Contrairement à l’idée reçue des Hébreux
qui violentèrent les Païens sous prétexte
de pratiques idolâtres de la fécondité ou
culte phallique, le lingam,
les Anciens pratiquaient ouvertement les
cultes phalliques, tel celui des
Bacchus-Dionysos, ou disposaient aux carrefours
des Ligam. Ils voyaient dans ce symbole en
effet une énergie, une fécondité, mais
certainement pas un c(g)odemichet de la
moderne économie capitaliste de l’industrie
du cul, de la bite et du vagin et du plaisir
de consommer et de jeter.
De plus, autrefois la nudité ne suscitait
aucune honte et ne revêtait pas le caractère
déshonorant, humiliant que 2000 ans d’Église
de Rome a imposé au christianisme. Se souvenir
que les Vrais Jeux olympiques se pratiquaient
dans une totale nudité.
Il est certain que les Anciens vivaient en
contact étroit avec le TOUT et pouvaient
facilement ressentir les variations innombrables
d’ondes ou vibrations émanantes des forêts,
des sources et des prairies, vibrations qui
vont plus tard s’appeler : « Fées,
Ondines, Gnomes ou élémentals ».
(Vibrations encore particulièrement puissantes
dans la plaine de la Limagne à Volvic).
L’actuel HOMME-MACHINE en un corps
injecté aux ARNm et aux objets de consommateurs
par désormais trois siècles, voir plus,
de méthode ou « isme » organo-mécanistes
EST PAUMÉ comme Xavier Bichat s’exclamant
au court de l’ouverture d’un corps : « Je n’ai
jamais trouvé l’âme au bout de mon bistouri ».
Encore un qui tomba dans le : « Faut-il le croire
pour le voir ou le voir pour le croire ?? »
Hélas pour les Gaules, Jules César y prolongea son empire, puis à la proclamation de la religion unique en l'Église de Rome par Théodose 1er, Clovis puis Charlemagne fabriquèrent une France chrétienne contre les Païens. C'est ce régime chrétien et de rois français qui s'écroula en 1789. Un régime auquel les députés du Tiers État mirent fin, lorsqu'ils se proclamèrent Assemblée Constituante (départ entre autre de ce qui allait devenir l’actuelle aliénation social et de son
« vivre ensemble » si cradingue (N.O.M. et amérimécanisation du monde).
Le christianisme Nouvel Ordre Mondial de Théodose 1er et de ses suivants jusqu’au Vatican actuel se sont appliqué à supprimer les PAÏENS qu’ils accusèrent, comme les Hébreux puis les Juifs et leur copieurs les Mahométans, d’être des idolâtres parce que POLYTHÉISTES. Or les anciennes écoles de spiritualité du TOUT étaient construites sur UN MONOTHÉISME DIFFÉRENCIÉ
(le monothéisme ne peut pas être une invention d’une quelconque croyance surgissant d’un coup dans le concept spatio-temporel !!!).
À son origine, le Christianisme était totalement naturel car construit sur le Paganisme universel. Par ses aspects ésotériques, le Christianisme ne se distinguait pas de l’orphisme et du mithraïsme avec lesquels il présentait de grandes analogies.
Le Christianisme étant par essence transcendant : issu entièrement d’un Réalisé tel le Christ-Jésus
RÉ-ENCLENCHEUR, il ne s’appuyait sur aucune base depuis un enseignement s’écoulant sur une longue durée. Le résultat ou l’effet allait être prévisible : le Réalisé disparu - même si le Thème a-temporel énoncé par le
Maharshi en son temps à la veille de disparaître de cette dimension :
« Ils disent que je vais mourir. Mais je ne pars pas. Où pourrais-je aller ? Je suis là » est toujours dans l’Instant -, une fois le Maître disparu, l’ego de certains disciples allait demander des comptes et des erreurs vont être commises.
