique, car « catholique » signifie l’universel, comme tente aussi de le faire le mot « république », ou le mot « islam » et autres religions du Livre. Or tout « isme », comme la démocratie, implique la limitation par le système, par le truc, le bidule religieux ou politico-intellectuel comme actuellement.

L’athéisme du socialisme ou de la république est une manifestation de cet Absolu du Christ ou de la Réalisation du Soi, puisqu’il implique la non-satisfaction de cet Absolu par les religions et leurs politiques officielles. C’est une contre-religion, comme on fait un contre-feu pour arrêter les incendies de forêt. Mais un contre-feu est encore un feu.

La RE-ligion : non-dualité, c’est en Christ ou Soi qu’elle se réalise : le squelette intellectuel ou Trame qu’est la connaissance métaphysique ou du Soi s’enveloppe d’une chair vivante, pas un corps de zombi, et c’est là que le mot Foi se concrétise véritablement.
FOI ou TRAME, TISSUS.
Le mal dans les religions abrahamistes, c’est de n’avoir pas de Trame, ce qui en fait des réservoirs à chaos, des difformités comme dans les peintures de Picasso, les yeux peuvent se trouver sur les fesses et le sexe sur la tête. Les religions abrahamistes n’ont qu’une Trame externe, comme leur COUVERTURE SOCIALE OU POLITICO-MORALE QUI EST LEUR APPAREIL ADMINISTRATIF.

PRÉ-voir, PRÉ-Machin, PRÉ-caution, PRO-jection :
L’être humain a tellement HORREUR DU GRATUIT, HORREUR DE L’AMOUR, QU’IL PROJETTE POUR NE SURTOUT PAS SE TROUVER DANS LE BLANC DE L’INSTANT, SURTOUT PAS SE TROUVER DANS LE BLANC DE LA LUMIÈRE HORS DE LA CAVERNE DE PLATON.
L’être humain a horreur du non-nécessaire, il lui faut toujours des projections, du toujours plus de ceci et de cela par la création de besoins ; l’être humain est un sado-masochiste, on le voit avec les masques sanitaires portées alors qu’ils ne servent à rien quand on n’est pas malade (seulement « asymptômatique »), il est résigné à fuir ou projeter sa propre liberté au profit d’un ordre imposé par l’extérieur, par une CAROTTE. Sans erreur possible, le REFUS DU GRATUIT NE PEUT QU’ÊTRE UN REFUS DU CHRIST OU DE LA CONSCIENCE INFINIE (le Soi), soit un des multiples mécanismes de défense, genre vaccin qui est aussi une PRO-jection (PRO-tection), qui entrent en jeu dés que le Réel ou le Soi-Instant est perçu comme cru-EL : trop cru(auté), pas cuit, trop saignant ou trop fluide (transparent, PANique). D’où la logique actuelle du tout sécuritaire arrivée à maturité à partir de 1914-45 et surtout au 11 septembre 2001.

LE MI-ROIR : MOITIÉ-MOITIÉ.
PRO-jeter : dualité du sujet qui projette vers l’objet ou de la cause qui projette vers l’effet nécessairement dans un spatio-temporel.

Dans le non-dualité l’Unique ne peut se voir : le ‘Je’ ne verra jamais le ‘je’ ego, même dans un miroir. Car MIROIR = TROMPERIE, VOYANCE, CROYANCE : il ne montre pas le ‘Je’ ou Soi, mais un inverse, un autre ; non pas mon corps mais une surface, un artifice, un virtuel comme ce monde actuel. Le miroir sera toujours une déception comme la sorcière demandant à son miroir si elle est toujours la plus belle du royaume. Telle est l’obsession de symétrie sous toutes ses formes, qui répète à sa façon l’impossibilité de jamais restituer cette chose invisible qu’on cherche à voir, et qui serait le ‘Je’ originel, ou son double ”authentique”.
La symétrie est elle-même à l’image du miroir : elle donne non pas la chose, mais son autre, SON INVERSE, SON CONTRAIRE, SA PROJECTION SELON TEL AXE OU PLAN.

Le sort du VAMPIRE : le Libéré Vivant ou Réalisé Vivant est comparé au reflet dans un miroir sans tâche [miroir clair] dans un autre miroir semblable. « Que peut-on trouver dans un tel reflet ? Le pur akasha [éther, ou Lumière de la Conscience]. De même, la Félicité reflétée du jnâni [Sage, Bienheureux] représente la véritable Félicité (ânanda).
Ce ne sont là que des mots. Il suffit que la personne devienne antamukti (tournée vers l’intérieur). Les shâstra [écritures sacrées] ne présentent pas d’intérêt pour ceux dont le mental est tournée vers l’intérieur. Ils sont destinés aux autres ». (Ramana Maharshi, entretien 513 du 16-9-1938)

Comme le Réalisé, le Vampire ne se reflète pas, même en une image inversée ; il symbolise le sort de tout nom-la-forme de ne pouvoir éprouver son existence à la faveur d’un dédoublement du Seul Réel, et donc « d’exister » problématiquement.
Le double manque à celui que le double hante !