Le plus grave sera, comme encore de nos jours, le délire du GREAT RESET : se couper des enseignements antérieurs et vouloir FOURGUER DES OPINIONS RÉVOLUTIONNAIRES, LESQUELLES NE SERONT, COMME NOUS LE VIVONS ENCORE EN 2021, QUE DES RADOTAGES : LE CONFORMISME DE LA RÉVOLTE IDENTIQUE AU CONFORMISME DE L’ORDRE ÉTABLI (le premier rejoint le second dès que la révolution passe du rêve dans les faits).
Le Christianisme qui partait d’une bonne et charitable intention sorte de première
« sécurité sociale et caisse de retraite » fit appel au profane et à l’ignorance, ET À LA DÉMAGOGIE (grec
dêmagôgia, de
dêmos : peuple, et
agein : conduire, guider ; ce sera donc du politisme pour manipuler les autres). Bref, le Christianisme se transforma en POLITIQUE ÉTATIQUE MORALISANTE afin DE SOCIALISER LES MASSES ET D’ÉTABLIR UNE DISCIPLINE OU SOLIDE INGÉNIERIE SOCIALE (ce que la république surtout française essaye de faire en vain se posant comme une nouvelle religion : celle des Juifs et judéo-maçons spéculatifs à grosses obédiences…).
Depuis Théodose 1er en passant par Clovis, Charlemagne et le concile de Nicée PREMIÈRE MOUTURE DU NOUVEL ORDRE MONDIAL : à partir de là existe le christianisme actuel et l’Église réalisa une certaine unité doctrinale, en France jusqu’en 1789, mais EN MÊME TEMPS cette Église de Rome s’entacha gravement de césarisme (impérialisme, conditionnement) et mélangea intimement son Dieu et son Fric/Flic (Mammon). Concile de Nicée qui mettra en long sommeil le Paganisme, lequel est immortel.
Dionysos-Bacchus et le phallus d’Agditis.
Zeus ayant en vain essayé de s’approcher de la Grande-Déesse-Mère pré-hellénique, devenue Cybèle à l’époque hellénique, en fut réduit à répandre sa semence sur le sol terrestre. Ce qui donna naissance à un sauvage hermaphrodite : Agditis, qui passe son temps à tout détruire et à violer autour de lui. Les Dieux tinrent alors conseil et confièrent à Dionysos-Bacchus de mettre fin aux ravages. Dionysos versa dans le source où Agditis avait l’habitude de se désaltérer, son vin le plus capiteux et, lorsque Agditis vint y étancher sa soif, il sombra dans un profond sommeil que Dionysos-Bacchus mit à profit en attachant les organes génitaux mâles du monstre à un arbre à l’aide d’une solide corde. Quand Agditis eut cuvé son vin, il se leva d’un bond et s’émascula. Le membre arraché tomba à terre avec un flot de sang et ainsi la terre fut fécondée une nouvelle fois pour donner naissance à un amandier. Nana, fille du Dieu fluvial Sangarius, prit er cacha en son sein un des fruits mûrs de cet arbre, devint enceinte, et son père croyant à un déshonneur la fit emprisonner afin de la laisser mourir de faim. Les Dieux vinrent à son secours et lui permirent de donner le jour à un garçon que Sangarius furieux jeta au fleuve. Mais les eaux clémentes l’amenèrent sur les roseaux où une chèvre l’allaita.
L’enfant, qui s’appelait Attis, devint un adolescent d’une beauté merveilleuse. Agditis, son père - par le truchement de l’amandier - l’ayant découvert l’emmenait en tous lieux lors de ses courses folles à travers bois et forêts. Devenu adulte, le roi de Pessimonte voulut le marier à sa fille, et comme on célébrait les noces, Agditis, jaloux, apparut et sa sauvage fureur rendit aliénés tous les invités. Le roi se mutila le premier et tous les autres participants suivirent. Attis lui-même, saisi d’un délire orgiaque se châtra et s’enfuit, pour mourir, à bout de forces, sous un pin.
Pris de remords, Agditis demanda à Zeus de rendre la vie à Attis. Le maître de l’Olympe ne put lui accorder qu’une satisfaction partielle : le corps du jeune Dieu serait soustrait à la décomposition et conserverait éternellement sa beauté. Agditis s’en contenta et enterra le corps à Pessimonte où il fonda un sanctuaire et un culte. (Attis, exposé au sanctuaire telle la Belle au Bois Dormant !)
(En référence à Pierre Solié :
Médecines initiatiques, aux sources des psychothérapies).
Dans ce mythe le processus alchimique est contenu… en compagnie de Déméter [phallus d’un côté et vulve de l’autre]. (Le Commencement est identique à la « fin »). Isis Eau-de-Vie d’un côté, et Nephtys Eau-de-Mort-Colle de l’autre.
« La réincarnation ne peut exister qu’aussi longtemps que l’ignorance existe. Il n’y a pas d’incarnation, il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais. Cela est la Vérité ». (Ramana Maharshi, entretien 363 du 20-2-1937 et forme de « merde à Darwin » et au big bangisme et à ses réactions à moteur explosif opinionesque, et merde à l’HOTC).
Pour être réincarné, il faut d’abord être né !!! Jusqu’à présent, PERSONNE, et c’est naturel, sauf à se croire Dieu le Démiurge ou GADLU, ne peut expliquer par exemple le pourquoi de la formation de la coagulation sanguine humaine à la manière darwinienne. Idem pour les plantes, les animaux et tous les noms-les-formes complexes, qui sont forcément arrivés là, « un jour »… DANS LE MENTAL : « Existe-t-il vraiment un monde ? Je veux dire un monde distinct du Soi ? Est-ce que le monde vient vous dire qu’il existe ? C’est vous qui dites qu’il y a un monde. Découvrez le Soi qui dit cela ». (Ramana Maharshi, entretien 81 du 15-10-1935).
IL EN EST DE MÊME DES DIEUX ET DES MYTHES. QUI LES FABRIQUENT ? QUEL ÉGRÉGORE (1) OU OPINION PUBLIQUE (”esprit d’équipe”) LES FABRIQUENT ? TOUT EST DANS LE VASE LUI-MÊME VASE. Les darwinistes comme les socialistes ou communistes inversent les choses : ce sont LEURS OPINIONS qui engendrent les Essences, le règne de la dictature de l’opinion arrivé à maturation en France en 1789 prend le MASQUE de l’universel (la démocratie) en inversant les rôles : les accidents du spatio-temporel engendrent les Essences [ou peuvent, éventuellement, fabriquer du spirituel et de la croyance]…
Note.
1. Avec le mot
ÉGRÉGORE il est essentiel de distinguer :
- Le socialisme qui prétend
« servir les autres », et fait ainsi dans la dualité Dedans-Dehors comme s’il se mettait en DEHORS DE L’UNIVERS, ET PIRE : QUI PRÉTEND SE
« SACRIFIER » POUR UNE CAUSE (un Dehors). Pour un judéo-maçon du 33è degré comme C.W. Leadbeater, il écrit page 28 dans
Rites Mystiques antiques - Une brève histoire de la Franc-Maçonnerie, à propos du mystique : « il me semble perdre l’immense avantage de l’effort accompli par l’occultiste [au sens d’appartenance à une loge ou à un groupe], soutenu par l’aide si considérable des Êtres supérieurs [sic] dont il évoque la présence [?] ». Ici les
« Êtres supérieurs » peuvent allègrement être confondu avec l’esprit de groupe ou une forme d’opinion publique. Leadbeater précise tout de même que les deux formes de chemin de vie mènent « vers Dieu ».
- Le mystique et la contemplation, dont évidemment Ramana Maharshi fait la partie. Et ici l’égrégore n’existe pas, du moins au départ, car ce sont les autres, le dehors, qui peut faire, ou du bien, ou du mal, comme expliqué plus haut avec l’origine du Christianisme dégénérant en politisme étatique et en monarchie franc salienne puis capétienne.