La Réalisation du Soi au sens de Ramana Maharshi a pour principe fondamental de renoncer à ce dédoublement du sujet vers l’objet d’une chimérique Queste, DONC L’ABANDON DE TOUT PRO-ceci ou PRO-cela ou PRO-jet, PRÉ-Machin, PRÉ-caution, PRÉ-voir faisant fureur depuis près de deux siècles surtout en Occident de culture du narcissisme et de la possession.
Abandonnez le PRO-jet de faire saisir, posséder, le ‘moi’ par le ‘moi’ est une absurditée, forme de duplication de l’Unique (nécessairement un Dieu unique : par exemple dans l’autoportrait d’un peintre, cela implique l’abandon ou RENONCEMENT-PUTRÉFACTION-FLÉAU de l’autoportrait lui-même. (Voir l’autoportrait de Vermeer où il se re-présente de dos, dans le célèbre Atelier).

FRACTALE EN FORME DE PARADOXE.
Le ‘je’ illusion rejette l’illusion, y aurait-il deux ‘je’ ?
« Le ‘Je’ rejette l’illusion du ‘je’ et cependant demeure en tant que ‘Je’ [paradoxe de la Réalisation du Soi ; mais les réalisés n’y voient aucune contradiction].
‘je’ ou ego = possessions, corps. OR UN VOLEUR NE VA PAS LÀ OÙ IL N’Y A RIEN À VOLER, ÇA SE NOMME : GRATUITÉ, OU ENCORE « ÉNERGIE LIBRE », SOI.

« L’absence de pensées n’est pas un vide. Il faut qu’il y ait quelqu’un pour connaître le vide [comme le temps qui coule, il faut quelqu’un pour l’observer et lui donner naissance]. La connaissance et l’ignorance relève du mental. Elles sont nées de la dualité. Mais le Soi [ou Instant, le ici et maintenant] est au-delà de la connaissance et de l’ignorance. Il est la lumière même. Il n’est pas nécessaire de voir le Soi avec un autre Soi. Il n’y a pas deux Soi. Ce qui n’est pas le Soi est le non-Soi. Le non-Soi ne peut pas voir le Soi. Le Soi n’entend ni ne voit. Il est au-delà de ces deux fonctions, tout seul [Singularité], en tant que pure conscience ». (Ramana Maharshi, entretien 245).

Le Terrien a horreur du vide, alors il le comble, il invente Dieu, IL INVENTE UNE ET DES IDOLES. Il déifie toutes choses et tombe dans l’idolâtrie de toutes choses, surtout depuis après 1789 et sa révolution industrielle et société de consommation. Mais lorsqu’il arrive que l’idole ne soit plus à la mode et donc ne corresponde plus au désir inassouvi de l’ego, il détruit l’idole qui ne lui convient plus et se retrouve alors dans le vide qui va lui causer la PANique !


Raison = Ré-flexion, EX-per-I-en-ce ou prise de conscience relative (dualité cause-effet ou sujet-objet).
Avec la raison il n’y aura JAMAIS le mariage des contraires, mais toujours dédoublement à n’en plus finir, donc tout bénéfice pour les « sauveurs », pour les marchands de paix ou de bonheur, et de l’ordre.
LIBÉRATION = AVISÉ (ou Sachant) : car la vision ou le mi-roir entraîne le RE-gard, le RE-trait, la D-I-vision.
AVISÉ : du A privatif et Visé : sans but, sans opinion, rien ne peut être affecté par le monde des accidents (espace-temps) : le Flux et la Transparence de vie du ‘Je’ coule au travers du Corps (I-C-I) et Fontaine de ce qu’il y coule (Ma-in-tenant).
La source du malheur est dans l’IGNORANCE, DONC DANS LA CROYANCE.
L’obligation de porter un masque en France est une CROYANCE-PROJECTION-PRÉ-caution AMBIGUÏTÉ : à la fois pour « sauver » le citoyenisé, à la fois pour l’empêcher de ceci ou de cela : à la fois RÉ-conforter et BRI-mer (BRI-ser, Di-viser). Or à nostre époque tout est fait pour empêcher le décodage des mots/maux.
Monde inclusif = MA-BOULE (aliéné comme ce monde rend aliéné) = GLOBE, BOULE (sym-bole, de la racine celtique BOLG : enfler, ventre, sac, outre, paquet, emballage et balle, expression « C’est de la balle » ; également JETER.
Rejoint la verticale : DIA-bolique (DIA : à travers), rejoint la TRANS-parence, la TRANS-en-dence : DIA à travers, comme la Vraie Télépathie passe à « travers les mots » (inutilité des mots).
 
 

Dernière mise à jour : 07-03-2021 23:34

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